Intense propagande médiatique en faveur de l’anglais !
France Info, le Monde, 20 minutes, de nombreux médias ont repris les résultats du TOEFL, un test d’anglais dans lequel les Français se classent 69e sur 109 (il n’y aurait donc que 109 pays dans le monde ?), une info malheureusement accompagnée du masochisme et de l’autoflagellation habituels sur le supposé mauvais niveau des Français en anglais.

194 réactions à cet article
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Je ne sais pas si je suis un cas, mais au collège je fais partie de ceux qui comprenaient l’anglais à l’écrit, mais lorsque le prof parlait avec son accent comme s’il avait une patate chaude dans la bouche, c’était incompréhensible.
J’entendais par exemple « Wuoauezouerzoupoucuewououauuwouu ». Et il fallait comprendre « The windows is open »Cette difficulté d’apprentissage des langues étrangères provoque des catastrophes aériennes. Des collisions, des crashs ont lieu parce que le pilote ne comprend pas l’accent très local du contrôleur. D’où mésentente, erreur de compréhension des données et ordres, etc.
L’anglais aéronautique et technique devrait être un anglais débarrassé de ses accents du profond Sussex pour être avoir une prononciation simple et standardisée articulable et compréhensible par tout le monde.
« Rambere radare, plize ripite were ize ce putaing de boutong de VOR sur cette putaing de trapanelle, et you saide ouat pour le stire tout taque overeu ».
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La compréhension écrite est presque toujours meilleure, car on peut prendre le temps, on a chaque mot sous les yeux, le sens général de la phrase, et surtout on évite les problèmes d’accent et la vitesse normale de parole (qui paraît toujours ahurissante à un étranger), particulièrement en anglais dont la phonétique est très irrégulière.
C’est un peu la même chose même dans sa propre langue si vous tombez sur un accent local très marqué parlant très vite. -
Les seules langues menacées de disparition sont les langues mortes.
Que les défenseurs des langues comprennent que toute lutte anti-Babel est d’avnce vaine.
Défendre des langues, des drapeaux ou des frontières, est un acte non civilisé, dicté par la peur, la cupidité (ça va ensemble) et l’ignorance.
J’aime le français, qu’à l’envi je cultive, bordel. Mais ne soyons pas trop cons svp : Que ce soit le chinois, l’espagnol ou l’anglais, le résultat sera de toutes façons un camaïeux intéressant dicté par les besoins déjà internationalisés depuis longtemps.
Appliquez-vous à inventer français si vous voulez laisser un mot dans l’histoire.
Pourquoi devrais appeler un mail un courriel alors qu’en 10 ans de UK, je n’ai jamais entendu un anglais se plaindre de parler d’entrepreneur ou d’entreprise ?
Inventer français, parler et cultiver le français n’empêche pas de parler « étranger », mais c’est le meilleur argument pour l’entretenir, quoiqu’il devienne.
Merde aux langues, vive les cultures !
Mais bong sang, gardez vivantes les langues mortes, elles répondent à plus de questions que les vivantes, surtout celles qu’on assassine à coups de drapeaux. -
« Et ils ont raison : la vraie langue internationale, la langue équitable, c’est l’espéranto »
C’est faux. Ce que vous reprocher à l’anglais, on peut le reprocher à l’esperanto qui utilise l’alphabet latin.
L’esperanto favorise les occidentaux qui maitrisent déjà cet alphabet.
Les peuples asiatiques, ou même les utilisateurs du cyrillique sont désavantagés.-
Une bonne partie de l’article est factuel, les médias, les enjeux, mais je l’ai mis en article d’opinion et ce que vous citez est mon avis.
Ceci dit, stricto sensu, l’anglais est une langue nationale, ou de plusieurs nations, tandis que l’espéranto est international, puisque n’appartenant à aucun peuple ni aucune nation.
L’alphabet de l’espéranto n’est pas totalement latin, certaines lettres sont originales, et correspondent à des sons existant dans diverses langues (la jota espagnole, le Kha arabe, le X russe).
Le vocabulaire favorise effectivement les occidentaux (mais une bonne part de ce vocabulaire a diffusé mondialement : télévision, docteur, etc.), mais pas la grammaire, qui est facile pour tous, Asiatiques compris, qui y trouvent au moins la régularité et la logique. Pensez alors à quel point l’anglais est difficile pour eux ! -
L’alphabet est une « difficulté » vraiment insignifiante comparé à d’autres problèmes de l’anglais. Ma langue maternelle s’écrit en cyrillique, et franchement, l’alphabet latin de l’espéranto ne m’a jamais indisposée, pas plus que les autres espérantistes « cyrilloscripteurs ». Quant aux « Asiatiques », certains peuples utilisent également l’alphabet latin, et les autres ne sont pas si idiots pour ne pas pouvoir l’apprendre. Posez-leur une question :¤)
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Y a même des chinois qui apprennent l’anglais, et se foute éperdument de vos masturbations mentales compulsives sur une langue moribond et inutile.
Etonnant non ?
Typhon
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@Hermann
J’allais le dire.
@skirlet
Vous n’avez pas eu de problème pour apprendre l’alphabet latin. Soit.
Personnellement je n’ai jamais connu de problème pour apprendre l’anglais (ou du moins le globish). Mon cas particulier constitue-t-il un argument ? Non. Le votre non plus. -
« les autres ne sont pas si idiots pour ne pas pouvoir l’apprendre »
Donc ils doivent fournir un effort que les occidentaux n’auront pas à fournir.
Ce n’est donc pas équitable. -
« Ceci dit, stricto sensu, l’anglais est une langue nationale, ou de plusieurs nations, tandis que l’espéranto est international, puisque n’appartenant à aucun peuple ni aucune nation »
L’espéranto serait plutôt anational, non ?
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Avant d’affirmer et de critiquer ce que vous ne connaissez pas, on dit rien. Je peux vous affirmer que l’esperanto est plus facile que l’anglais pour les asiatiques, beaucoup de Chinois et Japonais m’ont dit que l’espéranto c’est facile, et que l’anglais c’est difficile, c’st pour cela que les chinois s’intéressent de plus en plus à l’Espéranto, les Brésiliens également, les *Anglais aussi sauf M. Gordon Brown qui reçoit beaucoup d’argent qui veut l’imposer aux autres ; Et moi, ce que je reproche au globish, c’est de tuer, qui a fait des millliers de morts dans des avions, l’anglais est une des principales causes d’accidents d’avions tellement elle est difficile à juger pour les chinois et japonais, c’est pire, l’espéranto que je pratique depuis 41 ans et que je n’ai pas mis 5 ans à l’apprendre et que le globish qu’on m’a imposé pendant 5 ans et bien je n’ai jamais pu le parler et le comprendre, l’Espéranto je suis à l’aise comme en français , un chinois mettra 1 à 2 ans pour l’Espéranto, pour l’anglais 25 ans, les japonais pareil, donc l’anglais, perte de temps et d’argent, allez assister à un congrès mondial d’Espéranto, et jugez par vous-même.
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« les autres ne sont pas si idiots pour ne pas pouvoir l’apprendre »
tout est dit, Monsieur l’ethnocentrique.
Est ce que VOUS, vous etes asses intelligent pour pouvoir apprendre a lire des ideogrammes ?
Rappel : Chine 1.3 milliards de gens, Vietnam, le petit Vietman 100 millions, anglo phones « LV1 » 700 millions dont 300 aux Etats Unis.
Si vraiment vous voulez partir sur des idees aussi saugrenues que le concept de lanqgue universal, alors utilisez au moins la langue que parle 1 humain sur 5 et qui est plus parlee que tout autre : la Chnois Han. -
Et quel alphabet serait équitable, selon vous ? Franchement, je ne me souviens même plus de « l’effort » fourni pour apprendre l’alphabet latin, tellement il a été insignifiant. Ceci dit, les Occidentaux ne sont pas si avantagés que ça, car les mêmes lettres et leurs combinaisons ne se prononcent pas pareil dans des langues utilisant le même alphabet... Il suffit de vois les Français complètement perdus devant les « cz » et « sz » polonais, tandis que ça se prononce respectivement comme « tch » et « ch ».
Encore une fois : posez une question aux espérantistes, disons, chinois pour savoir, si vraiment ils se sentent tellement affectés par l’alphabet de l’espéranto.
