Non, les Français ne sont pas les propriétaires de la France
Protectionnisme ne rime pas avec nationalisme, mais avec ouverture et échange. Plus de nationalisme n’apporterait que moins de protections réelles.

Je marche depuis plusieurs heures dans Pékin. Je laisse mes pas me guider au hasard. Je n’ai jamais trop aimé les guides, je n’aime pas que l’on me raconte les histoires avant que je ne les vive, je veux pouvoir rester surpris.
Quelle importance si je me trompe ou si je « manque » ce qu’il faut « absolument » avoir vu ? Comment pouvoir m’imprégner d’une situation si je ne fais pas d’abord le vide en moi ? Pour découvrir, il faut se penser comme un creux, un vide, une possibilité qui vont se trouver remplis des rencontres. Savoir lâcher-prise.
Donc je suis à Pékin – c’est mon 5ème séjour – et tout à coup, une évidence m’apparaît : l’absence de métissage, ou plus précisément l’absence ou la quasi-absence de personnes venant hors de la Chine. Quel contraste avec nos villes occidentales : Paris, Londres, Berlin, New-York ou Los-Angeles sont devenus des villes cosmopolites où toutes les origines se télescopent.
Là à Pékin, rien de tel. Je repense aussi à mes marches à Dakar, Delhi. Là-bas non plus, il n’y a pas le brassage de nos villes.
Je ressens notre métissage non pas comme un risque, mais comme une richesse et une porte ouverte vers de nouvelles intelligences et de nouvelles possibilités issues de ces mélanges. Notre force en Europe ou aux États-Unis vient de ce mélange. Une des grandes faiblesses de la Chine est sa « fermeture » relative qui limite sa créativité et sa capacité à évoluer dans le futur.
Mais, notre métissage ne sera porteur que si nous ne cantonnons pas « ceux qui viennent d’ailleurs » au ramassage de nos ordures, à la plonge ou à l’épluchage des légumes dans nos restaurants ou les travaux de force dans le bâtiment. Il ne sera pas non plus porteur si chaque communauté s’enferme dans des Chinatown, Little Italy ou « Ici 100% Français ».
Il suppose que nous acceptions l’autre et que nous ne le voyions pas comme le rival, celui qui vient prendre notre emploi – ici ou ailleurs –. L’autre est celui qui a une expérience différente, un regard nourri par son origine et sa culture, une énergie propre. L’autre est celui avec lequel ma pensée, ma compréhension du monde et mon imagination vont être décuplés.
J’entends tout autour de moi des discours de craintes et d’appel au protectionnisme. Mais derrière ce beau mot de « protectionnisme » – qui peut être contre les protections ? –, se cache l’hydre du nationalisme et de l’exclusion.
Vous voulez vraiment revenir au nationalisme ? Qu’allez-vous faire alors de tout notre métissage actuel ? Vous allez renvoyez les millions d’asiatiques présents en France ? Et ceux venus d’Afrique ? Ou vous préférez les mettre dans des camps pour nous protéger ? Vous croyez vraiment que cela va vous protéger ? C’est cela le protectionnisme ?
Ou comme dans des propositions récentes, vous voulez que l’on se protège des importations venant d’Asie ? Une taxe à l’entrée fonction de l’écart de coût salarial ? Un des intérêts d’une telle mesure serait de renforcer notre culture bureaucratique et de créer un nouveau corps de fonctionnaires pour gérer cette « usine à gaz ». Car, comment voulez-vous mesurer réellement cet écart ? De plus, la plupart des produits sont fabriqués en des endroits multiples. Quelle référence prendre alors ? Le lieu de l’assemblage final ? Mais si ce n’est pas l’étape où se crée le maximum de valeur ajoutée, est-ce la bonne idée ?
En admettant que l’on mette en place un tel système, comment imaginer que les autres continents ne vont pas faire de même ? Le risque de récession mondiale ne sera qu’accru, et celui d’une conflagration aussi…
Non vraiment, je ne crois pas que nationalisme rime avec protectionnisme. Nationalisme rime avec appauvrissement des plus faibles, perte de richesse pour l’humanité et guerre.
C’est l’acceptation du métissage et des connexions multiples qui peut permettre un vrai protectionnisme. Sur les bases de cette acceptation, on pourra réfléchir aux systèmes de protection nécessaire. Protectionnisme rime avec ouverture et échange.
Tout ceci ne peut pas se faire en un jour, un mois ou un an. Nous allons avoir devant nous des périodes troublées. Se réfugier dans le nationalisme ne fera qu’accroître les troubles et freiner le vrai protectionnisme.
Finalement, notre société, nos sociétés sont des corps vivants qui grandissent, évoluent et changent d’horizon.
Pour un être humain, le premier horizon n’est que celui du sein de sa mère et de la chaleur du regard de sa famille immédiate. Puis progressivement par étape, il va élargir son cercle initial et, à l’âge adulte, pouvoir s’hybrider avec le dehors.
Il en est de même pour nos sociétés. Elles sont nées dans des cavernes, ont ensuite grandi dans des villes et des nations. Elles doivent aujourd’hui s’émanciper, s’hybrider pour atteindre un nouveau stade d’intelligence collective.
Ce n’est pas parce que nous sommes nés en France que la France nous appartient. En tant que « Français d’origine », nous sommes porteurs d’une culture, d’un point de vue sur le monde et d’une histoire. Notre responsabilité est d’avoir le courage de nous ouvrir pour les hybrider avec celle des autres.
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142 réactions à cet article
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je ne cherche pas à recueillir des suffrages, mais à provoquer un débat pour confronter mes idées, les enrichir et affiner leur formulation
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Je suis assez d’accord avec les remarques de l’article, les remarques pratiques s’entend.
Je pense qu’effectivement chaque individu doit pouvoir s’il le désire et fait un effort (non surhumain) avoir la possibilité de vivre en Français.
Ce que je nie absolument c’est cette façon de vouloir (la volonté donc) de métissage des cultures. les cultures, les idées ne se valent pas, il y en a toujours une qui prévaut. A vouloir mettre à égalité ses propres idées avec celles des autres, différentes, on donne un désavantage décisif aux siennes. C’est ce qui arrive actuellement à la France, qui sans forcer la réalité, est vouée à la disparition certaine (je ne crois plus que ce soit encore réversible).
Je donnerais quelques exemples : désapprentissage du vrai français (structuré) dès l’école, mais jusque dans les lois et dans les entreprises. Disparition du service national (qui était un élément intégrateur forcé). Exclusion de toute élite financière hors de France (donc prise de décision économique à l’étranger avec la France devant s’aligner) avec aussi une dépossession organisée des Français, etc -
Votre article est intéressant.
Je suis en désaccord pratiquement point par point.
D’abord vous confondez (volontairement ou non) « diversité » et « métissage » qui sont deux conceptions différentes. La deuxième citée venant se substituer à la première après son échec prévisible.
Ensuite les évolutions que connaissent les sociétés occidentales déboucheront à un moment ou à un autre sur un clash. Il se produira lorsque telle communauté ne sera plus, ne saura plus si elle est en situation de dominer ou d’être dominer sur un territoire donné appelé nation... Cette période de transition démographique sera la période de tous les dangers.
Nos hommes politiques, nos irresponsables l’ont bien compris, mais ils savent qu’il est trop tard pour éviter l’écueil. Alors de la diversité, qui suppose la juxtaposition de comunautés et phénotipes différents qui deviendront antagonistes, ils nous exhortent au métissage. Métissage des cultures, mais aussi biologique... une tradition française selon M. Sabeg.
Personnellement je n’ai aucune envie de voir mon pays se métisser d’islam... Quand je vois la dernière trouvaille des Afghans « modérés » (pas les Talibans) je m’inquiète de ce qui adviendra lorsque les adeptes de cette religion seront en position de force dans mon pays.
http://www.lemonde.fr/asie-pacifique/article/2009/04/01/l-afghanistan-prevoit-une-loi-liberticide-pour-les-femmes_1175377_3216.html
http://www.lemonde.fr/asie-pacifique/article/2009/04/11/loi-sur-la-femme-un-responsable-afghan-denonce-l-invasion-culturelle-occidentale_1179774_3216.html-
non je ne confonds pas diversité et metissage, et c’est bien de metissage que je veux parler, c’est-à-dire de s’hybrider au sens culturel du terme. Je vous conseille sur ce thème la lecture des livres de Michel Serres (singulièrement « le tiers-instruit »)
Ensuite, ce mélange n’est la volonté de personne c’est le fruit de l’évolution : l’accroissement de la population mondiale, les transports, les déséquilibres de revenus qui amènent des populations à quitter leurs pays d’origine, des régimes politiques plus attractifs que d’autres...
Il est docn illusoire de penser que l’on va revenir en arrière : le monde de demain sera hybride et il faut apprendre à vivre dedans.
mais oui vous avez raison, nous sommes face à une période très dangereuse...
Enfin il n’estp asquestion de se métisser avec l’islam, ou une autre religion précise, mais de s’enrichir du point de vue des autres (mais oui il y a des belles choses dans la culture arabe !) -
Bonjour Robert, moi aussi j’ai voyagé un peu et du coup me vient une question suite a vos propos : Quel est le moteur de votre envie d’ailleurs ? C’est bien la diffrence, la decouverte de lieux et de gens different non ? Imaginez juste un instant un monde globalisé et metissé à outrance, qui aura gommé toutes les difference, qu’elle tristesse !!
Sinon juste une remarque la France actuelle et né apres le chutte de l’empire romain en 476, elle est donc le fruit d’un long « metissage » entre les gaulois, les romains, les differente invasion de barbare dont le francs etaint le plus nombreux. mais le resultat de cela c’est que les gaullois et leur culture ainsi que le latin (langue officiel) a disparu. Et a laissé place au Francs et au Francais. On peut donc en conclure, au vu de l’histoire, qu’il n’y a pas de juxtapostion durables des cultures, langues, contumes, etc... mais forcement le remplacement et donc la diparation d’une au profit de l’autre...Donc , l’illusion de la richesse, par la multiplication des cultures, se transforme inévitablement en un apauvrissement sur le long terme...non ? -
@007
Effectivement un des plaisirs majeurs de voyage est la confrontation avec des différences.
Les multiplications des échanges actuels, le brassage des populations risquent effectivement de les diminuer. Plus le métissage sera effectif, moins elles existeront. Mais tout ceci sera très progressif.
A noter que même sans métissage, on a actuellement une uniformisation par le bas par la multiplication d’offre marketing standard.Ensuite je ne crois pas que le métissage produise un appauvrissement, car il produit de nouvelles idées. La France a digéré la culture romaine et l’a hybridé avec celle venue des gaulois : la culture française n’est pas la culture romaine.
Sur ce thème, je vous conseille la lecture du Tiers-instruit de Michel Serres (pas facile à lire mais très riche sur le thème de l’enrichissement par le mélange) -
Les français sont les indigènes de la France.
Typhon
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Bébert cosmopolite et fière de l’être, a chacun ses mauvais goûts. L’islam est effectivement un enrichissement culturel important pour notre pauvre civilisation occidental judéo-chrétienne, la charria et ses oripeaux, va élever la conscience universel des hommes.
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Un article dans la droite lignée du nihilisme Benetton, idéologie grotesque qui rejette l’idée (et à vrai dire la réalité) d’un monde multipolaire où des différences physiques et culturelles seraient présentes d’un peuple à l’autre, et pas seulement d’un individu à l’autre.
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Yvance77 21 avril 2009 12:49Bonjour Mister Branche,
C’est vrai que d’un coup des copains vous en aurez moins, mais bon c’est pas le souci.
En fait les luttes commencent lorsque on veux expliquer la diversité source de bien des richesses à l’Auvergnat, le Normand ou l’Aveyronnais ... issus de la Terre. Cela ne passe pas chez eux et ne passera pas.
Le mec il n’est pas capable de faire la liaison entre fromage au lait cru, moulé à la louche par une fermière bretonne, vendu sur un marché d’antan aux connaissances de village ou de quartier. Ils ne concoivent pas qu’un coloré puisse aussi aimer ces choses là et les ressentir.
Alors de là à ce que ceux-ci se revendiquent de Roland de Ronceveaux il y a des kilomètres, qu’ils ne seront jamais prêt du reste, à se les faireJe suis en couple avec une Russe et la différence on la fait parfois sentir, même si elle est issue de la bonne assimilation possible, car blanche de peau et cela passe ... mais pour certains malheureusement ce ne sera jamais le cas de prétendre à l’assimilation.
A peluche
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Ce que vous dites est de moins en moins vrai, et des « colorés » comme vous écrivez sont parfaitement intégrés dans des communes rurales ici et là sans que cela pose problème.
Cela fait même très longtemps que Kofi Yamgnane est maire de Saint-Coulitz, un bled tout ce qu’il y a de plus rural en bordure des Monts d’Arrée !
Les difficultés se posent, exactement comme en banlieue, lorsque le nombre d’immigrés (particulièrement africains) dépasse le seuil de tolérance au delà duquel les gens se sentent agressés dans leur mode de vie.
Ce phénomène existe même avec les Anglais en certains lieux où leur nombre est particulièrement important, et il n’est pourtant pas question là d’Islam. -
L’homo sapiens sapiens a frôlé l’extension à une période de son histoire, et ne comptait plus que quelques milliers d’individus. Rendez-vous compte, l’humanité toute entière pas plus nombreuse qu’une petite ville de province !
Pour autant, leurs descendants (nous-même) ont pu survivre, se disperser et se rediversifier sans être complètement abrutis par la consanguinité. Donc à part si votre « civilisation » ne regroupe qu’une dizaine de personnes, je ne vois pas comment elle pourrait sombrer dans la dégénérescence.
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@ Robert
N’étant ni raciste ni nationaliste, j’ai longtemps pensé comme toi sur ce sujet. A présent, je trouve que c’est de l’angélisme idéaliste. Le multiculturalisme, c’est très bien entre cultures ayant des atomes crochus et à peu près la même conception des droits de l’Homme et de l’être ensemble. Il faudrait être complètement aveugle ou d’une mauvaise foi en béton armé pour ne pas observer que certains immigrés sont inintégrables et ne veulent d’ailleurs pas s’intégrer réellement dans les divers territoires européens. Dès lors il ne peut y avoir que la naissance de guettos. Tu n’ignores pas que le melting pot étatsunien n’est qu’un mythe : en fait, les populations d’ethnies ou de cultures différentes se mélangent très peu et les tensions raciales sont très grandes.Je ne suis donc pas d’accord avec ton opinion, mais je la respecte.-
Il faut aussi garder à l’esprit que, contrairement à ce que semble penser l’auteur, des populations entières ne s’exilent pas pour le seul plaisir de « mêler sa culture à l’Autre ». Les guerres, les famines, les massacres sont bien souvent à l’origine des flux migratoires et, donc, les principaux artisans des sociétés hétérogènes sur lesquelles semble fantasmer l’auteur...
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@ Cobalt-59
Tu as tout à fait raison. Il est en fait très rare qu’on choisisse d’émigrer pour le simple plaisir de coexister avec des gens appartenant à une autre culture que la sienne. Dans l’immense majorité des cas, cela se passe pour des raisons économiques et marginalement pour des raisons politiques ou religieuses (droit d’asile).Ayant pas mal bourlingué, je comprends ce qu’a ressenti l’auteur à Pékin : c’est vrai que la société Chinoise est très homogène… et que les Han sont parmi les pires racistes que j’ai pu rencontrer. Cette homogénéité peut paraître oppressante, surtout quand on est un Blanc isolé au milieu de ces foules. Mais de là à idolâtrer les foules multicolores des mégalopoles occidentales, il ne faut pas exagérer. Ça frise même l’esthétisme. -
@Marsupilami
Je ne suis pas du tout un « angeliste », au contraire je suis un réaliste et j’ai l’occasion par mes voyages et mes activités de me frotter à bon nombre de cultures et de religions.
Je ne crois pas non plus au multiculturalisme : le fruit d’un métissage n’est pas une juxtaposition, mais l’émergence d’une nouvelle culture à construire ensemble.
Oui le meltingpot type ONU n’est pas la solution, mais un point de passage.
Oui les tensions sont grandes.
Oui nous vivons une période dangereuse.
Mais il est illusoire de croire que l’on peut éviter cette naissance collective -
@Cobalt
Je n’ai jamais dit que les populations avaient migré volontairement. Leur migration vient effectivement des écarts de niveau de vie, des problèmes dans certains cas de survie locales ou de troubles politiques. Et oui, elles auraient préféré rester là où elles étaient.
Mais ce mélange est un état de fait dû largement à la croissance de la taille de l’humanité et aussi à l’existence des transports physiques (qui permettent le déplacement) et numériques (qui montrent notre « richesse »).
Mon propos est de dire que cette situation est une « chance » pour construire ensemble en acceptant de se mélanger -
@ Robert
A propos de melting pot étatsunien, je suis allé voir Grand Torino. Du très très grand Eastwood, magistral, magique, transcendant, bouleversant. Et Clint joue formidablement le personnage de ce vieux raciste haineux en pleine rédemption christique.Quant aux mélanges… comme toi j’ai beaucoup bourlingué, et partout j’ai constaté la même chose : le racisme et des communautés religieuses, ethniques, nationales et/ou culturelles qui dans le meilleur des cas vivent plus les unes à côté des autres que vraiment ensemble. Et dans le pire des cas qui se foutent vite sur la gueule dans des réflexes communautaristes.Très rares sont ceux qui ne sont pas des « imbéciles heureux qui sont nés quelque part », comme chantait Brassens… qui suppliquait pour être enterré sur la plage de Sète de son enfance. C’est con mais c’est comme ça. -
@Robert
Une « chance » ?
Je veux bien qu’on considère l’immigration comme un défi social, ou comme une responsabilité sérieuse vis-à-vis de l’Humanité, mais ça n’a rien d’une « chance » pour le pays accueillant, notamment si on considère les sempiternels conflits sociaux et les pressions économiques exercées sur les salaires des emplois sans qualification. Encore une fois, les migrants n’ont pas pour objectif d’apporter quelque chose à leur pays d’accueil, mais simplement de survivre en fuyant le leur (ce dont on serait bien en mal de leur reprocher).Qu’est ce qui vous laisse penser un seul instant que notre société a besoin de migrants pour se construire et perdurer ? Vous devriez songer - même si c’est un peu ringard j’en conviens - à visiter votre propre pays, au lieu de bourlinguer aux 4 coins du monde. La France et ses régions ont déjà leurs propres richesses culturelles sans qu’il ait besoin d’en importer en catastrophe, en surfant sur les tragédies humaines du monde entier.
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@Marsupilami
Il est vrai que notre planète est d’abord peuplé d’égoïsme de partout (je n’ai jamais dit que les Français étaient plus nationalistes que les autres... ils ne sont ni pires ni meilleurs).
