Salut,
Je vais me placer du côté de Bertrand Cantat (que j’ai aimé dans Noir Désir comme beaucoup)
Et ce qui est certain est : que pour rien au monde je ne prendais sa place.
J’imagine les regards qui se poseront sur moi et qui inévitablement à un moment précis diront : « cet homme à tuer une femme innocente ».
Ou qu’il soit, caché au plus profond des jungles il y aura toujours un instant ou ceci surviendra.
Peine purgée complètement ou à moitié rien n’y fera, il restera dans les vêtements d’un homme, que la justice à certes condamner pour ses actes, ou seront inscrits comme sur les maillots de footballeurs la marque « je suis un meurtrier ».
Car, et c’est avec cela, qu’il devra vivre toute sa vie, cette folle idée du meurtre. On ne devient pas un ancien meurtrier, on n’a pas anciennement tuer, on efface pas et on recommence... non... on a été et on reste ad vitam aeternam un meurtrier qui un jour a fait passé de vie à trépas une innocente.
Et vivre avec ça... non merci.