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titi... J’ai facilement appris l’alphabet latin, mais c’est le cas de tous. Aucun élève de mon école, même les pires cancres, n’a eu de problèmes avec l’alphabet tout seul. Comment étudier les équations (que l’on commençait à l’âge de 7-8 ans, et je précise que c’était une école des plus ordinaires) sans connaître cet alphabet ? Alors bon, si l’anglais est pour vous tellement facile, tant mieux, vous apprendrez l’espéranto en 5 jours
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eleusis : parce l’alphabet de ma langue maternelle est cyrillique, je suis ethnocentriste en disant qu’il est tout à fait possible d’apprendre l’alphabet latin ? Ça c’est d’une logique :¤))))))))))
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@titi, tout tient dans votre remarque ’ou du moins le globish’.
Vous avez effectivement appris le globish et non l’anglais... -
« L’espéranto serait plutôt anational, non ? »
L’adjectif « anational » est un barbarisme hideux et idiot. Le mot correct pour désigner quelque chose qui n’a pas de mère patrie (mère patrie étant une blague étymologique douteuse), c’est l’adjectif « apatride ».
De plus, il est tout à fait vrai que l’espéranto est UNE langue internationale. Simplement, ce n’est pas (pas encore, si on est un espérantiste optimiste) LA langue internationale.
« Avant d’affirmer et de critiquer ce que vous ne connaissez pas, on dit rien. »
Si seulement les espérantistes de ce forum voulaient bien appliquer ce principe, en plus de le citer à tout bout de champs, ce serait pas mal...
« Je peu vous affirmer que l’esperanto est plus facile que l’anglais pour les asiatiques, »
Je peux vous affirmer que non, car ce que vous affirmez sans preuve peut être réfuté sans preuve. Néanmoins, admettons que l’espéranto est plus facile que l’anglais : et alors ?
Je peux vous affirmer que l’anglais est plus utile pour un chinois que l’espéranto, pour des tas de raisons, notamment, l’importance des Etats-Unis comme partenaire commercial de la Chine.
beaucoup de Chinois et Japonais m’ont dit que l’espéranto c’est facile, et que l’anglais c’est difficile,Peut-être, mais ça ne SERT À RIEN.
les *Anglais aussi sauf M. Gordon Brown qui reçoit beaucoup d’argent qui veut l’imposer au autres ;Non. Et ce n’est pas parce que vous braillerez le contraire avec force que ça en deviendra moins faux. Si le Royaume-Uni pouvait mettre sur pied des complots pour faire apprendre l’anglais aux enfants innocents, il en profiterait pour remettre son économie en marche, vous ne croyez pas ?
« Et moi, ce que je reproche au globish, c’est de tuer, qui a fait d »es millliers de morts dans des avions, l’anglais est une des principales causes d’accidents d’avions«
Ce n’est pas l’anglais qui cause des accidents, c’est la nullité des pilotes. Quand un pont s’effondre parce que la portance des piliers a été mal calculée, c’est à l’ingénieur qu’on fait un procès, pas aux mathématiques.
tellement elle est difficile à juger pour les chinois et japonais, c’est pire, l’espéranto que je pratique depuis 41 ans et que je n’ai pas mis 5 ans à l’apprendre et que le globish qu’on m’a imposé pendant 5 ans et bien je n’ai jamais pu le parler et le comprendre,Parce que vous y avez mis de la mauvaise volonté. Là.
l’Espéranto je suis à l’aise comme en français , un chinois mettra 1 à 2 ans pour l’Espéranto, pour l’anglais 25 ans,
Vous tirez ces chiffres de quel institut au sérieux irréprochable ?
»@titi, tout tient dans votre remarque ’ou du moins le globish’.
Vous avez effectivement appris le globish et non l’anglais..."Ben moi, j’ai appris l’anglais. Un bon anglais. Et l’espérantisme sera mort d’ici un siècle, en étant optimiste.
Typhon
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Pour une fois que le typhon nuance un peu son propos, chapeau bas, monsieur.
Juste un rajout, l’esperanto est plus facile que l’anglais car il essaye de virer le plus de fusions ou flexions inutiles au niveau grammatical et vocabulaire possibles, d’idiotismes et quelques autres petites choses suplémentaires.
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L’anglais a viré des flexions qui existent encore en espéranto, puisque ses adjectifs sont invariables.
M’enfin, dans le fond, tout ceci est de peu d’intérêt, puisque ce qui influe sur le développement d’une langue, ce sont avant tout des facteurs sociologiques.
Typhon
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Et qui a dit que certaines flexions étaient obligatoires en esperanto ? Avec texte à l’appui
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Elles sont obligatoires parce que sans ça, on ne peut plus mettre les mots dans n’importe quel ordre, et cela génère des phrases ambigues, voire nonsensique.
C’est un peu comme si vous disiez qu’on peut se passer de la lettre e en français.
C’ st possibl mais c n’ st pas pratiqu du tout, t cla caus ds problms d cmprhnsion insolubls sans comptr qu ça rnd la phras illisibl si on n’y prnd pas gard.
Je sais que les illettrés de votre espèce sont tentés de traiter la grammaire avec désinvolture, mais c’est bien ça qui vous rend illisible et incompréhensible.
Typhon
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Georges Pérec, La Disparition.
On raconte qu’un « e » s’y serait malgré tout glissé. -
Oui, mais il a triché, en employant des mots anglais, en saccageant l’orthographe de certains mot.
Typhon
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En usant de périphrases, aussi. Quel petit malin. Voilà où ça mène, le verbicrucisme.
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Vous ne répondez pas du tout à la question. Merci d’y répondre.
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Sinon selon votre logique la place des adjectifs en anglais est l’équivalence de la flexion des adjectifs en esperanto ; en gros parce l’anglais « a choisi d’éviter » une règle, il a choisi pour compenser d’appliquer une nouvelle règle pour éviter certaines ambiguités. Ce qui n’apporte rien de plus au débats en somme
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Mais si ça fait partie des règles de langue (c’est dans le fundamento), c’est une difficulté de la langue.
Personne n’a jamais dit qu’il fallait absolument utiliser des verbes irréguliers quand on parle anglais, mais se limiter aux verbes réguliers serait risiblement inefficace. Et c’est avec raison que l’on considère les verbes irréguliers comme étant une difficulté de l’anglais. De même, l’espéranto utilise l’accusatif, et c’est une difficulté.
Typhon
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« Mais si ça fait partie des règles de langue (c’est dans le fundamento), c’est une difficulté de la langue. »
Le texte please !
"Personne n’a jamais dit qu’il fallait absolument utiliser des verbes irréguliers quand on parle anglais, mais se limiter aux verbes réguliers serait risiblement inefficace. Et c’est avec raison que l’on considère les verbes irréguliers comme étant une difficulté de l’anglais.«
Car il existe surtout une convention arbitraire non liée forcément à la compréhension en anglais qui le dicte, en eo la convention est la compréhension et non l’aspect inutile.
»De même, l’espéranto utilise l’accusatif, et c’est une difficulté."
Comme l’ordre SVO qui est une difficulté pour de nombreux locuteurs, même problème de fond mais résolu par deux règles de formes differentes au final.
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« L’adverbe de lieu se met à l’accusatif en -en pour indiquer la direction »
« Pour indiquer le mouvement, les mots reçoivent la terminaison « -n » de l’accusatif. »
Etc...Typhon
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Et donc ? je ne vois toujours pas rapport, on parlait des adjectifs et vous me sortez les adverbes. Sinon au passage, cette règle n’indique pas une obligation, on peut tout aussi bien dire « al kie » que « kien », puisque « n » est une extention de « al », cela reste une règle logique car elle ne comporte pas de règle inutile, par exemple le chat saute sur la table la kato saltas sur la tablo, il saute mais est déjà sur la table, la kato saltas sur la tablon ( al sur la tablo), il saute en direction de la table et atterri sur la table.
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Ces règles rendent l’accusatif indispensable. Vos trésors de mauvaise foi n’empêchent pas que l’accusatif existe en espéranto, que des gens l’utilisent, et que celui qui n’apprend pas à l’utiliser parlera espéranto comme quelqu’un qui parlerait anglais sans jamais utiliser les verbes être et avoir.
Typhon
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« Ces règles rendent l’accusatif indispensable. »
Seule la regle du COD le rend indispensable.
"Vos trésors de mauvaise foi n’empêchent pas que l’accusatif existe en espéranto,«
J’ai jamais dit qu’il n’existait pas, j’ai seulment dit qu’il n’est pas indispensable dans certains cas
»que des gens l’utilisent,«
cela je pense que je ne l’aurais jamais trouvé tout seul
»et que celui qui n’apprend pas à l’utiliser parlera espéranto comme quelqu’un qui parlerait anglais sans jamais utiliser les verbes être et avoir."
seulement dans l’aspect COD où cela peut poser problème, de nombreux locuteurs ne l’utilisent pas dans les autres formes et la compréhension reste malgré tout parfaite. Moi même je ne l’utise principalement que dans le ,pour le reste j’utilise les prépositions, en fait c’est surout la litterature qui l’utilise le plus dans les autres cas. Et je vais même vous dire, l’omission est permise assez souvent à l’oral car le contexte indique assez bien l’ordre des mots.
