"
Imaginons un instant une culture où la mort serait appréhendée comme
la métamorphose qu’elle est réellement. Celle-ci serait ritualisée à
l’instar de la naissance ou du mariage comme un changement d’état. Le
droit de choisir l’instant de sa métamorphose serait accepté comme
l’est devenu aujourd’hui, au moins légalement en quelque vingt ans, le
droit pour la femme d’être maîtresse de sa fécondité."
on dirait du cureton extremiste
et on finit en soleil vert ?
le wakisashi en cas de deshonneur ?