Mais vu la densité humaine, vu les échanges croissants de population (et à nouveau il est illusoire que l’on pourra revenir au système précédent), nous devons tous changer d’ attitudes et devenir plus collectivement « adultes » et ouverts aux autres -
@Cobalt
Tout d’abord je passe l’essentiel de mon temps en France et aime mon pays : je vis en partie à la campagne.
Oui le mélange issu des migrations est d’abord un défi : elle pose des problèmes majeurs aujourd’hui et pour les années à venir. Mais mon propos se situe plus en dynamique (je me rends compte que ma rédaction initiale n’était pas assez claire, mais le but de mes articles est de lancer le débat et de m’amener à préciser mon point de vue...) : le mélange est source de richesse, la fermeture est appauvrissement. La vie nait de la complexité et des différences (voir Edgar Morin notamment).
Notre société n’avait peut-être pas besoin de migrants (mais comment aurions-nous fait fonctionner notre pays sans eux ?), mais ils sont là, bon nombre sont maintenant français autant que vous et moi (au sens de la nationalité française) : de mon point de vue, ceci peut être une force pour le futur.
Quand je vois la violence de bons nombres de commentaires (pas les vôtres), il y a de quoi être un peu inquiet ! -
« le mélange est source de richesse, la fermeture est appauvrissement »
L’antienne par excellence des hérauts du mondialisme, mais qui s’effondre d’elle-même si on la confronte aux faits. Si le Japon, le Royaume-Uni ou même la Bretagne ont une telle singularité culturelle par rapport aux régions qui les entourent, c’est parce que leur isolement géographique a longtemps permis une quasi-rupture avec le reste du monde. Le repli sur soi n’est pas la mort pour une nation, c’est juste l’assurance qu’elle cultive sa propre identité et qu’elle ne se résumera pas à un « patchwork culturel » des pays extérieurs.
C’est d’autant plus vrai pour la diversité de l’espèce humaine. Jamais une telle différence physique ne serait apparue entre, disons, un suédois et un éthiopien, si ces deux peuples n’étaient pas géographiquement aussi distants et donc isolés l’un de l’autre. Les différences physiques ne se créent pas individuellement au sein d’une espèce, mais toujours par l’intermédiaire de groupes ethniques isolés qui évoluent chacun dans leur sens.Une autre chose m’interpelle dans votre discours. Vous parlez souvent de ce qui peut émerger des mélanges culturels, ethniques, etc, mais jamais de ce qui y périt... Vous encensez la culture américaine « éclectique » qui croît de siècle en siècle, mais vous occultez l’essentiel : celle-ci n’a pu pousser que sur les décombres d’anciennes civilisations, exterminées depuis. Je ne suis pas sûr que tout ce qui vient progressivement combler ce « vide culturel » ait plus de valeur que ce qui y existait déjà...
« mais comment aurions-nous fait fonctionner notre pays sans eux ? »
Le français moyen a deux bras et deux jambes. Il est aussi capable que n’importe quel nord-africain. Je ne vois pas où aurait été le problème, si ce n’est que les patrons n’auraient pas pu exploité leurs travailleurs comme ils l’ont fait, compte tenu du niveau de conscience syndical qui était déjà présent et suffisamment robuste dans l’ensemble des classes populaires françaises de cette époque."mais ils sont là, bon nombre sont maintenant français autant que vous et moi (au sens de la nationalité française)"
Bien sûr, et il est d’autant plus important d’affirmer le modèle français par l’assimilation (pas seulement par l’intégration !) au lieu de laisser se ghetto-iser les banlieues sous prétexte qu’elles n’appartiendraient pas à la France (cf votre titre) -
@Cobalt
"Bien sûr, et il est d’autant plus important d’affirmer le modèle français par l’assimilation (pas seulement par l’intégration !) au lieu de laisser se ghetto-iser les banlieues sous prétexte qu’elles n’appartiendraient pas à la France (cf votre titre)"
Donc nous sommes d’accord puisque ceci s’est précisément le métissage : l’assimilation va toujours dans les 2 sens. Je n’ai jamais dit qu’il fallait attirer de nouveaux migrants, mais comprendre que notre richesse de demain venait du mélange d’aujourd’hui. Tout cela pour effectivement éviter les ghettos -
- Donc nous sommes d’accord puisque ceci s’est précisément le métissage : l’assimilation va toujours dans les 2 sens.
Je parle d’assimilation, pas de fusion.
C’est aux immigrés de se fondre dans le moule français, pas l’inverse.- Je n’ai jamais dit qu’il fallait attirer de nouveaux migrants
- mais comprendre que notre richesse de demain venait du mélange d’aujourd’hui
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Encore un propagandiste du métissage .
La lecture de sa fiche où on pêut lire qu’il travaille pour des multinationales nous éclaire
sur les buts mercantiles poursuivis par le métissage : détruire les racines identitaires de l’individu et en faire un parfait petit consommateur zélé des produits et services vendus par ces
entreprises .-
@marcel
Je ne suis un propagandiste de rien, j’explique seulement mes idées. Le fait que je travaille pour des multinationales n’ a rien à voir avec mon propos, sauf que cela me donne l’occasion de voyager et de me confronter à des cutltures et des religions différentes. Mon propos est tout sauf « faire de nous des consommateur zélé » !
Si vous lisez mes articles, vous verrez que j’en appelle à un pouvoir politique capable de faire vraiment le contrepoids face aux entreprises mondiales.
Les multinationales tirent notamment leur force de la juxtaposition des pays et des tribus. Elles auront moins de pouvoir quand les hommes se seront unis et métissés (au sens noble de mélange des cultures et des expériences comme l’aborde Michel Serres dans le Tiers-Instruit) -
et quant nous serons tous metisse ou seront les differences quant dans le monde tout le monde sera pareil de pekin a toulouse de moursmank a johannesbourg quelle tristesse
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Article trop politiquement correct pour ne pas frôler la tartufferie.
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@Massialote
Non, mon propos n’est pas « politiquement correct » : le « politiquement correct » actuellement c’est le nationalisme et une version historique et dépassées (selon moi) du protectionnisme.
Je ne suis pas « Tartuffe », je dis réellement ce que je pense, pour le mettre en débat, au risque d’être minoritaire... -
« harcelles » , s’écrit avec un seul l ,je crois, capitaine cradock !
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Jojo 21 avril 2009 14:15… Que quelqu’un dise au donneur de leçons et néanmoins « insultateur » précoce, qu’il pêut enlever son chapeau …
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Jojo 21 avril 2009 14:26Avant que des copains à moi ne rappliquent, vous avez mis un seul d à Craddock, d’où mon commentaire, mais si ce n’était pas volontaire alors mea culpa pour le procès d’intention... « Si » évidemment.
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@ Robert Branche,
Comment ! Vous avez séjourné à Pékin sans mettre votre col Mao, faute de goût, vous ne vouliez pas ressembler aux autres ? Pourtant le métissage est aussi se fondre dans la masse, l’individualité avec des gens comme vous, finira par disparaître, enfin, si on vous laisse faire, car ce n’est pas gagné.-
Vous faites fausse route : sans rentrer dans le détail de ma vie privée (ce n’est pas l’objet ici ! ), je n’ai pas simplement séjourné à Pékin, mais ai vécu pendant plus de 3 ans avec un chinois (un vrai !). J’ai donc pratiqué ce métissage dont je parle ( aussi avant j’ai vécu avec un noir américain, polonais et un italien...)
De plus ce ne sont plus les chinois qui portent de col Mao mais Jack Lang et parfois Jacques Attali -
@ Robert Branche,
Je n’ai que faire de votre sexualité, mais essayez de vous faire un gendarme, avec une touche de bleu, la palette sera parfaite. -
Je ne vois pas bien ce que ma sexualité a à voir dans l’affaire !
Je n’ai rien contre le principe d’autorité, si c’est ce que voulez dire au travers de votre exemple de « gendarme ».
Je pense aussi que la France est un beau pays, avec une historie riche de sa tolérance et de notre capacité à avoir accepté des mélanges successifs.
Une des questions maintenant face à l’accélération des échanges, des migrations, à l’explosion de la taille de l’humanité, de savoir si en France et ailleurs nous aurons la capacité ou non de créer ensemble une nouvelle humanité qui ne soit pas faite de haines et de juxtapositions -
« Le territoire français est le patrimoine commun de la nation. »
Code de l’urbanisme, article L. 110, loi 83-8 du 7 janvier 1983.
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oui le patrimoine de tous ceux qui s’y trouvent...
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Bonjour,
Je vous encorage à lire les interventions d’Emmanuel Todd vous comprendrez que :
- protectionnisme n’est pas synonyme de nationalisme
- protectionnisme n’est pas synonyme d’autarcie
Un peu déçu par cet article qui n’est rien de plus qu’un galimatias de poncifs et d’amalgames entre métissage génétique et économie (la bioéconomie n’a pas encore trouvé son héraut je le crains).
De plus la France n’a pas attendu ce billet pour avoir le sang mêlé. Le métissage ne s’ordonne pas, il s’opère avec le temps et selon le degré intégration des populations arrivantes. Pour l’heure, au lieu de s’en prendre aux Français (d’origine et fraîchement naturalisés), prenez-vous en aux responsables politiques qui emploient plus l’immigration comme une arme économique (baisse des coûts salariaux) et électoraliste (en faveur du communautarisme contraire à l’idéal républicain). Or tout pays à une capacité limitée d’accueil comme d’intégration, et si de bonnes conditions ne sont pas présentes pour permettre l’intégration (qui débouche en général sur le métissage) alors il y a ghettoïsation ou/et rejet par la population dominante.
Et pour en revenir à la sphère macro-économique, je le répète : le protectionnisme est pragmatique et social là où d’autres idéologies sont sectaires et destructrices des relations humaines.
Cordialement
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@ Yannick Harrel,
Comment voulez vous que Bébert , dénonce les multinationales et la politique qui va avec, puisqu’il est un de leurs représentants, mieux il les conseille.
Lorsque vous consultez son cursus, tout devient clair, il fait parti des élites occidentales post 68, qui ont amenés le monde d’aujourd’hui ou il est ! aux portes d’une guerre mondiale.
Et puis que croyiez vous qu’il fait en chine, du tourisme ! -
Je connais les positions d’Emmanuel Todd, mais je ne les partage pas.
Ceci dit, oui bien sur, le métissage ne peut pas se faire sans veiller à son rythme et il faut veiller à éviter le ghettoisation. Mais je parle d’un objectif et d’une perspective. Si on est d’accord sur la direction, discutons de la trajectoire ;
Donc notre divergence est sur la vision macro-économique... -
@Jackback
Non je ne faisais pas du tourisme en chine : j’ai vécu plus de 3 ans avec un chinois et est créé avec lui une société de mode franco-chinoise...
Le fait que je travaille pour des mutlinationales m’a donné la possibilité de voyager et de connaître bon nombre de pays, cultures et religions
Et merci pour le « Bébert » ! -
Désolé mais le principe même de démocratie est que chacun a le droit de s’exprimer et, oui ce que j’écris est ce que je pense et rien de plus ! Ensuite, si la majorité ne suit pas, le principe démocratique s’applique. Je ne cherche pas à être majoritaire mais à faire part de mes réflexions.
Si elles ne vous intéressent pas, ne me lisez pas.
Un autre objectif pour moi est de lancer des débats sur des sujets critiques. Et donc mon ton est volontairement plus « carré » que ma pensée pour provoquer ce débat. Dans mon livre à venir, il sera plus modulé !
Ensuite, je n’ai jamais dit que l’Europe était plus prête que les autres, mais que c’était une situation de fait : comme nous sommes plus riches, que nos pays sont moins denses, que nos systèmes sont démocratiques, nous avons attirés des hommes venant de tous les pays du monde, et nous nous retrouvons métissés.
On peut le regretter, « rêver » de revenir à des états anciens où les ethnies et les cultures vivaient séparément. Je pense que c’est illusoire et impossible. Et en plus je suis convaincu que nous allons ressortir plus riches de toutes ces différences, une fois qu’elles se seront métissées, et non plus seulement juxtaposées -
le « métissage », dit de manière assez crue, est l’accouplement de deux personne de sexes opposés et de « couleurs » et, peut-être même de culture, différentes. c’est avant tout une affaire privée qui concerne 2 individus majeurs libres de leur choix selon leur sentiments. il n’y a rien a redire a cela.
le problème est d’en faire un projet, politique. pourquoi en faire l’apologie, pourquoi se mêler de la vie privée des gens.
sur le fonds votre article pose l’apport des cultures étrangères a une culture nationale, ce qui est une évidence, et en ce qui concerne la Chine, cet apport n’est que de surface, limité a un aspect pragmatique.
mais la question du protectionnisme, qui est un concept économique, n’a rien a voir, avec l’apport des cultures étrangères et des idées neuves, qui, elles, se moquent bien de frontières, mais plutôt déterminé par la distance entre 2 points, même a l’époque d’internet
ensuite, vous n’expliquez pas en quoi « l’acceptation du métissage et des connexions multiples qui peut permettre un vrai protectionnisme » ou alors quel que chose m’a échappé.-
totu d’abord bien sûr je n’utilise pas le mot métissage dans le sens « sexuel », mais dans le sens de métissage des cultures, de mélanges (voir le livre Le Tiers-instruit de Michel Serres).
Il ne s’agit donc pas de vie privée, mais de projet collectif : voulons-nous ou pas mélanger nos cultures et nos expériences pour nous enrichir mutuellement ou voulosn-nous rester juxtaposés ?
Mon propos n’est donc pas l’apport des cutlures étrangères à une culture nationale, mais d’une transformation mutuelle avec l’émergence d’une nouvelle culture collective.
Enfin vous avez raison, dans cet article, j’explique peu mon affirmation sur le fait que, pour moi, le vrai protectionnisme - c’est-à-dire la capacité de protéger des individus face à des évolutions collectives et notamment économiques - vient de ce métissage.
J’y reviendrai... -
@ Robert Branche
NON, nous ne voulons pas mélanger nos cultures, nous préférons défendre notre identité et nos acquis, nos traditions, notre culture. Nous pouvons certes aller chercher à l’étranger ; à titre individuel, des influences culturelles qui nous attirent mais cela ne doit en aucun cas nous être imposé par les tenants du politiquement correct - qui eux-mêmes sont rarement en contact direct avec les populations immigrées -. Il est anormal d’accueillir des populations illettrées et non accoutumées à la vie urbaine et d’espérer que ces personnes qui vivent à plusieurs siècles de nous puissent cohabiter harmonieusement avec les natifs. Non, l’excision, les femmes voilées, les caïds et autres racailles, les bandes de voleurs ne sont pas une chance pour la France.
Nous n’avons que faire d’une culture qui donne comme précepte moral de « ne pas manger la chèvre avec laquelle on a forniqué » ! Plusieurs siècles vous dis-je ! -
Stéphane Bouleaux 21 avril 2009 15:56@l’auteur
que de betises dans votre article !
Vous vous croyez chez les bisounours ?.Je vous invite à venir dans le nord, du coté de lille sud, d’euralille, de tourcoing et roubaix.
Vous profiterez alors du metissage, des voiles, des regards plein d’amour de nos sympathiques immigrés ou « nouveaux francais ».Ca vous changera de l’uniformité chinoise.
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@seb59
oublie pas ceux qu’on ramasse la nuit sur les docks de Calais et dans les bois alentours !
de la graine de gaulois ! lol ! -
c’est précisément parce que le mélange des origines est une situation de fait - et singulièrement dans les banlieues - qu’il faut en faire une atout collectif, et sortir de cet affrontement latent
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@L’auteur
Votre article est excellent du point de vue de l’argumentation mais c’est votre conclusion qui « fout » tout par terre : « Ce n’est pas parce que nous sommes nés en France que la France nous appartient. »
L’internationalisme et la suppression totale pour tous les êtres humains n’existe que dans les voeux pieux. Sont français TOUS ceux qui sont nés en France quelle que soient leurs origines. Réussissons à correctement gérer notre diversité avec tous les nationaux, ce sera un pas vers mieux ...
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ok dont acte. Mais je prenais le mot « nés en france » dans le sens étroit et nationaliste (cf. toutes les réactions à mon article !)
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Totu d’abord mon but premier est le débat : je pense que les idées sortent des débats et des confrontations. J’ai volontairement simplifié et caricaturé ma propre pensée pour le provoquer...
Comme vous, je pense que la globalisation a déréglé beaucoup de situations et produit pas mal de gâchis. Mais c’est une situation de fait qui est provoqué non pas par la volonté ou l’intention d’un groupe d’hommes ou de sociétés, c’est le résultat d’effets de systèmes multiples : explosion de la population des hommes, développement des transports terrestres, inégalités entre les zones géographiques qui induisent des transferts d’activités (des zones riches vers les zones pauvres pour abaisser les coûts) et des hommes (en sens inverse : les hommes cherchant à rejoindre les zones riches), internet et technologies de l’information qui ont permis aux entreprises de fonctionner golobalement et aux hommes de voir les différences...
Imaginer que l’on pourra revenir en arrière est pour moi une vue de l’esprit : nous sommes déjà trop mélangés !
De plus, je vois une richesse potentielle à ce métissage.
Mais cela suppose une changement des règles collectives, et de ne pas laisser cela être dirigé par des entités économiques.
Donc je crois qu’effectivement à court terme, tout le monde est dans la m..., que ce n’est pas terminé.. mais que le mieux est possible derrière ! -
Prose classique d’un ultralibéral apatride dont le seul souci est le profit.
Et comme en général, ces personnes ne subissent que rarement les conséquences des idées qu’ils préconisent, ils persistent dans leur délire.
S’ouvrir aux autres ce n’est pas abdiquer ce que l’on est.-
1. Je ne suis pas un apatride. Je suis français de naissance et de culture. Mais j’aime vivre avec des gens venant d’autres origines car de ce mélange, j’en ressors plus riche (non pas financièrement mais culturellement)
2. Mon souci n’est absolument pas le profit. Si vous lisez mes différents articles ou mon livre, vous y verriez que dès l’année dernière j’évoquais les risques de la dsérive de la sphère financière et en appelait à d’autres logiques.
3. Je vis de mes idées et seulement de cela, donc si elles sont inadéquates, j’en subis des sanctions directes !
4. S’ouvrir aux autres, passe d’abord par un abandon de soi-même, ce qui n’est pas une abdication. Pour attirer l’eau, il faut être un « creux » -
Cher Capitaine .
Vous avez tout compris !!!!Le reste n’est que du bla bla bla bla bla.