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Bardamu 27 août 2009 11:21Tout ceci n’est que PROPAGANDE, la marque infâme d’une inféodation de l’Europe au complexe anglo-américain !
Depuis notre entrée forcée dans ce « Machin » pressenti catastrophique par le Général, le peuple de France n’a de cesse d’être constamment HUMILIé, ravalé au rang de mauvais élève.
Et le même travail de sape s’effectue dans tous les états membres de ce protée !
A la seul fin que tous s’ALIGNENT, perdent leurs particularismes, s’homogénéisent... et aussi se diluent en se métissant, se brassant pour finalement se fondre en un grand TOUT, réducteur et castrateur !
L’anglais, de fait, sert si peu, sauf en de rares professions pour lesquelles on s’en réfère à une phraséologie technique... si différente, donc !
Soyons de nouveaux fiers d’être français, et mettons avant tout cette belle langue à l’honneur !
Le français, langage des Lumières, initiera je l’espère un mouvement prometteur, celui du DIVORCE des peuples d’avec leurs élites... une petite révolution qui est peut-être en cours et dont nous pourrons nous réclamer.-
C’est une question intéressante, construire (ou pas !) l’Europe tout en respectant les particularismes. C’est en fait le même processus qui a conduit à construire des états en écrasant plus ou moins les régions (dont leurs langues), puis en décentralisant, bref un équilibre à trouver, seulement chacun a son idée du point d’équilibre... la vie commune des hommes n’est pas facile.
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Un autre rédacteur a d’ailleurs un article en attente, titré de mémoire sur la poussée d’anglofolie de France-info !
France 2 a fait hier soir à peu près le même commentaire sur les mauvais en anglais et les mêmes reportages sans nuances et sans recul que ceux cités dans l’article.
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1 + 1 = 2
C’est depuis que C Ockrent , membre de la trilatérale est devenue la dame patronnesse des ondes publiques que « france »-info est devenue « voice of America » ....
Qui s’etonnera que la deuxieme moitié du clan Kouchner serve finalement, la meme mondialisation que la première moitié ?
Sans domination des etats unis sur le camps « ocidental » (c’est a dire sans vassalisation et soumission complete et totale aux normes anglo-saxonnes) Israel ne rentrera pas dans l’UE , l’Otan ne sera pas la seule defense de l’Europe possible....
Ils ne peuvent agir QUE maintenant car c’est la première fois depuis des siècles qu’ils ont reussit a mettre l’un de leur pion a l’Elysée .
Les anglais s’etaient contenté, eux, depuis Voltaire, d’acheter des « intellectuels » pour influencer la politique française (« Qui se soucis de quelques hectares de neige ? » ricanait Voltaire pour ridiculiser la politique du Roi des’engager au Canada....
Les etats unis eux n’hesitent devant aucune methode, meme pas a nous placer un des leurs au sommet de l’Etat et a le faire encadrer par leurs meilleurs agents. -
Bardamu 27 août 2009 17:40Très juste 666 !
Actuellement, l’Elysée comme annexe de la Maison Blanche ! -
moi je pense que c’est une nécessité : le meilleur moyen de défendre le français, c’est de faire que les gamins deviennent bilingues... car sinon, ils ne sauront jamais proposer en face des équivalents... français !! le débat est faussé depuis le début : ce n’est pas une ATTAQUE, c’est plutôt une DEFENSE. Il n’y a pas de propagande à ce propos.
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Les anglophones aussi sont de cet avis : ils recommandent tous d’apprendre l’anglais, pour défendre le français...
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J’aurais tout vu dans ma vie, tiens. Même morice qui dit un truc intelligent.
Typhon
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Les classements, de toutes façons c’est malsain. Le résultat dépend de celui qui les organise et des critères utilisés. Quand il s’agit de distribuer des bons et des mauvais points aux Etats, l’OCDE n’est pas un juge objectif. Tout cela est ridicule.
L’anglais a pris le pouvoir dans un grand nombre d’organisations internationales. La France a donc intérêt à ce que ses citoyens ouverts à l’international maîtrisent parfaitement l’anglais. J’ai vu tant de Français se faire berner et ridiculiser à cause de leur anglais approximatif ! Ceci ne veut pas dire que tous les Français doivent connaître l’anglais. Il est plus important pour les progrès de la culture que beaucoup de Français sachent parler d’autres langues étrangères que l’anglais.
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C’est pour éviter ces malentendus que les instances internationales utilisent des interprètes !
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IL faut que les enfants apprennent l’espagnol et l’anglais en même temps.
L’espagnol sera la langue de demain au USA et je dois dire qu’en Amérique du Sud je n’ai pas entendu beaucoup l’anglais parlé (encore moins le français)
Il faut valoriser le français mais permettre que les enfants à l’école apprennent l’espagnol et l’anglais et non l’anglais et l’espagnol,car rien ne justifie la suprématie de l’anglais car l’obligation légale législatif précise que toutes documentations vendues en France doit être traduit en français
L’espagnol est une langue d’avenir car les pays d’amérique sont plus porteurs en terme de développement économque de les pays anglos saxons
http://www.tvargentine.com/-
« L’espagnol sera la langue de demain au USA »
Non.
Ce sera le « spanglish » mélange d’Espagnol et d’Anglais.
Les langues vivent de part l’usage. -
Il y 5 000 000 de personnes aux EUA, hispanophones, ne sachant pas du tout l’anglais (chiffres des EUA mêmes)...
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Pourquoi « il faut », pourquoi ne pas laisser libre d’apprendre les langues de son choix ? Surtout si l’on considère que la motivation est essentielle pour progresser dans une langue étrangère. L’obligation scolaire n’aboutit qu’à une modeste initiation sous la contrainte.
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L’espagnol est la langue de demain, et le restera encore longtemps. Pour se répandre hors de son aire de répartition, il faudrait qu’il commence déjà par la dominer (il subit la concurrence des fortes langues régionales en Espagne, et des dialectes issus des langues indiennes en Amérique du Sud, où bien des habitants ne parlent pas un traître mot d’espagnol ou, au Brésil, de portuguais). Quand à l’espagnol « langue majoritaire aux USA en 2050 », c’est là un fantasme de l’extrême-droite américaine, pas un fait scientifique (les enfants d’immigrants hispanophones parlent parfaitement anglais).
C’est sûr qu’en voyageant en Amérique latine, on entend beaucoup plus d’espagnol que d’anglais. De même qu’en voyageant en Laponie, on entend sûrement plus de lapon que de tagalog. Cependant, je n’ai pas l’ambition de me lancer dans l’élevage du lama. Il se trouve que les gens auxquels j’ai quelque chose à dire, dans tous les pays, ont de fortes chances de comprendre l’anglais. C’est ça, une langue véhiculaire. On n’attend que TOUT LE MONDE parle anglais, que chaque berger du Bhoutan récite du Shakespeare ni que chaque Dogon du Mali disserte doctement sur les mérites comparés du preterit et du plus perfect. En revanche, ça ne me semble pas être une ambition démesurée que d’attendre qu’un gamin de quinze ans sache se repérer dans un aéroport étranger, et ça ne me semble pas non plus menacer les fondements de notre si glorieuse civilisation hexagonale.
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Apprenons l’anglais !!!!!!!!
agoravox.com et agoravox.fr-
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Avant d’en faire des bilingues, faudrait peut-être voir à leur faire maitriser le français.
On voit le langage SMS commencer à pululler... Et je commence déjà à ne plus comprendre les mots de certains djeun’s (j’ai fêté mes 30 ans il y a 3 jours).
Alors, on va me dire « c’est de l’argot, faut se tenir à la page, même si elle défile vite ». Oui, l’argot n’a d’utilité que quand on connait le mot « officiel » qu’il remplace, sinon c’est plus de l’argot, ça devient un patois.
Et là c’était pas le cas...-
Pourquoi les francophones belge, canadien, suisse parlent-ils mieux l’anglais que les Français ? Pourtant, ils passent autant de temps à apprendre l’imparfait du subjonctif, tellement utile et faisant sans doute partie de l’ignoble complot anglo-saxon contre la langue de Molière. Il ne faut pas enfermer notre langue dans un carcan partisan, il faut la promovoir et non pas la « défendre ».
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« Pourquoi les francophones belges parlent l’anglais que les Français »
MEGA LOL !!!!!!! Je vis en Belgique et je peux te contredire a 10000%.
