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Les commentaires de Pierrot



  • Pierrot 16 novembre 18:04

    @Yann Esteveny
    Alors, de quoi vous plaignez-vous puisque vous pensez avoir eu ce que vous méritiez ?!

    Cela dit, une citation ne suffit pas à faire une vérité. Pour ma part, je médite sur les faits, pas sur les âneries qu’on se plaît à répéter.

    Et dans les faits, ce sont rarement les peuples qui décident de leur sort, même lorsqu’il leur est permis de voter. Tous les individus n’y consentent pas non plus forcément, puisqu’en règle générale c’est leur dénuement face aux nécessités de la vie et à la force publique qui le leur impose.

    En revanche, les faits ne sauraient dégager la responsabilité des castes qui détiennent les pouvoirs. Pouvoirs qui ne leur viennent pas des urnes, mais qui permettent d’orienter suffisamment les scrutins en leur faveur pour sauver les apparences.



  • Pierrot 14 novembre 07:40

    @Yann Esteveny
    Oui concernant l’hypocrisie « des hommes et des femmes qui... », quand vous employez l’article indéfini.

    Mais non, c’est certainement pas « la population » occidentale qui fait régner « le Mensonge ». Cette affirmation constitue une généralisation caricaturale et injustifiée. (Généralisation qui, d’ailleurs, parce que vous faites aussi partie de cette population, suggère logiquement que vous feriez également régner ce « Mensonge ».)

    Par exemple, quand un Macron qui n’a été élu qu’avec les voix de 35% des citoyens français (dont les deux tiers par défaut), il paraît difficile de prétendre que « la population » aurait donné son accord. Tout autant quand le seul son de cloche qui prévaut est celui diffusé par des médias possédés par la poignée de milliardaires qui soutiennent le pouvoir en place et relayent les pressions de certaines puissances étrangères.

    N’en vous déplaise, il y a bien une entité qu’on qualifie habituellement d’« Occident » s’agissant notamment des sujets politiques, économiques et militaires, et qui a peu de chose à voir avec « les peuples de l’Occident » que, pour le coup, vous avez pris comme boucs émissaires.

    De plus, il paraît difficile de prétendre que ces politiciens sans foi ni loi déclameraient que « leur peuple est merveilleux », parce qu’en pratique c’est plutôt le contraire qu’on pourrait leur reprocher. D’ailleurs, le problème dont il est question a plus certainement à voir avec leur préférences pour certains peuples étrangers.



  • Pierrot 6 novembre 12:22

    @V_Parlier
    Pas juste l"« illustration ». Il est surtout un fidèle promoteur de cette chute, à laquelle ses prédécesseurs et nombre de décideurs politiques et économiques français et étrangers ont également contribué.

    Quand des individus passent leur temps à œuvrer à cette chute, on peut difficilement prétendre qu’elle surviendrait parce qu’ils ne seraient pas doués pour l’empêcher.



  • Pierrot 5 novembre 09:29

    @Francis, agnotologue
    J’allais le dire.



  • Pierrot 31 octobre 09:59

    @Jean Keim
    « La France moderne jusque dans les années 70 et quelques vivait au-dessus de ses moyens  »

    Mais ce n’est pas un fait, c’est juste une opinion. Et la mienne est que la France avait tout-à-fait les moyens de sa puissance économique qui, rappelons-le, avait atteint la deuxième place mondiale il y a soixante ans, après avoir surmonté le désastre de la guerre.

    En dépit de leurs inconvénients, l’inflation et la dette ne sont pas foncièrement des problèmes tant que des mécanismes de compensation accompagnent la première et que la seconde reste à un niveau supportable et est utilisée à bon escient. À ces conditions, elles présentent des avantages, qui sont notamment favorables au dynamisme de l’économie.

    Malheureusement, les avantages de la dette et les inconvénients de l’inflation ont servi de prétextes pour réformer le système, au détriment de notre situation économique et sociale et de notre souveraineté, mais au profit des intérêts d’une minorité.

    Il suffit de voir ce qui a changé entre aujourd’hui et le début des années 70 pour comprendre à qui profite le crime.



