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Les commentaires de ilias



  • ilias 7 novembre 20:08

    Dès le départ, il faut souligner la tautologie implicite dans le texte critique de Piketty concernant le coût de production et la rareté. En effet, le lien entre coût et rareté est fondamental en économie, car chaque coût implique nécessairement une forme de rareté des ressources, qu’elle soit relative ou absolue.


    La notion de rareté est intrinsèque à l’économie, car elle découle du fait que les ressources sont limitées alors que les besoins humains sont souvent illimités. Cela signifie que chaque décision économique, y compris celle relative aux coûts de production, est influencée par cette rareté. Même si la rareté n’est pas toujours absolue, elle reste un facteur déterminant dans la manière dont les ressources sont allouées et utilisées. Par conséquent, parler de coûts de production sans reconnaître la dimension de rareté peut mener à une vision incomplète des dynamiques économiques.

    La recherche scientifique et sa concrétisation, du moins dans les science naturelles et de l’ingénierie, influencent la productivité, permettant ainsi d’augmenter la quantité produite tout en minimisant les ressources utilisées. Cela souligne un point crucial : l’innovation technologique peut atténuer les effets de la rareté en améliorant l’efficacité des ressources. Cependant, même avec des avancées technologiques, la question de la répartition des richesses demeure centrale. Piketty met en avant que l’augmentation de la productivité ne se traduit pas nécessairement par une réduction des inégalités. Au contraire, il observe que les gains de productivité peuvent souvent bénéficier davantage aux propriétaires du capital qu’aux travailleurs. 

    L’analyse de Piketty sur l’augmentation des disparités de revenus repose sur l’idée que les rendements du capital dépassent souvent la croissance économique. Cela signifie que ceux qui détiennent des ressources (capital) voient leur richesse croître plus rapidement que les salaires des travailleurs et de tous les revenus fixes, exacerbant ainsi les inégalités. Dans ce contexte, même si Ricardo souligne l’importance du coût de production dans la détermination des prix, il est essentiel d’intégrer cette dynamique de répartition pour comprendre pleinement les implications sociales et économiques. 

    Relever la tautologie entre coût et rareté met en lumière un aspect fondamental des théories économiques. La compréhension des coûts de production doit être accompagnée d’une prise en compte des mécanismes de répartition et des effets potentiels sur les inégalités économiques. L’analyse de Piketty s’inscrit dans cette réflexion plus large sur comment gérer les ressources limitées dans un monde où les besoins continuent d’évoluer et où les disparités se creusent.




  • ilias 5 octobre 14:35

    Cette condamnation ressort fondamentalement de reproches beaucoup plus formels que de fond ; c’est dire son innocuité de son atteinte au point de vue scientifique et même de praticien. La prescription de l’hydroxychloroquine qu’il a défendue, quant à son usage lors de la pandémie du covid 19, était envisageable à 3 conditions : 1.] premiers signes d’apparition des symptômes de la maladie 2] chloroquine avec un dosage minima approprié, associée à l’azithromycine 3.] les sujets à pathologies sensibles à l’usage de la chloroquine en sont exclus. Les vaccins n’étant pas encore au point, il n y avait alors que cette prescription qui avait des raisons valides dans l’urgence, d’être utilisée.



  • ilias 28 juin 02:15

    Je vais vous dire l’hypothèse la plus plausible. Depuis plusieurs années une opposition diverse dont les moudjahidines khalq en sont le noyau, s’est vu encouragée et financée par l’occident, USA,UK et Israel surtout, à tel point qu’elle fait des rencontres périodiques dans les capitales occidentales encadrée par des supporteurs de haut niveau de plusieurs pays, soit à titre individuel ou en représentation d’une entité publique gouvernementale ou non. Il n’est pas exclu que cette opposition ait des interfaces par sympathie, mais plus par mercenariat bien huilé, dans des structures de la haute administration, dans l’armée et surtout peut-être dans les services de sécurité opérationnels. Et l’enveloppe des rétributions étant importante, on assiste alors à un travail en réseau regroupant des individus relevant chacun d’une structure différente l’un par rapport à l’autre et devant travailler en collaboration pour des opérations bien organisées de ciblage de personnalités décisionnaires à des niveaux importants de l’Etat iranien. Ceci n’est qu’une hypothèse mais qui me parait bénéficier d’un haut degré de vraisemblance.



