Identité nationale : non, la France n’est pas un contrat
Le débat sur l’identité nationale, par les polémiques qu’il soulève, est riche d’enseignements. Il nous oblige à nous pencher sur notre Histoire et par exemple à réfléchir sur les origines du mythologique « pacte républicain ».
Comment refuser le débat sur l’identité nationale, lancé par le Gouvernement ? Chacun a le droit de ne pas y participer. Chacun a le droit d’y participer pour dire qu’il n’y a pas d’identité nationale. Ou qu’elle n’est pas celle que l’on croit. Mais personne n’a le droit de s’opposer au droit de débattre, comme le fait un groupe de personnalités, sur le site Médiapart qui décident pour les autres ce qu’ils doivent faire et ce qu’ils doivent penser. Ce « débat sur le débat » est absurde mais symptomatique et finalement, riche d’enseignements : il y a bien des questions taboues en France, à commencer par la question essentielle « Qui sommes nous ? ».
En témoigne par exemple la proposition d’Eric Besson, dans toute sa bêtise maladroite : faire signer une charte des droits et des devoirs à tous les jeunes Français, le jour où ils deviennent majeurs, « quelque chose qui les attache à la République ». La critique de cette proposition est évidente : que fait-on lorsqu’un jeune, à 18 ans l’âge de toutes les révoltes, refuse de signer ? Et n’était-il pas déjà Français, avant d’être majeur, ne devait-il pas respecter les lois ? Mais la proposition Besson, déjà morte avant d’être officialisée, met le doigt sur la faiblesse d’une idée-valise, souvent acceptée sans discussion, celle du « pacte républicain ».
Mais qu’est-ce au juste que ce « pacte », quel est ce « contrat » que l’on est obligé de signer ? Car le fait d’être Français, dans la grande majorité des cas, ne relève pas d’un choix. On ne décide pas d’être Français. Si la République est un « contrat », au lieu d’être simplement la res publica, la chose publique, alors elle n’est pas la Nation, elle n’est pas la France. Car celle-ci est une donnée de l’histoire et non le fruit de la volonté éclairée de citoyens majeurs signant un accord. Paradoxe : la proposition Besson nous démontre que l’identité nationale, ce n’est pas la République...
Mythologie républicaine
D’où vient donc cette idée absurde de « pacte républicain », qui est pourtant la quasi doctrine officielle de nos politiciens de droite comme de gauche ? Elle a évidemment une « grande ancêtre », la fameuse idée de « Contrat social » de Jean-Jacques Rousseau. Sous sa forme originelle, c’est la matrice de la plupart des totalitarismes modernes. L’homme, nous dit Rousseau, abdique irrévocablement sa liberté individuelle en faveur de la volonté générale, dans laquelle il retrouve la première, intacte. Le cas échéant, « on le forcera d’être libre ». Promesse tenue par la Révolution française, Robespierre, Saint-Just et son « pas de liberté pour les ennemis de la Liberté », la Terreur, la loi des suspects, la Vendée martyrisée... promesse reprise par les différentes formes de communisme, leurs ennemis du peuple massacrés, leurs goulags...Dans le meilleur des cas, le Contrat social donne le droit à la majorité d’opprimer la minorité. Mais bien souvent, une infime minorité (le Comité de Salut public, le Parti) s’auto-proclame incarnation de la Volonté générale et impose ses vues à l’ensemble de la population.
En France, le projet rousseauiste n’a pas survécu aux quelques années de folie révolutionnaire, du moins sous sa forme pure et dure. Si tôt le calme revenu, on est bien obligé d’admettre que la France est une donnée historique, que les gens qui sont Français n’ont pas demandé à l’être (pour la plupart). Néanmoins, le Contrat social, qui a justifié la destruction de tous les corps intermédiaires, de toutes les libertés et franchises de l’Ancien Régime, au profit d’un jacobinisme étouffant, reste une référence, une idéologie toujours largement à l’œuvre notamment sous la IIIème République.
Avant la Révolution, autre paradoxe, l’intégration de Provinces nouvelles au Royaume, se faisait souvent sur la base d’actes juridiques qui ressemblaient beaucoup à de vrais contrats (ce sont parfois des contrats de mariage comme pour Anne de Bretagne), plus ou moins volontaires, il est vrai, mais offrant des garanties telles que le maintien de coutumes, de privilèges, d’exemptions, etc...c’est tout cela que l’idéologie du Contrat social a permis de casser, grâce au mythe commode de l’individu « contractant » avec la majorité. Résultat : tout le monde dans le même moule, « interdit de cracher et de parler breton ».
Jusqu’à ces dernières décennies, l’hypocrisie subsistait : le « pacte » comme mythologie de la République cohabitait avec la réalité de la Nation française, fruit du temps, de l’Histoire politique et de la géographie. La théorie ne gênait pas trop la pratique. Cette situation aurait pu durer encore longtemps, entre Français partageant une langue commune et des modes de vie très proches : le mariage monogame par consentement mutuel, le repos hebdomadaire et le calendrier chrétien, des principes de Justice hérités du droit romain, très peu d’interdits alimentaires, la séparation du temporel et du spirituel (bien avant la laïcité républicaine), etc...
L’Islam change la donne
Au cours des XIXème et XXème siècles, des centaines de milliers d’étrangers s’intègrent à la France, des Italiens, des Espagnols, des Polonais, des Russes...non sans difficultés, mais ils s’intègrent. Est-ce par un effet bénéfique du « pacte républicain » ? Ou bien plutôt parce que leurs racines culturelles, leur religion, leur mœurs, leur conception du mariage et de la famille étaient les mêmes que celles des Français ? N’est-ce pas la « longue Histoire » commune des peuples européens qui permet l’intégration, plutôt que la conception moderne, abstraite, du « Contrat » social ou républicain ?
C’est l’Islam qui fait éclater l’hypocrite mythologie du « pacte républicain ». Non pas la religion en tant que telle, mais les conséquences sociales et politiques du Religieux. L’islam ignore la distinction du Temporel et du Spirituel, il admet la polygamie, n’exige pas de consentement formel lors d’un mariage. Ses obligations alimentaires sont contraignantes. Sa pratique religieuse envahit et imprègne l’espace public. Une bonne musulmane doit porter un vêtement distinctif qui, au minimum, cache une partie du visage. La langue du Coran, l’Arabe, n’a quasiment pas de liens avec les langues indo-européennes et s’appuie sur un alphabet radicalement différent du nôtre. Enfin, le droit qui inspire les sociétés musulmanes repose sur des bases infiniment éloignées de nos fondements juridiques romains.
Tout cela n’empêche pas certains de dire : « hier, nous avons intégré les Italiens, grâce à la République, donc, demain, nous intègrerons les Algériens et les Turcs... » La République s’aveugle volontairement. Elle a certes des obligations, nées de l’héritage colonial, des milliers de musulmans morts pour la France, ou encore de l’utilisation du travail de centaines de milliers d’immigrés qui ont reconstruit la France après la guerre. Mais ces obligations ont changé de nature avec l’indépendance de tous les pays de l’ancien Empire français. Ce sont maintenant des obligations d’État à État, qui d’ailleurs prennent la forme de véritables contrats, des traités de coopération. Il n’y a nulle obligation morale à accueillir sans limite les ressortissants de ces pays.
Alors, si cette idée de faire signer un papier à des gens qui sont déjà Français, quelle que soit leur origine, « n’a pas de bon sens » comme diraient nos cousins Québécois, en revanche, le fait de demander à ceux qui veulent devenir Français, de signer une charte des Devoirs (par définition, ils acceptent les Droits...), ne serait pas une mauvaise chose, loin de là.
Ce serait aussi demander à la République de redevenir ce qu’elle n’aurait jamais du cesser d’être, non pas un Contrat mythique et dangereux, mais la res publica de la Nation française, fondée sur un socle de valeurs communes qui permettent de vivre ensemble.
103 réactions à cet article
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@ l’auteur
bonjour tout le monde....
pourquoi diable des etrangers comme sarkozy ( hongrois),baisson ( marocain) copé-lovici (roumain) dsk (marocain) et quelques autres apatrides cosmopolites veulent ils normer la citoyenneté Française , ?
a lire et a comprendre, autorité vs liberté :
http:// www.noslibertes.org/dotclear/index.php ?post/2010/01/16/400-
Hep où avez-vous vu que Strauss-Kahn voulait normer la citoyenneté française ?
Où avez-vous vu que Sarkozy était hongrois ? Il est né en France, de mère française au moins, et de papi naturalisé, de mamie française etc ... Il faut remonter à combien de générations pour être français ? Idem pour Copé né en France de parents français, de père d’origine roumaine.
Mais il est vrai que ce cosmopolitisme - positif - semble en contradiction avec les propos que tient la droite sur l’identité. -
@ voiture- française
« » Il faut remonter à combien de générations pour être français ?« »
il faut poser la question a eric bezon....
pour le reste merci d’avoir confirmé les origines « non de souche » des divers pourritiques en mal de normes.... a quand une norme ISO pour frankaoui , avec audit et organisme certificateur....
je preconise que l’audite soit faite dés la conception,avec la mise en place d’un outil de gestion de la qualité efficace,
rechercher les defauts et analyser leurs impact,
pour optimiser, bien verouiller le process,
prevoir une identification et une traçabilité,
controle et essai pour voir si le produit et bien conforme....( maitrise de la non conformité...il afut imperativement traiter la non conformité et la non qualité le plus en amont possible du process si la non conformité est constater...interruption de la grossesse)
action corrective et preventive et comment empecher que cela se produise (loi en court d’adoption). -
Il y a une ambiguité dans la réponse de Besson. Le jeune lui demande s’il va y avoir un contrat et Besson répond par « pacte », « charte ». Or, une charte n’a pas la même portée juridique qu’un contrat.
- Un contrat (ou une convention) crée des engagements fermes entre les parties signataires
- Un pacte est généralement défini comme un ensemble de règles supérieures (charte des Nations Unies, charte constitutionnelle, le préambule de la Constitution française) mais les engagements ne sont pas fermes. Ce sont des engagments de principes.
Mais Besson semble penser à un contrat. D’ou une ambiguité.-
Cela pose d’autres questions juridiques : par exemple, normalement tout français même âgé de plus de 18 ans devrait signer la charte, au nom du principe d’égalité.