Entre le coeur et la raison ??????Vive le coeur !!!!! -
A quoi cela rime-t-il de comparer un quartier chinois avec une ville occidentale ? la Chine avec l’universalisme de façade de l’Occident ? la Chine n’a jamais prétendu émanciper les hommes. elle s’assume donc comme elle est et sans emmerder les autres peuples non asiatiques.
et vous savez , en Afrique noire on trouve que des noirs aussi ,enfin les occidentaux se planquent loin des populations.
est- il seulement utile de le rappeler que les sociétés européennes ghettoisent les populations non occidentales.
Et si la civilisation occidentale avait tt simplement des limites....-
Je ne compare pas une ville chinoise. J’ai juste utilisé cette « métaphore » d’une marche dans Pékin comme une amorce de mon article. Manifestement la rédaction n’a pas été heureuse !
Effectivement en Afrique, il n’y a pas de mélange.
Ce sont dans nos pays riches que toutes religions et races cohabitent. On peut le vivre comme un problème ou une menace. Je le vois plus comme une chance -
polo 21 avril 2009 21:40Ce billet est un véritable voyage au pays des Bisounours. À quoi bon voyager
aux quatre coins du monde si c’est pour avoir une vision aussi désespérément
naïve de l’être humain ?
Que vous le vouliez ou non l’être humain a très souvent un attachement charnel et viscéral au sol et à la culture qui l’ont vu naître. Il préféra bien souvent crever plutôt que de les voir disparaître dans cet immonde galimatia communautariste, qui est le corollaire de la mondialisation. L’immigration extra-européenne inassimilable à été IMPOSÉE aux autochtones par des irresponsables ; d’un côté des idéalistes biberonnés au mondialisme, de l’autre des grands patrons avides de grouillots taillables et corvéables à merci. Il faut être aveugle pour ne pas voir les nuages qui s’amoncellent partout en Europe, l’exaspération sourde face à des gens qui ne VEULENT pas s’intégrer.
Tout cela finira dans un bain de sang, j’en suis maintenant persuadé.-
Je comprends votre pessimisme. Je ne le partage pas : je crois que l’on peut sortir « par le haut » en tirant parti d’un métissage.
Ce n’est pas une vision naïve, c’est une vision d’espoir. Même si cette vision n’est pas majoritaire, je ne suis pas non plus un illuminé isolé ! Lisez par exemple Michel Serres ou Edgar Morin... -
Encore un bobo qui prone la mixite mais qui se garde bien d’habiter en banlieue...
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Si justement, les Français sont propriétaires de la France.
Ils sont propriétaires de la France du fait de leurs aïeux qui ont creusé, fortifié, embelli cette terre à un point tel que des millions d’entre-eux sont morts pour avoir repoussé les envahisseurs de tout bord, et ce depuis Clovis, Phillipe Auguste, Jeanne d’Arc, sans oublier 1870, 14/18, 39/45.
Ils sont propriétaires de la France parce que leurs terres sont des propriétés privées, chèrement acquises au cours des temps, patiemment, à force de privations, tout comme la fourmi de la fable.
Et vous, grand pourfendeur du nationalisme, vous en êtes réduit, ainsi que vos confrères des grands groupes style Bildeberg et autres, à porter en exergue le drapeau du libéralisme le plus égoïste - car vous ne pensez qu’à vous- et le plus ringard qui soit., drapeau à côté duquel flotte celui du multiculturalisme avancé rendu obligatoire par un certain président.
Vous ne vous rendez même pas compte que plusieurs nations , et non des moindres, prennent de plus en plus des mesures drastiques de protectionnisme.
En fait, vous êtes le héraut de la dhimmitude la plus totale, tranquillement au chaud dans vos maisons hyper protégées, sans que vous ayez un seul mot pour ceux qui vivent, jour après jour, heure après heure, cette diversité, chance pour la France.
Je vous plains, mais je ne vous salue pas , Mr Robert Branche-
le fait que nos parents aient construit la France ne fait pas de nous des propriétaires, mais nous permet de naître favorisés par rapport aux autres nations. Cette histoire s’est aussi construite sur beaucoup d’injustices et d’exploitation de ces pauys (d’abord via l’esclavage, puis la colonisation, et enfin par la captation de la valeur ajoutée en sous-payant les matières premières et des mains d’oeuvre sous qualifiées).
Aujourd’hui le monde a changé : la population mondiale explose (nous allons être bientôt 10 Mds d’hommes), l’impact sur l’environnement est global, les populations ont migré (souvent contre leur volonté et simplement pour survivre, mais c’estfait), internet rend visible les injustices et en même temps les facilite par la mondialsiation des activités.
Si nous continuons à penser le futur à partir du passé et de nos égoïmes historiques (des frnaçais qui se sentent propriétaires et veulent défendre leur « richesse » - mais au fait c’est quoi être frnaçais ? être né en France ? avoir 3 générations ? - et des africains qui nous rappelent l’esclavage... et les chinois ???), on est vraiment parti pour détruire notre planète et nous tous avec ! -
On n’est propriétaire de rien en ce bas monde, mais le peu de temps qu’on y passe, on aimerait bien que ce soit pas à longer les murs dans la peur de se faire agresser, pour rentrer en catimini dans un hall d’immeuble où des tas de jeunes « métisses qui sont une chance pour la France » sont venus uriner.
Les étrangers ? Oui on les aime et on les respecte, surtout ceux qui viennent pour occuper un emploi et qui nous respectent en retour. D’ailleurs ceux là je les appelle des français, et je m’en fou bien pas mal qu’ils soient métissés, noirs ou jaunes, voire, même, clandestins.
Ceux qui viennent pour les allocs, chargés de livres de prières liberticides, pleins d’exigences et de protestations, on s’en passerait. Tenez, on seraient même gentils au point de vous les envoyer en Chine. On verrait bien s’ils la ramèneraient autant là bas.
Vos belles idées vous savez à présent ce qu’on en pense. Et leurs fétides conséquences doivent être assumées par des pauvres gens - de toutes les origines - qui n’ont pas comme vous le fric suffisant pour aller visiter cinq fois la Chine et « philosopher en glanant ».
Donc, OUI, la France est aux français, pas aux idéalistes qui n’ont aucun respect pour les gens qui travaillent dignement.
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Une remarque préalable d’abord concernant la Chine : je ne m’y promenais pas, mais y travaillais.
Mais oui vous posez un vrai sujet avec l’insécurité. Mais c’est un autre sujet qui n’a pas à voir avec le mélange des origines (vous le dites vous-mêmes).
Comme vous le dites, on peut « travailler dignement » en France (ou ailleurs !) quelque soit son origine. Donc le vrai débat devrait être celui-là : la question n’est pas le débat sur les origines ou même sur un débat sur ce qu’est ou a été la France, mais sur le projet collectif de ceux qui s’y trouve aujourd’hui.
Il s’agit effectivement de reconstruire des solidarités et d’éviter les comportements opportunistes de chasse aux allocations (il y a plein de « vrais français » qui en sont des spécialistes et plus que d’étrnagers !) et les attaques contre la sécurité. -
Tout à fait d’accord.
Mais vous conviendrez que pratiquer une immigration massive en période de naufrage économique, de mondialisation impitoyable, dans un pays qui ne dispose désormais plus que d’un système social financé à dette croissante, ce n’est peut être pas la meilleure idée pour encourager à vivre ensemble dans l’harmonie.
Comme la société coule, beaucoup de ces braves gens d’origine immigrée tombent dans un repli identitaire et je doute qu’ils soient justement pour le métissage. Sauf en chansons ou en insultes, lorsqu’ils exaltent des thèmes aussi merveilleusement exotiques que « je nique la France ! ». A côté, c’est sûr, chanter la Marseillaise, c’est violent.
Vous êtes sûrement un brave type, du moins je ne discuterai pas vos opinions si j’avais supposé dès le premier instant que vous êtes de mauvaise foi. Vos idées sont louables, mais la nature humaine ne changera pas pour autant. Admettez le : à petite dose, contrôlée, l’immigration est une chance et le métissage marche spontanément.
Mais l’immigration à forte dose et le métissage décrété par l’état, ça s’appelle un génocide culturel appuyant une invasion.D’autant plus que les migrants en question sont majoritairement musulmans et que nous avons à présent assez de recul sur ces populations pour savoir que la minorité visible qui les représente désormais est très intolérante, fière, agressive et militante.
Au départ nous accueillions des maghrébins laïques, que nous n’avons probablement pas assez respectés. A présent nous faisons des courbettes devant des fous d’Allah qui rêvent de nous éliminer. Ces gens là détestent notre culture et ruinent tous les efforts qu’auraient pu faire leurs pères et grands pères pour être acceptés.
Ca finira dans le sang, pour le malheur de tout le monde. Mais « mélanger le sang », c’est bien ce que vous suggérez non ? Sauf que vous ne pensiez sûrement pas à cette fin là.
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je ne pense pas qu’il faille faire une politique massive d’immigration ! Effectivement ce ne serait pas la bonne idée : d’où l’importance d’aider l’Afrique à s’en sortir.
Mais la mixité est déjà une réalité chez nous, même sans nouvelle immigration.
Vous dites que « la société coule », je crois ceci vient beaucoup de nos égoïsmes : je ne parle pas de ceux qui vivent en France et qui ont des difficultés, mais de ceux qui n’en ont pas et ont surtout peur de perdre leurs avantages.
Soit nous arrivons à construire des solidarités, à - dans ce sens - nous métisser, soit ce sera - comme vous le dites - le bain de sang. Je ne me résouds pas au pessimisme.
Sur la religion musulmane, je crois qu’il ne faut pas la caricaturer. Il y a des extremistes dans toutes les religions (la catholicisme comme les autres !). Ce qui m’inquiète, c’est la montée de tous les extrémismes religieux (catholiques, juifs, musulmans...) -
Je suis d’accord avec vous. Nous n’avons pas la même appréciation des responsabilités des uns et des autres, mais votre conclusion, je la partage.
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Vous voulez vraiment revenir au nationalisme ? Qu’allez-vous faire alors de tout notre métissage actuel ? Vous allez renvoyez les millions d’asiatiques présents en France ? Et ceux venus d’Afrique ? Ou vous préférez les mettre dans des camps pour nous protéger ? Vous croyez vraiment que cela va vous protéger ? C’est cela le protectionnisme ?
Ou comme dans des propositions récentes, vous voulez que l’on se protège des importations venant d’Asie ? Une taxe à l’entrée fonction de l’écart de coût salarial ? Un des intérêts d’une telle mesure serait de renforcer notre culture bureaucratique et de créer un nouveau corps de fonctionnaires pour gérer cette « usine à gaz ». Car, comment voulez-vous mesurer réellement cet écart ? De plus, la plupart des produits sont fabriqués en des endroits multiples. Quelle référence prendre alors ? Le lieu de l’assemblage final ? Mais si ce n’est pas l’étape où se crée le maximum de valeur ajoutée, est-ce la bonne idée ?@ l’auteur,
De quoi parle-t-on exactement ? Vous semblez mélanger le protectionnisme économique face aux marchandises pléthoriques et produites à bas prix et les politiques de flux migratoires mises en place par les états. Si ces dernières peuvent apparaître comme inhumaines et indignes d’états de droits (ce qu’elles sont par ailleurs dans certains cas), le protectionnisme peut s’avérer être une pratique économique efficace si elle est appliquée avec intelligence. Que croyez-vous que le Chine fasse avec des salaires mensuels 10 à 20 fois moins élevés qu’en Europe sinon du protectionnisme ?
Maintenant, imaginer une ouverture totale de nos frontières comme votre article semble le suggérer relève au mieux d’une méconnaissance de l’histoire de l’immigration en France, au pire d’une bêtise sans nom. Savez-vous comment vivent les clandestins en France ? Et croyez-vous que cela risque d’évoluer favorablement avec la crise que nous traversons ?
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quelques précisions.
Je ne crois pas que les flux migratoires soient le résultat de politiques des états, mais sont dus aux écarts de revenus et au manque d’emploi dans les pays d’origine. Ils ne sont voulus par personne, mais sont le résultat du système actuel.
Concernant le protectionnisme, je pense que les approches nationales qui sous-tendent la plupart des raisonnements ignorent la réalité actuelle où les situations humaines et économiques sont beaucoup trop emmêlés pour pouvoir fonctionner : la plupart des processus de production font intervenir un grand nombre d’usines localisées dans de multiples pays, or on ne parle souvent que de la localisation de l’usine d’assemblage final.
Enfin je ne parle pas d’une ouverture totale des frontières, mais d’une acceptation du métissage actuel pour en tirer parti. Et effectivement de se poser la question des conditions de vie actuelles en France des clandestins -
La culture c’est d’abord l’affirmation de sa différence :
Il n’existe pas de métissage culturel, uniquement des confrontations avec des gagnants et des perdants.Votre vision est celle des bien-pensants européens qui voient la culture
comme un produit exportable et humaniste, et non comme une façon de s’identifier à un groupe en opposition aux autres.Et ce depuis la nuit des temps.-
Je ne suis pas d’accord avec vous : la culture peut aussi émerger du mélange. Les Etats-unis sont un bon exemple d’émergence d’une culture issue des émigrants européens qui venaient de différents pays
-
@ L’auteur
"Je ressens notre métissage non pas comme un risque, mais comme une richesse et une porte ouverte vers de nouvelles intelligences et de nouvelles possibilités issues de ces mélanges. Notre force en Europe ou aux États-Unis vient de ce mélange. Une des grandes faiblesses de la Chine est sa « fermeture » relative qui limite sa créativité et sa capacité à évoluer dans le futur."
C’est tellement niais que ça mériterais un prix en la matière. Quand je lis des gens comme vous, qui tirent des diagonales sociologiques aussi large à partir de lignes aussi courtes, j’ai presque honte d’être occidental, tant il n’y a que parmi nous qu’on peut trouver des gens qui osent penser par un prisme aussi étroit, tout en prétendant tendre à l’universel.
Je vais me dispensez de commenter l’aspect occidental du propos, et vous faire une simple remarque sur l’aspect chinois de votre prose. Saviez vous que la Chine compte 56 ethnies, et qu’elles ont entre elles des rapports essentiellement hiérarchisés et/ou antagonistes ? Que pensez vous de toutes les analyses qui prévoient que la Chine sera la première puissance mondiale dans les années à venir ?-
contrairement à ce que vous semblez croire, j’ai moins un prisme occidental que cela ! Mais il est vrai que le raccourci d’un article peut amener à des malentendus ou des incompréhensions !
Concernant ma remarque sur la Chine et son côté « fermé », je visais essentiellement le fait que c’est un « empire » qui est resté toujours très centré sur lui-même et a eu très peu d"échanges avec l’exterieur (à part économique). Oui il est composé de plusieurs ethnies avec des rapports hiérarchiques entre elles, mais dans un jeu fermé et constant depuis 2000 ans. Le tout cimenté par un langue écrite commune, ce qui fait que les intellectuels chinois n’ont pas eu à faire face à la notion de traduction (qui aide à métisser sa pensée).
Enfin tout ceci n’est pas une vue occidentale, mais d’un occidental (je ne peux pas nier mes origines !) qui a pris le temps de confronter à pas mal de cultures et de pensées, et a vécu 3 ans avec un chinois...
Enfin quant au fait que la Chine sera une grande puissance demain c’est une évidence. Mon propos est de dire que notre meilleure chance est de tirer parti du métissage pour inventer de nouveaux projets collectifs -
Ce catalogue de pensée creuse et de belles idées sans application pratique passe totalement à côté de la question centrale de la question migratoire, qui est : à qui donc ça profite, et à qui ça coûte. Pour préciser ma pensée, je me contenterai de faire remarquer que lorsqu’un travailleur du tiers-monde émigre en France, il est rare qu’il prenne le travail d’un patron Français, d’un cadre de direction Français, ou même d’un journaliste Français. On peut donc considérer que du point de vue du journaliste, du cadre de direction ou du patron, « l’immigration est une chance pour la France », puisque ce n’est pas lui qui va se retrouver en concurrence avec un gars qui est prêt à faire le même boulot que lui pour deux fois moins cher et sans couverture sociale. Au contraire, en abaissant ainsi le coût du travail et - plus important encore - en décourageant toute contestation des salariés en place (parce que « c’est ça ou la porte, y’en a dix qui attendent ta place »), le patron et ses laquais comprennent bien qu’ils vont se partager une part plus grande du gâteau.
-
Je n’aborde dans cet article effectivement le point que vous mentionnez et sur lequel je suis assez largement d’accord. Il explique pourquoi ce mélange s’est créé.
Mon propos est de partir de la situation actuelle et de prendre acte de ce métissage. Même si celui qui était venu était un ouvrier, ses enfants peuvent être cadre ou journaliste !
Je reste convaincu que nous sommes potentiellement riches de ces cultures différentes qui sont présentes sur le même territoire -
@ L’Auteur :
Si vous étiez une Dinde vous voteriez pour la Noël ? !
Je vais vous communiquer une grande nouvelle qui vous concerne, comme nous tous d’ailleurs ! Vous êtes ni plus ni moins qu’un prédateur.
Qu’il arrive en France un milliard de pauvres gens, grâce à votre grand cœur et votre générosité sans frontière…. ! Fini pour vous les voyages en Chine…. ! Et bonjours le partage de la pauvreté.
Adieu, les ordinateurs pour écrire des stupidités, comme celles contenu dans votre article d’allumé !
Vous êtes un plaisantin mon cher Monsieur !
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c’est effectivement la bonne question : sommes nous condamnés à rester des prédateurs ?
Si la réponse est oui, nous voilà mal parti compte-tenu de notre nombre actuel, et la densité atteinte : nous allons nous entretuer.
J’espère que nous pouvons dépasser ce stade. Ce n’est pas être un plaisantin, mais être optimiste ! -
Article grotesque. Est-ce un canular ?
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Bois-Guisbert 21 avril 2009 23:51Je ressens notre métissage non pas comme un risque, mais comme une richesse et une porte ouverte vers de nouvelles intelligences et de nouvelles possibilités issues de ces mélanges.
Comme au Belize ou au Guatémala, en somme... C’est prometteur, y’a pas à dire... Il y a déjà la Guyane qui offre un avant-goût. Et Mayotte aussi.
Vivement demain !-
Je propose cette magnifique chanson à monsieur robert branche :
http://www.youtube.com/watch?v=89GyeOqvkb4&feature=related
c’est tout à fait le monde dans lequel il vit.
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Bois-Guisbert 22 avril 2009 00:12Voici ce qu’écrivait Marsupilami, aujourd’hui à 13h14 :
Il faudrait être complètement aveugle ou d’une mauvaise foi en béton armé pour ne pas observer que certains immigrés sont inintégrables et ne veulent d’ailleurs pas s’intégrer réellement dans les divers territoires européens. Dès lors il ne peut y avoir que la naissance de guettos.
