La question importante est quelle est la place de l’Etat par le biais de la législation pour limiter la dangerosité tout en respectant le libre-arbitre.
Une consommation sans réglementation est impossible, car il existe malheureusement des gens qui dérapent et peuvent devenir dangereux pour les autres et eux-mêmes.
Cela dit, si l’on considère que la responsabilité de ses actes peut déboucher sur l’overdose, l’incarcération ou de fortes amendes pour indemniser les victimes, et bien comme je l’ai dit plus tôt, on joue et si l’on perd, on en paye les conséquences.
La légalisation encadrée fait par contre sortir les drogues du domaine du trafic et de la criminalité parallèle au risque de voir passer les petits dealers écarté des profits passer au grand banditisme
Mais d’autre part, il existe déja une crimnalité mixte et panachée, la légalisation ne changerait le milieu interlope que de façon marginale
Par contre les financiers, les grossistes, les blanchisseurs seraient sérieusement atteints
On ne légalisera pas non pour des raisons techniques, sanitaires ou morales, mais pour des motifs politiques et financiers d’une part et d’autre part parce que les sociétés occidentales sont aux mains des assurances qui veulent faire des profits et minimiser les risques