En tant qu’informaticien, fermement opposé à la limitation de l’accès à Internet et bien convaincu qu’on nous prend pour des abrutis, je souhaiterais tout de même apporter une précision.
À l’exception des échanges P2P internationaux (qui ne sont pas rares, mais qui s’équilibrent assez), quand un japonais fait transiter des données sur le réseau français, il le fait généralement depuis / vers un serveur dédié [virtuel] directement raccordé en fibre au réseau, sans passer par les infrastructures grand public, raccordement pour lequel l’entreprise qui possède ce serveur paie déjà amplement sa part.