Pour ceux qui lisent l’anglais je leur conseille vivement cet article du NYT. L’avocat accuse littéralement le cabinet du procureur (en gros) d’avoir tiré volontairement ou non des conclusions erronées de la conversation téléphonique. Pis, la femme de chambre a récusé les transcription du traducteur et l’a interrompu quand elle était interrogée car il traduisait mal. Ce qui veut dire qu’elle ne s’est pas reconnu dans le soit-disant revirement de ses déclarations. Le cabinet reconnaît qu’il y a eu des problèmes. Si ceci s’avère s’est évidemment gravissime. Le cabinet du procureur saboterait volontairement ou par incompétence cette affaire.