Pour les canadiens, il faut dire aussi qu ils vivent aux canada, notoirement anglophone, et que les quebecois sont un peu dans le bain a plein temps -
Il est sans doute vrai que les locuteurs d’une langue germanique (allemand, néerlandais...) apprennent plus facilement une langue germanique comme l’anglais. J’imagine qu’apprendre l’italien est plus facile pour un français que pour un anglais...
Vos belges ou suisse anglophones ne seraient ils par hasard des flamands et des suisses alémaniques ? -
Vous voulez dire qu’ils ont des notions de quatre langues, à des degrés divers. L’expression « parler une langue » est très trompeuse car elle recouvre des niveaux très différents.
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L’expression « parler une langue » recouvre un niveau assez vague, il est vrai, mais qui correspond au minimum au fait de pouvoir tenir une conversation avec un locuteur de cette langue, sans dictionnaire, et sans lui demander de ralentir son débit. Maintenant, je ne sais pas à quoi cela correspond dans les systèmes d’évaluation universitaires, officiels, ou gnagnagna.
Typhon
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Babck,
Je serais curieux de savoir quelle institution européenne utilise le français comme langue de travail ! Aux dernières nouvelles, seul le domaine juridique résistait encore à la déferlante de l’anglais. la totalité des sites Internet de l’UE sont en anglais, la plupart exclusivement dans cette langue, et la plupart des rapports récents et des renseignements un peu pointus aussi. Quant aux relations avec le monde hors-UE, autant dire que nous n’avons qu’une seule langue de travail, à l’exception de nos zones d’influence traditionnelles (Afrique du nord, sénégal, Liban d emoins en moins, etc.). -
"L’expression « parler une langue » recouvre un niveau assez vague, il est vrai, mais qui correspond au minimum au fait de pouvoir tenir une conversation avec un locuteur de cette langue, sans dictionnaire, et sans lui demander de ralentir son débit."
Oui mais une conversation de quel niveau ? That is the question
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Pouvoir parler de la pluie, du beau temps, de la vie courante.
Typhon
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Ha si c’est ça et bien pas beaucoup de monde peut le faire avec l’anglais, en général c’est où est quoi, les toilettes, la chambre d’hotel, bonjour, au revoir, merci, enculé, ect
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Hors comme cette expression regroupe en général que les choses sus citées, votre définition st plutôt votre conception des choses et non de l’avis (on va dire) plus général.
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Ce qui est incroyable, chez vous, c’est que vous en arrivez à ne pas articuler ce que vous écrivez !
Typhon
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Votre conception de « parler une langue » est une définition bien plus restrictive que pour le commun des mortels
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Je veux dire qu’on lit souvent des articles naîfs qui s’extasient devant telle ou telle contrée miraculeuse : ah les Suisses, ils parlent quatre langues, oh les Belges ils parlent trois langues, vous avez vu les slaves comme ils sont doués en langues, et les Indiens, entre leur dialecte, le hindi, l’anglais, trop forts !
Tout ça c’est pipeau. En France même, vous avez des tas de gens qui ont des notions de plusieurs langues, à commencer par la langue régionale, l’anglais souvent mais aussi l’allemand, l’espagnol l’italien, le catalan, le turc, l’arabe ou ses dialectes, car on oublie souvent que beaucoup ont des notions de leur langue maternelle ou paternelle d’immigration. -
OUI, les journalistes sont des crétins incultes. Oui, les journalistes, c’est lou ravi de la crèche à la puissance 1000. Oui, les journalistes racontent n’importe quoi.
Ce qui ne nous avance pas pour autant.
Typhon
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Au risque d’être écharpé, je ne suis pas aussi hostile que beaucoup de commentateurs d’AgoraVox à l’anglais. C’est une langue relativement facile à maîtriser pour des contacts basiques, contrairement au français ou à l’allemand, et cela explique son développement international qui n’est que très partiellement lié à une pression anglo-saxonne ou à une inféodation de l’Union européenne. Lorsque j’étais jeune, la plupart des jeunes allemands, néerlandais ou scandinaves que j’ai connus maîtrisaient en effet déjà très bien l’anglais (contrairement aux peuples latins) alors qu’il n’existait pas encore de campagne orchestrée en faveur de cette langue. Sans doute cela a-t-il contribué à établir la prééminence internationale de cette langue.
Cela ne me choque pas, et au risque de décevoir Krokodilo, dont je connais l’attachement à l’esperanto, je préfère utiliser une langue existante (fut-ce celle qui se parle aux Etats-Unis) qu’une langue artificielle qui, longtemps après l’avoir découverte, continue de ne pas me séduire malgré plusieurs tentatives d’approche.-
Fergus, pourquoi pensez-vous être écharpé, puisque votre opinion est majoritaire dans le pays, et ultramajoritaire au gouvernement, qui a laissé tomber la défense du français depuis belle lurette ? C’est plutôt nous autres, qui nous faisons traiter à longueur de temps d’anglophobes forcément primaires, d’arrogants Français and so on, qui craignons les « posts » incendiaires !
Il est bon de rappeler que le vocabulaire de l’Eo n’est pas artificiel, il est tout ce qu’il y a de naturel, et même millénaire pour certaines racines. Seule la structure est cosntruite, et encore la grammaire ne fait-elle que suivre les prinicpes généraux présents dans beaucoup de langues. En outre, de nombreuses langues ont été remaniées, tout récemment encore, le chinois.
Dans tous les cas, ce sont des créations artificielles issus de l’esprit humain, des outils permettant la communication et la transmission du savoir et de la culture.
Le cobra, la mygale, le fugu et l’amanite phalloîde sont au contraire naturels !Par ailleurs, l’usage de l’anglais n’est pas incompatible avec une réflexion à moyen terme sur la communication dans l’UE, ou dans le monde.
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Vous et vous seul, krokodilo, êtes anglophobe. Je ne crois pas avoir jamais traité qui que ce soit d’autres d’anglophobe, alors ce n’est pas la peine de vous dissimuler derrière un « nous » hypocrite.
Et vous êtes anglophobe, c’est un fait. Quelqu’un qui assimile l’apprentissage de l’anglais à une agression est anglophobe.
Primaire, secondaire, ou tertiaire, je ne sais pas, et je m’en moque comme de l’an quarante.
Typhon
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Vous êtes un menteur invétéré : ce n’est pas l’apprentissage de l’anglais que j’ai assimilé à une agression, mais son imposition sans choix !
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« Et vous êtes anglophobe, c’est un fait. Quelqu’un qui assimile l’apprentissage de l’anglais à une agression est anglophobe. » Preuves svp ! avec sources et tout le reste.
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Remettez en une couche d’hypocrisie, tiens. Si on apprenait l’espéranto aux gosses, vous seriez le premier à battre des nageoires, alors ne prétendez pas que c’est l’absence de choix qui vous dérange.
Et il n’en reste pas moins que vous êtes anglophobe, et que vous en laissez des preuves partout.
http://www.agoravox.fr/actualites/europe/article/des-enfants-de-maternelle-agresses-53515
Typhon
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Ha part le titre accrocheur et agressif, l’article ne contient rien d’anglophobe selon moi, les textes qui vous dérangent, please !
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Arrêtez de dire des sottises, l’anglais est très difficile puisque les pilotes le maîtrisent mal et est une des causes principales des accidents d’avions, ce n’est pas la nullité des pilotes, c’est la langue qu’on leur impose qui est très difficile, à juger pour les chinois et japonais, c’est horrible, c’est la torture, et il n’est pas rare que les pilotes chinois et japonais ne parlent pas anglais, on sait que les contrôleurs brésiliens ne parlent pas anglais, vous vous adressez à quelqu’un qui a travaillé dans l’aviation et qui a combattu l’anglais pendant 38 ans où plusieurs ingénieurs se plaignaient de l’anglais que cela leur posait des problèmes, je leur ai parlé de l’espéranto, c’est alors qu’ils m’ont dit que c’est ça qu’il leur faudrait, c’est l’Espéranto qu’il faut enseigner dans les écoles me disent les jeunes qu’on informe, ce n’est pas l’anglais, vous n’avez jamais pratiqué l’espéranto, vous ne l’avez jamais appris, vous qui croyez que l’anglais est facile, vous apprendrez l’espéranto en 5 jours et l’anglais pendant des années et années et de plus vous ignorez que vous payez 25 milliards d’euros par an à l’angleterre, l’espéranto, c’est gratuit, ce que je n’aime pas, c’est ne pas laisser le choix, c’est d’imposer comme on me l’a imposé l’anglais, il faut être fou pour dire que l’anglais est facile, un mexicain et une polonaise m’ont dit que le français c’est plus facile que l’anglais pour eux, ceux qui disent que l’anglais est facile, c’est parce qu’ils ne connaissent pas l’espéranto.