De toute façon, une charte créée par le ministre de l’identité nationale ne pourra que susciter du rejet chez une grande partie de la jeunesse. Et ce sera l’échec de l’idée. -
@ Voris :
Besson a un problème d’ambiguïté... et l’auteur de cet article aussi. En semblant soutenir l’idée du contrat social pour l’immigrant, mais non pour le jeune, on ne sait trop s’il rate sincèrement un virage ou veut donner le baiser de la mort à cette idée qu’il ne semble pas apprécier.Moi, oui. Il y a une bonne dizaine d’années que j’ai suggéré que le « contrat social » devienne explicite et j’ai récemment repris cette idée, bien avant que Besson n’en parle, dans un article qui a eu une certaine diffusion.Non, la France n’est pas un contrat... mais être citoyen français devrait en être un. Car celle-ci est une donnée de l’histoire, mais il et regrettable que l’appartenance au corps sociétal ne soit pas « le fruit de la volonté éclairée de citoyens majeurs signant un accord ».C’est cet accord qui donnerait sa légitimité éthique à l’autorité de l’État, laquelle sans cet accord ne repose que sur la force et n’en a donc aucune. C’est cet accord qui fonderait la notion d« appartenance, laquelle, dans un État multiculturel n’a pas de raison incontestable de se porter sur la nation plutôt que sur une communauté.Besson, plus habile que vaillant, tente de ménager la chèvre et le chou... mais, pendant qu’il tergiverse dans les méandres de la rectitude politique, le loup va manger la chèvre. Disons clairement »contrat" et faisons le.(Le lien ci-dessous conduit à un long article que je n’ai pas encore eu le temps de scinder et de mettre en format blogue. Voir le chapitre 2 et particulirement la section 2.3 qui parle précisément de cette question)Pierre JC Allard -
bonjour pierre
j’avais lu ton point de vue et je ne le partage qu’en partie, j’explique cela dans un commentaire à de la coste.
l’identité est une construction spychique, la nationalité française est un contrat constitutionnel et un produit historique, l’on ne peut demander à un ÊTRE HUMAIN D’ABANDONNER ce qui l’a CONSTRUIT pour épouser une histoire. c’est ce qu’il y a de dément dans ce faux débat, et qui le renvoie presque à une dimension de folie humaine.
CORDIALEMENT
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@ M Allard
Je crois avoir été très clair : signer une Charte ou un engagement est absurde pour ceux qui sont déja Français. En revanche, pour ceux qui souhaitent devenir Français, par un acte volontaire, elle a un sens : j’accepte de respecter le pays que je rejoint comme citoyen à part entière. -
« L’islam ignore la distinction du Temporel et du Spirituel, il admet la polygamie, n’exige pas de consentement formel lors d’un mariage. Ses obligations alimentaires sont contraignantes. Sa pratique religieuse envahit et imprègne l’espace public. Une bonne musulmane doit porter un vêtement distinctif qui, au minimum, cache une partie du visage. La langue du Coran, l’Arabe, n’a quasiment pas de liens avec les langues indo-européennes et s’appuie sur un alphabet radicalement différent du nôtre. »
1- Lors d’un mariage le consetment mutuel est obligatoire (c’est pour ça qu’on pose la question 3 fois à l’homme et la femme). !!
2- Mais bon ce n’est pas le sujet : En quoi les juifs de France sont ils si différents des musulmans ? L’hebreu est il du latin ? Les obligations alimentaires sont ils identiques ua français (Helal pour l’islam, cacher pour les juifs). Il n’y a aucune obligatio nde fermer les le visage mais les cheveux ! Les juives portent toutes une péruqe ! Les hommes ont obligation de porter la kipa avec des cheuveux différents !
PAR CONSEQUENT SI LES JUIFS ONT INTEGRER ET QUE PERSONNES NE TROUVE RIEN A DIRE A LEURS SUJETS POURQUOI LES MSULMANS NE PEUVENT PAS S INTEGRER TOUT EN GARDANT LEUR CULTURE ?
Si l’islam pose à ce point problème alors au lieu de nous emmerder avec des lois par ci par là, faite une seule loi qui oblige tous les musulmans de France à :
a) soit abondonné leur religion
b) à quitter la France définitivement.
Comme ça vous serez tranquille et vous pouvez prétendre être en démocartie pays de la liberté !!-
dans ton delire, tu n’as pas lu l’article
dans cette article il n’est nullement question d’islam mais de l’identité française et des français....
j’espere que l’auteur confirmera.... -
Le Grec, qui fonde une grande partie de notre culture et de notre civilisation, s’appuie aussi sur « un alphabet radicalement différent du nôtre ». Donc cet argument à propos de l’arabe n’a pas de sens. Et comme si la forme de l’alphabet avait une incidence sur la manière de respecter la République ! En ce cas, les Russes (qui emploient l’alphabet cyrillique) seraient aussi visés ?
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Pourquoi l’Islam poserait il problème ? De par sa nature même :
« Dans la communauté musulmane, le djihad est un devoir religieux en raison du caractère universel de la mission des musulmans et de l’obligation de convertir tout le monde à l’islam, par la persuasion ou par la force. Les autres groupes religieux n’avaient pas de mission universelle, et le djihad n’était pas pour eux un devoir religieux, sauf pour des objectifs de défense. Mais l’islam est dans L’OBLIGATION de prendre le pouvoir sur les autres nations » Ibn Khaldun (décédé en 1406), célèbre historien et philosophe musulman. -
L’Islam pose question (plus que les autres religions qui on beaucoup posé question dans le passé et nous avons assez bien réglé ces questions) mais quel rapport avec l’alphabet ???
Sauf si le discours est de dire : les Musulmans sont vraiment trop différents et voici pourquoi (liste). Même leur alphabet... -
Bonjour,
Non, le consentement n’est pas toujours présent dans le mariage musulman. La preuve, de nombreux mariages de jeunes filles mineures, décidés par le père. De toute façon, la question de la poygamie fausse totalement la question du consentement mutuel.
Sur la question des juifs, plus interessante, vous oubliez une grosse différence entre juifs et musulmans : le judaïsme n’est pas une religion prosélyte, les conversions au judaïsme sont très rares. Au contraire, l’Islam est une religion de conquête, comme le christianisme.
Autrement dit, on n’imagine pas la communauté juive faisant basculer la majorité de la population française. -
bonjour pierre
beaucoup oublie que le peuple élu n’est pas universaliste, il faut toujours le rappeler.
cord.
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@ Voris
Je m’attendais à cette remarque sur le grec et le russe. Il existe de nombreuses racines communes entre ces langues et les langues latines. L’Arabe est fondamentalement différent.
J’ai voulu parler d’un ensemble d’éléments (la langue, la religion, la culture, le droit...) qui créent une appartenance commune. Quand un élément manque, ce n’est pas trop grave. Quand presque tous les éléments sont absents, cela rend impossible ou terriblement difficile l’intégration. -
"Le cas échéant, « on le forcera d’être libre ». Promesse tenue par la Révolution française, Robespierre, Saint-Just et son « pas de liberté pour les ennemis de la Liberté », la Terreur, la loi des suspects, la Vendée martyrisée..."
La Terreur est un acte politique de survie de l’Etat visant à décapiter la contre-révolution (intérieure et extérieure) et intimider les alliés (Autrichiens et Anglais aux portes de la France ) sollicités par le roi sous surveillance (lettre au frère de M.Antoinette qui le fit condamner pour haute trahison et intelligence avec l’ennemi, comme Brasillach et Laval..). Pas un appareil de répression arbitraire, ce que vous faites plus que sous-entendre...
Vous placez donc le totatitarisme de la Terreur au mauvais endroit et votre démonstration historique (promesse reprise par les différentes formes de communisme, leurs ennemis du peuple massacrés, leurs goulags... ) ne tient pas la route.Méconnaissance de l’histoire qui rend votre démo fallacieuse.
Au fait c’est quoi cette loi votée en France qui interdit aux historiens de critiquer le Colonialisme ? -
auteur
"J’ai voulu parler d’un ensemble d’éléments (la langue, la religion, la culture, le droit...) qui créent une appartenance commune."
La France est partenaire (subsides versés via l’Europe) avec des pays qui l’ont combattue et dont l’idéologie persistante est le fascisme (Bulgarie et la Roumanie et la Lettonie qui fait défiler officiellement ses ex waffen ss), au nom de valeurs communes.
Les Musulmans et Africains qui sont morts pour la France n’ont pas cette chance et les français ne leur reconnaissent pas, à eux, de valeurs communes..Il appert donc que soit vous ne savez pas, soit vous préférez vous associer avec des états reconnus fascisants, et d’ailleurs imposés à cette europe, aux valeurs si communes, par les banquiers américains...
Tu m’étonnes. -
Mr P De la Coste,
L’apologie d’un génocide ? Je vous donne l’explication de la Terreur selon le programme officiel de l’éducation nationale, qui semble vs faire défaut, ou que vs occultez sciemment, allez savoir.
Ce qui vs reste des cours d’histoire n’es qu’un tissus de d’approximations et lieux communs. L’instauration de la terreur est un acte politique prise par la suite d’un acte de haut trahison de L. XVI .
Apologie de génocide ? Attendez voir.
Si mon second commentaire vs reste illisible, c’est qu’il ne vs plait pas ou que vs ne savez pas ce que signifient les accords passés avec certains états échoués (Commissaire divisionnaire JF Gayraud, N Pons, C Brie) mafieux et fascistes (Lettonie, Bulgarie, Roumanie..), au nom de valeurs culturelles communes que vs vs plaisez à invoquer au détriment des musulmans.
Les musulmans sont plus méritant de partager nos valeurs républicaines pour avoir versé leur sang pour la France que certains pays catholiques qui ns sont associés de force par les conventions européennes. Ce fait semble aussi vs être inconnu.La prochaine fois que vs écrivez que je fait l’apologie de génocide au sujet de l’histoire de France et concernant la Terreur, je porte plainte contre vous, et ne pensez pas que je plaisante. Ne croyez pas que je vais vous laisser impunément jouer avec les mots.
« Staline et Hitler ont repris le même chemin, ouvert par vos glorieux ancêtres. » A quoi jouez vous ? Faites très attention à ne pas m’inclure dans vos amalgames scabreux. Mes réactions à vos incitations détournées et à me faire passer pour ce que je ne suis pas risqueraient de vous surprendre.
Pour finir, mon propos fut en tout point poli à votre égard pour ne pas dire policé. En conséquence, faire passer mes ancêtres pour des nazis (même de manière sibylline) risque de vous coûter cher.Mes ancêtres sont de l’ile de Sein, des tueurs de nazis, justement.