  • ilias 27 juin 16:26

    Respect « totémique » des consignes de la tribu Sion génocidaire de la filiation d’Esther à tentacules mondiales en pleine adhérence avec l’oligarchisme mondialiste du fric dieu : Taper et encore taper et toujours taper sur LFI de n’avoir pas fait soumission à la tribu Sion, et plus grave encore, qui veut, une fois au pouvoir, instaurer une politique économique productivement juste de véritable redistribution des revenus et des richesses en fonction des capacités contributives de chaque personne physique et personne morale. Vous représentez tout ce qui est ignoble et immorale dans le journalisme et dans l’information au public.

    Vous êtes démasqués et vous ne pourrez dorénavant vous cacher derrire les beaux mots de démocratie, de droits de l’homme, de la laicié, de la liberté, de l’humanisme, et tutti quanti.

    Le journalisme mercenaire et sa dénudation

    Dans un monde de plus en plus dominé par les médias et les technologies de l’information enveloppés par les conglomérats du mainstream politique et médiatique, eux-mêmes, dominés par le sionisme international et mondial en union avec ll’oligarchie mondiale du fric-dieu, le tout assis et alimentant les extrêmes droites nationales et internationales, l’individu se trouve souvent réduit à un rôle passif, réactif plutôt qu’actif et mieux encore proactif. Cet état de fait nous exhorte à réfléchir sur la nature du conditionnement de masse et de la manipulation, des phénomènes qui façonnent nos pensées, nos comportements et notre perception du monde. Cette analyse vise à approfondir ces thématiques en explorant les mécanismes sous-jacents et les conséquences sociétales de cette domination insidieuse.

    1.Le Conditionnement : Une Lente et Sournoise Manipulation

    Le conditionnement de masse ne se fait pas du jour au lendemain. Il s’agit d’un processus long, méthodique et délibéré. Les esprits ne sont pas façonnés par des actions isolées mais par une série d’influences répétées et systématiques. Cette préparation minutieuse vise à formater les individus de manière à ce qu’ils acceptent et même plébiscitent leur propre servitude.

    Ce processus débute dès l’enfance, avec une éducation qui valorise la conformité plutôt que la curiosité et la pensée critique. À mesure que les enfants grandissent, ils sont exposés à un flux constant de médias qui dictent ce qu’ils doivent penser, ressentir et désirer. Les messages subliminaux véhiculés par les publicités, les émissions de télévision et les films sont conçus pour inculquer des valeurs et des croyances qui servent les intérêts de ceux qui contrôlent ces médias.

    2.Les Gouvernants : Pions d’un Système Plus Large

    Contrairement à ce que l’on pourrait penser, nos gouvernants ne sont pas les véritables marionnettistes. Eux-mêmes ne sont que des pions dans un système beaucoup plus vaste et complexe. Ce système est orchestré par une élite invisible, des intérêts corporatifs et financiers qui tirent réellement les ficelles. Les politiciens et les dirigeants sont souvent contraints de se plier aux exigences de ces puissances occultes, sous peine de perdre leur position ou leur influence.

    Cette dynamique de pouvoir asymétrique crée une illusion de choix et de démocratie, alors qu’en réalité, les options offertes au public sont soigneusement contrôlées et limitées. Les décisions politiques et économiques majeures sont prises en coulisses, loin du regard du public, par des individus et des groupes qui ne rendent de comptes à personne.

    3.La Culture de Masse : Un Outil de Distraction et de Contrôle, et pire encore d’imbécilisation

    La culture de masse joue un rôle crucial dans ce mécanisme de contrôle. Elle a pour but principal de distraire, d’amuser et de maintenir les masses dans un état de passivité. Cinéma, télévision, médias et publicité forment un ensemble cohérent de moyens de conditionnement. Les productions culturelles grand public sont conçues pour être attrayantes mais intellectuellement vides, empêchant toute réflexion critique ou remise en question du statu quo.

