Bonsoir,
Je n’ai pas mentionné les SCOP parcequ’en dehors de l’actionnariat il n’y a pas de différence notable avec les entreprises « normales ». Il faut aussi des fournisseurs, des clients et des salariés.
il faut aussi des « managers ». (?)
A gauche, certains (Arnaud Montebourg), mettent en avant cette forme d’entreprise dans les programmes qu’ils soumettront aux électeurs aux primaires dans un premier temps (voir ICI).
La seconde raison est que le secteur coopératif ne représente que 1.7% de l’économie marchande et que c’est une douce illusions de s’imaginer qu’il va, demain, remplacer le capitalisme.
Il m’apparait, en conséquence, bien plus responsable d’envisager une adaptation progressive des entreprises capitalistes vers un modèle d’ « entreprise progressiste » et démocratique que d’imaginer un grand soir...
Cordialement,
Alain