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Depuis 25 ans fonctionne une propagande énorme en faveur de la “diversité”, du “multiculturalisme” et du “métissage”
tu m’étonne …Un truc qui parait tout con mais qui finalement ne n’est pas tant que ça :
Si quelqu’un dit “le chinois là bas a un chapeau bleu”
dans la tête des gens il se produit rien.Si quelqu’un dit “l’arabe là bas a un chapeau bleu”
dans la tête des gens le propos peut être interprété comme limite raciste.C’est comme Raymond Devos dans son sketch sur le racisme
“tiens voila un turque !” “en quoi je fais du racisme ? s’il vous plait ?Il disait après ,si je dis “tiens voila truc,y en aura toujours un pour dire : si il dit truc c’est qu’il se souvient plus du nom du turc”
En tout cas pour moi ça en dit long sur le travail exercé sur les mentalité.
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Il est notoire (sauf au FN où le mensonge est roi) que le racisme envers les musulmans et arabes est plus fort dans notre société qu’envers les « Chinois à chapeau bleu » ou d’ailleurs les Bretons à chapeaux ronds. Votre commentaire est pure propagande de mauvaise foi.
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et pourquoi un français blanc se croit toujours obligé de demandé son origine à un français bazané (qui peut même parfois être français depuis plus de générations que lui).
c’est bien qu’il y a un racisme latent envers les maghrebins et les noirs en france. -
Jamais lu autant de conneries dans un même article.
Le Coran c’est écrit en Arabe, les caractères arabes c’est pas romain. L’auteur ne s’est pas rendu compte que les migrants qu’il stigmatise sont pour la plupart francophones pour cause d’ancienne colonies ?
L’Islam accepte la polygamie gnagna. D’aborde je ne suis pas sûr que le christiannisme affirme quelque-part la monogamie, ensuite chacun sait que le Judaïsme accepte aussi la polygamie mais que cette pratique a disparu comme elle est disparue dans nombre de pays musulmans tels que la Turquie ou la Tunisie pour ne citer que ceux là.-
L’Arabe est la langue sacrée du Coran, les traductions ne peuvent pas remplacer la version originale.
La langue française est un des éléments qui peut aider à l’intégration, mais elle n’est pas toujours présente dans toutes les communautés d’immigrés. L’idée du contrat en langue française pour les nouveaux venus uniquement n’excluerait pas tout le monde mais ferait comprendre que la maitrise du français est indispensable pour être intégré.
La monogamie est inscrite dans le christianisme depuis les origines : le mariage est un sacrement que se donne les époux et qui est indissoluble. L’égalité entre l’homme et la femme ne peut pas être mieux défendue. Après, le naturel reprend parfois le dessus, mais l’église condamne. -
je ne pense pas que la Bile et les Evangiles aient été écrites en français
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Trés bonne analyse qui mérite d’être diffusée largement. En effet, trop de gens croient que la nation française naît avec la révolution alors que celle-ci n’est qu’une petite étape totalitaire dans notre longue histoire.
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Ben ouais, petite étape avec la fin de l’esclavage, la déclaration des droits de l’homme, l’émancipation des juifs etc ... petit étape que la fin de la monarchie de droit divin et de l’arbitraire - certes il y eut la restauration mais elle est anecdotique.
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Un peu d’Histoire avec le Serment du chevalier :
1/ Tu croiras à tous les enseignements de l’Eglise et tu observeras ses commandements.
2/ Tu protègeras l’Eglise.
3/ Tu défendras tous les faibles.
4/ Tu aimeras le pays où tu es né.
5/ Tu ne fuiras jamais devant l’ennemi.
6/ Tu combattras les infidèles avec acharnement.
7/ Tu rempliras tes devoirs féodaux, à condition qu’ils ne soient pas contraires à la loi divine.
8/ Tu ne mentiras jamais et tu seras fidèle à ta parole.
9/ Tu seras libéral et généreux.
10/ Tu seras toujours le champion du droit et du bien contre l’injustice et le mal.-
bonjour sampiero
ce n’est pas dans les évangiles chrétienne du nouveau testament effectivement, mais dans l’ancien oui l’on y chasse l’infidèle, c’est pour cela que nous le retrouvons dans l’islam. il leur faudra comme nous du temps pour s’affranchir de cela. ceci fait parti des blocages psychiques. les templiers avaient le même serment.
cordialement.
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bonjour Sampiero
et aussi :
9/ Tu seras libéral ... là, pas de changement.J’ai volontairement mis ce texte pour souligner les dangers que peux amener un serment, mais aussi certains points pas si mauvais, défendre les faibles, aimer son pays, être fidèle à sa parole, être droit ...
pour rappel : L’initiation commence dès l’enfance ; à 7 ans, le jeune noble est confié à un seigneur étranger chez qui il devient page, puis compagnon de chasse, de voyage et de guerre ; au cours de ces « années d’apprentissages », il se prépare surtout au métier militaire. On retrouve plus ou moins ces pratiques au Japon jusqu’à la seconde guerre mondiale avec le Bushido.
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article remarquable dans sa premiere partie , moins interessant dans la seconde . ce « débat sur l’identité nationale » est bien sur mal fondé . ni nous memes , ni nos gouvernants du moment (élus sur d’autres enjeux , et présents de façon presque contingente à leur poste ) n’ont de légitimité à dire ce que nous sommes . nous le sommes que cela nous plaise ou non , que cela leur plaise ou non , et que cela plaise ou non aux autres d’ailleurs . L’identité natioinale n’est pas un contrat , ni non plus un pacte républicain , et la France existait avant 1792 ......
On débattrait de façon plus claire si on séparait les deux notions de « nationalité »( ou « identité nationale » , si vous voulez ), d’une part , et de « citoyenneté » d’autre part , comme on le faisait avant en URSS autrefois .( La citoyenneté , c’est être relié de façon formalisée et étroite à un état , avec des droits et devoirs associés) . C’est « avoir la carte d’identité » . Cela peut se définir juridiquement . On peut définir et décider de la frontiére et des critéres de la citoyenneté. La nationalité , cela ne se peut bidouiller ainsi , et nous ne sommes pas légitimes pour le faire . En ce sens, actuellement , la « nationalité » française confére automatiquement la « citoyenneté » française ( sauf trés rares exceptions : decheance nationale , etc...) , alors que passer de la citoyenneté à la nationalité est moins évident , plus lent , plus flou , plus incertain et discutable.... c’est un peu manger du cassoulet et apprécier le vin , un peu raler tout le temps contre tout le monde , un peu avoit une certaine tronche , mimique , gestuelle , etc...... et ce n’est pas une obligation à imposer comme cela , aux forceps.... Cela ne se fait d’ailleurs pas toujours. Il faut une certaine configuration , une certaine envie, une certaine attractivité culturelle aussi de la part du pays d’accueil ( existe t’elle encore ? S’intégrer , oui , mais à quoi ? ), peut etre aussi certains efforts et une certaine adaptabilité ( que parfois on n’a pas et à laquelle on ne peut rien : est on responsable de la tête avec laquelle on est né ? ) . Je suis conscient du caractére un peu dérangeant de post , on peut bien sur en discuter ( sans clichés , svp , et sans noms d’oiseaux , sauf si ceux ci sont originaux savoureux , porteur de sens , ce que ne sont pas les 99 pour cent utilisés à agoravox : je pense à facho , bobo , coco , raciste, macho - ou sur un autre registre imbécile , crétin , idiot , etc... , etc.. etc... qui n’ont le plus souvent aucun sens réfléchi mais ne sont qu’épithétes passant directement du cerveau reptilien à la bouche du locuteur ......) . Le « débat » est stérile et même nocif , parce qu’il mélange deux choses différentes à la base....-
Merci. Oui, je savais que tout le monde ne serait pas d’accord et je remercie la majorité des internautes, qui comme vous sont restés dans le sujet sans m’insulter...
Assez d’accord sur votre distinction entre « identité nationale » et « citoyenneté » -
TITI 18 janvier 2010 11:13« qui sommes nous ? »
Nous connaissons notre histoire...de CLOVIS à aujhourd’ui...1500 ans...de civilisation Gréco-romaine, de culture Judéo-chrétienne.
Des rois, des révolutions, les lumières, des républiques, du sang, des larmes.
Un vivre ensemble autour de régles communes, citoyennes...un pacte.
L’autre question est « ou allons nous » et « avec qui » ?
la mondialisation, les migrations politiques, économiques, sociales...nous bousculent..
Les civilisations, cultures différentes sont elles compatibles avec notre pacte ?
Si oui, aucun problème...si non, la crispation, l’exclusion l’emporteront.
Comment ne pas aborder la question de l’islam lorsque l’on voit ce que sont devenues ou deviennent des civilisations comme les BERBERES, les Egyptiens, les Libanais...qui subissent le joug de l’impérialisme, de la colonisation, de l’idéologie islamique ?
La question de l’identité nationale pose d’autres question qu’il faut traiter.
Suite au RDV manqué dans l’émission « à vous de juger »...pourquoi pas un nouveau débat avec des politiques sérieux (M. LE PEN, Malek BOUTHI, J.F COPPE...)-
Nouveau programme, Clovis ne sera plus enseigné au collège. C’est en tuant l’histoire qu’on répète les erreurs.
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Titi le soi-disant sioniste se réclame de Clovis ?
Quant à la « colonisation » des Berbères et autres, ce n’est pas et même plutôt plus ancien que celle de la Corse, de l’Alsace ou autres.
On apprend que les Burgondes venaient de Germanie et que les Normands sont venus des contrées vikings etc etc ... vous allez remontez jusqu’où pour prouver qu’un peuple n’est pas à sa place ? -
vous allez remontez jusqu’où pour prouver qu’un peuple n’est pas à sa place ?
Vous raconterez ça au pieds noirs, en particulier au plus de 20 000 qui sont resté et qui ont disparu.
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Ouais bon aussi à nos amis allemands venus s’installer gentiment entre 40 et 45 sur le territoire national.
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@Manusan,
Bonne référence.
L’histoire de France proprement dite est abordée en classe de 5eme. Elle commence par l’histoire de l’Islam, la visite d’une mosquée, la présentation de l’expansion musulmane en Europe jusqu’au 7eme siècle. L’Histoire de France débute d’un seul coup au 10eme siècle, en sautant toute nos origines et la fondation de l’Europe chrétienne, en sautant la période gallo-romaine et le peuplement de l’Europe par les peuples germains dont nous sommes issus (Wisigoths, Ostrogoths, Suèves, Francs (Quates et Sicambres dont descend Clovis), Burgondes, Vandales, Allamands, Angles, Jutes, Viking, Saxons et j’en oublie.
C’est du communisme de bas étage, de la révolution culturelle comme la pratiquait Mao.
Comme sur 1.000 pages d’enseignement la plupart des gens ne gardent qu’un flash d’une demi-page, il en ressortira que la France est issue de l’Islam, que les français sont descendants des arabes. Voilà comment on crée une lignée historique artificielle à un peuplement qui n’a pas trente ans d’existence. En échange on coupe d’un trait de plume les racines de tout un peuple. C’est tout simplement dégeulasse. Le pire est que cela se passe sans violences.
