Concernant le corium, nous sommes dans l’inconnu. Nous venons de découvrir (officiel) des fractures du terrain dont s’échappent des vapeurs radioactives dans le pourtour de la centrale. 10 S/H, une énormité qu’on ne pensait même jamais mesurer.
ça n’est jamais arrivé. Tout au plus pouvons nous donc conjecturer que le corium a du rencontrer la flotte dans la terre, provoquer sa vaporisation et la fracturaction des sols en conséquence. Donc, les radionucléïdes remontent en surface dans la vapeur. CQFD.
Le résultat de 6 mois de gestion catastrophique et criminelle.
Encore une fois, je le répète, plus que l’accident en lui même, c’est sa gestion ubuesque qui pose problème, tant sur le plan technique qu’humain ou environnemental.
Le plus élémentaire des principes de précaution n’a pas même été pris.
Le malheur, c’est la pauvreté et la fatuité de vos commentaires.
Je prendrai plaisir à croiser le fer avec un détracteur à la hauteur et qui s’informe régulièrement des développements de la crise à partir de sources informées, fiables, internationales.
Entre parenthèse, on aurait dit il y a 25 ans au soviétologue que je fus, qu’en 2011 j’irai pêcher de l’info qualifiée sur Russia Today, les bras m’en seraient tombés.
La Pravda a bien changé de côté. Bienvenue en URSE.
Vous n’êtes décidemment pas au niveau.
Vous faites plonger le débat au niveau du caniveau.
On dirait du Morano.
Dommage.
Je ne vous moinsse pas, mais vous décerne un joli point Goldwin du nucléaire.
ça ne vaut pas plus.