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Chère madame.
L’anglais certes possède des difficultés, mais il faut se poser aussi la question sur ses fameux pilotes, ont ils eut des cours spécifiques et correctes en anglais pour bien le maitriser en tant que pilotes ? En gros les forme t’on assez ?
Par contre je pense pouvoir dire que le temps de cours serait plus important en anglais qu’en espéranto, du fait de la quasi inexistence de règles inutiles à la compréhension pour ce dernier.
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Chère madame, calmez vous et retournez au CM2, pour y apprendre les bases de syntaxe qui vous manquent.
Typhon
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Arrêtez de dire des sottises, l’anglais est très difficile puisque les pilotes le maîtrisent mal et est une des causes principales des accidents d’avions, ce n’est pas la nullité des pilotes
Je suppose que vous êtes vous-même pilote ou spécialiste de la sécurité aérienne pour poser ce genre de propos péremptoire. Combien avez-vous d’exemples à nous fournir ? -
Son imposition sans choix.
Ce sont les parents qui ont decide d’imposer l’anglais a leurs enfants . -
Contrairement à ce que dit Fergus, les nordiques apprennent l’anglais dès leur plus jeune
âge, c’est imposé .Tout en étant d’accord sur l’impérialisme de la langue anglaise et donc de
la culture qu’elle véhicule, il me semble que l’enseignement de la langue anglaise dans nos
lycées est plutôt faible, inadapté.-
Un article ne suffisait pas au média 20 minutes, le bourrage de crânes se poursuit aujourd’hui ! Morceaux choisis :
« Il y a aussi une plus grande exigence du niveau d’anglais dans les IUFM (Institut de Formation des Maîtres) »
« Il y a un nombre croissant de sections européennes dans les lycées et les élèves de ces sections qui passent nos tests sont très forts. »
« Pourquoi les grandes chaînes françaises ne passent-elles pas les films en version originale ? Les Français paniqueraient-ils vraiment ? Au Danemark par exemple, les films passent en version originale et sans les sous-titres. Et cela ne choque personne. »
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Comme déjà dit le doublage et la VOST ont chacun leurs points forts et leurs points faibles et seul l’avis subjectif final permet d’obtenir un choix.
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"Comme déjà dit le doublage et la VOST ont chacun leurs points forts et leurs points faibles et seul l’avis subjectif final permet d’obtenir un choix«
On peut toujours débattre de l’intérêt et des goûts et des couleurs, reste qu’au bout du compte, 2001 Odyssée de l’espace est un chef d’oeuvre, et Star Crash un nanar.
»Il y a dans l’art un point de perfection, comme de bonté ou de maturité dans la nature. Celui qui le sent et qui l’aime a le goût parfait ; celui qui ne le sent pas, et qui aime en deçà ou au delà, a le goût défectueux. Il y a donc un bon et un mauvais goût, et l’on dispute des goûts avec fondement."
(Jean de La Bruyère, Les Caractères, I Des ouvrages de l’esprit)Celui qui aime les doublages a mauvais goût, comme celui qui préfère manger au macdonald plutôt qu’à l’Opportun, alors qu’il a les moyens.
Typhon
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Mais l’art a été, est et restera toujours quelque chose de subjectif et très variable en fonction des époques et des peuples.
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Il y a dans l’art, surtout, des dévotions et des révolutions.
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« Mais l’art a été, est et restera toujours quelque chose de subjectif et très variable en fonction des époques et des peuples. »
Je parle de goût, pas d’art.
Typhon
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Mais justement le goût est aussi très subjectif et il change tout au long de la vie.
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Idem pour le goût , l’art n’existe qu’en fonction du gout qui est variable tout au long de la vie et en fonction des peuples
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Reste que certaines chose sont objectivement mauvaises.
Typhon
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La majeure partie des films français, par exemple. Sont objectivement mauvais.
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J’ai vu les différents « reportages » sur tf1 et fr2 ( juste pour me marrer, ces jt sont tout sauf sérieux ), c’était affligeant en effet. Il est certain qu’il faut apprendre l’anglais très tôt. Mais on nous embête aussi avec l’espagnol ... ce qui fait deux langues à apprendre, et d’une façon très théorique et écrite, ce qui fait qu’on est inefficace en réalité.
Au lieu de nous répéter que l’école baisse de niveau, qu’en langue étrangère nous sommes mauvais, ils feraient mieux de promouvoir des contenus en vost fr, quelques chose d’oral et de pratique. Encore une fois on dévalorise la jeunesse mais on ne les aide pas.Perso c’est en jouant avec des anglophones sur internet sur des mmo ou autres,et en parlant sur des forums anglophones que je me suis amélioré, pas en apprenant par cœur un fichu verbe irrégulier ou je-ne-sais-quoi !
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L’école ne peut pas tout. Il faut connaitre les verbe irréguliers courants, et l’école est assez bonne pour donner des bases. Maintenant, pour progresser, y a pas photo, il faut pratiquer, comme vous avez raison de le souligner.
Le problème des films en VOSTFr n’est pas seulement linguistique. Le fait est que doubler un film diminue grandement la qualité des dialogues et détruit le jeu des acteurs, sans compter le fait que voir des japonais parler en français entre eux, c’est complètement ridicule.
Typhon
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Moi pas trop voir car moi pas trop bien comprendre le japonais.
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L’anglais est aujourd’hui la langue internationale, on peut toujours le déplorer mais c’est un fait.
Les français n’aiment pas cela car ils étaient la langue internationale aux XVIII et XIXème siècles.
La vraie question est pourquoi les français parlent plutôt mal l’anglais ?
Précisons d’emblée que bien des pays ne font pas mieux ( l’Italie, l’Espagne, la Grèce et bien d’autres), mais le problème est que la France offre 7 années de cours de la sixième à la terminale à des élèves dont la plupart ont du mal à aligner trois mots.
Depuis environ 20 ans les professeurs préparent les élèves à des examens écrits. On a fait ce choix parce que cela coûtait moins cher à l’ Education Nationale ( un correcteur pour 80 copies contre un prof devant chaque élève).
Moralité : les élèves savent à peu près lire un texte littéraire avec des complexités grammaticales mais ne savent pas aligner trois mots dans un aéroport.
On devrait enseigner l’anglais international, celui que tout le monde baragouine sans complexe dans tout les coins du monde en privilégiant l’expression orale et l’utilité immédiate.-
J’abonde tout à fait. J’ajouterai que contrairement à ce que l’auteur de l’article semble indiquer, il n’y a pas de « propagande intensive » en faveur de l’anglais. Il existe un fait, à savoir que l’anglais est la langue internationale. Ces faits sont connus des élèves et de leurs parents qui massivement, CHOISISSENT LIBREMENT de mettre leurs enfants en cours d’anglais.
Au contraire, il s’est développé en France au cours des années une propagande CONTRE l’anglais, un incessant bavardage de bonnes âmes qui espèrent qu’en se voilant la face, on fera par magie ressuciter la grandeur passée de notre pays. De cette rhétorique sont nées toutes sortes de lois et réglementations parfaitement absurdes, pour ne pas dire franchement protectionnistes (par exemple, les quotas de chanson française à la radio) qui nuisent in fine à l’économie de notre pays, à son dynamisme et même à sa culture et à sa langue !
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Absolument pas d’accord avec pie.
L’école se doit d’être litéraire et portée sur l’écrit, on a toute la vie ensuite pour apprendre à baragouiner. La litérature anglosaxone est bien plus passionante d’ailleurs que le monde banal du langage commun propre à l’anglais commercial.
Le problème en France vient plutôt de l’échec évident de l’ EN dans toutes ses missions. Les élèves de l’ EN on déjà du mal à lire correctement dans leur propre langue. La preuve, ils sont incapables de suivre un film en VO sous-titré.Pas d’accord non plus avec Asp, une langue et une culture ça se protège.
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De quoi, au juste, s’il vous plait ?
Les langues et les cultures passent leurs temps à s’influencer, à s’entremêler, à évoluer.
Ce contre quoi il faut les protéger, ce sont les imbéciles pleins de bonnes intentions qui veulent les mettre sous cloche et qui les conduiront à la sclérose.
Typhon
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De quoi se protéger ?
Mais de l’acculturation pardi !
Pour l’anglais, chacun peut l’écouter et le parler librement de toutes façons. Quand à cette idée d’un enrichissement par le grand brassage universel des cultures, c’est une peu du mythe globaliste. Dans la réalité les brassages se traduisent souvent en échec culturel, produisent des cultures dégradées, des désaxés à la pelle et des conflits incessants.
Si je compare la société traditionnelle japonaise avec le melting pot de nos cités je ne peux que douter du bienfait que cela engendre en matière d’enrichissement culturel.
