C’est vrai, vous faites bien de nous la rappeler. Une catastrophe sache l’autre. La vitrine est recomposée maintenant plus rapidement que celle du marchant de jouets sur la place de mon village.
Derrière cette profusion de catastrophes, le même mépris du vivant, et qui s’accélère de plus en plus.
Il semble bien que ressemblons de plus en plus à ces shaddoks pathétiques, qui n’avaient plus qu’un espoir : Trouver une autre planète