    Les spectacles tapageurs, les programmes de téléréalité, les blockbusters hollywoodiens et les événements sportifs de grande envergure captivent l’attention du public et détournent leur énergie de toute activité productive ou réflexive. En se concentrant sur le spectaculaire et le superficiel, ces formes de divertissement empêchent les individus de développer une conscience critique et de questionner les structures de pouvoir existantes.

    4. La Destruction du Libre Arbitre


    Le libre arbitre, cette capacité de faire des choix éclairés et autonomes, est
    systématiquement érodé par le conditionnement de masse. La pression sociale, le conformisme et le matraquage médiatique conduisent à une uniformisation des pensées et des comportements. Les individus sont poussés à consommer les mêmes produits, à adopter les mêmes opinions et à rejeter ce qui sort du cadre prédéterminé.

    Le système scolaire contribue également à cette dynamique en privilégiant la mémorisation et la répétition plutôt que la réflexion critique et la créativité. Les jeunes esprits sont préparés à accepter passivement les informations qui leur sont fournies, sans les remettre en question. Cette éducation délibérément déficiente fait des adultes incapables de penser par eux-mêmes et de résister aux influences extérieures.

    5. Le Rôle des Médias : 

    Le Matraquage Informationnel presque intégralement architecturé sur un tropisme idéel [phisopholie et la phisolophie en lieu et place de la philosophie authentique], dirigé par des intellocraties et des éditocraties se travestissant en chiens de garde gambadant en bande, mettant en scène de faux artistes de pacotille crachotant des opinions politiciennes catéchisées, des journaleux activés au clin d’oeil et à la gymnastique de l’index ; tous vivant du vil mercenariat achetant et éteignant la conscience, pour ne réciter que les contes, les scénarios et les mises en scènes du mainstream idéel, idéologique, culturel, politicien et de divertissement, à en faire métastase de réception passive dans les têtes réceptrices des dindons de la farce que sont les populations.

    Les médias jouent un rôle central dans la propagation de cette culture de masse et dans la manipulation des esprits. En contrôlant l’information, ils façonnent la réalité perçue par le public. Les journaux, les chaînes de télévision, les sites internet et les réseaux sociaux diffusent un flot continu de contenu qui renforce les narratives dominantes et marginalise les voix dissidentes.

    La critique indépendante est souvent muselée ou déformée pour servir les intérêts des puissants. Les médias alternatifs, qui pourraient offrir des perspectives différentes et encourager une réflexion critique, sont souvent étiquetés comme peu fiables ou complotistes. Ainsi, le paysage médiatique est largement homogénéisé, avec peu de place pour la diversité d’opinion ou la contestation.

    6. Rompre les Ficelles

    Face à ce constat alarmant, il est essentiel de prendre conscience de notre condition de pantins et de chercher à rompre les ficelles qui nous entravent. Cela nécessite un effort collectif pour réévaluer nos sources d’information, promouvoir une éducation qui valorise la pensée critique et encourager des formes de divertissement qui élèvent plutôt qu’elles abrutissent ou imbécilisent.

    Couper les ficelles implique de se déconnecter des médias de masse, de chercher des sources d’information alternatives et de cultiver une curiosité insatiable. Cela demande aussi de promouvoir des valeurs de solidarité, de justice et de vérité dans notre vie quotidienne. Si l’individu peut encore trouver la force de se libérer, il n’est pas trop tard pour échapper à cette manipulation de masse et pour retrouver son libre arbitre et son humanité.En somme, la lutte contre le conditionnement et la manipulation de masse est une bataille pour la conscience et la liberté. C’est un appel à l’éveil et à la résistance contre les forces du mal, aujourd’hui principalement celles du sionisme international et mondial enchevêtré avec les extrêmes droites occidentales, le tout sous la houlette de l’oligarchisme élitiste du fric-dieu, qui cherche à nous réduire à l’état de pantins serviles. Le chemin vers la libération est ardu, mais il est impératif pour préserver notre dignité et notre autonomie. 