Donc oui, le service public n’a pas a parler une autre langue que celle du pays. Cela vaut pour la France mais aussi pour les autres pays. -
" J’ajouterai que contrairement à ce que l’auteur de l’article semble indiquer, il n’y a pas de « propagande intensive » en faveur de l’anglais.«
Ben que si vu que 90% des reportages sur l’apprentissage Des langueS ne parle que de l’anglais, et quand on parle d’enfants bilingues, le seul bilinguisme qui semble exister au monde est francais+anglais. Ce n’est qu’un constat de faits
»Il existe un fait, à savoir que l’anglais est la langue internationale.«
de communication au niveau international actuellement, je pense que personne ne conteste ce fait
»Ces faits sont connus des élèves et de leurs parents qui massivement, CHOISISSENT LIBREMENT de mettre leurs enfants en cours d’anglais."
là on va voir, choisir, c’est d’abord proposer aux parents, si on leur dit qu’il n’a que anglais en 6eme ou au primaire, houa quel choix ils ont. Avoir le choix, c’est demander aux parents un ordre de préférence de langues comme quand on choisi sa fac et ensuite en fonction des résultats et des contraintes logistiques , ils ont plus ou moins le choix.
"Au contraire, il s’est développé en France au cours des années une propagande CONTRE l’anglais, un incessant bavardage de bonnes âmes qui espèrent qu’en se voilant la face, on fera par magie ressuciter la grandeur passée de notre pays. De cette rhétorique sont nées toutes sortes de lois et réglementations parfaitement absurdes, pour ne pas dire franchement protectionnistes (par exemple, les quotas de chanson française à la radio) qui nuisent in fine à l’économie de notre pays, à son dynamisme et même à sa culture et à sa langue !"
Je dirais que oui et non, il est vrai que les quotas ne sont pas la meilleur idée que l’on ait trouvé. Mais certains règlements sont je pense utilent comme par exemple l’obligation de traduire certains modes d’emplois ou de parler francais quand il n’y a pas que des francais.
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C’est vrai ça, que ces sales macaronis gardent leur Joconde pour eux ! On n’en pas besoin, on les célébrissimes peintres.... heu... les célébrissimes peintres.
Typhon
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"On ne peut nous comparer à des pays qui ont abandonné leur langue au point d’enseigner à la fac en anglais ! Sauf si c’est l’avenir que l’on souhaite à la langue française."
J’ai déjà été dans des cours de projet, où tout se faisait anglais. Comme les élèves venaient des quatre coins du monde il était plus facile pour l’enseignant de faire les cours en anglais. C’est vrai que souvent enseignant donnait des explications en français pour ceux qui avaient du mal à suivre, mais la logique était déjà là.
Personnellement je n’y suis pas opposé du moment qu’il s’agit de l’exception. En tout cas l’expérience en vaut le détour, à chaque cours on a l’impression de partir à l’étranger.-
La propagande continue : le journal Sud-ouest publie à son tour un « article » sur la société qui veut coller les bébés à l’anglais. On cherche en vain la mention publi-reportage…
Il est intéressant de constater que ce même journal publie également un reportage sur un militant qui fait la promotion de l’espéranto, ce qui est sympathique, mais dans lequel le journaliste utilise place trois fois le mot prêcher, une fois « non-convertis », c’est-à-dire un vocabulaire religieux tendancieux.
Pourquoi des gens qui veulent nous convaincre de mettre nos bébés à l’anglais (langue extrêmement difficile sur le plan phonétique, ce qui peut perturber l’apprentissage simultané de la langue maternelle) ne sont-ils pas qualifiés des mêmes termes péjoratifs, alors que leur démarche est extrémiste, et un simple business ?
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(langue extrêmement difficile sur le plan phonétique, ce qui peut perturber l’apprentissage simultané de la langue maternelle)
Non.
Typhon
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C’est surtout que ces cours pour bébés sont une grande arnaque commerciale. Le jeune enfant avant deux ans n’est pas capable de gérer la même information en deux langues. Il faut d’abord qu’il comprenne parfaitement l’information dans une langue, pour qu’ensuite il soit capable de comprendre la même information dans une autre langue ; Hors avant 18 mois la capacité de comprendre les informations sont encore très fluctuantes, disons qu’elles ne sont pas suffisament ancrée pour être percues définitivement sans erreur. De plus on a souvent l’ilusion d’une certaine compréhension alors qu’il s’agit en fait d’un mimétisme chez le bébé. A partir de 2 ans, on commence à vraiment percevoir une maitrise de la langue par les premiers mots et ensuite par les mots associés. C’est à partir de trois ans en moyenne que l’enfant construit des phrases bien compréhensibles. C’est pour cela qu’une seconde langue apprise avant 3 ans est inutile en soi, voir nuisible car conduisant à un retard dans la capacité de l’enfant à se faire comprendre correctement.
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J’ai bien rigoler aussi quand dans l’article il est dit que les bébés répètent parfaitement avant l’âge de trois ans, j’aurais plutôt dit après l’âge de deux ans car déjà à dix huit mois, ils ne savent que dire dodo, miammiam, miaoumiaou etc par effet de mimétisme.
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« dix huit mois, ils ne savent que dire dodo, miammiam, miaoumiaou etc par effet de mimétisme ».
À dix huit mois, ça commence quand même à être bavard.
Typhon
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bavard oui même à l’âge de 6 mois, mais compréhensible, faut pas compter avant 3 ans, rien que par exemple pour les test d’acuités visuelles seuls 25% des bambins peuvent dire les dessins que l’on montre avant l’âge de trois ans et on tombe à 0% avant l’âge de 2 ans et demie.
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Comme toujours, il y a de grandes variables individuelles. J’avais entendu parler d’enfants ayant appris à lire avant l’âge de trois ans.
Typhon
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pour la lecture avant trois ans, je ne pense pas, disons plutôt que le mots peut être l’équivalence d’une image on peut dire lire vraiment 4 ans cela existe mais dans des conditions très particuliaires, 3 ans ca doit pouvoir se faire car la phase oral est déjà en place pour les directives d’associations en général. En dessous de trois ans le mots est trop complexe pour bien être differencier par le gamin, il verra deux mots différents en fonction de leur longueur et non de la forme des lettres.
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De toute façon en pratique quand on est envacance sur quelque chose avant 3 ans on est toujours en retard sur une autre chose, normalement l’équilibre s’opère dans l’année en gros ce qui était performant et non performant reviennent dans la norme , avant 3 ans on ne peut déterminer quelqu’un de doué en gros
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Hermes
Vous racontez vraiment n’importe quoi,.
Les enfants peuvent parfaitement apprendre deux langues à la fois dés le plus jeune âge. Cela donne d’ailleurs de parfaits bilingues.
Le seul souci sont les conditions d’apprentissage. -
Le seul souci sont les conditions d’apprentissage.La question c’est :
Est-il possible de le faire dans un cadre scolaire ?
Typhon
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« Vous racontez vraiment n’importe quoi,. »
Tiens c’est nouveau
"Les enfants peuvent parfaitement apprendre deux langues à la fois dés le plus jeune âge.«
Ha bon, donc un bébé de 6 mois sait dire des mots d’adulte, vous venez alors de révolutionner la science. Non j’ais dit que cela est possible à partir de 2 ans chez certains bambins et je ne parle que de dire des mots, mais faire une phrase compréhensible et simple d’adulte c’est à partir de 3 ans, en dessous de 3 ans c’est l’âge préverbal, au dessus l’age verbal. Ensuite pour la seconde langue, si déjà dans la première langue ,le mots n’est pas correctement intégré, donc pas avant 2 ans dans tous les cas, il ne pourra pas integrer le mot dans la seconde langue.
»Cela donne d’ailleurs de parfaits bilingues.«
chose qui n’existe pas, une langue prédomine toujours l’autre même si l’écart entre elles est très faible au niveau des capacités de maitrise
»Le seul souci sont les conditions d’apprentissage."
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chose qui n’existe pas,
Si.
Typhon
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je dis que non, car car même si la maitrise est quasi égale, elle ne peut être jamais identique, rien que dans les conditions de l’utilisation de l’une ou l’autre, on n’utilise jamais deux langues de façon exactement identique.
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"(langue extrêmement difficile sur le plan phonétique, ce qui peut perturber l’apprentissage simultané de la langue maternelle)
Non."