Ce n’est pas un hasard si ce programme est appuyé par Copé(lovici), citoyen du monde moitié roumain et moitié algérien.
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@Internaute
Vous avez eu un cursus scolaire particulier, pour n’avoir eu des cours d’histoire qu’à partir de la 5ème... Eh oui, en 6ème on apprend l’histoire de ROME. Je sais que ça peut sembler étrange, mais non, la France n’a pas 6000 ans. Et allez parler avec un anthropologue sérieux de nos soit-disantes « racines » de Lascaux, si vous voulez vous faire rire au nez.
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Wokom,
je constate que ns avons eu le même apprentissage.
Je n’ai jamais lu autant de contre-vérités au m² (de mots) qu’en ce lieu, et, pire, qu’elles fussent plébiscitées autant.
Quand Copé fait du communisme (de bas étage) pluriculturel...
L’UMP pas assez à droite ?
L’Islam est au programme de 3ème, et certainement pas dans les termes décrits par cet internaute.Bande de singes versificateurs.
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Marc Gelone effectivement cette question n’a pas de sens - qui l’a posée ? Il n’y a pas de « place » des peuples. La place des peuples est le résultat d’invasions successives. Lorsqu’il n’y a pas d’opprimés ni d’oppresseurs la question est règlée.
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TITI 18 janvier 2010 11:30La question de l’identité nationale pose d’autres question qu’il faut traiter.
Suite au RDV manqué dans l’émission « à vous de juger »...pourquoi pas un nouveau débat avec des politiques sérieux (M. LE PEN, Malek BOUTHI, J.F COPPE...)
Des historiens, des philosophes...et animé par un Yves CALVI...
Inutile d’éviter le débat...il est et restera d’actualité...et à l’approche de chaque élection...
une minie crise ???
La république mérite beaucoup mieux, que la prise en otage par certains de nos valeurs !-
Bonjour pierre
Nous avons eu l’occasion déjà d’échanger que le verbe est constructeur de toute chose mais qu’il n’est pas la vérité.
Egalement ce qui différencie notre réflexion est notre perception du « libre arbitre ».
Si les hommes disposaient de leur destiné il pourrait en être comme tu le souhaites établir un contrat pour les entrants portant acceptation des droits et cultures des pays ou ils se rendent.
Penses-tu qu’en allant chez les papous nous accepterions de nous mettre un os en travers du nez, dans d’autres nous scarifier, ou nous tatouer.
Cependant nous avons fixé une limite à cela en développant la concurrence hégémonique des « ego » atrophiés ou étriqués par leur lieu de naissance.
Je vais en développer l’exemple à partir de la nécessité de se différencier instrumentalement, pour appartenir à ses semblables, sa famille, son clan, son groupe, sa culture.
Chacun d’entre nous porte un signe culturel pour se distinguer des autres, malgré nos signes morphologiques ; pourtant certains de ces signes distinctifs remontent à des pratiques coutumières qui se perdent dans les âges de notre histoire. Néanmoins certaines demeurent vivaces, comme le tatouage, le piercing, la scarification (cicatrices dans les chairs), les mutilations d’organes génitaux, etc. Heureusement le monde occidental et d’autres sont passés à des représentations moins traumatisantes ou plus discrètes et esthétiques, telle le baptême, les boucles d’oreilles, mais elles n’en demeurent pas moins présentes. Et si pour nous reconnaître dans l’autre, il fallait se partager les signes identificatoires, nous ne serions que plaies, nous croulerions sous le poids des fétiches. Il y a donc là, pour tous se reconnaître au travers des symboles une incapacité technique à se les partager, les adopter, qui est forcément source de conflits par la sacralité conférée souvent à leur symbolisme. Malgré cela même à l’autre bout du monde nous rencontrerons quelqu’un qui nous ressemble parce qu’il est de notre espèce ; mais cela c’est l’intelligence qui le saisit, pas les symboles.
L’identité se construit à la naissance durant l’enfance, il n’y a pas d’identité française en soi, il y a seulement un empilement d’événement qui se construisent sur la recherche d’un territoire nourricier et sécurisant sur la base de ce que se transmettent les êtres de ce qu’ils comprennent du monde dans lequel ils vivent en ayant conscience de leurs actions et des possibilité de choix que l’environnement leur offre.
Dans ce cadre la conquête de territoires par les plus forts fut hégémonique d’autres cultures, et a dessiné les partages actuels. Si comme tu le soulignes il y a pour certaines approches divergentes et contraignantes des comportements ritualisés, avec le temps ils se remodèlerons en s’ouvrant aux autres par la circulation des populations, et chacun intégrera ce qu’il pense y trouver réciproquement profitable. Aucun contrat ne peu régler cela de manière définitive. Car celui qui naît ira mélanger son identité à celle des autres et élèvera sa progéniture sur cette base là qui deviendra à son tour son identité.
Pour autant le vivre ensemble posera qu’elle ne soit pas source de conflit destructeur, mais rassembleurs pour comme un met mélanger les parfums et lui donner son caractère, jusqu’au prochain mélange.
Sauf si a nouveau les moyens de circulation des population se réduisent, dans ce cas chacun vivra en harmonie dans sa culture identitaire sur son territoire clos, convaincu de détenir la vérité qui sied au monde.
L’identité est une construction psychique indispensable qui intègre les us et coutumes et le droit positif et les mélanges envers et contre tous, lentement mais sûrement. Ce lieu se trouve en bout du cerveau reptilien (inné) au contact du cortex (cognition). Tous les contrats du monde ne fixeront dans le verbe cela à vitam æternam, le siége ou à lieu la capacité d’adaptation.
Nous pouvons donc comprendre l’hérésie d’une telle volonté. C’est pourtant ce que nous faisons par le verbe, il est fondateur, mais n’est pas la vérité, notre difficulté à comprendre cela est un des fondement de toute nos constructions. Dans la connaissance de l’évanescence du monde nous ne construirions rien.
C’est grâce à cette ignorance pour sortir du cloaque que s’organisent les cultures (tabou et totem), et comme elles façonnent notre psychisme elles sont difficiles à modifier car l’on n’en change pas comme de chemise.
Notre société qui se croit libre s’emprisonne dans la vitesse qu’elle a découverte et dans laquelle elle voudrait que toute chose se passe. Le psychisme ne roule ni en avions ni en voiture, il est lent à construire et à modifier, voire même il offre des blocages s’il croit trop fort par la peur que ce qu’il croit est incontournable.
Ce débat est le débat de la peur, pas celui de l’identité qui est res publica, comme tu l’expliques si bien.
Mais à bien y regarder ce n’est pas l’islam qui change la donne, c’est l’occident en ayant inventé par et pour le commerce la mondialisation des biens de l’argent et des hommes sans ce soucier d’eux, car l’occident ne commerce pas pour eux, mais seulement pour quelque uns.
Dans ce monde matérialiste il manque que de la lumière pour qu’il soit éclairé. Ce sera pour 2100 et plus si nous sommes bons le matérialisme éclairé. Nous en avons les moyens il faut seulement choisir les bonnes personne pour cela. Rien de neuf en ce bas monde.
Cordialement.
Bonjour pierre
Nous avons eu l’occasion déjà d’échanger que le verbe est constructeur de toute chose mais qu’il n’est pas la vérité.
Egalement ce qui différencie notre réflexion est notre perception du « libre arbitre ».
Si les hommes disposaient de leur destiné il pourrait en être comme tu le souhaites établir un contrat pour les entrants portant acceptation des droits et cultures des pays ou ils se rendent.
Penses-tu qu’en allant chez les papous nous accepterions de nous mettre un os en travers du nez, dans d’autres nous scarifier, ou nous tatouer.
Cependant nous avons fixé une limite à cela en développant la concurrence hégémonique des « ego » atrophiés ou étriqués par leur lieu de naissance.
Je vais en développer l’exemple à partir de la nécessité de se différencier instrumentalement, pour appartenir à ses semblables, sa famille, son clan, son groupe, sa culture.
Chacun d’entre nous porte un signe culturel pour se distinguer des autres, malgré nos signes morphologiques ; pourtant certains de ces signes distinctifs remontent à des pratiques coutumières qui se perdent dans les âges de notre histoire. Néanmoins certaines demeurent vivaces, comme le tatouage, le piercing, la scarification (cicatrices dans les chairs), les mutilations d’organes génitaux, etc. Heureusement le monde occidental et d’autres sont passés à des représentations moins traumatisantes ou plus discrètes et esthétiques, telle le baptême, les boucles d’oreilles, mais elles n’en demeurent pas moins présentes. Et si pour nous reconnaître dans l’autre, il fallait se partager les signes identificatoires, nous ne serions que plaies, nous croulerions sous le poids des fétiches. Il y a donc là, pour tous se reconnaître au travers des symboles une incapacité technique à se les partager, les adopter, qui est forcément source de conflits par la sacralité conférée souvent à leur symbolisme. Malgré cela même à l’autre bout du monde nous rencontrerons quelqu’un qui nous ressemble parce qu’il est de notre espèce ; mais cela c’est l’intelligence qui le saisit, pas les symboles.
L’identité se construit à la naissance durant l’enfance, il n’y a pas d’identité française en soi, il y a seulement un empilement d’événement qui se construisent sur la recherche d’un territoire nourricier et sécurisant sur la base de ce que se transmettent les êtres de ce qu’ils comprennent du monde dans lequel ils vivent en ayant conscience de leurs actions et des possibilité de choix que l’environnement leur offre.
Dans ce cadre la conquête de territoires par les plus forts fut hégémonique d’autres cultures, et a dessiné les partages actuels. Si comme tu le soulignes il y a pour certaines approches divergentes et contraignantes des comportements ritualisés, avec le temps ils se remodèlerons en s’ouvrant aux autres par la circulation des populations, et chacun intégrera ce qu’il pense y trouver réciproquement profitable. Aucun contrat ne peu régler cela de manière définitive. Car celui qui naît ira mélanger son identité à celle des autres et élèvera sa progéniture sur cette base là qui deviendra à son tour son identité.
Pour autant le vivre ensemble posera qu’elle ne soit pas source de conflit destructeur, mais rassembleurs pour comme un met mélanger les parfums et lui donner son caractère, jusqu’au prochain mélange.
Sauf si a nouveau les moyens de circulation des population se réduisent, dans ce cas chacun vivra en harmonie dans sa culture identitaire sur son territoire clos, convaincu de détenir la vérité qui sied au monde.