Et voici ce qu’écrit Paul Nizon, dans Le ramassement de soi (éd. Actes-Sud, 2008) :
« Ce qui a lieu à Paris en ce moment, je pense que c’est bel et bien un déferlement de la périphérie sur le centre. Ils ne sont pas les messagers d’un autre monde qui cherchent ici asile ; ce ne sont pas des hommes en grand nombre qui viennent faire l’apprentissage de Paris ou de l’Europe. Ce sont des pans entiers de l’Afrique, du tiers monde et du quart monde, qui se déversent chez nous, voulant à peine savoir où ils sont et nullement disposés à travailler à leur intégration ; ils installent leur Afrique ou autre en plein Paris, que cela nous convienne ou non. » (p. 244)
Ce texte remonte à 1984. Il y a 25 (vingt-cinq !) ans, la communautarisation était déjà en place et ça ne s’est pas arrangé dans l’intervalle. Taguieff et les observateurs du communautarisme, ne préparent lpas a guerre de 39-45, mais la franco-allemande de 1870, chassepot, Gravelotte, cuirassiers de Reichshoffen et Bourbaki !-
@ Bois-guibert
Hélas tu as raison, bien que je vomisse ton point de vue raciste et d’extrême-droite. Tu es un sale con, mais même les sales cons dans ton genre ont parfois raison. -
Bois-Guisbert 22 avril 2009 08:33« Je suis bien content que votre message n’ait pas été censuré. »
Moi aussi, et pas parce que je suis maso. Parce que la liberté d’expression inclut le droit à l’insulte non humiliante.
« Voyez-vous, je ne le signale même pas : je n’ai jamais signalé de message… »Moi non plus. Mais pas seulement parce que « chacun est libre de dire ce qu’il veut », tout simplement parce que j’aurais honte d’être une balance.
« Je vais vous dire pourquoi Bois-Guisbert est un sale con : parce que vous ne savez pas lui répondre. »
A mon avis, il y a aussi autre chose. A sa façon, Marsupilami mène le même combat que nous. A sa façon, ça veut dire avec un bras attaché dans le dos. Comme il en est conscient, il ne nous pardonne pas notre liberté d’esprit, à nous qui nous sommes affranchis du poids des convenances politiquement correctes.
-
Salut Marsu,
putain, un tel adoubement ça me ferait réléchir
La lepenisation des esprits c’est ça.
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Bois-Guisbert 22 avril 2009 10:19Salut Marsu, putain, un tel adoubement ça me ferait réléchir
La lepenisation des esprits c’est ça.
Et vous avez maintenant, Abgeschiedenheit, la démonstration irréfutable et définitive de l’inoffensivité de Marsupilami, que la complaisance même de Masuyer ramène au rôle d’anti-islamiste de pacotille. -
@ masuyer
Ignoble procès d’intention, d’une bassesse qui te décrédibilise. Balaye devant ta porte, quand tu te fais, au nom de ton gauchisme altermondialiste et de ton relativisme culturel, le complice des islamistes qui rôdent sur Agoravox. -
Marsu,
j’étais sur que je te mettrai en colère, comme Bois-Guibert l’a fait.
@ Bois-guibert
Hélas tu as raison, bien que je vomisse ton point de vue raciste et d’extrême-droite. Tu es un sale con, mais même les sales cons dans ton genre ont parfois raison.C’est pas que Bois-Guibert a raison ou tort, c’est que so n raisonnement (lol) s’appuie sur des préjugés dont tu es tout autant farcis. Je sais que tu es super fort pour décrypter les conneries des gauchistes de mon genre et qu’on ne te l’a fait pas, mais visiblement t’es très perméable aux conneries d’extrême-droite. N’y vois nul procès d’intention, c’est juste que Guibert et Rex t’ont niqué (j’emploie cette expression afin que Rex se lance dans un de ses laius sur le langage des allogènes, en général ça me fait pisser de rire, en plus je te tutoie).
Quant à ma complicité avec les islamistes supposés d’Avox, j’attend de ta part quelques exemples.
Tu vois ce qu’on appelle « la gauche » a pour le moment perdu la bataille idéologique. Et le conflit israelo-palestinien, ou la stupide thèse d’une opposition Islam-Occident en est un révélateur. La gauche se bouffe sur les bases idéologiques de la droite. Pour une part, la critique d’Israel vire à la haine des juifs, pour les autres la critique de l’Islam à la haine des musulmans. En attendant les Bois-Guibert et consorts n’ont qu’à jeter de l’huile sur le feu.
-
@ Masuyer
Procès d’intention stalinien lamentable. Etre contre l’entrisme islamiste en Occident n’est ni de droite ni de gauche, mais civilisationnel. Evidemment, ça crée des porosités entre droite et gauche, et j’avais déjà évoqué ça avec toi à propos des ambiguïtés de Riposte laïque sur ce sujet. Personnellement je suis très clair : je ne suis pas raciste, je suis anti-islam à fond (vu que c’est actuellement la religion la plus dangereuse) et je conchie l’extrême-droite. Evidemment mon anti-islamisme attire comme des mouches à merde les racistes et l’extrême-droite qui confondent races et religions, ce que je ne fais pas. L’Islam est une religion à vocation universelle (en principe du moins). Il y a des musulmans et des islamistes blancs, noirs, bruns, jaunes et cela n’a pour moi aucune importance. L’essentiel, c’est la dangerosité intrinsèque d’une idéologie qui dure très longtemps - pardon, d’une religion. Un peu comme le bolchevisme, si ça te dit quelque chose, camarade. Ça te va ? -
MERCI TOUJOURS SYMPA UNE PAUSE BISOUNOURS !
En échange, je vous propose d’aller écouter celle-là : http://www.youtube.com/watch?v=qBkQq2OUpsQ-
Bois-Guisbert 22 avril 2009 00:29Robert Mideau, graveur, à Ferdinand Maréchal, dit Le Dabe, faux monnayeur : - Vous n’aimez pas la musique ?
Ferdinand Maréchal, dit Le Dabe : - Si, mais la vraie, pas la musique de singes.
Le Cave se rebiffe, réalisation de Gilles Grangier, dialogues de Michel Audiard. -
Bois-Guisbert 22 avril 2009 08:18Ce n’est pas rien, par les temps qui courent, de connaître le Miserere de Gregorio Allegri. Tous mes compliments. Cela vous distingue heureusement de « nos » multiculturels qui ne connaissent pas plus Couperin que Charpentier, Berlioz, Saint-Saëns ou Debussy.
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Comme si être contre le metisage tout crin, signifiait qu’on est pour la consanguinité.bien sur que la pureté de la race n’existe pas, on dit par ex que les Français de souche sont aussi des métis, c’est sans doute vrai, mais il s’agit d’un métissage qui s’est fait dans les millénaires, ça n’a rien à voir avec le métissage accéléré qu’on cherche à infliger au population.On peut accueillir, au compte-goutte, des gens assez différent, mais le grand métissage que défendent actuellement les « élites » européennes n’est rien d’autre qu’un grand reniement, une trahison, rendant impossible toute identification au passé comme à nos références communes actuelles. langue, valeurs,la communauté de moeurs ne seront pas modifiés si nous acceptons le projet qu’on nous vend partout : elles disparaîtront.le monde est toujours le meme simplement les idéologies raciales remplacent les autres avant on avait les aryens c’est cool maintenant "on a le métisage ren libre
Moi j’ai hâte que l’Humanité n’ait plus qu’une seule couleur, qu’un seul sang en commun, et qu’un mec un jour vienne dire que pour éviter l’isolement et la consanguinité il faut aller baiser des extra-terrestres.
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Voila bien l’article coca-cola qui me faisait défaut.
Ponsifs, mievreries bobos, et autre téeffinades de base pour un monde qui s’en va devant vos yeux ébahis et que l’on veut retenir a tout prix.
Oui La france appartient aux francais et mieux encore a tous ceux qui se reconnaissent dans le droit de se battre dans la dignité pour que leur histoire ne soit pas donnée au premier va nu pied, qu’il soit riche ou pauvre.
France réveille toi et jette a la poubelle de l’Histoire tous ces corrompus et autres métèques qui viennent profiter de ton, notre histoire.
"Qui sait si l’inconnu qui dort sous l’arche immense,
Mêlant sa gloire épique aux orgueils du passé
N’est pas cet étranger devenu fils de France
Non par le sang reçu mais par le sang versé ?"-
Charles Pasqua que j’ai connu, était patriote ! Mais, ayant fréquenté le milieu politique, il est devenu un bandit sympathique… ! Car lui est resté patriote… !
Il y a plus de 20 ans, il a déclaré : « La France sera le Liban de l’Europe… ! ».
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Prédications illégales
Berlin 1939-1945-
Il y a les croyances, les désirs et les faits. Dans ce dernier cas les chiffres existent :
qi moyen des chinois : 106 (malgré des conditions sociales difficiles),
qi moyen des blancs caucasiens (europe + russie) : 100
qi moyen des noirs (USA et étudients de la fac de Johanesburg) : 85 ce qi apparait comme celui de la race noire encore qu’il y ait 20% de “mulâtrage” blanc ce qui remonte le qi,
qi moyen des noirs sub-saharien : 70 (lié aux conditions alimentaires et sociales).
Les enfants mélangés ont un qi moyen à mi chemin entre les parents les + intelligents et les - intelligents.
Les qi sont à 80% d’origine héréditaire (sauf sub sahariens qui en raison des conditions défavorables ont une héritabilité de 50%).
Les USA, pays multiracial par excellence ont un qi moyen de 90, et les populations conservent cette hiérachie des qi : asiatiques de l’aest, blancs, latinos et tous derniers noirs.
Les faibles qi affichent une passivité sociale et une plus grande utilisation des aides sociales.
Quant à la consanguinité, elle n’existe pas aux USA, en Europe ou en Asie. Seule l’Afrique centrale affiche un taux de consanguinité.
Pasou1-
C’est une blague cet article ou l’auteur croit vraiment à ce qu’il écrit ?
Bisounours il faut se réveiller. Comprendre que le projet mondialiste, porté ici par l’Europe de Bruxelles, est hideux. Qu’il vise à détruire les Nations, les Etats, les génies nationaux et les solidarités.
Contre l’idéologie mondialiste et les béniouiouis friqués qui la suivent, votons le 7 juin aux européennes, ne leur faisons pas ce plaisir de nous abstenir. Et votons libre, loin du prêt-à-penser médiatique !
http://www.levraidebat.com-
En lisant cet article traduit mais publié en 2008
http://www.polemia.com/article.php?id=1811
les conclusions sont simples : l’angélisme et le grand melting pot mêne au suicide des blancs, et pire, au risque d’une baisse du qi moyen de la France, et donc à une remise en cause de la survie des populations blanches.
Pasou-
Surtout que l’histoire prouve que le mélange le plus explosif c’est un même territoire de vie partagé par des peuples de races différentes, de cultures différentes et de religions différentes (Tchétchénie, Grèce, Maghreb, Turquie, Espagne, ex-Yougoslavie, etc...).
Les peuples, de par leur éloignement racial, culturel et religieux ne sont pas toujours compatibles. Les rapports dans des rencontres temporaires au sommet des élites pour des intérèts généralement commerciaux de haut vol, ne doivent pas faire oublier ces incompatibilités.
Que peuvent devenir dans un pays dont le qi moyen des autochtones est de 100 (blancs caucasiens) ou 106 (asiatiques) , des populations dont le qi moyen est 85 (noirs) voir 70 (noirs sub sahariens), même si bien sur, il y a des exceptions. Que peuvent faire sur un même territoire de vie des gens qui portent mini jupes, des string et qui ont les seins à l’air sur la plage et qui considèrent qu’homme et femmes ont les même droits, avec des gens qui considèrent les femmes commes des êtres infantiles et qui considèrent ceux qui n’adhèrent pas à leur religion comme des êtres impurs dont les droits sont minorés par rapport à eux ?
La réponse est purement démographique : à partir d’un certain pourcentage d’individus trop différents (+-10% de la population), les gens reproduisent un mode de vie qui est leur mode de vie du pays d’origine, les minorités deviennent influentes, et les autochtones rejètent ces minorités. Ce n’est peut-être pas dans la morale des temps actuels, en tout cas pas celle que veulent imposer certaines élites, mais ce sont les faitset les faits ne s’embarrasent pas de la morale ou des croyances et ne pas tenir compte des faits et leur préférer les illusions c’est prendre le risque de l’explosion.
Que se passera-t-il lorsque ces populations vont encore croitre et devenir majoritaire ? ... les blancs raseront les murs et descendront du trottoire quant ils rencontreront un musulman sur leur passage ?
Pasou-
« Les Français ne sont pas propriétaires de la France »
J’espère qu’AGORAVOX est censuré en Chine sinon ça doit bien rigoler autour du wok au fond des siheyuan.
Cinq fois en Chine à rêvasser pour nous resservir ces poncifs du bien-penser chers aux enthousiastes du défaitisme culturel occidental.
Les chinois eux, pendant ce temps, se sentent bien propriétaires du Tibet.
Pour faire court :
- métissage des races et des couleurs : ça peut être sympathique
- métissage culturel : dans l’étude de ce que pensent les autres, il y a certainement des choses à apprendre et à retenir
- métissage par l’invasion d’une culture religieuse intolérante et rétrograde, non !
Je revendique pour la France le droit de choisir ses invités. Et je ne vois pas au nom de quel goût au suicide collectif on nous somme de résoudre les problèmes démographiques
du monde musulman.
En nouveau voyage en Chine s’impose
Deevin-
Vous basez votre article sur le fait que le métissage soit une richesse.....je croyais que nous étions génétiquement tous identique....en quoi cela serait-il une richesse d’être noir, jaune, ou blanc ?
De quel droit nous dites vous que les chinois nous sont inférieurs car non métissés.
(Je provoque un peu volontairement)
Il n’y a pour moi AUCUNE différence entre affirmer qu’une race « pure » est supérieure ou qu’affirmer qu’une société métissée est meilleure.-
mais aucune race n’est pure ! Elle est toujours issue d’un métissage à un moment ou à un autre
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Je serais curieux de savoir ce qu’il faudrait « métisser » parmi les populations africaines ou asiatiques pour aboutir sur une population blanche de type européen...
Une fois de plus, vous négligez totalement la prépondérance du facteur « isolement » qui - lui seul - permet à une population d’évoluer vers quelque chose de différent du reste du monde. -
@L’auteur,
Il n’y a pas si longtemps, j’écrivais sur cette antenne deux articles qui s’intitulaient « Migrer, pour vivre ou survivre ».
La gentille Epeire m’avait commenté mon article en s’étonnant que « Je suis étonnée que tu ne te sois pas fait davantage attaquer sur un tel article ».
Ma réponse fut « plus que le précédent, probablement. Nous sommes au temps présent et non plus passé. Les migrations sont un fait des sociétés et non pas de société. Elle est parfois voulue, mais plus souvent poussée dans le dos par des événements que l’on ne manage plus. Comme je l’exprimais, les pays demandeurs de la main d’oeuvre croient toujours que l’on peut sélectionner la crème et laisser le reste, c’est à dire, la famille, en dehors du coup. Un véritable leurre, un mirage ».
Il est vrai que j’avais le fil rouge d’un magazine du Monde avec des chiffres, des cartes à l’appui.
Ici, ce qui est intéressant c’est la vue sur « place ». Ces voyages étaient-ils en tant que touriste ou visiteur ?
Tous les mots en « -isme » doivent être pris avec des pincettes.
Ce sont souvent des traitres. L’idéalisme n’est parfois que mimétisme.
Si AV me prette vie, je reviendrai très vite sur ces problèmes majeurs de notre temps.-
J’oubliais, je suis loin d’avoir un esprit « français » pur et dur. Je ne suis qu’un p’tit Belge. Vous savez juste un peu au dessus. Un étranger, quoi.
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Mes voyages sont des mélanges de tourisme, travail ou vie partagée (plus ou moins longue) avec des personnes issues de ces pays.
Oui les migrations sont plus subies que voulues et sont la conséquence des jeux sociaux (de l’interaction humaine).
J’ai centré mon propos sur la France, car c’est le pays dans lequel je vis et j’écris. Mais j’aurais pu aussi bien écrire : Non les allemands (ou les américains ... ou même les belges) ne sont pas propriétaire de l’Allemagne ’(ou les USA ou la Belgique)... et ceci est même vrai pour la Chine et l4Inde.
Que nous voulions ou pas, vu le nombre que nous sommes et vu l’impact de nos interactions (la crise financière en est un exemple récent), nous sommes condamnés à vivre ensemble et à tirer parti des mélanges et des interactions... donc à nous métisser (ce qui ne veut pas dire nous uniformiser au sens marchand du terme, bien au contraire) -
Bois-Guisbert 22 avril 2009 16:48nous sommes condamnés à vivre ensemble et à tirer parti des mélanges et des interactions...
Comme les Slovènes, les Croates, les Serbes, les Bosniaques et les Monténégrins ?
Il faudrait réfléchir un peu aux précédents historiques afin de comprendre non pas ce qui pourrait se passer, mais ce qui nous pend au nez !
Vous pensez réussir en France, avec des Français, des Européens, des Arabes, des Subsahariens et des Chinois - qui, actuellement, vivent les uns à l’insu du plein gré des autres -, ce que les Yougoslaves ont raté avec des gens culturellement proches les uns des autres et quelques siècles de vivre plus ou moins ensemble ?
Si tel est le cas, c’est pire que de l’utopie, c’est du délire ! -
Robert Branche est venu nous apprendre une grande nouvelle :
La France n’appartient pas aux Français, puisque l’Algérie n’appartient pas aux Algériens qui la fuient comme si on y attrapait la gale.
Ne cherchons pas plus loin : Robert Branche, s’il avait vécu à l’époque, aurait collaboré avec les Anglais pendant la guerre de cent ans.
Le renversement qui est en cours dans l’opinion publique, qui se dégage peu à peu de l’emprise de la pensée unique, nous promet quelques centaines de nartics au ton larmoyant sur Agoravox. Des nartics qui nous chanteront que tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil, à l’exception de quelques bougres qu’il vaudrait mieux tuer avant qu’ils ne fassent trop de mal.
Les « sionistes » etc.
Le nombre de nartics sera proportionnel à la prise de conscience qui se fait jour cahin-caha.
De vols en meurtres et de tabassages en viols .
Il ne reste plus qu’à attendre la goutte qui fera inéluctablement déborder le vase. Chaque jour qui passe nous en rapproche un peu plus.-
Mais si !
« Le territoire français est le patrimoine commun de la nation. »
Code de l’urbanisme, article L. 110, loi 83-8 du 7 janvier 1983.-
Admirons au passage, mais nous avons désormais l’habitude, cette piteuse tentative de dévier le problème de l’immigration de communautés musulmanes inassimilables vers un problème racial.