Je suis resté assez longtemps en question, quand aux problèmes que pouvait conduire la dyslexie si deux langues sont apprises en même temps. Alors il faut déjà reconnaitre que si la dyslexie n’est pas diagnostiquée ou non traitée, elle conduira forcement à l’echec que se soit en francais ou en anglais. Maintenant l’apprentissage de deux langues simultanées peut augmenter l’echec, d’une si l’enfant ne maitrise pas sa langue maternelle et qu’il apprend une autre langue plus complexe, elle peut induire une perte de motivation dans les deux langues. Ensuite, je pense que si deux langues sont apprises en même temps, l’ensemble des difficultés de repérages dans le langage s’en retrouvent amplifié. Donc dans le cas des dyslexiques, je pense qu’il faut déjà une bonne maitrise de la langue maternelle pour éviter un mélange de problèmes supplémentaires avec une seconde langue.
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Hermes, non seulement vous racontez n’importe quoi mais vous êtes limite de mauvaise foi.
La question posée n’était pas de savoir si un enfant pouvait parler à l’âge de six mois mais si il pouvait apprendre deux langues simultanément, dés la naissance.
Je mettrais cela sur le compte de l’incompréhension du problème posé.En ce qui me concerne, je parle de ce que je connais par rapport au bilinguisme puisque c’est mon cas. J’ai appris a parler deux langues à la fois, sans qu’il y ait prévalence de l’une sur l’autre. Cela nécessite des conditions particulières, c’est vrai, et si elles ne sont pas réunies le risque pour l’enfant est de mal parler les deux langues, ou très mal l’une et médiocrement l’autre.
Quoi qu’il en soit quand cela se passe dans les règles de l’art un enfant est nettement avantagé a parler deux langues. Et le bilinguisme peut être absolu, même si cela vous semble étrange.Pour l’apprentissage de l’anglais dés le berceau je n’y suis pas absolument favorable. Une langue c’est bien plus qu’un code, c’est une culture. Pour pouvoir être bilingue on doit s’identifier et faire corps avec les deux langues.
Or un enfant naissant en France avec des parents français n’a pas beaucoup de raisons de s’identifier avec une langue étrangère et de ce fait ne pourra pas être bilingue. Tout du moins je le vois ainsi.
A mon avis le bilinguisme de naissance restera toujours une exception. En revanche, il serait bon d’apprendre le plus tôt possible une deuxième langue et de ne pas se limiter à quelques cours de langue. Certains cours devraient se faire en langue étrangère.
Par exemple étudier l’histoire en anglais, avec un professeur anglais ( ou allemand, ou espagnol, peu importe du moment qu’il ne s’agit pas de l’espéranto :)) ). -
@ Tiphon
Pour répondre à votre question, je ne le pense pas.
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« Hermes, non seulement vous racontez n’importe quoi mais vous êtes limite de mauvaise foi. »
Voila près de trois ans qu’on lui répète sur tout les tons.
Sans ça, si on ne peut pas utiliser le fait qu’il existe des enfants àdeux langues maternelles pour apprendre une langue aux gosses dès leurs plus tendre âge, ce n’est pas une connaissance bien utile pour améliorer l’apprentissage des langues à l’école, à moins de marier chaque français à une anglophone (ouéé, à nous les petites anglaises).
Au passage, on écrit Typhon avec un Y, comme dans Myrte, et pas un I comme dans Mître.
Typhon
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Apprendre deux langues simultanément, c’est pouvoir différencier les deux langues, c’est aussi pouvoir apprendre un concept dans les deux langues en gros savoir differencier et comprendre que « dog » et « chien » signifient la même bestiole mais dans deux langues differentes. Est t’on d’accord là dessus ?.
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Et pour le bilinguisme absolue vous serez alors capable de comprendre un texte litteraire dans une langue et le traduire dans l’autre langue jusqu’a en redonner le sens précis de chaque mot
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Dans votre bilinguisme absolue, vous pouvez aussi bien parler dans les deux langues de la même manière à vos enfants, aux enfants des autres, à votre famille, à vos collègues, de politique, d’économie, ect, ect sans avoir de perte de vocabulaire sans aucune hésitation
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Par exemple vous pouvez nommer sans dico, sans vous tromper touts les animeaux que vous connaissez avec femelles et petits dans les deux langues.
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Vous pouvez trouvez tous les équivalent d’un mots, ses formes adjectives, verbales et adverbiales dans les deux langues.
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Une plante que vous connaissez dans une langue vous pouvez trouver son équivalent comme ça dans l’autre.
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Typhon
Désolé pour le i. J’écris un peu à l’arrache car j’ai du pain sur la planche.
Sinon, par rapport au bilingouisme, il est toujours utile de connaitre les limites afin de ne pas faire mauvaise route.Hermes
Certaines personnes lettrées n’ont pas de mal à traduire des textes soutenus, cela ne fait pas d’elles des personnes bilingues pour autant. A l’inverse, un enfant bilingue sera incapable de réaliser ce type d’exercice.
Une langue n’est pas un code seulement. On n’est pas bilingue parce qu’on sait dire « chien » en deux langues. On est bilingue quand on s’exprime exactement comme une personne du pays, quand on ne peut pas deviner que vous venez d’ailleurs lorsque vous vous exprimez, ni par l’accent, ni même par le comportement.
Par exemple le chien ne sera pas perçu de la même façon dans le monde arabe qu’en Europe. Pour le bilingue arabe/ anglais le chien évoquera des sentiments différents suivant qu’il parle arabe ou anglais sans qu’il y ait pour autant dédoublement de personnalité. Ainsi, quand il prononcera le mot « chien » il adoptera un certain ton, en plus du bon accent. -
Désolé mais vous déviez le sujet, je ne parle pas de bilinguisme général, un bilinguisme où il est possible de pouvoir ête pris comme un type du pays en utilisant certaines tournures quand l’esprit fait défaut, mais être un bilingue parfait ( ou absolu) c’est à dire de pouvoir traduire chaque mot chaque concept d’une langue vers l’autre langue sans aucun problème. En gros par exemple si vous parlez d’animaux vous devez pouvoir trouver chacun des équivalents d’animaux dans les deux langues.
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Certains linguistes plaident pour la définition maximale qui signifie que les « vrais » bilingues sont aussi bien capables de s’exprimer dans une langue que dans l’autre et ont une connaissance identique des deux langues
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Ce sont des guignols qui comparent des pommes et des oranges. Qu’est ce qu’on en a à foutre ?
Typhon
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Vous êtes alors bien seul dans votre définition du bilinguisme parfait alors.
En plus vous disiez plus haut autre chose. Pour vous le bilinguisme parfait ne pouvait exister du fait, selon vous, qu’une langue prévalait forcément sur l’autre. C’est là dessus que réagit, pas sur un problème abscons.
Un peu de lecture pour vous
http://fr.wikipedia.org/wiki/Bilinguisme -
@ Typhon
Hermes est vraiment à côté de la plaque.
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Cascabel :
»Cela donne d’ailleurs de parfaits bilingues.«Hermes :
"chose qui n’existe pas, une langue prédomine toujours l’autre même si l’écart entre elles est très faible au niveau des capacités de maitrise"Il était là le débat, pas ailleurs.
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« Hermes est vraiment à côté de la plaque. »
Cela fait du bien de l’entendre confirmer par un tiers, parce qu’à force de le cotoyer, on finit par ne même plus y prêter attention.
Pour tout dire, j’ai toujours eu du mal à déterminer quelle était la part de n’importe quoi dans ses propos, parce que son mépris de la syntaxe élémentaire est tel que décrypter ses messages est épuisant et jamais complètement possible.
Typhon
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Alors d’une part, je ne suis pas à coté de la plaque, car je persiste et signe à dire que le bilinguisme parfait absolue ou tout ce que l’on veut n’existe pas. En second j’ai sorti ce texte de linguiste issu du lien de wikipedia sur le bilinguisme. Je n’ai pas pas affirmé que j’étais d’accord avec ce texte ou du moins de la préssuposée existaence du bilinguisme « vrai », ce texte n’avait que pour but de montrer que la connaissance identique dans les deux langues, du vocabulaire était un facteur important dans la définition de bilinguisme parfait.
Vous n’avez répondu à aucun des points sus mentionnés, en résumé avez vous une connaissance identique du vocabulaire dans les deux langues ? Je pense que pour ma part l’absence d’affirmation de votre part me démontre que vous n’êtes pas un bilingue parfait ( chose qui selon moi n’existe pas), mais en revanche, je pense que vous êtes surement un bon voir très bon bilingue.
Ensuite j’aimerais que vous répondiez à ma première question et que vous étudiez les liens que je vous ais fourni auparavant.
Cordialement.
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Donc puisque le bilinguisme parfait ne peut exister, forcement on peut dire qu’au final une langue prévaut sur l’autre. Et je pense ne pas être aller assez loin dans mon idée. Je pense que selon les domaines de connaissances une langue est mieux connue qu’une autre et que dans d’autres domaines cela peut être tout à fait l’inverse la seconde sera mieux maitrisé que la première.