L’identité est une construction psychique indispensable qui intègre les us et coutumes et le droit positif et les mélanges envers et contre tous, lentement mais sûrement. Ce lieu se trouve en bout du cerveau reptilien (inné) au contact du cortex (cognition). Tous les contrats du monde ne fixeront dans le verbe cela à vitam æternam, le siége ou à lieu la capacité d’adaptation.
Nous pouvons donc comprendre l’hérésie d’une telle volonté. C’est pourtant ce que nous faisons par le verbe, il est fondateur, mais n’est pas la vérité, notre difficulté à comprendre cela est un des fondement de toute nos constructions. Dans la connaissance de l’évanescence du monde nous ne construirions rien.
C’est grâce à cette ignorance pour sortir du cloaque que s’organisent les cultures (tabou et totem), et comme elles façonnent notre psychisme elles sont difficiles à modifier car l’on n’en change pas comme de chemise.
Notre société qui se croit libre s’emprisonne dans la vitesse qu’elle a découverte et dans laquelle elle voudrait que toute chose se passe. Le psychisme ne roule ni en avions ni en voiture, il est lent à construire et à modifier, voire même il offre des blocages s’il croit trop fort par la peur que ce qu’il croit est incontournable.
Ce débat est le débat de la peur, pas celui de l’identité qui est res publica, comme tu l’expliques si bien.
Mais à bien y regarder ce n’est pas l’islam qui change la donne, c’est l’occident en ayant inventé par et pour le commerce la mondialisation des biens de l’argent et des hommes sans ce soucier d’eux, car l’occident ne commerce pas pour eux, mais seulement pour quelque uns.
Dans ce monde matérialiste il manque que de la lumière pour qu’il soit éclairé. Ce sera pour 2100 et plus si nous sommes bons le matérialisme éclairé. Nous en avons les moyens il faut seulement choisir les bonnes personne pour cela. Rien de neuf en ce bas monde.
Cordialement.
-
Excuse moi, mais je crois que ton commentaire est hors sujet, ou du moins au dessus du sujet. Je préfère te répondre, quand le sujet est la spiritualité ou la religion.
Là, j’ai déja fort à faire sur ce sujet, très politique.
Cordialement
Pierre -
nephilim 18 janvier 2010 11:47Franchement votre article ne veut rien dire.
Beaucoup d’approximations des erreurs bref un fourre tout sans queue ni tête.-
Le français, c’est bien celui qui
a envoyé aux croisades pour &$%$§ les barbaresquesa fait massacré les cathos contre les protests et inversementa fondé sa richesse sur quelques bons siècles d’esclavages et de déportationsa instauré la terreur après avoir fondé la républiquea applaudi Pétain l’ordre nouveau et les déportations (encore mais pas les mêmes) en chantant « Douce France »s’est fourvoyé dans une atroce guerre d’Algérie (les événements)a développé la bombe atomique en plein air sans assumer ses responsabilités auprès des irradiésapporte son aide à des dictateurs de tous poils pour des raisons financièresa déclenché....hein ? je me trompe ?ah excusez-moi-
bonjour david
oui un français c’est cela, et tu en as oublié, mais ceci ne fait pas l’identité d’un Être ; çà réorganise sa pensée, nous pourrions parfaitement l’ignorer, ce n’est pas indispensable pour vivre, et inévitablement nous sommes obligés d’en oublier ,car notre cerveau ne peut contenir l’histoire du monde.
Mais cela nous sert à nous situer dans le temps de l’histoire humaine, seulement, et nous fournis des références existentielle.
cordialement.
-
Ce n’était qu’un peu d’humour (noir) dramatique
sans autre prétention que de miner
ce pseudo-débat manipulateur -
@ david
Demandez aux martiniquais et les guadeloupéens.
Ils nous aiment.
On doit pas être si terrible que ça ?
-
salut manu
c’est la voie et la voix du ventre.
cord.
-
sissy972 18 janvier 2010 14:53Les Martiniquais et les Guyanais c’est sûr mais les Guadeloupéens ne l’ont pas encore dit.
-
@ david
mais personne n’est blancx ni noir ( moralement j’entends , sans jeu de mots lol) , toutes les choses que tu cites sont , remises bien sur dans leur contexte et sans anachronisme sur les mentalités , partie de la face noire de l’histoir de la france ; Il y a bien évidemment aussi une lumineuse face blanche de cette histoire ; Et il en est pareil pour chaque nation .
Les anges n’existent pas plus que les démons sur notre terre ; Donc , on ne comprend pas ou votre intervention pouvait bien vouloir en venir ..... Un débat .. « tes ancétres ont fait ci de pas joli mais les miens ont fait cela de plutôt pas flambard » a t’il un sens en dehors d’une cour de récréation ?????-
@David meyers
La colonisation de l’Algérie par la France est condamnable.
Mais que penser de la colonisation des bèrbères par les arabos-musulmans ?
A titre d’exemple, le vocable « Maghreb » désigne habituellement l’ensemble des pays du nord du continent africain, et « Maghrébins » désignent les gens habitant ces pays, ou qui sont originaires de ces pays, ou dont la famille a des « racines » dans ces pays.
« Maghreb » est le mot arabe qui désigne du point de vue arabe les territoires arabisés du nord de l’Afrique.
« Maghreb », étymologiquement, peut être traduit par « couchant » ou « ouest ». Les arabes désignaient ainsi la partie la plus occidentale de leur conquête djihadiste et de leur colonisation.
Le mot « Maghreb » est ainsi un terme colonisateur, puisqu’il désigne l’Afrique du Nord même pas comme un territoire arabe de l’Ouest, mais comme l’Ouest lui-même ! C’est comme si, sous la botte nazi, on aurait appelé la France « Westland » (pays de l’Ouest) et qu’on continuerait à l’appeler ainsi.
On présuppose que ces pays sont « arabes », et qu’ils constituent en quelque sorte l’« Arabie de l’Ouest », les territoires occidentaux de l’Arabie.
Plus « colonisateur » tu meurs !
Vous qui êtes si prompt à dénoncer le« colonialisme post-colonial » de la France, que pensez-vous du colonialisme arabo-musulman, qui de mon point de vue, a été une catastrophe au moins aussi traumatisante que le colonialisme français ?-
Si votre France n’est pas pour vous un contrat (social) la mienne et nous sommes nombreux à penser de même, si.
Vous venez donc d’administrer la preuve qu’il y a manifestement plusieurs définitions plus ou moins incompatibles de la France ; c’est donc que l’idée d’identité nationale est un mythe.
Merci de l’avoir, par votre article, aussi brillamment illustré.-
bonjour sylvain
bien d’accord avec toi
cord.
-
cela , sylvain , cela s’appelle uin sophisme lol , et pas trés honnéte intellectuellement (relol)
-
Dans un article à paraitre ici, si Reinette est d’accord je vois la France comme un mixte d’Ethnos et de Démos. Un mélange d’aspect ethnique venant de la société civile et d’aspect étatique de facture républicaine. Cela forme la matrice dominante sur laquelle se greffe les identifications individuelles de façon fort variables. La différence dans l’égalité pour résumer. CD
-
@Christian Delarue,
Interessant, j’attends cet article avec impatience...contrairement à ce que disent certains, le débat n’est pas fini.
Je suis assez d’accord sur ce « mélange » que vous évoquez -
j’ai voté oui pour cet article, non parce que je suis d’accord sur tout, mais parce qu’il fait réfléchir
Travaillons de tout notre cœur, de toutes nos énergies contre l’ignorance ; décrassons les cerveaux, stimulons les énergies, éveillons l’esprit critique de nos enfants, mettons-les en garde contre les obscurantismes qui le veulent dominer, et laissons à nos enfants un héritage précieux : la Liberté et le Bien-être
Car l’ignorance, le mensonge, l’hypocrisie, l’intolérance que la religion a fait régner en maîtres durant de longs siècles en France, nous vaut une succession d’erreurs qui obstrue encore pas mal de cerveaux - les inventeurs, les techniciens, les penseurs, les économistes, par leurs travaux, amènent chaque jour des perfections scientifiques et nous lèguent un héritage précieux, qui nous permet de nous débarrasser de l’ignorantisme.
En France, l’histoire des mouvements révolutionnaires nous lègue aussi un héritage riche d’observation,de leçons de faits ; c’est aussi l’héritage légué par les philosophes,les penseurs,les savants, les révolutionnaires et par l’Histoire de ces derniers siècles que nous devons apprécier - c’est cet héritage qui nous permettra, dans l’avenir, de pouvoir hâter le jour où, brisant toutes nos chaînes, nous chasserons tous ceux qui rêvent de devenir les maîtres.
Les femmes et les hommes qui, peu à peu, s’habituent à supporter sans mot dire leur exploitation par une caste politique ou religieuse, acquerront peu à peu une mentalité d’esclaves.-
bonjour reinette
je te trouve sublime, ce n’est pas une moquerie mais un compliment.
cordialement.
-
suite un philosophe peu connu dont j’avais repris le flambeau défendait l’émancipation des travailleurs Fernand Pelloutier.
cadeau
Ces hommes.
Ils se sont tant haïs
Qu’ils s’haïssent encore.
Ils se sont tant tués
Qu’ils s’assassinent encore.
Ils se sont tant désirés
Qu’ils se violent encore.
Ils se sont tant aimés
Qu’ils se dévorent encore.
Ces hommes. Ces hommes.
Ils ont dû partir de si loin
Pour oublier le souvenir
Du chemin de l’Est africain
Celui terre de noir brûlé
Où sur leur derrière
Ils se sont redressés.
Ils se sont blanchis en chemin
D’une peau de parchemin
Que la pluie a tant délavé
Pour miner leur identité
Jusqu’à les essaimer
En tribus dispersées.
Ils se sont tant haïs
Qu’ils se détestent encore.
Ils se sont tous meurtris
Pour un territoire agrandi
Ils se sont pris la vie
A chaque idéologie
Ils se sont crevés les yeux
Pour des dieux « Mytheux »
Ces hommes. Ces hommes.
Ils se sont d’âge raffinés
Glorifiés et couronnés
Dans l’art fin de s’entretuer
Pour le miracle des idées
Jusqu’au libérateur
Source de leur malheur.
Ils ont abusé des chansons
Pour mourir au son du clairon
Ils ont érigé des tombeaux
En souvenir des plus salauds
Et fait des requiem
Pour que l’on oublie rien.
Ils se sont tant haïs
Qu’ils s’abominent encore
Ils ont dressé des bûchers
Pour défendre le passé.
Ils ont décapité les idées
Là où elles naissaient.
Ils ont coupé des mains
Pour qu’on leur vole rien.
Ces hommes. Ces hommes.