Ce dont les Français ne veulent pas, et notre amusant auteur le découvre un peu tard, c’est de l’irruption en France de traditions, de coutumes et de moeurs qui constituent une terrible régression pour notre société, à l’heure où la concurrence avec d’autres civilisations qui savent rester cohérentes, comme la civilisation Chinoise, s’annonce particulièrement difficile.
Car cette immigration intempestive, dont on ne peut plus cacher que les Français ne la souhaite pas, porte atteinte :
1) Aux principes républicains et aux principes de laïcité de l’Etat.
2) Aux fondements démocratiques de notre société, dont le moins qu’on puisse dire est qu’il ne sont pas compatibles avec les conceptions coraniques qui datent du haut Moyen-Age.
3) Aux droits des femmes, à leur dignité et au principe d’égalité des sexes.
4) A la sécurité des communautés israëlites françaises qui n’ont pourtant rien demander à personne.
5) A la sécurité publique.
6) A l’indépendance de la politique Française, vis à vis d’intérêts qui nous sont étrangers.
7) A l’indépendance de notre pays, vis à vis de conflits qui ne nous regardent pas.
Et qui ruine des institutions aussi fondamentales pour notre vie publique que sont l’Education Nationale ou la Sécurité Sociale, qui sont l’expression de la solidarité nationale.
Par ailleurs, il serait bon qu’une commission had hoc fasse le compte exact de ce que cette immigration coûte réellement à notre pays. On a soigneusement évité de faire ce compte jusqu’à présent, car on sent bien qu’on provoquerait des émeutes si on le calculait et si on le rendait public.
Tout ceci n’a rien à voir avec le « métissage » que notre amusant auteur peut bien pratiquer à titre personnel, sans que personne ne s’en offusque. Sa vie privée ne nous intéresse pas.
Et celà n’a bien sûr rien à voir avec la race. La meilleure preuve en est que les communauté asiatiques sont les bienvenues en France, où elles ne provoquent aucun rejet, tandis que les communautés musulmanes ne cessent de poser des problèmes.
C’est ainsi, nos amis n’y peuvent rien et il leur faudra enfiler beaucoup de sophismes et proférer beaucoup de mensonges pour le faire oublier.-
Il y a des choses dans la culture occidentale, comme le rationalisme classique cartésien, celui essentiellement mécaniste, celui qu’on applique à l’humain sans aucun discernement, ou encore le concept de dichotomie, de division à l’antinomie ; autant de pratiques inacceptables qui me donne envie de gerber. Il y en a d’autres dans les cultures du monde, comme dans la culture chinoise ou asiatique, comme le concept de tao, le bouddhisme, le yin et de yang, plus basées une logique de complémentarité que celle d’opposition occidentale ; autant de choses qui m’inspirent ! Bien sûr il y a des choses qui se passent en Chine qui me donnent également envi de gerber !
Vive le métissage, vive le brassage des cultures ; mais ceci peut très bien se faire sans la mondialisation économique qui n’est qu’un pur sophisme, qu’une une lubie de libres échangistes affairistes désireux de faire du monde un seul système économique quand l’économie mondiale, visiblement, est composée d’un ensemble d’économies nationales !
Vous y aller plutôt fort : « Non, les Français ne sont pas les propriétaires de la France ».
Il n’est pas question de propriété, de protéger la propriété « FRANCE », il est simplement question d’un choix de société ; celui d’une société démocratique et républicaine... et d’un système économie idoine, qui, pou être ouvert, nécessairement ouvert, pour autant, ne doit pas être permissif et ouvert à tout et surtout à n’importe quoi ! Que vivent alors, et sans aucune contrainte, le libre échangisme, le libéralisme économique, comme leur corollaire le capitalisme financer, qui sont pourtant largement à l’origine de la crise financière, puis économique, on peut même ajouter écologique, et sociale actuelle.
Vous dites : « Protectionnisme ne rime pas avec nationalisme, mais avec ouverture et échange. Plus de nationalisme n’apporterait que moins de protections réelles ».
Si, protectionnisme rime avec nationalisme, de même que libre échangisme et libéralisme économique rime visiblement avec néocolonialisme ! Protectionnisme et nationalisme sont des paroxysmes : des abus doctrinaux et dogmatiques manifestes et notoires ; ils sont d’ailleurs souvent le pendant d’un libre échangisme ou d’un libéralisme économique à tout crin, tout aussi dogmatiques, doctrinaux, et paroxysmiques ! Le protectionnisme et le nationalisme ou le libre échangisme et le libéralisme économique sont des paroxysmes qui relèvent tous d’un seul et même combat : celui que nous devons livrer contre tout ce qui est excessif en économie, qui, forcément, aura des répercutions négatives au plan sociétal ! Ces concepts étant à l’opposer les uns des autres, plus exactement aux extrêmes, ils sont comme le mouvement d’un grand balancier qui passe d’un excès à un autre : un mouvement excessif appelant un autre mouvement tout aussi excessif ! Pour bien faire il faudrait que le balancier reste au milieu : que nous cessions d’abuser les choses ; que nous cessions, économiquement, d’être excessifs en tout : que nous équilibrions le fait économique.
Ce que semble faire oublier le concept d’économie mondiale (pur sophisme de libres échangistes affairistes), c’est qu’il existe une notion d’économie nationale indépassable pour l’instant ; qu’il existe des économies avant tout nationales : des économies à vocation avant tout nationales qui ne peuvent être niées ! Sans tomber dans le protectionnisme et le nationalisme, et n’en déplaise aux tenants du libre échangisme, toute économie est avant tout de nature nationale, puis accessoirement mondiale, et non principalement mondiale : les comptes sont d’abord nationaux et les statistiques d’abord nationales ! Ainsi la production mondiale se fait en additionnant les productions nationales !
Sans tomber dans un protectionnisme et un nationalisme crétins, le côté national d’une économie, sa fonction sociétale nationale, sauf à la nier, et l’autonomie économique relative qu’elle suppose, est une protection naturelle pour ses agents économiques.Une autonomie économique nationale, qui, forcément ne sera pas parfaite, car, la perfection, même en matière économique, en matières de sciences économiques, n’existe pas ; donc une économie nationale qui doit rester ouverte aux autres économies nationales dans le cadre, non pas d’une économie mondiale sophisme d’affairistes, mais simplement dans le cadre d’échanges internationaux afin de satisfaire des manques ou écouler des surplus qui forcément ne manqueront pas !
Sauf à instaurer une organisation nationale des manques et des surplus en production, à nier une autonomie économique nécessaire afin de s’assumer sociétalement, ceci, afin de respecter l’adage onusien des Nations et des peuples à disposer d’eux-mêmes, une protection économique nationale, s’impose. Elle s’impose, cette protection nationale, sans pour autant tomber dans le protectionnisme ou le nationalisme, contre un système qui entend mettre en concurrence des pays sans foi ni loi, sans aucune régulation sociétale démocratique. Bref, mettre en concurrence des pays qui n’ont pas les mêmes contraintes sociétales, la même liberté démocratique : ça relève de quoi ? Ceci relève sans aucun doute de la plus pure bêtise humaine ! Accepterions nous la concurrence économique d’un pays qui aurait rétabli l’esclavage ; accepterions nous la concurrence d’un pays qui parquerait des unités de production dans des camps dévolu à la seule production nationale et internationale ? Normalement non ! Normalement, car il ne fait aucun doute, et si on les laissaient faire, que certains trouveraient avantage à un tel système et qu’ils n’hésiteraient pas à l’imposer au reste du monde ; heureusement qu’il y a désormais la démocratie pour évite ce genre de pratiques d’un autre temps ! Pourtant, et pour certains pays dit émergents, ou ayant maintenant émergés : nous en sommes pas encore très loin de ces pratiques !
Même le sport international, les instances sportives internationales, encore que les choses soient lion d’être parfaites en la matière, paraissent mieux organiser, au moins d’une manière bien plus éthique ! En effet, jamais il ne viendrait à l’idée, pour des organisateurs de manifestations sportives internationales, comme celles nationales d’ailleurs, ceci sans aucune règle de bienséance, sans aucune régulation, de faire s’opposer des équipes qui ne soient pas opposables éthiquement au plan sportif ! Même le sport, national comme international, ne pratique plus les jeux du cirque... alors que l’économie mondiale, que les instances économiques mondiales, ou leur totale absences au plan de l’ontologie, de la déontologie économique, permet largement, on peut même dire, savamment, délibérément, voire académiquement, de pratiquer. Des jeux du grand cirque économique en opposant des pays, et forcément leurs agents économiques, relevant pourtant de catégories sociétales inopposables entre elles au point de vue éthique économique qui devrait primer mais qui brille par son absence !
« Ouverture et échange », bien sûr, mais uniquement pour satisfaire des manques et écouler d’éventuels surplus de production, mais certainement pas en tombant dans lune permissivité qui fait que des pays qui avait progresser au plan démocratique, au plan économique sociétal, en arrivent à déréglementer et déréguler à tout va, ceci, pour simplement être compétitifs au plan des coûts de production et enrichir des libres échangistes affairistes. Procéder de la sorte, déréglementer et déréguler économiquement et sociétalement, comme nous l’avons fait en occident, au prétexte de concurrencer des pays à bas coûts de mains d’oeuvre, relève d’une régression au plan des principes même de démocratie et d’humanité, ou encore des principes républicains qui les rejoignent !
Actuellement, au G 20 qui vient de se terminer il y a peu de temps, et pour en revenir à la Chine, leur Ministre des finances a proposé la création d’une monnaie internationales, de règlement des échanges internationaux, également pour la recherche de capitaux internationaux, qui ne soit pas une monnaie nationale. Il faut partager ce point de vu chinois, qui, déjà, défendu par J. M. Keynes avec le « bancor » à la fin de la dernière guerre mondiale. Pourquoi n’a-t-il pas été écouté ? Nous aurions sans aucun doute évité bien des désagréments économiques depuis plus d ‘un demi siècle ! Le fait qu’une monnaie nationale soit une monnaie d’échange internationale, comme le dollar, ce serait la même chose avec l’Euro, fausse tout jeux économique car il permet à l’économie nationale possédant cet avantage d’exporter mondialement son chômage ou son inflation éventuels !
Les problèmes, ceux qui se posent à nous d’une manière cruciale, ne sont pas de nature culturelle, ils sont avant tout de nature économique : d’une dictature économique mondiale qui refuse les économie nationale telles qu’elles sont ! Le problème c’est l’économisme : l’économie pour l’économie ; une science économique qui se regarde technoscientifiquement, et de manière souvent dogmatique et doctrinale, même positiviste, le nombril ! L’économie mondiale se compose des économies nationales ; il n’y a pas, à proprement parler, d’économie mondiale qu serait comme un système économique complet : il n’y a en la matière qu’un système d’échanges internationaux complémentaire des systèmes économiques nationaux.-
merci de ce message documenté, non polémique et clair.
Sans vous répondre longuement, je voudrais juste revenir sur les points qui me paraissent clé entre mes propos et les votres :
- contrairement à vous, je ne crois pas que l’on puisse continuer à prendre comme unité de base les économies nationales. Le système économique est devenu trop global, les entreprises mondiales sont trop puissantes pour cela. Si les économies restent pensées à partir des nations, cela revient - selon moi - à donner le pouvoir aux entreprises mondiales, ce qui est le cas actuel.
- j’aime bien votre exemple pris sur le sport. Il y a là des organisations politiques mondiales - et pas seulement économiques - qui existent et qui régulent les sports mondiaux. C’est ce qui manque dans l’économie.
- je suis d’accord à 100% avec vous sur l’apport de la culture asiatique et les dégâts venus du cartésianisme.
- je ne crois pas au libre-échangisme, ni à la responsabilité sociale des entreprises. C’est à une ou des structures politiques de mettre en place des règles ;donc je crois qu’il manque ces systèmes mondiaux et politiques.
- Au plan local - qui pour moi est devenu ce que l’on appelle des nations - il faut promouvoir des échanges et du « métissage », cad du partage. C’est l’esprit de mon article. Je vous accorde que j’ai pris un ton volontairement simplsite et caircatural pour provoquer le débat (ce qui a dépassé mes espérances puisque je me suis retrouvé la cible d’une série d’attaques majoritairement issues d’un site fdesouche.com. Comme mon but sur AV est justement le débat et de meiux comprendre les opinions de tout le monde - y compris des opposants les plus « abrupts » -, je ne le regrette pas. -
Ecometa,
Bonne analyse. En fait, quand il y a philosophie, il y a moyen. Quand il y a religions et gourous, il y a risque.
Le métissage est naturel, il n’est pas lié au mondialisme économique. Mais on l’associe. C’est partiellement vrai quand on casse le marché avec des produits qui sont hors concurrence mais qui n’assure rien ni personne. Ni le créateur, ni le consommateur du produit.
Là, c’est produire pour produire. Un produit qui arrive sur le marché 10X moins cher qu’une autre, il y a problème. « Nous sommes tous responsables » ai-je écrit lors d’un mon premier billet. C’est toujours vrai. On s’en fout du produit que l’on crée. Où il ira, comment il sera apprécié. S’il sera efficace. Il faut simplement faire tourner le machin.
Je n’ai aucun problème pour accepter quelqu’un de plus compétent et de motiver que moi comme chef, mais pas quelqu’un d’imposer et que je constaterai en dessous de tout sans esprit de management bien construit dans le bien du groupe.
« Les Français ne sont pas propriétaire de la France »
Comme aucun habitant de la terre ne l’est. Les Indiens d’Amérique l’ont bien compris quand ils ont eu des gens qui leur donnaient un petit montant, un peu de subsistance pour la Pomme New York.
Nous avons réintroduit le droit du sol. On sait ce que cela veut dire dans certaines bouches chez nous.
Société démocratique, Droits de l’Homme, j’en parlerai dans mes deux prochains articles. C’est en régression sur toute la ligne. Un Théma de ARTE en parlait hier soir.
Le nationalisme, le drapeau et toutes ces conneries ne sont que pour vous faire penser qu’il faudra les défendre un jour.
Le protectionnisme est une manière de contrer les excès sans plus. De faire comprendre qu’il ne faut pas prendre les enfants du bon dieu pour des canards sauvages.
Mais je peux revenir sur le reste du commentaire, plus tard.
-
@Robert Branche
Merci de vos réponses comme à chaque fois.
Vous me dites : « - contrairement à vous, je ne crois pas que l’on puisse continuer à prendre comme unité de base les économies nationales. Le système économique est devenu trop global, les entreprises mondiales sont trop puissantes pour cela. Si les économies restent pensées à partir des nations, cela revient - selon moi - à donner le pouvoir aux entreprises mondiales, ce qui est le cas actuel. ».
Pourtant si vous réaliser un schéma de l’économie mondiale, l’élément de base reste l’économie nationale : l’économie mondiale c’est l’ensemble des économie nationales avec en plus un sous-système d’échanges internationaux, complémentaire, et non principal des économies nationales !
En même temps, et ce qui me semble être contradictoire, vous paraissez, et je partage ce point de vue, critiquer fortement la puissance donnée aux entreprises multinationales dans cette économie trop globalisée. En effet, « le système économique est devenu trop global » et c’est bien pour cette raison que les entreprises mondiales sont si puissantes ! Pour satisfaire tous les besoins, ceux individuels comme ceux collectifs, l’économie doit être plurifactorielle, mais surtout pluridimensionnelle ; elle doit être diversifiée car les besoins sont divers et variés, et au près du terrain social qu’elle doit satisfaire : elle doit être, locale, régionale, nationale, puis accessoirement internationales ; elle ne peut pas être unidimensionnelle et uniquement mondiale !
Excusez-moi, mais sauf à fantasmer, à avoir des lubies, à prendre ses rêves pour des réalités, à prendre des vessies pour des lanternes et s’y brûler, l’économie mondiale c’est l’ensemble des économies nationales et non un système économique à part entière ; en l’état actuel cette réalité est totalement indépassable !
Essayer donc de réaliser le schéma d’un système économique mondial tel que vous le prônez ... c’est tout bonnement impossible, ceci, pour la simple et bonne raison qu’il ne s’agit pas d’un système économique à part entière, mais seulement d’échanges internationaux utiles et nécessaires aux économies nationales, ou alors, de pratiques très particulières ! Des pratiques particulières, totalement déréglementées, une sorte d’entrisme entre des « professionnels » qui s’entendent comme larrons en foire, ou au marché, dans un marché financier totalement déconnecté de la réalité économique. Des produits dérivés sensés relativiser, même couvrir, tous les risques nationaux et internationaux, et, qui, en réalité fait prendre des risques insensés aux économies nationales : à la vraie économie ! Lorsque vous réaliser le schéma d’un système économie national, il n’y a aucune difficultés à intégrer les échanges internationaux, comme système complémentaire, ni m^me un mode de financement international. Par contre il est impossible d’intégrer le système des produits dérivés, ne serait-ce que par les volumes financier que représente ce système totalement à part, qui, est dix fois supérieurs en volume à l’ensemble des économies nationales. Un PIB mondial qui est d’environ 80.000 milliards de dollars alors que les « produits dérivés » ou « contrats sur futurs » représentent environ 800. 000 milliards de dollars : il y a forcément un loup quelque part !
J’insiste fortement, il faut prôner l’ouverture des économies nationales, mais, et pour autant, ces économies nationales ne doivent pas être permissives et ouvertes à tout et n’importe quoi ! Il semble que raisonner l’économie en termes de « mondialité », de « réalité mondiale » et non de « mondialisation » (action de tout mondialiser), serait bien plus intelligent de la part de nos responsables économiques et politiques. Il y a une mondialité de la culture, une mondialité de l’économie, les cultures sont de plus en plus ouvertes, tout comme les économies, encore que certaines soient totalement à la merci des plus fortes, des plus puissantes. Des économie nationales fortes et puissantes, qui, par le truchement de leurs entreprises multinationales qui se comportent encore comme des véritable potentat économiques en mettant dans leur poches des responsables politiques locaux véreux, ceci, avec la complicité d’organisme internationaux totalement irresponsables et le plus souvent à la solde de ces puissantes économies ; des économies dominantes qui mettent en coupes réglées pour leur seul, profit ces pays qui sont à leur merci !
Nos points de désaccords ne sont pas nombreux, mais ils sont importants et mêmes essentiels, notamment sur la mondialisation de l’économie ou globalisation économique. Vous dites ne pas croire au libre échangisme et vous défendez la mondialisation ou globalisation essentiellement économique ; il me semble qu’il y ait là comme une contradiction ! Vous prôner également une mondialisation culturelle, le problème c’est que la mondialisation culturelle c’est l’acculturation à la culture anglo-saxonne et plus la diversité des cultures ; tout comme la mondialisation économique est une acculturation à l’économie libérale et libre échangisme anglo-saxonne ! En procédant de la sorte, en valorisant la mondialisation, et quelle qu’elle soit, économique, politique ou culturelle, vous prônez la mort de toute diversité politique économique et culturelle tout le contraire de ce que vous louez par ailleurs et notamment avec le métissage ! Il ne faudrait pas que le métissage revienne à ce que tout le monde soit blanc, que tout le monde soit de culture occidentale, que tout le monde soit matérialiste à l’excès, rationaliste à l’excès ; c’est pourtant le danger car toute mondialisation et acculturation et perte de diversité ; ce qui n’est pas le cas du concept de mondialité évoqué un peu plus haut !
