Bonjour, Damien.
Entièrement d’accord avec ce plaidoyer contre la « connerie ». Car c’est bien de cela qu’il s’agit dans cette pitoyable affaire. Non que je sois un fan de Nolwenn Leroy (je la connais peu), mais faire de son attachement à sa culture une démarche maurassienne relève de la plus profonde stupidité, et cela ne grandit ni l’intelligentsia auto-proclamée ni Le Nouvel Observateur qui ferait mieux d’apporter plus de discernement dans le choix de ses articles.
Un mot pour souligner un oubli dans les rénovateurs de la chanson bretonne : Youenn Gwernig, auteur notamment des deux superbes albums « Distro ar Gelted » (Le retour des Celtes) et « E-Kreiz an noz » (Au milieu de la nuit).
Cordialement.