Ils se sont repliés sur eux
Se croyant malheureux
Bardés d’or pour être heureux
Et commander impérieux
Un isoloir d’espoir
En forme de mouroir
Ils se sont contés d’onéreux
Monde adipeux merveilleux
Engraissés d’obèses obséquieux
Se « friquant » sans régénérer
La terre où il puisait
Leurs biens irradiés.
Ils se sont tant haïs
Qu’ils se vomissent encore
Ils se sont « conardifiés »
De concours « conifiants »
Ils se sont estropiés
En s’invalidants non-voyant
Ils se sont brûlés les yeux
Pour du fric miteux
Ces hommes. Ces hommes.
S’auront-ils un jour
Tomber amoureux
Plus tôt de leur peau
Que de leurs oripeaux
Cheminer dévêtus
Comme des singes nus.
S’auront-ils un jour
Au de-là de leur yeux
Jaillir de leurs mots
Pour être des êtres
D’un monde nouveau
Conforme à leurs maux.
Ils ont tant haï la mort
Qu’ils en perdent la vie.
Ils ont tant aimé leur vie
Qu’ils se donnent la mort.
Ils se croient maîtres de céans
Après tant de millions d’ans.
Ces Hommes ne doutent pas
Que de leur âme ils ne savent rien.
Ces Hommes ignorent de fait
Que dans l’univers ils ne sont rien.
-
@ reinette
tu fais dans l’esoterisme maintenant ?............
-
Salut Ddacoudre
merci pour ton cado
à mon tour de t’en offrir un ....
http://www.dailymotion.com/video/x3w3ky_notre-besoin-de-consolation-est-imp_music -
Sentinelle
vous faites dans l’ironie facile et le persiflage balourd ! -
re reinette
je te remercie, c’était excellent je l’ai gardé en lien et d’autant plus que je connais les têtes raides.
tous ce qui existe en ce monde à une raison d’être et c’est cela notre seule liberté.
L’INNACHEVEMENT. A grands pas je marche Dans toutes les directions, Pour trouver ma table D’orientation. Je dresse des pierres Phalliques sur terre. J’érige par mortification Les traces de ma civilisation. Mes pieds me promènent Où vais-je m’arrêter ? Sur tous les continents Je vais habiter ? Je veux une terre d’harmonie Pour m’encourager. Des fleuves de croyances Pour me réconforter. Il n’y a pas d’harmonie à rechercher Pas de messie à espérer, Pas d’histoire à retrouver, Pas de futur à édifier. Mon regard se dresse Vers des constructions, Vers des œuvres closes Comme des maisons. Je masque les brèches Pour conserver mon paradis. Je colmate les fissures Pour ne pas laisser entrer la vie. Mon toit se lézarde Où vais-je m’abriter ? Quels édifices Je vais élever ? Je veux une masure en ordre Pour me protéger. Des murs de certitudes Pour me rassurer. Il n’y a pas de paradis à conserver, Pas de désordre à éliminer, Pas de solutions à trouver, Pas de justice en mon palais. Mais quel est ce monde Qui m’est destiné ? D’où vient cette histoire Toujours recommencée ? Je suis l’Homme en liberté D’un passé à l’imparfait. Prisonniers panégyriques De la gloire qu’il se fabrique. J’ai une clé qui n’ouvre Que sur des mélodies. Je me nourris des mesures D’une symphonie. Pour chanter que la vie est faite De plaisirs inachevés ! Pour rêver aux éphémères Bonheurs que j’ai inventés ! Il n’y a pas de bonne société. Pas de contradiction à effacer, Pas d’inégalité à supprimer Juste à savoir aimer. -
Oui, merci Reinette, de voter pour les articles « qui font réfléchir », même si vous n’êtes pas d’accord. Tout le monde n’a pas le même esprit.
-
Ceux qui ont la nationalité par naturalisation ou par toute autre procédure d’acquisition, eux au moins, l’ont demandée, ont réfléchi aux conséquences, avaient envie de devenir français.
Ceux qui sont nés français n’ont même pas fait l’effort de déposer un dossier.
Que doit-on en conclure ?
:)
---> que le « débat » sur l’identité nationale est une fumisterie de dimension cosmique.
-
TITI 18 janvier 2010 16:58Serpico...tu dois intégrer la dimension culturelle de l’environnement familial.
Lorsqu’un enfant né dans une famille Marocaine (par exemple), son entourage, son environnement...va le prédisposer à...
de par son prénom, éducation, culture (langue, alimentation, religion...codes de pensée, de comportement...)
Lorsque je vois une musulmane voilée qui parle arabe...même née en France de parents Français...je m’interroge !
Pourquoi demanderait elle la nationalité Française et non...arabe...par exemple ? -
@ tilt
que faire pour te plaire..
les mettre dans des camps de concentration ?, les dechoir de la nationalité frankaoui ?,faire une holocoste ?,un genocide a la ruandaise ?
tu souffles sur les braises (bien a l’abris en israel..... pas pour longtemps d’apres le discourt de Hassen Nasrallah...) mais tu ne fournis aucune solution , fait nous profiter de tes lumieres et donnes nous quelques pistes......
-
TITI 18 janvier 2010 18:02sentinelle...
Il faut arrêter de provoquer la communauté nationale. De remettre systématiquement la république en question. Respecter la laicité. Honorer le drapeau et l’hymne. Dénoncer et condamner les exactions commises au nom de l’islam.
La question n’est pas de me plaire ou pas mais de s’identifier, de s’inscrire dans une histoire « philosophique » et la polir ensemble.
La république a cadré la scientologie, les témoins de jéhovah...il faut cadrer les dérives sectaires de l’islam, du judaisme, du christianisme...
Nos lois sont des lois républicaines, citoyennes...elles supplantent celles du dogme interprété par des gourous ou des groupes qui s’arrogent le droits de le faire ! -
@ tilt
c’est du sophisme mon pauvre ami........tu peux briller avec dans les bistrots,au marché gare ou dans vos reunions de zombis....pas plus.
-
« un peuple est constitué d’hommes et de femmes qui sont des communistes » des millions de gens sont morts pour avoir refusé le communisme. Tous des bourgeois, je présume ? Non, les Gaulois ne sont pas morts, ils ont des descendants.
-
Un citoyen n’a pas à passer un contrat avec l’Etat car ce serait très inégal. L’Etat avec sa puissance publique d’un côté, l’individu de l’autre.
Il peut y avoir contrat entre individus : le mariage en est un. Mais pas entre un individu et L’Etat. Du reste, le contrat existe déjà c’est la Déclaration de 1789 et la Constitution.
Il peut y avoir un contrat entre l’Etat et un peuple, par exemple, le peuple de Mayotte a voté en mars 2009 par référendum pour créer un département d’outre-mer.
Donc pas de contrat possible à mon avis. Un pacte, oui, c’est possible (et encore, c’est à voir...) mais ce n’est qu’un acte déclaratif : un acte qui ne crée pas d’engagement ferme.
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TITI 18 janvier 2010 17:04Du reste, le contrat existe déjà c’est la Déclaration de 1789 et la Constitution.
Voris...on pourrait rédiger une nouvelle déclaration, une nouvelle constitution.
Nombreux sont ceux qui en appellent à la 6é république...
Le débat sur l’identité nationale permet de réfléchir à tout ça...
Ou allons nous, comment, avec qui ? -
Exact. Le terme de contrat est de toute façon inadéquat.Pour les candidats à la naturalisation, pas de contrat, mais un pacte ou un simple « engagement ».
Pour ceux qui sont nés Français, rien du tout. -
Article amalgamique, reposant sur un principe faux, un sophisme ; le « rousseauisme » et son contrat social aurait donc ruiné les libertés, et forcerait à fondre les citoyens dans un même moule ; c’est une erreur, un mensonge, et une affirmation anhistorique.
Rappelons que le contrat (ou pacte) social est pensé comme un pacte librement établi par la communauté des humains dans le but d’établir une société organisée et hiérarchisée., puis : « Le concept même d’un pacte social apparaît précocement chez Platon (sous forme de castes) dans le cadre d’une pensée plus large sur la fondation d’une cité idéale. Hugo GrotiusThomas Hobbes et John Locke, avant Jean-Jacques Rousseau. » est cependant le premier, dans l’histoire de la philosophie politique, à consacrer une part importante de sa réflexion à la définition du contrat social. Les grands théoriciens de ce concept demeurent toutefois à ce jour
Locke considère que le but de l’État est de sauvegarder la liberté individuelle et la propriété privée, tandis que le contrat social chez Rousseau est appelé à rendre le peuple souverain et ainsi à garantir l’intérêt général. Les trois types de contrats ont une finalité commune : la liberté des hommes. Cependant ils divergent sur d’autres buts, là ou le contrat hobbesien va chercher la sureté, le contrat lockéen se concentre sur la sauvegarde de la propriété, alors que le contrat rousseauiste tends à l’égalité des citoyens« .
L’homme étant un être social, vivant en société, de toutes façons, un contrat social est nécessaire et invéitable, pour empêcher que les »libertés individuelles" des uns ne démolissent celles des autres.
Ce problème est donc mal posé ou, pis, d’après ce qu’on comprend de l’auteur, un mensonge.Rousseau préconise les décisions du peuple souverain, pour orienter l’action vers son intérêt général, et poser les droits et libertés de chacun.
Puisque l’auteur aime visiblement se référer à des textes fondateurs, je le renvoie à celui du Conseil National de la Résistance , adopté le 15 Mars 1944, et qui établit parfaitement le contrat républicain français.
Désolé pour l’auteur, manifestement nostalgique des années d’avant la Révolution, mais tous les progrès et droits humains acquis depuis l’ont été grâce à l’état de droit, à la République, et ses structures démocratiques.
On sait que le pouvoir actuel, valet des forces financières, et que la mondialisation libréale n’ont qu’un seul objectif ; démolir ce système, détruire le pouvoir des états, pour pouvoir instaurer une gouvernance mondiale sans entrave ; mais les lois de la République restent encore notre dernier rempart contre le pillage de nos ressources, la précarisation de notre peuple, la privatisation du domaine vivant, l’hégémonie totale des puissances financières.Quant au couplet-rengaine sur l’Islam, opposable aux autres migrations parce que d’une culture soi-disant commune, gnagnagna ; on espérait l’éviter, mais voilà l’auteur les deux pieds dedans, dans la logique de sa pensée et du reste de son article ; profondément réactionnaire, rétrograde, archaique, et mensonger.
L’Islam, dans une République laïque comme la France, a sa place ; la même que celle des autres religions ; ni plus, ni moins ; et entraine les mêmes droits (droit de pratiquer son culte) et devoirs (respecter les lois de la République) que les autres ; point barre.