Le politique, en fait l’économie politique et les politiques nationales sont totalement négligés, ceci au profit d’un mondialisme, je ne dirais pas d’un européanisme, car je suis un européen convaincu ; au profit d’un mondialisme crétin car au service des seuls affairistes !
Personnellement je raisonne en termes de systèmes, de systémie, même d’écosystémie, voire de métasystémie : tout simplement et naturellement en termes de complémentarité et d’entretien entre les choses et non d’opposition dichotomique et d’antagonisme !
En économie, nous sommes tout bonnement revenus à Adam Smith, ceci, grâce à Milton Friedman, monétariste, libéraliste, libre échangiste, inventeur du taux de chômage naturel, naturellement élevé bien, qui plus est, initiateur du concept de « working-poor » des économies anglo-saxonnes ; sans aucun doute l’économiste le plus écouté de la fin du 20 è siècle. Un Milton Friedman qui disait que depuis Adam Smith, depuis que le prophète du libéralisme économique et du libre échangisme avait parlé, nous n’avions rien inventé en économie ! C’est, et ce sans aucun doute, ce que l’on peut appelé de l‘intégrisme économique libéral et libre échangiste et non de l’intelligence économique ; et pourquoi, alors, revenons-nous à Keynes ? La mondialisation économique à la Adam Smith est basée sur ce qu’il appelait l’avantage absolu en économie et qui consisterait à faire une spécialité en termes de production dans chaque pays et forcément rendre les autre pays entièrement dépendants de ce pays producteur spécialisée ; autrement dit c’est la disparition de la diversité économique, de l’autosatisfaction, de la possibilité des peuples à disposer d’eux-mêmes, de se gérer eux-mêmes ! C’est l’impossibilité pour l’« Etat Sociétal », je préfère cette expression à celle d’« Etat Nation », de satisfaire à ses obligations économiques de pourvoir de manière satisfaire aux besoins de la société dont cet état à la charge !
Vous dites également : « - je ne crois pas au libre-échangisme, ni à la responsabilité sociale des entreprises. C’est à une ou des structures politiques de mettre en place des règles ; donc je crois qu’il manque ces systèmes mondiaux et politiques. »
Le rôle de l’entreprise n’est pas de se satisfaire elle-même, de satisfaire les seuls moyens qu’elle met en oeuvre ; c’est la même chose pour économie ! C’est effectivement aux politiques, à la politique, par des politiques publiques idoines, pas essentiellement financières, certes économiques, mais pas purement économiques, aussi philosophiques, ontologique, déontologique, éthique et altruiste ; de faire en sorte que le rôle sociétal (politique, économique et social) des entreprises soit mis en avant ! Sans société il n’y a pas d’économie, et pas plus d’entreprises de production de bien ou de services, qui soient possibles ! Le rôle des entreprises, tout comme celui de l’économie, relève de la satisfaction de besoins de la société : besoins individuels comme collectifs ! L’entreprise pour l’entreprise, tout comme l’économie pour l’économie et l’économisme, relèvent d’un véritable cercle vicieux... celui du moyen sans la fin : du comment sans le pourquoi d’un positivisme véritable imposture intellectuelle, sans aucun véritable sens humain : sans humanité ! Il faut responsabiliser sociétalement les entreprises et ceci revient précisément à la politique : aux politiques nationales et bien sûr à des organismes mondiaux ayant cette vocations à favoriser des politiques nationales, et des économies nationales allant dans le sens d’une satisfaction sociétale local : des réalités locales et non d’une réalité mondiale totalement hypothétique et même impossible car beaucoup trop déterministe ! -
Je reprends cette phrase d’Ecometa, le comparse de notre auteur Robert Branche et tout s’éclaire tout à coup :
« Ce que semble faire oublier le concept d’économie mondiale (pur sophisme de libres échangistes affairistes), c’est qu’il existe une notion d’économie nationale indépassable pour l’instant ; qu’il existe des économies avant tout nationales : des économies à vocation avant tout nationales qui ne peuvent être niées ! »
..................................
Ce soi-disant article n’est donc qu’un pamplet de propagande politique, où deux militants, je dirais deux comparses, se renvoient la balle.
Les thèmes protectionnistes sur le plan écomiques qui sont ici traités sont des thèmes antilibéraux et le vocabulaire employés (libre-échangisme « affairiste ») rappelle le vocabulaire du fascisme d’avant guerre.
Mais comme beaucoup de ces thèmes fascistes ont été repris par les « anticapitalistes » d’extrème gauche, il est difficile d’identifier au premier coup d’oeil l’officine qui se cache derrière tout celà.
Attendons la suite et laissons les s’exprimer.-
@ frederic-lyon
« Je suis seulement intéressé par ce qui se passe et j’ai horreur des idées toutes faites ».
C’est ainsi que vous renseignez votre partie description ; je suppose que ceux seuls ceux qui ne pensent pas comme vous on des idées toutes faites !
Vous avez publié un seul article, qui plus est, largement copié comme l’a démontré « Morice ».
Moi aussi, pour l’instant je n’ai publié qu’un seul article mais il a l’avantage d’être de moi et uniquement de moi !
Un article qui s’intitulait : Pourquoi la science économique est-elle la seule science à ne pas évoluer et même à régresser ?
http://www.agoravox.fr/actualites/economie/article/pourquoi-la-science-economique-est-36014
Visiblement et contrairement à ce que vous dites vous aimez les idées toute faites puisque vous prenez, en fait vous copiez, celles des autres !
Je ne suis pas contre le capital qui est un moyen utile et nécessaire à l’économie ; par contre je suis contre le capitalisme usage paroxysmique du capital ! Un capitalisme véritable réduction, ou plus exactement doctrine qui réduit l’économie système extrêmement complexe à un seul de ses moyens qu’elle considère comme le seul qui soit important : le capital ! Tous les moyens de l’économie sont important, et pas seulement ; tous son importants aucun ne doit primer sur un autre ! Mais ceci est peut-être trop subtil comme idée qui n’est pas « toute faite » mais expliquée !
Je prône la diversité, l’entente entre les peuples, je hais toute forme de domination quelle qu’elle soit, politique, économique, sociale, technoscientifique ! Bref : je défends de principes et des valeurs avant tout d’humanité, des principes et des valeurs essentiellement philosophiques, comme l’ontologie, la déontologie, l’éthique et l’altruisme ; me comparer à un fasciste d’avant guerre est un peu fort de café. Ne seriez-vous pas, vous, un fasciste d’après guerre ? -
Oh là monsieur Ecométa !! Vous vous tirez une balle dans le pied en « gerbant » ainsi votre culture.
Qu’est-ce que le rationalisme sinon que l’enfant indirect du Dieu unique inventé par les Juifs puis réinventé, ré-instrumentalisé par le Christianisme. En effet, la création d’un Dieu unique permet de concevoir qu’il existe UNE VERITE qui, dans un premier temps permet de créer une cosmogonie présentant à la fois l’avantage extraordinaire de combler les interrogations que posent le cerveau humain face à son Monde et de créer des comportements civils basés sur des « valeurs supérieures » imposées par Dieu (les 10 commandements par exemple), comportements favorisant une unité civile des comportements. L’invention extraordinaire du christianisme initial (je ne parle pas de ce qu’on fait les hommes du Christianisme par la suite) a été d’inventer un Homme fils de Dieu et à son image. De sujet écrasé par la puissance divine, l’Homme est passé au statut de « créateur potentiel » puisque fils de Dieu créateur. Ceci, même avec l’empreinte de l’Eglise, qui n’a pas été que néfaste, explique pourquoi les sciences qui se sont développées à travers le monde sont le fait essentiel de l’occident judéo-chrétien, à partir du moment où les hommes se sont affranchis de la puissance de l’Eglise, ce qui est de l’histoire ancienne puisque déjà en son temps, Philippe le Bel s’y est opposé. Même cet affranchissement était inclus dans le christianisme, puisque le christianisme faisait la distinction entre le monde de l’au-delà et le monde terrestre (« rendez à César ce qui est à César » et « mon royaume n’est pas de ce monde »). Bref nous pouvons considérer notre civilisation comme étant globalement l’expression laïque du judéo-christianisme.La science ne pouvait naître que d’une race intelligente, et les races les plus intelligentes sont les asiatiques de l’Est et la race blanche caucasienne. La preuve en est que les chinois ont été très en avance sur l’Occident, puisqu’ils construisaient d’immenses navires à l’époque de Christophe Colomb, avaient déjà inventé la pendule (à eau) ou la poudre à canon. Mais leur hiérarchie sociale, malgré les splendeurs culturelles, étant basée sur une hiérarchie sclérosée et orgueilleuse, un empereur a décidé vers je ne sais plus quel siècle (XIVème ??) que la culture chinoise représentait l’apogée de ce qu’il était possible de réaliser, et a décider de stopper son évolution. Il a fait enfermer voir exécuter un certain nombre de savants, d’architectes maritimes etc.. et l’évolution technologique de la Chine s’est arrêtée là.
Alors, le cartésianisme occidental : et bien c’est lui qui a permis d’inventer la médecine moderne, la chirurgie, le moteur à explosion, l’automobile, l’aviation, le train, l’aéronautique, les satellites, la radio, la télévision, la téléphonie, l’informatique, l’électricité, l’énergie nucléaire, la relativité etc etc….
Je passerais sur Michel Ange, Léonard de Vinci, Mozart, Beethoven, Haydn ou les maîtres de la peinture hollandaise, Matisse, Monet, ou Watteau etc…Grace à son savoir, son inventivité et son savoir faire, et malgré ses excès, l’occident blanc et chrétien (catholique mais plus encore protestant) a permis qu’un ouvrier qui devait travailler une semaine à la fin du XIXème siècle pour se payer un poulet, peut le faire aujourd’hui en travaillant plus ou moins une heure. Cet occident blanc et chrétien est devenu le modèle de développement économique et industriel, voir social pour une grand une partie du reste du monde qui ne rêve que d’une chose : acquérir le confort de vie que confère la technologie. C’est grâce au milieu qu’elle a su créer pour ses ressortissants que la longueur de la vie croit de plus en plus. Si tu n’en n’es pas sur, il n’y a qu’à observer dans quel sens vont les flux migratoires.
Pasou
-
@Pasou
Ho là... Monsieur Pasou !
Bonne lecture...
Je ne me tire pas une balle dans le pied, j’ai simplement un état de conscience, individuel comme collectif, assez développé : visiblement un peu trop développé pour certains !
Je pense, et ne cesse de dire que les difficultés auxquelles nous sommes confrontées, bien sûr celles environnementales, qui, visiblement, par une prise de conscience individuelle et collective des dégâts irréversibles que nous causons, intéressent beaucoup ces temps-ci, mais surtout celles sociétales, politique, économique, sociale, même démocratique et républicaine, qui, visiblement, et comme par fatalisme systémique, intéressent beaucoup moins ; que ces difficultés sont de nature bien plus fondamentales que ce que pensent les gens assez généralement ! En tout cas, beaucoup plus que ce que pensent ces dirigeants de toute sorte qui entendent nous diriger. Comment pourrait-il en être autrement puisque logique dichotomique, en fait opposition culture / nature oblige, culture exclusivement scientifique s’entend, et même « scientiste » ; nous avons développé un savoir en totale négation de la « Nature » et des « états de nature », dont la nature humaine soi disant trop irrationnelle : en totale négation d’une réalité et d’un tel quel pourtant indépassable !
Ainsi, au plan fondamental, en matière de science, plus précisément de science économique, classée par le rationalisme classique dans les sciences dites dures, celles « physiques », j’affirme que la science économique, que les sciences économiques car elles sont pléthores, comme autant de moyens mis en oeuvre : que les sciences économiques n’étudient pas réellement l’économie mais qu’elles ne font que l’agiter ! Elles l’agitent en fonction de principe essentiellement positivo rationalo technoscientiste : le comment sans le pourquoi ; véritable imposture intellectuelle et totale confusion de la fin et du moyen, même totale négation d’une finalité économique forcément sociétale car sans société il n’y a pas d’économie possible. La fin, la finalité, doit justifier les moyens, à l’évidence les moyens sont toujours fonction de la fin, ceci, à la condition expresse d’avoir une vrai finalité qui ne peut pas être celle du moyen pour le moyen : de la satisfaction des seuls moyens mis en oeuvre, de leurs seuls tenants et aboutissants ! Se faisant, n’étudiant pas réellement l’économie, mais l’agitant, la science économique moderne donne un bâton à la société pour se faire batte : un bâton que bêtement celle-ci saisit !
Visiblement, un peu de solidarité ne nuirait certainement pas au système. Bien sûr pas cette « solidarité charité », tellement humiliante pour ses bénéficiaires, et prônée par un « Etat providence libéral » qui sait pertinemment qu’il y aura énormément d’oubliés du système, des exploités qui ne sont là que pour satisfaire les tenants (les capitalistes actionnaires majoritaires) et les aboutissants du système (l’accumulation capitalistique) ; mais une solidarité principe le plus évolué d’intelligence collective, tout simplement sociétale, qui, visiblement, brille par son absence !
Au passage : vous avez une drôle de définition du rationalisme ; personnellement je tiens le rationalisme comme un paroxysme de rationalité et plus réellement de la rationalité. A vous lire, Descartes aurait été inspiré par Dieu, et le rationalisme nous viendrait de Dieu : de la vérité pure ! Pour moi Descartes, contrairement à Pascal et sont principe cognitif (toute chose étant causée et causante ...et toute étant liée ... je tiens pour impossible ...), déjà tenant bien avant l’heure de l’écologie et de la physique quantique : de la complexité du monde ; Descartes n’avait rien compris de la réalité des choses ! Il n’avait rien compris de la complexité de cette réalité, même de cette réalité purement physique (ce n’est pas moi qui le dit mais la nouvelle physique, la « quantique »), rien compris de la réalité « métaphysique » humaine ! Descartes n’avait aucune certitude, son doute est d’ailleurs légendaire, il ne croyait en rien avant lui, puis à tout, et à n’importe quoi, avec son cogito : sa méthode scientifique sensée apporter la vérité pure : la vérité pure scientifique prémisse du scientisme qui allait venir ! Avec la méthode, il nous a proposer de creuser pour soi-disant comprendre... creuser toujours creuser pour établir une vérité absolue, une vérité absolue scientifique : quasi religieuse... scientiste en fait ! Ilse trouve que les vérités scientifiques d’hier ne sont celles d’aujourd’hui, qui, elles-mêmes, ne seront pas celles de demain !
Une sérieuse remise en cause épistémologique s’impose car si les progrès de la science, consistent, normalement, et pour une large part en une meilleure compréhension des phénomènes étudiés, ils ont aussi en même temps, et désormais avec le temps et l’expérience nous le savons, pour effets d’invalider tout ou partie des théories et des connaissances, mêmes celles scientifiques, antérieurement admises ! Il en va ainsi de la révolution copernicienne comme des découvertes de la chimie vers 1850 qui ont rendu caduques les principes généralement admis et pratiqués à cette époque ; de même pour le darwinisme, pour les balbutiements de la génétique ou la révolution pasteurienne qui ont bouleversée, elles aussi, bon nombre de « croyance » de l’époque. Mais la rupture est encore plus profonde lorsqu’à partir des années 1880, les nouvelles orientations des recherches mathématiques et de la physique en viennent ruiner les fondements communs de la pensée scientifique sur lesquels reposait l’assurance des scientistes. Et que dire des conclusions hautement philosophiques de la physique quantique, la plus récente des physiques, qui nous dit que le monde est apparemment complexe, désordonné, contingent, quand le rationalisme classique, cartésien, dont est issue la science mécaniste qui préside toujours nos destinées notamment en économie, nous dit que ce monde est simple, ordonnée et nécessaire. Que dire des acquits intellectuels du 20 è siècle, issus précisément de la physique quantique, qui limitent la connaissance tant dans le domaine du raisonnement : principe d’incomplétude de Gödel et Chaitin ; comme dans celui de l’action : principe, d’incertitude d’Heisenberg et principe d’impossibilité d’Arrow !
Nous avons désormais du recul et nous savons que la science, et loin s’en faut, n’est pas le parangon de vérité voulu par Descartes et ses consorts scientistes. Descartes, lui-même, à la fin, après réflexion, lui qui voulait établir une « morale provisoire scientifique », et qu’il voulait sans aucun doute définitive... mais qui n’y parviendra pas car elle le renvoyait à ses démons du départ, de nouveau au doute malgré le cogito ; Descartes, lui-même, savait que la science ne peut justifier la science : qu’il faut quelque chose de plus !
C’est un fait, la science pose autant de problèmes qu’elle en résout, voire même plus, mais pour certains, la science, dans sa grande exclusive, résoudra elle-même les problèmes qu’elle pose ! Nous sommes en droit et même en devoir de nous interroger : n’y aurait-il pas là, dans cette exclusive scientifique, à vrai dire « scientiste », comme une sorte de tautologie voire un véritable cercle vicieux et non vertueux comme prétendu ? Avec Descartes et l’ensemble du savoir (un savoir réduit à la science, dont la philosophie, elle aussi, réduite à la recherche de la vérité pure pourtant pur sophisme) un peu comme si le savoir et la culture étaient uniquement et essentiellement devant nous et à découvrir, nous avons fait table rase d’un savoir ancestral deux fois millénaire. Désormais, obsédés par la prospective nous vivons un monde de fuite en avant économico technoscientiste dont les maîtres mots ne sont plus réellement la nécessaire compréhension et l’utilité, mais clairement la manipulation et l’utilitarisme. Déniant la temporalité humaine (passé, présent, avenir), qui, pourtant, participe largement de la conscience humaine, celle individuelle comme collective (le temps est dialectique disait Plotin) ; obsédés par l’avenir, fascinés par le temps technique et scientifique : nous ne justifions plus le présent que par l’avenir ! Désormais, à la façon des oracles de l’ancien temps : savoir serait uniquement prévoir ! Vouloir réellement comprendre, notre monde, bien sûr le monde physique, mais aussi et surtout celui métaphysique des humains, et non simplement vouloir les manipuler ; tout ceci implique une forme de modestie et d’empathie, qui, visiblement, sied assez mal, non seulement avec l’arrogance de notre savoir rationalo mathématico technoscientiste, mais aussi et surtout celle d’une élite bourgeoise en tout genre qui a fait sien ce savoir essentiellement utilitariste et forcément manipulateur.