  • Pierrot 29 octobre 12:04

    @Michel J. Cuny
    Le propre d’une propagande trompeuse et a minima crédible est de présenter des éléments exacts mais surtout pas exhaustifs, ce qui permet d’imposer une interprétation conforme au but fixé tout en cachant son manque de logique et de cohérence au regard du contexte particulier et de tous les faits qu’on s’est gardé de rappeler.

    J’image que vous avez bien lu les quelques documents que vous citez. Mais pour ce que ça vaut...



  • Pierrot 25 octobre 11:44

    Est-ce par manque de place ou par soucis de concision que vous n’avez pas cité Ronald Reagan, qu’on présente notamment comme à l’origine de la politique néolibérale actuelle  ?

    La présence d’un acteur de cinéma dans la liste des anciens présidents américains aurait pu vous suggérer que leurs aptitudes professionnelles avaient peu à voir avec leur mandat, et que finalement leur pouvoir sur les affaires du pays était surtout une affaire d’apparence.



  • Pierrot 25 octobre 11:27

    @eresse

    Normal et de bonne guerre ? Comme vous y allez !

    Vous semblez ignorer que les principales puissances qui nous ont œuvré à nous chasser des territoires qui étaient historiquement sous notre influence sont des pays soi-disant alliés, dont les États-Unis et l’Allemagne notamment.

    Quant à nos actions contre les intérêts russes, elle servent principalement l’hégémonie américaine, le plus souvent au détriment de nos propres populations. C’est plus certainement dans ce cadre que nos autorités politiques seraient favorables à une perpétuation du conflit.



  • Pierrot 14 octobre 18:07

    @Pierrot
    (La réponse ci-dessus s’adressait également à Sigurdhur.)



  • Pierrot 14 octobre 18:01

    @sylvain
    « Il n’est pas possible... »

    Ne doit-on pas plutôt dire qu’il ne serait pas souhaitable, pour nos élites autoproclamées, que trop de monde prétende à leurs privilèges ?!

    Rien ne s’oppose à ce que ces élites soient nombreuses et diversifiées si elles mettent leurs compétences particulières au service des autres, au lieu d’œuvrer, pour leurs seuls profits, à l’abaissement et à l’exploitation de ces derniers.

    Dans la pratique, l’oligarchie (le pouvoir détenu par une petite minorité) débouche sur un parasitisme social qui est tout autant un échec politique pour les populations, mais qu’on n’avoue pas parce que c’est le système qui prévaut actuellement (nous serions en démocratie, à ce qu’il paraît).



  • Pierrot 14 octobre 17:36

    @Sigurdhur
    S’il faut en croire le niveau de bêtise de nos « élites » bourgeoises et le déclin économique, industriel, social, politique et diplomatique auquel la défense de ces intérêts financiers ont abouti, on ne peut décemment accorder aucun crédit à ces préjugés pour le moins arriérés et qui fleurent bon le mépris de classe.

    Si vous tenez absolument à améliorer le suffrage en en excluant les participants problématiques, alors la situation actuelle et les expériences passées justifieraient plutôt qu’on interdise toute intervention dans le processus démocratique à ceux dont la puissance économique et financière constitue une menace de corruption de l’État du fait du conflit entre leurs intérêts personnels et l’intérêt supérieur de la Nation.



  • Pierrot 11 octobre 11:03

    @tashrin
    Le domaine d’expertise d’un auteur de fictions, c’est le récit de choses qui n’existent pas, autrement dit une forme particulière de mensonge. Et en faisant la comparaison avec un énarque, vous ne vous éloignez pas vraiment de cette catégorie, puisque pour atteindre ses objectifs, ce dernier est amené à convaincre et à justifier, parfois (souvent ?) en faisant mentir les chiffres.

    Il n’empêche que dans d’autres métiers bien différents, notamment scientifiques et techniques, on a pour objectif de rendre compte de la réalité aussi fidèlement que possible. Cela est d’autant plus nécessaire que ceux qui produisent les chiffres en sont généralement les premiers utilisateurs, et que le succès de leurs projets dépend directement de l’exactitude et de la précision de ces chiffres. L’existence de cette catégorie de métiers suffit à démentir le caractère catégorique de la citation de Twain.