A cet égard, renvoyons également l’auteur à la Déclaration universelle des droits de l’homme .Et rien à voir avec un quelconque problème républicain ; le SEUL problème posé à la République, à la démocratie, à la France, c’est son démantèlement par le capitalisme mondialisé libéral, et les forces financières qui dictent leurs lois.
On est bien loin du contrat social ; on est en pleine loi de la jungle ; l’auteur semble la préférer ; on voit tout de suite de quel côté il se situe ; celui des exploiteurs, des oppresseurs, des décimeurs, des véritables ennemis du peuple de France, comme, d’ailleurs, des autres peuples en général (République ou non).
Article nauséeux.
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Le jour où vous cesserez de semer VOLONTAIREMENT la confusion entre l’Islam, religion, et les « Républiques islamiques » ; c’est à dire la confusion entre religion et pouvoir politique : impossible en démocratie laïque (parce qu’il existe des LOIS pour l’empêcher), vous aurez abandonné le camp des enfumeurs, et fait un grand pas dans votre tête.
Serez-vous alors apte à discuter des vrais problèmes ?
J’en doute fortement, vu le formatage irréversible de votre façon de penser, et votre parti pris systématique de ceux qui oppriment.Pas de dialogue possible avec les oppresseurs ou les collabos qui en profitent ; juste les mettre hors d’état de nuire.
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« nauséeux », et pourquoi pas « vipère lubrique », « ennemi du peuple », « romantisme petit-bourgeois ».
Vous dites que j’ai la nostalgie d’avant la Révolution, vous avez la nostalgie de la période stalinienne ou maoiste.
Je ne répondrais pas sur le fond, bien que vous sembliez avoir quelques lectures, mais trop mélangées d’idéologie. Je préfère répondra à « Franc », qui n’est pas d’accord avec moi, mais qui reste courtois, ou à d’autres assez nombreux, qui ne déforment pas mes idées. -
Article brillant qui pose des questions pertinentes et bouscule les idées préconçues en faisant des remises en cause nécessaires même si je ne suis pas entièrement d’accord avec tout ce qui est dit .
Mr Pierre de la Coste vous dites que la France n’est pas un contrat mais un produit de l’histoire ce qui au premier abord découle du bon sens ,et si vous rejetez la proposition de Mr Besson de faire signer à tous les français majeurs une charte du « pacte républicain » n’empêche que vers la fin de l’article vous voyez comme une bonne chose que ceux qui veulent acquérir la nationalité française signent un tel « pacte »--------------------------n’ y a t’il pas là une certaine incohérence ou inégalité de traitement .
mais direz vous ceux qui sont français de naissance n’ont pas besoin de signer un tel pacte comme si le pacte républicain était naturel et ancré dans l’individu français dès sa naissance et dans ses gênes ,et paradoxalement d’ailleurs vous fustigez et avec beaucoup de pertinence ce « pacte républicain » que vous comparez au « contrat de Rousseau » dont vous dites qu’il est à l’origine de tous les totalitarismes.En cela vous faites primer la liberté naturelle à la contrainte sociale et l’inné sur l’acquis .,mais c’est là que se pose le débat fondamental et si difficile que vous semblez trancher nettement en faveur d’un camp ,celui de l’inné naturel et individuel au détriment des droits de la société ou de l’humanité comme ensemble collectif organique et organisé et des devoir qui en découlent .
Je serais plus prudent et et moins tranché dans ces problèmes à la lumière de l’observation et de l’expérience fondée sur l’exercice analytique aussi bien que synthétique de la raison humaine . ;vous demandez du bon sens ,et justement c’est sur ce bon sens de la raison humaine en exercice que je pense qu’il ne faut pas nier ni la part du naturel ni la part du social dans la constitution et la formation de l’être humain et d’opposer l’inné et l’acquis ,l’individu et la société et que les deux interviennent à égalité .
Ce n’est pas une attitude frileuse ou irénique qui ne veut pas ou qui est incapable de trancher ou de décider et qui veut faire consensus à tout prix ,mais une conviction réelle basée à la fois sur l’expérience scientifique et sur une philosophie personaliste que certains qualifieront de chrétienne et d’autres de marxiste,qualification que je ne récuserais pas ni pour l’une ,ni pour l’autre ,car je considère que l’Homme au regard de l’Histoire est plus que l’homme à un moment donné de l’histoire et c’est en ce sens que l’être humain individuel en présence particulière ne doit pas se séparer ou se couper complètement de l’être humain universel en formation générale .
La philosophie personaliste marxiste comme chrétienne considère que l’être humain est un être social ,c’est à dire qui ne peut pas vivre pleinement conformément à sa nature et s’épanouir complètement en dehors de la société,que les hommes ne sont pas des particules humaines complètement isolées et indépendantes les unes des autres tout comme les particules quantiques sont entièrement en interdépendance et ne peuvent exister isolément.
le mot personne fait la synthèse entre le concept de l’individu et le concept de collectivité .L’homme n’est ni un individu absolument isolé ni une collectivité au dessus des individus et niant la nature individuelle ,il est une personne avec son individualité naturelle et son lien social qui le fait être en complétitude et plénitude à la fois sur le temps présent particulier qu’en devenir sur le chemin de l’évolution historique général .
A propos certains dénieront au marxisme d’être personnaliste car prétendent ils le communisme avec l’expérience historique que nous connaissons avec le totalitarisme stalinien l’individu est complètement nié au profit du collectif .Mais c’est là outre les déformations de propagandes capitalistes une méconnaissance réelle de la philosophie marxiste telle que marx l’envisageait lui-même ,une idéologie entièrement au service de l’homme dans la réalité concrète et non pas des chimères et des illusions de l’homme et sur l’homme ;il ne faut pas confondre communisme avec collectivisme ,c’est même tout le contraire ,le communisme authentique est au service de la liberté humaine et la collectivité est et doit être au service de l’individu et non l’inverse.
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Alors quelle est la différence entre le personalisme marxiste et le personalisme chrétien -------------------------------------elle est d’ordre historique et surtout pratique,le christianisme n’a fait que théoriser cette idée en se reposant sur le plan évanescent de la Providence alors que le marxisme prétend vouloir la réaliser en se fondant sur le plan pratique de la Raison .
mais quel est le rapport entre ce qui vient d’être dit et la question du pacte républicain ?---------------------ce rapport est que la République est le lien entre les individus afin que ceux-ci soient des personnes c’est à dire des êtres libres doués de conscience,ayant des devoirs communs pour respecter des droits individuels naturels de chacun afin que tous vivent heureux en harmonie les uns avec les autres ,sans ce lien social républicain ,ce « pacte républicain » ,la société humaine se trouve atomisée et les individus livrées à la plus pure anarchie chaotique ,à la loi de la jungle ,à la rivalité de tous contre tous ,à la guerre des uns contre les autres .
L’identité est une donnée de l’histoire et de la nature mais la citoyenneté est une donnée de la République ;je ne pense pas qu’il faille opposer ces deux concepts ni même de les considérer comme contradictoires ou exclusifs.--------------------------------je ne pense pas que l’identité donne forcément la citoyenneté ni que la citoyenneté donne nécessairement l’identité .La personne humaine est le produit des deux et a besoin des deux pour être et s’épanouir en plénitude .
C’est pourquoi il ne suffit pas de naitre sur le sol français avec des parents français ni d’avoir simplement la carte d’identité française pour être français,mais encore d’avoir l’esprit français à défaut d’avoir un corps tout à fait français .------------------------------Et l’esprit français est le produit de l’histoire d’un peuple et d’une culture ,d’un peuple spécifique en l’occurence ,le peuple gaulois ,peuple européen,qui produit une culture spécifique ,la culture gauloise ,né d’un métissage tout au long de son histoire,de peuples européens antiques ,celtes ,germains ,anlo-saxons,slaves ,scandinaves ,latins ,avec tous les métissages qui en résultent jusqu’à aujourd’huis ,avec sa mentalité ,ses caractères ,ses traditions ,ses us et coutumes ,toujours en évolution ,mais pas n’importe comment et débouchant sur n’importe quoi ,mais en restant fidèle à ses valeurs fondamentales et à l’dentité de son être originel dans ce qu’il y a de spécifique et de meilleur ,changement non pas vers la dégradation mais vers le mieux au rythme du métissage et uniquement du métissage authentique et réussi qui garde les qualités propres et efface les défauts .
le droit du sang est insuffisant ,-----------le droit du sol est une stupidité ------------------------seul le droit de l’esprit est souverain .
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Bonjour Franc,
Vous me donnez du travail, mais c’est normal, j’ai signé pour cela !
Sur la question de l’égalité de traitement entre ceux qui sont nés Français et qui n’ont rien à signer parce qu’ils n’ont pas le choix et les nouveaux venus qui selon moi devraient signer un « engagement » :
Admettez qu’il y a une inégalité (mais pas une hiérarchie) entre le citoyen Français et celui qui ne l’est pas avant qu’il ne le devienne, du point de vue précisément de l’appartenance à la Nation française. En revanche, après qu’il soit devenu Français, il est l’égal du Français né Français. Cet engagement permet donc de mettre au même niveau tous les Français, quelles que soient leurs origines. Dans certain cas être Français est donc inné, dans d’autres cas c’est de l’acquis.
Par ailleurs, la différence entre le personnalisme chrétien et marxiste est tout de même de taille : les premiers croient en Dieu, les seconds croient en l’Homme divinisé. Cela dit il est vrai que le marxisme est une sorte d’hérésie chrétienne, c’est le sujet de l’un de mes autres articles sur Agoravox :
http://www.agoravox.fr/actualites/religions/article/le-marxisme-une-heresie-chretienne-65094
Cordialement
Pierre -
Dans chaque famille ou groupe, un rituel scelle l’alliance.
C’est humain, anthropologique. Et si ce rituel informe des Devoirs, c’est fonctionnel. Ce ne serait pas gentil de laisser un Papou déambuler en étui pénien, mieux vaut l’avertir que le port du pantalon est la norme.