Il faudra bien le résoudre un jour car nous avons là un vrai et sérieux problème ! En effet, pour comprendre, la science humaine, l’esprit scientifique humain réduit, sépare et divise, parfois même à l’antagonisme, tout ce qui pourtant, partout et toujours, (principe cognitif de pascal) participe et collabore ; sauf accident toujours possible, car, même au plan de la nature : la perfection n’existe pas ! Autrement dit, pour comprendre la science va du complexe au simple, ceci, quand l’évolution, elle, fait le chemin inverse et va du simple au complexe ; c’est dire l’incomplétude de l’approche scientifique et donc de la science classique ! La perfection n’existe pas, et pourtant nous n’avons de cesse, « technoscientifiquement », que de rechercher cette perfection ! La perfection n’existe pas, ceci, pour la simple et bonne raison que dans un monde en évolution, en perpétuelle évolution, dans lequel tout participe, tout collabore et s’entretient, la perfection serait le signe de la fin : celui de l’involution ! La perfection n’existe pas, elle est impossible, pour autant, à ce point d’imperfection de notre savoir, même de contradiction fondamentale, nous avons un sérieux problème ; ce qui compte c’est l’adéquation en tre les éléments, la complémentarité ; l’entendement en lieu et place de la dichotomie entre les différents éléments au plan du savoir ! La perfection n’existe pas, pourtant, à ce point d’imperfection, à ce point de non sens, de contradiction fondamentale de notre savoir, entre rationalisme classique et la complexité relevée par la physique quantique, nous avons un sérieux problème de savoir ! Ce n’est pas simple, c’est même extrêmement complexe, car il nous faut avoir des certitudes pour avancer ; mais ces certitudes doivent être éprouvées, elles doivent mêmes pouvoir être remises en cause si nécessaire à posteriori. Ces certitudes ne doivent en aucune manière relever de la pure croyance, qu’elle soit religieuse ou scientifique cette croyance, mais en fonction d’un entendement humain tenant compte à la fois de la nature des choses et d’une culture en adéquation avec cette Nature et non contre cette Nature. Il faut un modèle à la science et ce modèle ne peut être que celui de la Nature intelligente et tellement fantastique, même si elle n’est pas parfaite et que la science peut apporter une pierre à l’édifice : une pierre complémentaire et non une opposition pure et dure ! -
@ pasou
Je reviens sur le rationalisme ; le dictionnaire définit assez généralement le rationalisme comme une doctrine ; c’est à dire comme un ensemble de dogmes ou théorie particulière !
- Doctrine selon laquelle rien de ce qui existe ne trouve une explication qui soit étrangère à ce que la raison humaine peut accepter... par opposition à irrationalisme et/ou fidéisme.
- Système philosophique selon lequel les phénomènes de l’Univers relèvent d’une causalité compréhensible et de lois stables.
- Disposition d’esprit qui n’accorde de valeur qu’à la raison, au raisonnement.
Héraclite disait que le « La Nature (comme les état de nature) ame se dérober à nos yeux, que c’est la raison pour laquelle il faut la porter au logos » : qu’il faut la dire ! Nous conceptualisons humainement notre savoir, l’erreur étant humaine, même éminemment humaine, la nature étant ce qu’elle est... ne se trompe pas ; en réalité c’est nous qui nous trompons, nous qui trompons, qui pour certains prennent un malin plaisir à tromper ; soyons donc réalistes : l’erreur humaine, autant que la raison humaine, conditionnent le savoir humain ! Nous conceptualisons humainement notre savoir, chose qui, l’erreur étant humaine, impliquerait, non pas un système de vérité pure, serait-elle, même scientifique cette vérité soi-disant pure, indépassable, immuable, mais un système plus complexe, aussi complexe que la complexité qu’il entend étudier ! Tout simplement un système prenant en compte la possibilité de l’erreur et de l’illusion, et même pire, celle de la manipulation humaine en tout genre, qui, visiblement, préside largement à notre destiné humaine. Un système à la fois à priori mais également à posteriori, impliquant une possibilité d’introspection et non de fuite en avant rationalo économico technoscientiste ; un système ou l’introspection nécessaire, sauf à être de stupides humains, doivent pleinement jouer son rôle afin de ne pas répéter sans cesse les même erreurs : les mêmes drames humains !
Le rationalisme n’est plus rationalité mais paroxysme de rationalité : rationalité crétine ! Principe de vérité pure oblige, le problème, car il y a problème, c’est la certitude que nous avons de notre savoir, de cette culture rationalo positivo technoscientiste qui devient du fait de ce principe de vérité pure impossible à faire évoluer quand pourtant tout pousse à cette nécessité. Il n’est pas question de nier l’apport des mathématiques ou celui de la science, mais de nier le tout mathématique et le tout scientiste, qui, opèrent au détriment du qualitatif ... surtout du qualitatif humain ! Nous sommes tellement certains de notre savoir et de notre culture actuelle, pourtant tellement incomplète et même tellement limitée au regard de la réalité, notamment dans le domaine des pseudos sciences, comme la science économique, que l’introspection, propre à l’intelligence humaine, brille par son absence, et que devient impossible une éventuelle remise en cause épistémologique pourtant nécessaire pour ne pas répéter sans cesse les mêmes erreurs. Ceci vaut, non seulement pour les individus, qui, généralement et assez naturellement, encore que rarement du premier coup, tiennent compte de ce concept d’introspection, car il ne sont pas stupides ; mais aussi pour la collectivité, les collectivités la société, la politique, l’économie, les gouvernements, les entreprises, ou encore, et ce qui devrait vous intéresser au premier chef : les partis politiques ! En fait ceci vaut pour tout individu comme pour toute organisation humaine digne de ce nom !
Manifestement, l’erreur est humaine, d’ailleurs, et pour s’en convaincre, il nous suffit de prendre un peu de recul, de regarder l’histoire des deux derniers siècles ou plus exactement et respectivement de la fin et du début des 19 è et 20 è siècles. Certes, certains, et tels des sophistes ou des cyniques des temps modernes, des soi-disant réalistes, des pragmatiques, tout simplement des opportunistes, n’y verrons dans la durée qu’une période de progrès scientifique et technique incroyable, oubliant un peu vite, qu’en même temps cette période a été la plus meurtrière de toute l’histoire de l’humanité : une époque de très grande barbarie ! Franchement : est-ce réellement cela le progrès ? Pourquoi le progrès scientifique et technique doit il avoir obligatoirement pour prix la régression des principes mêmes de démocratie et d’humanité, ou encore ceux de la République qui les rejoignent ? Visiblement nous avons là un véritable problème, un problème de connaissance soi-disant pure, pure connerie humaine en fait ! Arrêtons de nous voiler la face : il n’y a pas plus de « savoir révélé » que de « vérité révélée » ou de « vérité pure » ; au sens biblique comme au sens scientifique du terme ! Le livre de la bible, comme le livre de la science, en l’occurrence celui du scientisme, de la science pour la science, sont des livres écrits par les humains pour les humains ! S’il fallait analyser les raisons de ce savoir et de ces « soi-disant » vérités, nous y trouverions les « raisons » les plus rationnelles comme les plus irrationnelles, les plus diverses comme les plus éloignées, voire encore les plus opposées ; bref : les meilleures comme les plus mauvaises raisons ! Il ne fait par exemple aucun doute que figureraient dans ces raisons non seulement la volonté d’instruire, celle de partager la connaissance... encore que partager la connaissance c’est perdre du pouvoir pour ceux qui le détiennent ; nous y trouverions à coup sûr la « domination » et la « manipulation » de l’humain et des humain par d’autres humains pour asseoir un pouvoir le plus souvent personnel et non démocratique ! Ce qui compte avant tout c’est le jugement humains, simplement humain... emprunt d’humanité et non un jugement humain exclusivement rationalo technoscientiste ; une science et une technique au service total de l’humain et non l’inverse !
Mais, que venait faire la religion dans votre commentaire de mon commentaire : ai-je, quelque part, évoqué la religion ? Je vais donc le faire ici, et sachez que pour moi, il n’y a ni Dieu, ni diable, qui ne sont que des boucs émissaires, de faux semblants, de faux prétextes ... des prétextes à domination ! Il n’y a en réalité que le bon ou le mauvais géni de l’être humain et il semblerait qu’actuellement le mauvais géni soit plus à l’oeuvre que le bon ! Pourquoi l’être humain ne s’aime-t-il pas ? Je pense que la religion, très culpabilisante, fortement culpabilisante même, voire abêtissante et avilissante par certains cotés, porte en la matière une très lourde responsabilité ! Au lieu de croire en Dieu, l’humain serait bien mieux inspirer de croire en lui... en sa capacité à progresser humainement et non religieusement !
Sachez également, et loin s’en faut, que je ne suis pas contre la science et la technique, qui, au demeurant, sont utiles et nécessaires à l’humain pour évoluer. Le problème, et c’est simple, on pourrait même dire simpliste, c’est que pour notre époque moderne au modernisme, celle du changement pour le changement, véritable paroxysme de modernité et plus simple modernité, la science est devenue générique de savoir et du « SAVOIR » et, il n’y aurait plus de « Savoir » comme d’ailleurs de « valeurs », même de « PRINCIPE », que de nature scientifique et technique ! Au diable l’ontologie, la déontologie, l’éthique et l’altruisme : tous ces acquits intellectuels humains ! Renvoyée aux calendes grecques et aux oubliettes de l’histoire la « métaphysique », cette « épistémologie » première philosophie et première interrogation sensée qui sortait l’humain de l’état de pure croyance religieuse. Une question se pose : sommes-nous plus intelligent avec notre pléthore de savoirs technoscientifiques ? Non, il semblerait que non ; il semblerait même que nous soyons toujours au fond de la caverne avec les ombres qui s’agitent car toujours aussi ignorant de la « Nature », comme des « états de nature » qui ont émergés, dont la nature humaine : nous sommes de plus en plus ignorant de l’humain et des principes d’humanité !
Pour revenir à la religion, il n’y a pas de parole de Dieu... il n’y a que la parole des hommes ; certains qui pensaient et voulaient bien faire à une époque ancienne en imposant des principes de bon sens pour vivre en société, et de ce point de vue je respecte les dix commandements, qui, pour certains, hormis ceux de pure croyance, de pure d’incantation, sont de bon sens ! Mais je préfère l’éthique de Kant, qui, elle, ne parle d’aucun Dieu mais donne une philosophie de vie qui me semble des plus adéquate pour vivre en société. Je n’aime pas l’hypocrisie de la religion qui nie l’homme tel qu’il est : avec ses défauts et ses qualités ; pour ma part il n’y a pas d’hypocrisie dans l’Ethique de Kant ! De plus, et concernant le « décalogue » que vous semblez vénérer, je n’ai pas trop l’impression que cette époque moderne au modernisme paroxysme de modernité et plus simple modernité, que vous appréciez tant, respecte les dix commandements et surtout pas les quelques commandements, qui, pour ma part, me paraissent respectables :
Tu ne tueras point.
Tu ne voleras pas.
Tu ne feras pas de faux témoignage.
Tu ne convoiteras ni la femme, ni la maison, ni rien de ce qui appartient à ton prochain.
Honore ton père et ta mère.
En plus des ces commandements, c’est le jugement humains qui compte, jugement individuel et jugement collectif qui ne peuvent se départir l’un de l’autre car on ne peut avoir un raisonbnement différent sur une même chose selon que l’on raisonne d’un point de vue individuel ou collectif ! Un jugement simplement humain, qui, dans une société dite « individualiste », pourtant véritable antinomie, véritable non sens, même contre sens, et négation de ce qu’est réellement une société : un jugement humain « complet », non tronqué, qui brille par son absence ! -
Mais même la cohabitation devient impossible. Lorsque vous prenez le train et que sur 30 personne il n’y a que 3 blancs, 15 noirs, 10 maghrébins et 2 asiatiques, vous vous demandez ce qu’est devenu votre pays.
Si la couleur de peau n’était qu’une différence colorimétrique il n’y aurait sans doute pas de problème, nous serions comme les cavaliers king charles qui peuvent naître avec 3 robes différentes, mais ce sont toujours des cavaliers king charles. Mais entre les races humaines, il n’y a pas que la couleur de peau qui changent. En plus de certains caractères physiques (prognatisme de la face par exemple) il y a également les niveaux moyens d’intelligence qu’il faut prendre en compte, les taux hormonaux, l’agressivité, etc.. ces facteurs étant essentiellement d’origine génétique, puis les facteurs culturels au sens large commes les us et coutumes, les différentes cultures, les religions (qui créent des différences de comportement) et tout cela engendre des incompatibilités individuelles mais également collectives et sociales dont il faut tenir compte si l’on veut éviter l’explosion ou la guerre civile un jour (revoir l’article scientifique traduit et publié par Polémia sur les races. Cet article qui est une synthèse des connaissances actuelles sur ce sujet).
L’idéalisme actuel de certaines catégories de personnes est proprement criminel dans ses conséquences futures. Je ne doute pas que si l’explosion se produit un jour, comme les communistes qui ont cru en cette idéologie mortifère et qui ont tout fait pour l’imposer, ces mêmes idéalistes s’auto absoudront en trouvant une raison qui n’aura rien à voir avec leur manque d’intelligence pragmatique (les faits, encore les faits et toujours les faits).
Pasou-
BONJOUR ROBERT
dur sujet que de parler du mélange des cultures chacun pense et vie dans la sienne et ne s’ouvre aux autres que par la nécessité. hier le mélange des culture se faisaient par les conquètes au jourd’hui c’est le beson économique qui en est l’instrument facilité par les moyens de communication qui pose le problème avec plus d’acuité car lesémigrés affluent plus rapidement, alors que le temps de l’intégration et le mélange des cultures est beaucoup plus lent.
les ocidentaux sont souvent aussi radicaliste que les autres, mais comme les autres ils pensent que ce sont les autres qui le sont.
exeption faite du problème des intégristes qui permet à beaucoup de ne pas reconnaitre leur xénophobie, lemélange des culture et l’azcepation de la diversité et un chemin lein de ifficulté où l’autres est l’étranger, et j’ai le souvenir d’enfance où l’étranger qu’il ne falait pas épouser n’était que celui du village voisin.
la diversité de toute nature est dans la nature de l’existence, la vie n’est que diversité justement pour pouvoir faire face à toutes éventualités qui permettent de survivre. ceux qui veulent s’y soustraire ne peuvent le faire trés longtemps sous peine de se scléroser, mais tout n’est pas bénéfique, nous le voyons aujourd’hui à divers niveaux, que ce soit dans la religiosité conquérante ou dans la loi du marché suicidaire sur la croisance .
avoir du discernement en la matière, c’est être passé commme tu le dis du sein de sa mère à celui de l’espèce humaine qui n’a pas de frontière hormis celles de nos peurs, mais il faut bien reconnaitre que certaines se justifient
cordialement..
cordialement-
Il parait que Jean Jaurès aurait voter pour Le pen...Et si les gens qui soutiennent le métissage n’étaient pas mieux que les défenseur de la race. On nous oblige toujours à penser comme le système central.
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vienzy 26 avril 2009 07:43Ce « combat » est intéressant et il faut le mener. Les résultats, s’il y en a, se jugent en générations (minimum 3 ou 4 soit un siècle), car si, enfant, vos parents vous disent quelque chose, vous ne vous en sortirez pas. Vos enfants, par contre ...
C’est pourquoi, il faut en baver, du papier, pour que quelque chose se passe (par exemple, la loi de 1905 commence à peine à produire ses effets)
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avoir du discernement en la matière, c’est être passé commme tu le dis du sein de sa mère à celui de l’espèce humaine qui n’a pas de frontière hormis celles de nos peurs, mais il faut bien reconnaitre que certaines se justifient
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Notre ami, décidemment, ne se résoud pas à quitter le sein, il lui en faut un, même si ce n’est pas le sein de sa mère !-
ASINUS 26 avril 2009 09:44juste comme ça hein , mais nous sommes entre nous yep il court chez les nouveaux RG le resultat d une statistique de 3 fichiers croisés « verbottent interdit ça » sur les patronymes« pas ethnique hein justes patronymique hein »
des auteurs et victimes de violences et agressions a caracteres crapuleux hé hé bon je vous le donne en mille 84,8 des agréssé ont un patronyme de consonnance « européens » c est leur terme pas le mien et 77 ;2 de agrésseurs ont un patronyme de consonnance heu non européen bon maintenant
sachant que tels fichiers sont interdit nous pouvons donc dire ça n ’existe pas
sachant que de telles statistiques sont interdites ça n existe pas
donc comme nous la demontré brillament notre auteur TOUT CE PASSE DANS LE MEILLEUR DES MONDES et nous sommes en route pour les jardins d eden du metissage multiculturel mais si possible a connotation anglosaxonne pour que la mondialisation econnomique reponde aux desideratas des decideurs apatride bon
d accord j ai pensé interloppe mais je pense bien pire des « eduqués » qui font le jeu sciemment de nos annihilateurs-
Vous dites que notre force vient du métissage.
C’est justement l’inverse. Notre faiblesse vient du métissage. Soyons clair. Pendant des génerations nous avons utilisé la force des autres en s’imaginant qu’ils allaient rester invisibles dans les bas-fonds de notre société. Le raccourcis de notre histoire se voit en Afrique du Sud en l’espace de même pas deux générations. Ils sont passés des Afrikaners pionniers ne comptant que sur eux-même à des parasites espérant que les noirs allaient tout faire pour eux. La ruine des USA vient de l’esclavage mis en place par les cultivateurs de cotons qui en ont eu marre de cultiver eux-même. Ils se sont imaginés que les esclaves pourraient le faire sans bousculer leur société. La génération actuelle de planteurs américains continue dans la même sottise en mettant sur 100 hectares 1 européen et 100 mexicains. Il est évident que le planteur disparaîtra assez rapidement. Des USA tels qu’on l’entend, avec ses valeurs et ses ambitions il ne reste plus grand-chose. La ruine de la France vient d’une immigration massive qui a d’abord alimenté nos industries puis qui maintenant nous submerge complètement à cause de la bien-pensance ambiante.
La terre appartient à la population qui y est majoritaire. Il n’y a aucun régime politique, aucune idéologie qui puisse changer ce fait. Par la terreur, par la force, par la fourberie démocratique et le découpage électoral on peut faire illusion un certain temps mais la règle primaire et éternelle finit toujours par s’appliquer. La terre appartient à celui qui l’occupe.
C’est là que réside le véritable danger de l’immigration. Ils ne sont ni meilleurs ni plus mauvais que nous, à chacun son échelle de valeurs, ils sont simplement différents. On peut se réjouïr de la disparition des peuples bien que ce soit une philosophie plutôt anachronique à l’époque où les écologistes s’acharnent à préserver la diversité naturelle, mais on ne doit pas se mentir à soi-même. Le métissage est assimilable à un génocide.