Cordialement cher serpent
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Vous savez, les correcteurs orthographiques, ça ne vous empêche pas de vous ridiculiser en confondant les infinitifs et les participe « passer » sic. En revanche, je remarque que vous terminez vos phrases par des points. C’est un progrès notable.
Et moi, je connais quelqu’un dont la mère et le père sont chiliens, et qui parle pourtant français comme si c’était sa langue maternelle, parce qu’il vit en france depuis la naissance et que ses parents sont bilingues à un bon niveau.
Etant donné qu’il suffit d’un contre-exemple pour réfuter une assertion, j’en conclus que vous avez tort. Il est par ailleurs vraisemblables que des contre-exemples de ce genre existent en quantité inépuisables.
Typhon
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Exact Typhon.
Quand on partage deux cultures dés l’enfance, que le milieu permet une pratique quotidienne dans chacune des deux langues et surtout si les parents ont déjà un bon niveau linguistique, alors les conditions sont réunies pour le parfait bilinguisme.
Le cas que vous citez représente un exemple type du parfait bilingue.
L’enfant a d’abord baigné dés la naissance dans les deux univers et les a adoptés comme siens dés le départ. Ensuite les deux langues sont pratiquées quotidiennement (point crucial) et enfin le bon niveau culturel des parents et leur faculté a établir des rapports dans les deux cultures (amis, famille, affaires ou travail) donnent l’exemple et nourissent l’environnement biculturel.Ce n’est donc pas donné à tout le monde et je vois mal un programme scolaire remplacer de telles conditions.
Cela étant dit je connais un cas de bilinguisme où la naissance et le milieu familial des parents n’y étaient pour rien. Mais là c’est vraiment rare.
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Hermes
"Vous n’avez répondu à aucun des points sus mentionnés, en résumé avez vous une connaissance identique du vocabulaire dans les deux langues ? "
A l’heure actuelle je ne suis plus parfaitement bilingue car cela fait quelques années que je ne pratique pas au quotidien la langue de mon pays de naissance. Cela étant dit je n’ai pas perdu mon vocabulaire, j’ai simplement perdu pied, je ne me sens plus aussi à l’aise qu’avant.
Mais je peux lire couramment, sans l’aide du dico. Quand j’étais enfant puis adolescent je lisais à peu près autant de romans dans les deux langues, sans dico et sans effort. Idem pour l’écrit.
Ce qui m’amuse c’est votre obsession sur le vocabulaire. Ce n’est vraiment pas la partie la plus cruciale. Traduire tous les mots d’une langue à l’autre est parfaitement naturel chez un bilingue. Mais le parfait bilingue va plus loin, il rit pleure et « chante » (pas grave si il chante faux) dans les deux langues.
J’ai l’impression que vous faites fausse route avec l’espéranto. Vous restez sur l’idée qu’une langue c’est uniquement des mots. En fait une langue c’est d’abord une culture. Vous ne riez pas pareil en chinois qu’en français, et ce sans dire un mot.
Fuck you, un film qui illustre bien mes propos :
http://www.youtube.com/watch?v=VtBlELjpHAM -
A Cascabel :
Donc selon votre réponse je peux en conclure que vous pouviez me citer le nom de tous les animaux, de leurs petits, des plantes ( en gros tous les exemples que je vous ais dit ) que vous connaissez dans les deux langues sans aucune erreur et sans doute.
Ensuite pour la langue c’est d’abord un moyen de communication et c’est à travers ce moyen de communication que l’on exprime sa culture. Mais je pense pense qu’a un certain stade de maitrise beaucoup mélangent et donc confondent les deux. Car rien qu’avec ma propre langue, si je vais dans différents coins de France, le phrasé, la ponctuation, l’intonation vont variés d’une région à une autre, d’une culture à une autre alors que je vais utiliser mes mêmes mots aux quatre coins de France. Et je pourrais dire la même chose pour l’anglais, dont le vocabulaire est identique en général aux USA et en GB mais donc la culture de chacun des pays voir même de leurs régions en modifie certains aspects de l’utilisation de la langue.
Et pour l’exemple de typhon, il ne montre absolument rien. Seul celui de Cascabel pour le moment démontre que J’ai tord.
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Qui connait tous les noms de plantes et d’animaux Hermes ?
Pas grand monde je pense. Donc ce serait du mensonge si je vous disais que je les connais tous. La botanique à elle seule est une science.Sinon vous soulignez un aspect important, il existe à l’intérieur de chaque langue plusieurs niveaux et plusieures façons de parler. Le vrai bilingue justement reconnait bien ces nuances car il est au courant des réalités sociologiques de chacun des pays, comme un local ou disons un bilocal. Si il ne les connaissait pas il ne pourrait pas évoluer avec aisance dans les deux langues.
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Non la question est : pouvez vous traduire toutes les plantes que vous connaissez dans les deux langues ?
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Sinon pour l’évolution avec aisance dans la langue personne ne le peut parfaitement , tout est relatif, moi même on reconnait mon accent parigot, quand je vais voir un de mes cousins de provence, qui lui a perdu son accent parigot.
Sinon pour en revenir sur les langues avant deux ans, je n’ai jamais considéré que mes enfnats parlaient francais avant deux ans, pour moi ils avaient leur propre langue, une langue qu’ils ont créés, bien sûr en associant les sons de la langue maternelle avec l’objet de leur désir. Quoique que dans certains son je n’ai jamais pu imité mes enfants à cet âge, je pense qu’ils sont aussi capables d’en créer de toute pièce à cet âge ou du moins en voulant reproduire les notres, ils en produisent des imparfaits que nous ne sommes pas en définiteve capable nous adultes de reproduire.
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Et dans mes souvenirs, je n’ai jamais entendu des parents dire que leur enfant parlait français ou comprennait francais avant deux ans. J’ai toujours entendu dire leur language, ou s’adapter à leur language. Donc je pense que se sont plutôt les parents qui apprennent une langue, celle de leur bambin avant deux ans. Mais par contre apprès deux ans j’ai très souvent entendu, il apprend à parler, il commence à parler francais, il dit ses premiers mots intelligibles, ect, ect
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A priori oui.
Si vous parlez tous les jours une langue à la maison et une deuxième à l’extérieur vous n’aurez pas beaucoup de raisons de passer à côté d’un mot. Logiquement vous avez les correspondances.
Ceci étant j’admets que le bilinguisme ne prend pas à tous les coups. Si l’enfant n’est pas motivé, et cela arrive, il privilégiera une langue et une culture sur l’autre. Ou parfois toutes les conditions ne sont pas réunies et l’expérience tourne à la catastrophe. -
Ce qui ne répond toujours pas à la question posé.
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« pouvez vous traduire toutes les plantes que vous connaissez dans les deux langues ? »
Question tout à fait stupide, parce qu’elle présuppose que les plantes que je connais ont toutes des noms vernaculaires dans les deux langues.
C’est idiot à plusieurs niveau : une plante qui a un nom vernaculaire dans une langue n’est pas obligée d’en avoir un dans l’autre, un nom vernaculaire peut désigner plusieurs espèces, et certaines plante n’ont pas de nom vernaculaire du tout, ce qui fait qu’on les désigne par leur nom latin.
Pareil pour les animaux, leur femelles et leurs petits. Il y a des cas ou le féminin n’existe pas, d’autres ou il y en a deux avec deux sens différents (truie/cochonne). Il y a des cas où le nom du mâle n’existe pas ou se confond avec celui de l’espèce (les Hommes)...
Le vocabulaire est le fruit de nombreux siècles d’évolution aussi incontrôlable que les lapins australiens, et vouloir établir une correspondance absolue entre tout les événements d’une langue et entre tout les mots d’une langue et ceux d’autres langues est une idée profondément naïve, qu’on pouvait pardonner à Zamenhof car il est mort avant l’arrivée de la linguistique et à une époque où une « vraie langue » était une langue européenne.
Depuis, les choses ont pas mal changé.
Typhon
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Whaou que typhon est fortiche. Et dire que je n’avais même pas oser en parler car je pensais que mon interlocuteur serait suffisamment intelligent pour prendre en compte ce problème et donc en sous entendu traduire ce qui est traduisible au mot à mot.
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Et la marmotte, elle met le chocolat dans le papier alu...
Si vous tenez absolument à ce qu’on réponde à vos questions, posez-en qui aient du sens.
Typhon
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il suffit qu’il me dise : « oui pour ceux qui sont traduisibles ».
C’est poli et courtois de cette façon.Sinon pour le sens des question, vaste question, qui dépend en grande partie des interlocuteurs et ce que chacun pense savoir de ce que l’autre sache
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