Ou dire que les lois de la République sont au dessus des lois d’une religion-politique.-
je veux bien que personne n’ai le droit de refuser un débat maisje ne vois pas sur quoi un débat sur l’idendité national peut bien aboutir....sur une charte ? si heureusement décevante pour la plupart de ceux qui minoritaires dans ce pays, espéraient de ce débat, un rejet de tout les demi français issus de nos ex colonie, enfin le bon coup du torchon... Les autres, interloqués et sommé de participer a la démocratie, s’interrogeant sur le pourquoi, le comment d’une tel incongruté tant leur nombril national ne les avait jusqu’alors jamais véritablement démangé et s’il tenaient a y participer c’était pour bien faire entendre que ce débat, non vraiment merci, n’avait aucun sens et pas lieu d’etre. Il me semble qu’il est aurait été plus simple et plus économique alors de le refuser plutot que d’énoncer des générosités qui ne convaincrons de toute maniére aucun des imbéciles qui se gargarisent tout les matin avec de la démocratie, de la burqa faisandée de la France qui fout l’camp ou qui désirent plus prosaiquement gouter les petit fours préparés par madame la sous préféte en compagnie du pharmacien et de la femme du vétérinaire qui a des idees si larges et de si belle fesses
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Anthropologiquement parlant la femme du vétérinaire de la sous préfecture de Plombiele- les- Rissous est dotée d’un beau cul certe local mais qui la démange un peu plus que son nombril national. Je pense qu’éthnologiquement parlant elle serait assez intéressé par la rencontre avec un porteur d’étuis pénien. Pour cette occassion, elle méme préte a révétir une Burqa, ce qui ajouterait du pigment à cette relation mais ferait jaser.
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Sérieusement, Si ! la France c’est du contrat et du contrat social et biensolide et a la suite de ce débat nous ne sortirons pas de cela, nous en sommes sures. Le débat est clos, basta, certain joueront les prolongations si ça leur chante... faisons une charte et signons là ou ne la signons pas mais sortons de ce débat stériles ou deux forces se sont oppossés.... IL n’y aura pas deux catégories de français....nous n’inscrirons une interdiction vestimentaire de 300 burqa dans la constitution pas plus que celle du string et c’est bien dommage parce que c’est pas tout les jours qu’on peut rire..et si cette loi vestimentaire assortis de résolutions qui n’en sont plus mais qui cependant...restera une loi fragile qui ne résistera pas à l’histoire.
Il est tout simplement ridicule de vouloir encore débattre , c’est fini...-
C’est fini ? Et pourquoi ? Qui êtes vous pour décider à notre place que le débat est fini ?
Je suis même étonné du nombre de commentaires sur mon article, dont certains très longs et très positifs. -
@auteur je prefere le tableau colé a l’article il est joli
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raté =je veux dire l’afiche
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Bien sûr qu’être citoyen français est un contrat passé avec la République. Ce contrat porte un nom, il s’appelle Constitution.
Etre citoyen c’est accepter et respecter la Constitution de la République.Lorsque vous devenez citoyen américain, on vous demande de prêter serment d’allégeance à la Constitution américaine.On pourrait parfaitement demander le même serment d’allégeance à la Constitution française à ceux qui deviennent français par naturalisation. On pourrait aussi le demander à tous ceux qui deviennent français à leur majorité parce qu’ils n’ont pas de parents français.Si les politiques préfèrent un contrat plus simple et plus court, dont les termes reprendraient les articles principaux de la Constitution, pourquoi pas ?On s’apercevra alors que ce contrat contient des clauses qui ne sont pas compatibles avec le Coran et avec la loi Coranique, qui n’est pas une loi démocratique mais une loi divine !Car la Constitution ne prévoit pas l’inégalité juridique entre les hommes et les femmes, et elle est par ailleurs une Constitution laïque qui prévoit la séparation du temporel et du spirituel et renvoie les religions dans la sphère privée. Pour ne prendre que deux exemples d’incompatibilités.Tout se passe comme si l’on découvrait aujourd’hui une grave problème, dont on n’aurait pu s’apercevoir plus tôt si on avait lu le Coran plus attentivement et si on avait observé comment se passent les choses dans tous les pays musulmans dont on observera qu’aucun n’est un pays laïc ou démocratique, au sens ou nous l’entendons.Ce grave problème peut être résumé comme suit :Aucun musulman, croyant et respectueux de la loi Coranique, ne pourra signer le contrat Républicain qu’on lui proposera sans mentir !!Voilà qui est un peu gênant. Mais gênant pour qui ?Voilà qui démontre qu’on nous a flanqué un joli problème sur les bras, pour le seul motif de s’inventer de nouveaux électeurs !Au fait qui est responsable ?La réponse à cette question est facile :Ce sont justement ceux qui souhaitent qu’il n’y ait pas de débat sur l’identité et la citoyenneté française aujourd’hui !-
Il n’y aura ni Bible, ni Coran. Juste une petite signature au bas du contrat en question.
Et dans ce contrat, il y aura une clause qui dira que si le candidat viole les termes du contrat par son comportement, il sera déchu de la citoyenneté française.Et je suppose que vous pourrez alors retourner chez vous.Enfin, je vois que le débat sur la citoyenneté progresse et que nous en arrivons à l’heure des conclusions et des décisions politiques. Nous avons dépassé le stade des discussions philosophiques.Ce contrat me parait être une bonne idée. -
Contrairement à ce que pense l’auteur visiblement plein de haine, le débat sur le débat n’a rien d’absurde.
Les débats sur le service plublic audiovisuel sont limités en nombre, et chaque média en lui même permet un champs d’expression limité, soit en temps pour la télévision ou la radio, soit en place pour les journaux papiers. Ainsi l’accès à ces médias de masse, qui permettent de se faire entendre par des millions de français, est limité.
Ceux qui contrôlent cet accès ont ainsi un certain pouvoir, ils peuvent avantager certaines idées, empécher que d’autres idées soient exprimées, c’est pourquoi cet accès aux médias de masse, ce pouvoir médiatique comme on l’appelle doit être réglementé et c’est normalement le rôle du CSA.Ainsi quand le service public programme une émission sur l’identité nationale, c’est une occasion de perdue pour parler des vrais problèmes et des vraies préoccupations des français, quand on invite uniquement marine lepen et eric besson, c’est alors toutes les autres personnes qui ont qqchose à dire qui ne peuvent pas s’exprimer.
Cela n’a donc rien avoir avec juste le droit de débattre de ce que l’on veut.
Le service public doit être soumis à des obligations d’équité entre les diverses opinions, il doit aussi permettre de débattre en priorité des principaux débats, toujours à cause de ces fameuses limites d’accès et de temps.Hors ces obligations lors de cette émission ont été toutes les deux bafouées.
En s’accaparant le débat public avec la complicité d’Arlette Chabot, Sarkozy empêche les débats sur la crise, le chomage, et l’échec de ses politiques, le bilan de ses promesses de réformer le capitalisme, etc ... d’être abordés à la télévision.
Et tout cela est à rapporter à la fameuse réforme de l’audio visuel qui lui a permis de nommer lui même les dirigeants du service public, alors qu’on était nombreux à dénoncer la nécessité de garder les médias indépendants du pouvoir politique, pour justement éviter ce genre de dérive de propagande.Quand au contrat social de Rousseau, j’invite réellement l’auteur à le lire avant d’en parler, et je l’invite aussi à réviser ses livres d’histoire concernant la révolution, c’est vraiment affligeant de voir qqun aussi ignorant critiquer à ce point les idées républicaines qui lui permettent aujourd’hui de s’exprimer librement.
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vous avez pas parlez des sondeures
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Il se trouve que j’ai un peu étudié ces idées révolutionnaires que vous ne connaissez que par le catéchisme républicain. Lisez donc les textes originaux et pensez pas vous même.
Comme une petite minorité sur ce forum, vous ne savez que « débattre » à la manière stalinienne en discréditant vos adversaires. Je suis un « déviationiste », je me suis mis « de moi même en dehors du Parti ». tant mieux.-
Pierre de La Coste
Dans uns un ancien texte, vous disiez que le judaïsme n’a jamais pratiqué le prosélytstime .
Revoyez votre copie ?
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@katia
Non, je le pense toujours. C’est d’ailleurs une évidence. Ou voyez vous le problème ? -
Pierre de la Coste
Vouv ne voyez pas plus loin de votre France.
Catholique, vous avez le doit de vous d’y être accouplé. Au désespoir, vous êtes en proie de vous y arranger
La France se casse la figure. -
@Katia
Comprend pas.
Pouvez-vous employer correctement la langue française ?
Merci -
Le nom de la France, que tous les patriotes prononcent avec une vibrante fierté, une émotion filiale, ce nom commémore l’invasion des Francs qui, venus d’entre le Mein, l’Elbe et l’Elster, étaient de purs germains. Ce pays avait accueilli successivement des Gaulois, des Celtes, des Ibères, des Ligures, des Kymris, des Wisigoths, des Vandales. Il avait été envahi par des Latins venus de Rome, des Normands venus de Scandinavie, des Maures venus d’Afrique, des Huns venus de la Caspienne.
De même pour l’Allemagne dont le peuple est. un mélange de Slaves, de Celtes, de Germains, de Scandinaves, de Finnois, d’Espagnols, etc... De même pour tout autre peuple.
Les nations - groupements de femmes et d’hommes - ne s’effectuent pas en cloisons étanches où tous les membres auraient des intérêts communs. En théorie, tout le monde est peuple et souverain ; en pratique, sont seuls souverains dans la collectivité nationale ceux qui détiennent les richesses ; et ils le sont : soit directement, soit par interposition de mandataires délégués défendant plus ou moins bien leurs intérêts. Il en est ainsi parce que toutes les commissions nationales reposent sur l’idée de droit que les classes dirigeantes et possédantes se font du pouvoir qu’elles disent détenir
l’idée de nation - abdication des individus devant l’autorité - peut aller jusqu’aux plus absurdes aberrations de l’esprit chez les nationalistes forcenés.-
La Reinette
Le nom de votre France tremble depuis Pétain de con.
Vivement que le France que j’ai connu dans mon enfance soit belle et que votre médiocrité soit rangée au placard avec les perroquets.
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Reinette,
Ce que vous dites dans la première partie de votre commentaire est juste, mais je ne vois pas ou voulez en venir. Evidemment la France n’a pas toujours existé. Elle est née de la rencontre d’un vieux fond gaulois, de la romanité et d’envahisseurs, qui ont accepté de se convertir au christianisme, sous l’influence de l’Eglise.
Quand à l’abdication des individus, ce n’est pas obligatoirement devant l’autorité, c’est aussi devant la soit-disant « volonté générale » abstraite, inventée par Jean-Jacques Rousseau. -
bonjour Pierre
je pense que le principe électoral et le suffrage universel doivent leurs prosperités à des apparences ; et avoir fait admettre aux peuples, aux travailleurs, qe les électeurs sont maîtres de leurs destinées, est la plus grande victoire remportée par les puissants sur la classe ouvrière.
ET l’illusion a si profondément pénétré l’esprit des électeurs, que c’est aujourd’hui un travail extraordinaire que d’essayer de les arracher à cet égarement. -
Rainette,
Ah, ce commentaire éclaire mieux votre message précédent...
Oui, ce n’est pas évident, c’est le moins que l’on puisse dire.
Cordialement
Pierre
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