"A qui veut bien réfléchir, la liberté – et donc le droit – de mourir
dignement, à son heure, selon son style, apparaîtra évident et en
parfait accord avec notre sensibilité moderne. Un jour, une telle
liberté sera reconnue comme une exigence morale imprescriptible et
aussi impérieuse que la liberté de parler et de s’informer. Faudra-t-il
attendre que les charges sociales afférentes à l’accroissement continu
de la longévité et à l’acharnement thérapeutique deviennent
insupportables ? Cela chargerait ce droit précieux d’une résonance
sordide."
soigner un pauvre ca sera trop cher aussi
on le decoupe sur le bord de la route