    Ceux qui font des études sérieuses utilisent les paramètres qui produisent les bonnes réponses aux questions qu’ils posent. Si vous souhaitez par la suite comprendre ou réutiliser ces chiffres, alors il faut vous enquérir de ce qu’ils représentent réellement, sans jamais en préjuger.

    Concernant les statistiques officielles, on dispose de tous les éléments nécessaires à une telle démarche. Malheureusement, par manque de compétence, de courage ou de temps, nos concitoyens s’y réfèrent rarement, s’arrêtant à ce que les intitulés semblent suggérer  pour le plus grand bonheur des politiciens et propagandistes qui les manipulent. Dans la majorité des cas, les statistiques publiées ne fournissent pas les informations recherchées par ceux qui les consultent, soit parce que toutes les données nécessaires n’étaient pas disponibles ou n’ont pas été prises en compte, soit parce que la présentation particulière des résultats en a fait disparaître une partie. De ce fait, on est souvent obligé de repartir des sources, de les compléter par d’autres, puis de trier et traiter convenablement les données avant d’obtenir les informations souhaitées.

    Ainsi, les statistiques excluant les status dérogatoires et les conclusions qui en découlent ne sont pas fausses si l’on n’ignore pas que ces status n’y sont pas inclus, et il est possible de réintégrer ces derniers pour produire des statistiques complètes et en tirer les conclusions qui leur correspondent.

    ... On est loin du domaine d’expertise d’un auteur de fictions, n’est-ce pas ?



  • Pierrot 10 octobre 12:36

    @rogal
    Plutôt que vous contenter de généralités vaseuses destinées à instiller des soupçons imprécis, vous devriez expliciter votre point de vue sur le sujet en essayant de l’étayer avec des arguments dont on pourrait discuter.



  • Pierrot 10 octobre 12:28

    @rogal
    Vous auriez pu dire qu’on trouve parfois des menteurs chez ceux qui affirment que leurs chiffres prouvent leurs propos.

    Mais votre affirmation est catégorique, de sorte qu’elle accuse également de mensonge ceux qui apporteraient réellement la preuve de leurs propos par des chiffres. Là, on tombe en plein délire orwellien : « la vérité, c’est le mensonge ».



  • Pierrot 10 octobre 12:12

    @xana
    Le sujet n’est pas motivé par le sentiment de ceux qui, comme vous, se font accueillir chez les autres, mais par la situation de ceux qui les accueillent. Situation qui peut être très différente selon le lieu et l’époque.

    Les imbéciles, ce sont ceux qui ne comprennent pas les raisons pour lesquelles ils sont bien ou mal accueillis, et ceux qui vont jusqu’à menacer leurs propres intérêts (y compris vitaux) en accueillant n’importe qui n’importe comment.

    L’accueil dépend certainement de l’éducation de ceux qui reçoivent, mais il dépend surtout de leur compréhension, dans le contexte particulier qu’ils connaissent, des avantages et des inconvénients à accueillir l’autre. D’ailleurs, cette venue est souvent mieux vécue quand ils savent que l’hôte n’est que de passage.

    Votre récit est idyllique. Mais si vous avez voyagé sur les cinq continents, alors il est étonnant que vous n’ayez pas réussi à percevoir, derrière la curiosité naturelle, l’instinct grégaire et les règles d’hospitalité qui ont cours ça et là, à quel point le racisme et la xénophobie étaient des sentiments naturels chez les humains.

    La Russie est un vaste territoire peu peuplé, ce qui suggère que vous pourriez y être le bienvenu. Mais vous constaterez certainement qu’on n’y entre pas comme dans un moulin, et que tout le monde n’y aime pas forcément les Français.



  • Pierrot 10 octobre 11:19

    @Buzzcocks
    Vous n’avez manifestement pas compris à ce qui est exposé dans cet article. Mais peut-être doit-on mettre cela sur le compte d’un réflexe pavlovien instillé par nos organes de pouvoir.

    Il n’est pas ici question de critiquer la culture (latine) de vos ancêtres ni de fustiger les anciennes vagues d’immigration qui ont façonné notre pays, mais de mettre en lumière les mensonges de ceux qui cachent la réalité de la situation et qui œuvrent à son aggravation en prônant une immigration sans condition ni retenue.

