Comme d’habitude, Desvignes-lucilio dit n’importe quoi !
exemple , je cite : « en 1980, l’impôt sur le revenu est devenu un impôt sur l’activité des personnes, l’immense majorité des Français ne tirant plus, dès cette époque, leur subsistance des fruits de leur épargne mais de leur travail. La tranche supérieure s’elève à 75% et 65% des foyers fiscaux y sont soumis. »
En plus il est d’une mauvaise foi crasse dans ses réponses aux arguments les plus pertinents : quand vous lui dites qu’il amalgame impôts et taxes (cf. epapel) il répond « non c’est vous ».
Il écrit : « La France est traditionnellement surimposée par rapport à ses voisins car plus qu’eux elle finance des guerres » Dans le même temps il affiche des taux de prélèvement obligatoire de 44.1 pour la France et 50.7 pour la Suède ! Allez comprendre.
A l’écouter, la France, le pays qu’il a fuit serait une abomination suicidaire ! D’autres ont eu la tête coupé pour n’avoir dit que le dixième de ce que dit ce monsieur. Il a bien fait de partir, mais je constate que d’où il est il a déclaré la guerre à la France. Ce n’est pas un émigré, c’est un traitre à sa patrie.
Et il nous promet une suite. Je ne comprends pas comment il peut publier ces romans fleuves de boue jetés criminellement sur notre pays.
Il n’y a pas une dette, il y a des dettes, nuance. Dans un article tel que celui-ci, verbeux à vomir n’est même pas dit.
Je distingue la dette aux Français et la dette aux investisseurs lesquels ne sont pas tous , loin s’en faut, des Français. Et je distingue les dettes de l’Etat de celles du gouvernement : parmi ces dernières, le poste le plus important est au service de ces politiques déclarées abusivement keynesiennes, en vérité au service d’une politique de l’offre, un comble dans une société de production qui crève de productivisme. A moins que ce ne soit pour les dépenses secrètes du gouvernement en prévision des retours d’ascenseur attendus aux prochaines échéances électorales.
Ajoutons que plus la dette sera excessive, et plus il sera difficile de sortir de l’euro. Cette dette est un bonheur pour les libéraux qui font mine de cracher dessus ! En vérité, leur haine vient de ce qu’ils crèvent de peur à l’idée que les Français pourraient se réveiller un matin et décident de refaire 1789.
Lucilio-desvignes ment à la puissance 10, puisque son interprétation de la dette est une pamphlet anti-France en même temps qu’il exonère les véritables saboteurs de ce pays, ses « frères » de l’intérieur", de toute responsabilité.
Cet article ne serait même pas publié sur un blog libéral qui craindrait de se discréditer avec tant de contresens et contre vérités. Il faut vraiment qu’Agoravox soit descendu très bas pour accepter des torchons pareils