Les médias sont comme la police où l’armée : ils sont placés entre l’oligarchie et le peuple. Ils sont aujourd’hui du côté des puissants contre le peuple. Suiveurs de nature, s’ils sentent le vent tourner, s’ils voient que la force du peuple l’emporte sur celle des oligarques, les uns et les autres peuvent retourner leurs vestes du jour au lendemain et soutenir un soulèvement populaire.
Tout est question d’atteindre une certaine masse critique. J’ai le sentiment que nous n’en sommes pas très loin.