J’avais oublié d’ajouter
que sans ces 100 milliards d’euros par an de cadeaux fiscaux, point de déficit
budgétaire donc nul besoin pour l’Etat d’emprunter ni aux banques, ni aux
« investisseurs », ni même à une banque centrale … et la loi de 1973
serait devenue d’aucune utilité pour les banksters.
D’où ma suggestion d’équilibrer les dépenses nécessaires par
une fiscalité (sur les revenus, les patrimoines, les transmissions, les
plus-values …) aussi fortement progressive que nécessaire .