J’espère que vous êtes payé Strawman, parce que partout où il s’agit de casser tout ce qui ne va pas dans le sens du système établi, on vous trouve.
Dois-je moi aussi faire un copié-collé de la réponse que je vous ai donnée ?
Vos propos sont parfaitement malhonnêtes, puisque l’homéopathie est parfaitement consciente de ce qu’il ne reste pas de molécule active dans ce qu’on avale. Le principe est que les molécules « actives » impriment l’information dans l’eau.
Mais ce qui est important, c’est le tout d’une pratique médicale. Que les pilules soient placebo ou pas, est peut-être moins important que le fait d’une médecine ouverte et à l’écoute de la spécificité des patients, plutôt qu’une médecine arrogante et imbécile, qui applique des formules générales face à des cas spécifiques, car chaque corps humain est différent malgré les universaux. Je dis que placebo ou pas n’est pas si important car la composante psychologique du mal est souvent, si ce n’est toujours, très importante.
Après, les gens qui se plaignent de la chimie et de ses effets secondaires sont gentils, mais croire qu’on peut régler ses problèmes avec des pilules magiques non chimiques et sans effets secondaires c’est un doux rêve, ou une arnaque de commerçant. Avant de demander aux médecins d’être à l’écoute de son corps, il faudrait peut-être soit-même essayer de comprendre ses propres fondamentaux, et avoir une hygiène de vie adéquate : je pense que c’est la seule vraie médecine valable. Mais si on ne veut pas écouter son corps parce qu’on est pas prêt à remettre en question sa notion du plaisir et de l’accomplissement, de ce qui est secondaire et de ce qui est vraiment important, alors on ne doit pas se plaindre d’une médecine allopathique basée sur le principe de réparer les dégâts à l’arme lourde sans se préoccuper des causes.
Quelle que soit l’efficacité objective des produits homéopathiques, ces produits sont bien peu de chose comparés aux vertus de la prévention.
Mais aucune industrie, que ce soit Glaxo ou Boiron, n’a intérêt à une véritable état d’esprit préventif : les deux ont intérêt à ce que les gens soient malades, car ce sont des commerçants, et que leurs clients sont les malades. POINT.