Le melting-pot cosmopolite ne motive absolument personne à part les députés. Le métissage est déstructurant. Il remet en cause tous les repères stables de la société et renvoi l’individu dans son entourage immédiat, sans aucune perspective plus large. Le chef de bande ou d’entreprise remplace l’Etat. Il n’y a que dans la nation que vous trouverez les ressorts pour faire avancer les gens en cas de crise. Qui aujourd’hui accepterait de se sacrifier en France pour le bien-être d’autres communautés avec lesquelles nous n’avons aucun liens, ni familiaux, ni historiques, ni même raciaux ? Le résultat est une société déstructurée où le chacun pour soi devient la règle. Bouffons le maximum le plus vite possible car on se sait pas de quoi demain sera fait. C’est la règle d’or du comportement occidental, à commencer par les financiers et les politiques. Nous n’aurons que plus de dettes.
De telles sociétés vous ne tirerez rien. L’absence de métissage est justement la force des sociétés asiatiques qui ont une encore une unité ethnique, culturelle et nationale.
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Robert
Plus raciste qu’un chinois on trouvera pas, au fond pour eux en dehors des Han, ya rien.
Ici en thailande (ou ils sont quand meme tres chinetoque quoique ils en disent), j’ai pose la question pour mon fils : c’est simple pour les thais un metis ca n ;existe pas, t’esThai ou t’es pas Thai et si t’es melange t’es un cou de poulet cul de canard (expression aussi en cours au Vietnam) et tu seras jamais du pays, meme si certains metis (y compris sexuellement) peuvent etre mediatiquement populaire.
Le parti de Thaksin s’appelait : Les Thais aiment les Thais....
Enfin, metisser un bled de 1.4 milliard de gens, faudrait un sacre boulot !
Un pays comme la Chine avancera sans doute, mais sans le moindre metissage y compris et surtout intellectuel. Ceux qui croient le contraire sont au mieux des farceurs ou des anes.
J’ai eu la meme impression a Buenos Aires, pourtant bled d’immigration, mais en ville tu ne croises que du blanc, absolument que ca. Ceux qui etaient la avant ont ete juste liquides, et ils n’ont meme pas importes de negres agricoles.
Robert, quant a la connaissance du monde acquise chez Loreal, faites moi rire, on ne rencontre que des mecs sortis du meme moule ou des larbins de multinationale remplis de master d’economie.
Je me souviens notamment de la soi disant confraternite de Loreal avec les libanoches crapuleux de Dubai apres la guerre du golfe.( Ma femme tunisienne travaillait pour eux, tres tres instructif, on se lachait devant elle et l’amour qu’ils portaient a ces chiens de francais etait instructif en Diable)
Pour eux aussi, il n’y a de fidelite que pour le clan, et tout le reste c’est bon a niquer...
Salut
Iren Nao
souchien-
Il est très facile de trouver plus raciste qu’un Chinois, un Japonais, c’est le peuple le plus raciste au monde.
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Cet article : DE LA BOUILLIE MORALO-LIBERALE
Notre force en Europe ou aux États-Unis vient de ce mélange. Une des grandes faiblesses de la Chine est sa « fermeture » relative qui limite sa créativité et sa capacité à évoluer dans le futur. (Robert Branche)
EN EFFET :
Cap vers la Chine : 3ème puissance économique internationale (avec un PIB de 3 285 Milliards de $ US) ; 2ème importateur et exportateur mondial ;1,3 milliards d’habitants - Avec plus de 10% de croissance moyenne au cours des 10 dernières années et de nombreuses provinces à fort potentiel économique, la Chine offre des opportunités colossales. http://www.capasia2009.org/page/5-missions-economiques-chine-france.htmlMais, notre métissage ne sera porteur que si nous ne cantonnons pas « ceux qui viennent d’ailleurs » (blabla)... Il suppose que nous acceptions l’autre et que nous ne le voyions pas comme le rival, celui qui vient prendre notre emploi – ici ou ailleurs (blablabla)... J’entends tout autour de moi des discours de craintes et d’appel au protectionnisme. Mais derrière ce beau mot de « protectionnisme » – qui peut être contre les protections ? –, se cache l’hydre du nationalisme et de l’exclusion. (Robert Branche)
Monsieur l’Auteur,
Je vous suggère d’aller précher votre soupe moralo-libérale sur les sites où les personnels sont licenciés en masse :
1) Selon Les Echos Judiciaires Girondins du 10 février 2009, les inscriptions à l’ANPE pour motif de licenciement économique se sont fortement accrues (+47,8% par rapport à décembre 2007) de même que celles pour fin de missions d’intérim (+29,9% en un an).
2) Selon « Aujourd’hui en France-Le Parisien » de ce 17 mars 2009, Free et Alice totaliseraient 660 suppressions d’emploi cette année. Pendant ce temps, Iliad, la maison mère, affiche des résultats prévisionnels en hausse de plus de 20% !
3) La machine à broyer du salarié semble désormais en marche dans l’ensemble du secteur IT, avec les annonces de suppressions de poste chez Lenovo et Dell. Dell délocalise massivement en Pologne. Nouvel effet de la crise côté fournisseur avec la décision de Dell – numéro deux mondial du marché PC – de redéployer sa production européenne de machines vers des contrées aux coûts de main d’œuvre moins importants. Ce sont 1 900 postes qui sont ainsi supprimés sur les 3 000 implantés sur l’île (Irlande). Le site de Limerick sera fermé et la production délocalisée à Lodz, en Pologne, ou confiée à des sous-traitants. Cette nouvelle vague de suppressions de poste est partie prenante de la restructuration au long cours engagée en mars 2008 par Dell. Ce dernier avait déjà supprimé 8 000 postes dans le monde et prévoit au final d’économiser près de 3 milliards de dollars annuels. http://www.lemagit.fr/article/dell-lenovo-licenciements-delocalisation/2163/1/delocalisation-licenciements-masse-chez-dell-lenovo/
Molex http://www.ladepeche.fr/article/2008/10/24/483871-Villemur-Molex-supprime-300-emplois.html
http://fr.newspeg.com/GM—Licenciements-en-masse-25401867.html
http://dnf.asso.fr/Licenciement-en-masse-chez-le.html?debut_articles=720
http://www.france24.com/fr/20090417-crise-economique-toshiba-sony-ericsson-licenciements-suppressions-emplois-technologies-
Non, le « métissage » n’est pas un enrichissement, les plus grands peuples de l’histoire n’étaient et ne sont pas des peuples « métissés ». Certe il y a des exceptions indivuduelles mais qu’avons nous à gagner au « métissage » puisqu’il est prouvé, que les races n’ont pas le même qi moyen et que les enfants nés d’un « métissage » ont un qi moyen situé entre le qi moyen de son parent appartenant à la race la plus intelligente et celui qui l’est le moins. Et cela ce n’est pas idées de bizounours, mais c’est ce qui a été quantifié, vérifié et qui est constant en lieux et en temps, même si bien sur il sera toujours possible de donner des exceptions individuelles.
Aux USA, pays « métissé » par excellence, les races conservent leur qi moyen et cela fait des « stratifications raciale » avec des taux de réussite majeurs pour les races à fort qi (asiatiques et blancs) et des échecs répétitifs, un forte criminalité et une plus forte consommation des aides sociales pour les races à moins fort qi (latinos mais surtoput noirs).
Maintenant si vous parlez échanges et aides, ce n’est pas la même chose et j’adhère sans qu’il soit nécessaire de se « métisser ».
L’invasion migratoire que nous connaissons en europe est uniquement liée aux besoins des gros industriels et les « politiques » financés ou soutenus (via les médias appartenant aux-dits industriels) par ces premiers l’ont fait.
Il s’avère maintenant que c’est un echec quasi complet qui met en péril la paix des pays, à la fois pour des raisons raciales, culturelles et religieuses. La dernière connerie à la mode pour tenter de remédier à ces erreurs que l’on perpétue sans arrêt, est de demander aux peuples d’origine de se « métisser », bref de se quasi suicider racialement, et d’assumer qu’en se mélangeant avec certaines races leurs petits seront moins intelligents qu’eux, mais que les petits des migrants, notamment noirs, seront plus intelligents que leurs parents, en espérant peut-être sauver la situation.
Car quel est l’avenir de populations qui ont un qi moyen de 70 (noirs sub-sahariens) ou 85 (noirs élevés en milieux favorables, encore que ce qi reflete 20% de « métissage blanc chez les noirs), alors que le qi moyens des populations d’origine est de 100 ??? Cela veut dire que sauf exception ces populations sont destinées à faire de la main d’oeuvre de bas de gamme, quant elle ne tarit pas les systèmes sociaux (chomage, RMI, CMU, AME, Allocs etc...) qu’il faudra continuer d’alimenter pour éviter l’explosion sociale. Mais jusqu’à quant ceux qui travaillent accepteront ce racket social ?
Que nous aidions les africains à se développer chz eux, c’est le moindre qu’on puisse faire, déjà par simple soucis humanitaire, mais aussi par intérèts, mais les voir se développer sur mon territoire de vie ... qui est la France, je dis mille fois non, et j’éduque mes enfants à ne pas se laisser berner par le chant mensongé des sirènes du »métissage« . Je vous conseille d’en faire autant, ne serait-ce que par »principe de précaution« , car c’est votre descendance qui est en jeux.
Je vous rappellerais également que toutes les civilisations qui se sont »métissées" et qui ont détruit leurs dieux à un moment donné de leur existence, étaient en fin de vie.
Pasou-
Soyons clairs : une culture, une société qui survit le doit à ses habitants, leur nombre mais également à leur culture. La religion introduit un aspect « valeur supérieure » qui imprime des valeurs civiles qui donnent une homogénéité sociale. D’ou l’importance des choix des dogmes des religions car ils ont une incidence laïque forte.
Hors, aujourd’hui, que faisons nous :
1- nous remboursons l’avortement par la SS, bref nous avons exterminé depuis la loi Veil plus de 7 millions de cervelles à naître directement dans le ventre de leur mère, la plupart du temps pour des raisons de confort, plus que la shoa, rien qu’en France, mais il n’est pas correct de le dire, mais combien d’entre nous serions vivants aujourd’hui si l’avortemenent avait été généralisé depuis quelques siècles.
2- nous commençons à mettre l’homosexualité sur le même plan que l’hétérosexualité (marriage ???), alors que la première est la norme de survie de l’espèce humaine et de ses races et que la seconde non, même si je trouve inaceptable de maltraiter des gens pour leur orientation sexuelle.
Rien que ces deux comportements vont dans le sens de notre destruction car
ils ne permettent pas le renouvellement des générations.
Nous acceptons notre destruction raciale par l’invasion migratoire et bientôt par « métissage » obligatoire, ce qui veut dire qu’avec une grande partie de la population importée, ce mélange racial aboutirait à une baisse du qi moyen des habitants de ce pays et d’Europe.
Nous compromettons notre descendance par cette idéologie.
Nous laissons s’implanter chez nous une religion inamicale s’implanter et nous renions notre histoire et notre culture.
Nous laissons détruire les éléments culturels et religieux qui ont permis notre survie et de créer cette civilisation technologique et des droits de l’homme, notre invention (traduction laïque des 10 commandements, bref du judéo christianisme)..
Nous compromettons notre paix sociale et celle de nos descendant par notre passivité.
Tout peuple se doit d’avoir un territoire de vie grâce auquel il peut développer ses moeurs ses coutumes ses lois etc...
Par l’invasion que nous laissons faire de peuples de races, de cultures, et de religions différentes nous mettons en périls notre territoire de vie.
NE SERAIT-CE PAS TOUTES LES CARACTERISTIQUES DE PEUPLES DECADENTS QUI VONT VERS LA DESTRUCTION.
Pasou-
Cet homme était quand même un grand visionnaire
« C’est très bien qu’il y ait des Français jaunes, des Français noirs, des Français bruns. Ils montrent que la France est ouverte à toutes les races et qu’elle a une vocation universelle. Mais à condition qu’ils restent une petite minorité. Sinon, la France ne serait plus la France. Nous sommes quand même avant tout un peuple européen de race blanche, de culture grecque et latine et de religion chrétienne. Qu’on ne se raconte pas d’histoire ! Les musulmans, vous êtes allés les voir ? Vous les avez regardés avec leurs turbans et leurs djellabas ? Vous voyez bien que ce ne sont pas des Français. Ceux qui prônent l’intégration ont une cervelle de colibri, même s’ils sont très savants. Essayez d’intégrer de l’huile et du vinaigre. Agitez la bouteille. Au bout d’un moment, ils se sépareront de nouveau. Les Arabes sont des Arabes, les Français sont des Français. Vous croyez que le corps français peut absorber dix millions de musulmans, qui demain seront vingt millions et après-demain quarante ? Si nous faisions l’intégration, si tous les Arabes et les Berbères d’Algérie étaient considérés comme Français, comment les empêcherez-vous de venir s’installer en métropole, alors que le niveau de vie y est tellement plus élevé ? Mon village ne s’appellerait plus Colombey-les- Deux- Églises, mais Colombey-les- Deux- Mosquées. »
CHARLES DE GAULLE
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Bon, on va pas y aller du dos de la cuillere en étant demago et en essayant de rassurer les vieux qui écoutent encore Pierre Perret et qui ont voté UMPS aux dernieres élections.
Sans jouer les nostradamus de comptoire, tout le monde sait bien que les blancs seront minoritaires en France et dans pas mal de pays occidentaux dans 20 ans, voir 15 ans dans certains des cas !
A quoi assistons nous ? Et bien à une sorte d’ « afriquedusudisation » de l’ occident.
Bref, nous serons bientôt une minorité et on va se retrouver comme les afrikaners avec un Jacob Zuma bis au pouvoir qui nous dira pour nous rassurer (et nous humiler un peu aussi au passage) « Mon devoir comme majorité est de protéger la minorité »... Bref, c’ est ça notre avenir, point barre, on y peut rien, c’ est comme ça ! Merci Giscard, Mitterand, Chirac et merci egalement au nain alias Mr. 200 000 naturalisations par an. Sur ce, bye bye les crevettes !-
le national socialisme est sans doute ce qu’il y de plus protectionnisme comme doctrine politique et elle l’était, aucun d’entre nous ne s’en plaignait. Mais bon ça c’est gaté sur le long terme. C’est qu’il fallait réussir a finir et surtout a gagner une guerre. Mais bon admettons que nous ayons eu la victoire et que nous ayons réussi à eliminer tout les méchants et qu’enfin nous puissions jouir d’une forme social harmonieuse et close sur elle méme comme un embryon encore fallait t’il maintenir la tension victorieuse et la lutte entre nous et les autres afin de continuer a vivre dans notre cocon Mais les méchants ont continué a proliférer comme des cellules cancéreuses. Le mal est partout moi méme je vient de m’péter un doigt en cliquant
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a part ça que vient faire la couleur des peaux dans cette affaire de protectionnisme. I faut se protéger des UV, le cancer de la peau, c’est ça ?
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Cet article a le mérite, c’est à dire la courage, de prendre le contre-pied du fantasme nationaliste, comme protection illusoire de ce que nous sommes déjà : des hybrides culturels et sociaux, quand ce n’est pas biologique (ce qui est un fait depuis toujours).
Le nationalisme ethnique est un déni de notre réalité et donc potentiellement dangereux en cela qu’il conduit droit à la haine de l’autre qui est déjà en nous ! Or il n’est de pire haine que celle qui l’on tourne vers un extérieur imaginaire pour ne pas affronter la peur de ce que nous sommes : divers et, parce que divers ou diversement hybridés, sommés de nous conduire raisonnablement pour ne pas nous entre-tuer et cela grâce à un cadre de règles universelles et donc universellement libérales de comportements mutuels.
Le seul problème de nos sociétés irréversiblement ouvertes réside donc dans le fantasme l’ethnique qu’il soit perçu comme interne ou externe, ce qui revient au même. Ce qui nous fait l’obligation de lutter, au nom des droits fondamentaux égaux des individus, contre tous les intégrismes identitaires, à commencer par les nôtres.
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Fantasme ethnique, bien sûr !
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Monsieur Reboul ce que vous écrivez n’est qu’un monceau de clichés dépourvus de réalisme. Nous avons adopté ou subit le communisme et ses illusions socialistes (et cela continue dans les esprits en France), puis le national socialisme. Les mêmes qui ont été staliniens, sont devenus maoistes, polpotistes, castristes, che guevaristes et maintenant ils sont pour le melting pot. C’est toujours le même état d’esprit qui favorise l’utopie, souvent mortifère, à la réalité des choses.
Les ethnies ce sont les masaï, les peuls, ce sont les Hutus etc... . Les races ce sont les blancs, les jaunes, les noirs. L’espèce est humaine et c’est la seule du genre (il y a eu Néanderthal, cro magnon et des espèces humaines ont pu cohabiter par le passé etc).
Je vous recommande une lecture approfondie et réfléchie de cet article :
http://www.polemia.com/article.php?id=1811
Et surtout de cette traduction d’un article scientifique parut en 2008 dans « medical hypothes », revue éditée par Elsevier, l’un des 1er éditeurs mondiaux d’articles scientifiques et médicaux. Ce qui veut dire que cet article est passé par un comité de lecture qui en a vérifié les sources et les raisonnements :
http://www.polemia.com/pdf/differencesdesraces.pdf
Lisez les conséquences directes de vos croyances et essayez d’en déduire les conséquences à long terme sur notre avenir et celui de notre descendance.
Si vous voulez disparaître et voir vos descendant disparaitre dans le grand melting pot, c’est votre affaire, pour moi c’est non et définitivement non, c’est pour nous occidentaux, devenu une question de survie.
Les droits fondamentaux se couchent et se coucheront toujours devant la nature des choses de la vie qui n’a pas changé depuis son apparition.
Pasou-
Je ne comprends très bien pas à quoi vous voulez en venir, sauf à renoncer aux droits de l’homme dans notre pays , au nom du refus des étrangers ou supposés tels et à celui d’une prétendue loi de la vie qui n’existe que dans votre imagination (l’humanité est en (im)migration depuis son origine africaine), or on sait ce que cela veut dire et où cela a déjà conduit.
Quant à mettre dans le même sac l’idée libérale des droits de l’homme avec le totalitarisme : il fallait le faire !Vous n’êtes pas au pouvoir et je ferai tout pour que vous n’y accédiez jamais. Je pense que nous serons assez nombreux en Europe démocratique pour frapper vos fantasmes d’impuissance politique.
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J’ai renoncé à répondre à l’avalanche de commentaires racistes reçus suite à mon article et ai préféré écrire un nouvel article qui est en ligne aujourd’hui sur AV (« Tous ensemble, hybridons-nous de nos différences »).
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