    Cette mise au point est d’autant plus justifiée que les temps où une forte immigration était bénéfique (voire nécessaire) à l’intérêt général et où elle débouchait sur l’intégration des nouveaux venus à la Nation sont maintenant révolus.

    Pour moi, la question n’est pas de savoir si mes enfants prendront du cassoulet, des raviolis ou du coucous à midi, mais plutôt de savoir s’ils pourront manger à leur faim, s’ils arriveront encore à concurrencer l’exploitation inhumaine de cette nouvelle immigration, s’ils arrêteront de subir les discriminations et la xénophobie de communautés étrangères, nombreuses, fermées et souvent influentes qui prennent pied dans notre pays, s’ils ne finiront pas par être étrangers dans leur propre pays du fait de leur culture et de la couleur de leur peau. Ce ne sont pas des paroles en l’air, mais le rappel de mauvaises expériences qui tendent à se multiplier.



  • Pierrot 10 octobre 09:57

    @rogal

    Mais que vaut l’expertise d’un auteur de fictions dans ce domaine ?!...

    D’une part, certains chiffres peuvent mentir, du seul fait qu’ils sont faux. D’autre part, les menteurs craignent par dessus tout les chiffres qui démentent leurs propos quand ils ne peuvent les nier et peinent à manipuler leur interprétation.

    Or, les chiffres que L’apostilleur expose ici sont les propres chiffres de chez ceux qui tentent aujourd’hui de mentir sur l’ampleur et les conséquences du phénomène. De sorte que si ces chiffres devaient être faux, alors il faudrait en conclure que la situation est pire que ce qu’ils suggèrent déjà.



  • Pierrot 5 octobre 11:01

    @Astrolabe
    L’auteur parle de faiseur de conflit, c’est-à-dire de provocateur, pas de ceux qui finissent par mener les guerres fomentées par ce type d’individu.

    Mais si vous avez des arguments pour ranger Poutine dans cette catégorie, alors il faudrait nous en faire part, en n’oubliant pas de préciser qui était à l’origine des conflits auxquels vous vous référez.

    Petit rappel des faits concernant le conflit en cours : le régime de Kiev bombardait les populations russes d’Ukraine depuis sa mise en place par l’administration américaine en 2014, et il menaçait de frapper la Russie avec des armes de destruction massives avant le début du conflit armé en 2022 ; conflit déclenché par l’envoi de troupes ukrainiennes pour écraser le Donbass, dont les premiers financements étaient déjà actés à Washington en 2021, et à propos duquel les membres du gouvernement ukrainien avaient par la suite rappelé que leur armée faisait « le sale boulot de l’OTAN »...



  • Pierrot 2 octobre 10:46

    @titi
    « Sérieux », vous ne savez pas de quoi vous parlez.

    D’une part, les « menaces » dont il est question existaient déjà avant la naissance de Poutine. D’autre part, nous proférons les mêmes contre les Russes, depuis trois quarts de siècle pour les USA et depuis 60 ans pour la France.

    Ce dont on commence à avoir marre, en revanche, c’est de lire les élucubrations d’un décérébré qui, bien qu’il ne comprenne rien à rien et le démontre à chacune de ses interventions, continue de tenter d’accréditer la propagande de nos oligarques occidentaux. Ces oligarques qui, après avoir consciencieusement pillé et déglingué notre pays, nous précipitent sciemment dans cette guerre qu’ils se sont évertués à provoquer (a minima à partir de 2014).



  • Pierrot 29 septembre 12:14

    @pemile
    Cessez de prendre vos désirs pour la réalité.

    Si la Crimée n’était pas russe, elle ne serait pas frappée par les missiles ukrainiens, et Poutine n’aurait pas envoyé ses troupes plus au nord, sur le Dniepr, pour la protéger des invasions terrestres.

    Ce n’est pas en tenant des raisonnements avec ce niveau d’imbécilité que vous parviendrez à deviner ce que Poutine pense, ni à comprendre la façon dont il agit et les raisons qui le poussent à le faire.