Amusant, auteur de « gauche » que vous n’ayez pas parlé des entreprises qui ont le mieux résisté à la crise. Et qui sont les seules à continuer à y résister, car nous n’en sommes qu’au début.
Dans ces entreprises, un ouvrier n’a quasiment pas besoin d’un encadrement pour être motivé.
D’ailleurs, le dialogue avec l’encadrement est le plus productif qui existe, car l’encadrant ainsi que l’encadré ont un but on ne peut plus commun.
L’encadré n’a de souci que de coordonner le travail de chacun. Aucune revendication salariale ne vient perturber son travail ni aucun conflit social, car chacun sait que ce serait au détriment de la société.
Mieux, d’ailleurs, car en cas de charge de travail moins importante, le salarié décide par lui-même d’aller travailler dans un autre service.
Cela pourrait ne paraître qu’un petit plus mais c’est aussi toute la différence.
En effet, cela entraîne très rapidement que chacun sait ce que fait l’autre.
Ainsi, les informations passent beaucoup plus vite et facilement.
Si un ne trouve pas de solution à une situation complexe, un autre la trouvera.
Si vous n’avez pas trouvé de quelle sorte d’entreprise je parle depuis 3 minutes, il serait temps de s’y intéresser.
Alors ? Toujours pas.. ???
Les SCOP.
Elles ne sont pas soutenues par les banquiers, bien sûr. Car ces voleurs ne peuvent pas trop les asphyxier.