Les autorités marocaines, si elles ont couvert l’affaire ou les affaires, sont coupables. Coupables de rendre service à des dirigeants d’un autre pays, coupables de ne pas protéger ses ressortissants, et encore plus coupables si elles ont cédés à d’éventuelles « pressions ».
Il ressort, si tout cela est avéré, de cela, une puanteur au relent des pires moments colonialistes.