Bonjour Furax,
Article courageux, bravo ! Cependant vous présentez des
cas très ciblés, aussi permettez moi de vous répondre de façon très personnellement
et je vous prie de m’en excuse par avance. Vouloir généraliser un tel problème ne peut que
conduire à de graves erreurs dans un sens comme dans l’autre. Si je devais me
retrouver dans un lit dévoré par la souffrance ou en état de légume tel Adams, je
signe immédiatement pour mon euthanasie afin d’abréger cet état de fait et
soulager aussi mon entourage. Le problème, c’est que lorsque vous voulez
prendre cette décision, peut-être que physiquement ou mentalement vous ne
pouvez le faire. Qu’en pensez vous ?