  • ilias 21 juin 22:07

    https://www.facebook.com/BFMTV/posts/pfbid02imL5BPumozy9Hg5F8ZNdn2q3CLNN8stD 9QeQoWrvMhjnMXjxaULNugyBYuXMRaMul?__tn__=R-R Ce zigoto de R. Arnault ne sait même pas se défendre, comment peut-il être candidat dans une telle bataille politique déterminante , non pas seulement contre les extrêmes droites, leur devanture étant le RN, mais aussi les droites, presque toutes les droites, le macronisme en principal ?. A son interpellation stupide parce que ce n’est ni son contexte ni son auditoire : "J’espère qu’au second tour, vous appellerez systématiquement à battre l’extrême droite« , Attal a répondu »On va vous battre et battre l’extrême droite au second tour parce que vous carburez à la division et à la haine« , et il continue par »Vous alimentez l’extrême droite et elle vous alimente". Et le zigoto répond par : "N’oubliez pas que l’extrême droite est notre ennemie et notre seule ennemie" ; et là le zigoto ment, sans qu’il ne s’en aperçoive de par son inexpérience politique et la médiocrité de sa manière de penser et d’analyser les situations politiques. Je porte à la connaissance de ce zigoto que les extrêmes droites, dont les devantures sont Zemmour et le RN en particulier, ont été nourries et musclées sur plusieurs années par le courant des droites, toutes les droites, le macronisme en principal dont cet hypocrite d’attal et son mentor micron osent, honte toute bue, jouer aujourd’hui les 3 mousquetaires, le 3ème larron étant lemaire, dressant leur épées contre la montée des extrêmes droites. Pourquoi Macron a, dans le contexte actuel justement, décidé la dissolution de la chambre basse de représentation nationale. 1.Je vais vous donner la réponse : elle est tout à la fois simple, évidente et limpide. La Réponse : Macron a été par 2 fois un président par défaut sur instigation déterminante de 2 forces politiques et économiques françaises et internationales : 1. Les oligarques français du fric-dieu et 2. Les lobbies sionistes français et d’ailleurs écumant dans les principaux leviers des sphères médiatique, intellocratique, culturelle, de divertissement, de la finance et dans certains partis politiques favorables à l’extrême droite israélienne. L’arrivée du RN aux commandes de la France n’effraie ni les oligarques ni les lobbies sionistes. Bien au contraire pour ces derniers, ce pouvoir du RN en France va être en complète congruence, y compris de doctine et de violence militaires, avec le pouvoir en place d’aujourd’hui ou à venir, en Israel.

    Développement du substrat portant la réponse ci-dessus : La montée en puissance populiste de l’extrême droite n’a jamais été une surprise depuis pratiquement 2020. Ceux qui aujourd’hui feignent l’offuscation et même l’effroi, sont ceux-là même qui l’ont aidé à être acceptée par le mainstream politique et médiatique français. À commencer par le puissant lobby sioniste français qui s’est dit avoir trouvé un allié et un complice dans le sale boulot de taper sur les Arabes et les Musulmans en général, Maghrébins et Palestiniens en particulier. Puis l’équipe présidentielle, Macron en tête sur l’influence de ses parrains milliardaires et desdits lobbies sionistes tant français que d’ailleurs, a tout fait pour gonfler l’audience du RN et de Zemmour, plan poursuivi depuis 2020 à l’effet de barrer coûte que coûte la route du 2ème tour à J. L. Mélenchon. La guerre coloniale terroriste étant déclenchée au lendemain de l’action de la résistance palestinienne contre la colonisation d’Israël a renforcé encore plus les liens d’alliance et de complicité de l’extrême droite officielle : RN et Reconquête, jusqu’à faire dire à des ténors du sionisme ultra dont le vil faux intellectuel Alain Finkielkraut, la sauterelle politique BHL, les avocaillons Klarsfeld et goldanel, le romancier bruckner, etc., que le RN est un parti tout à fait républicain et qui n’est plus comme d’antan judéophobe, et que les politiques de droite tout niveau de gris peuvent travailler sans complexes ou a priori avec lui. C’est dire que tout a été balisé bien longtemps pour le RN par ceux-là mêmes, dont les morveux macron et attal, qui aujourd’hui crient au monstre et font des parades pour le contenir.



  • ilias 21 juin 22:02

    La peur est ataviquement à perpétuité dans les (in)consciences) des extrêmes droites, sionisme compris ; elles ne peuvent s’en défaire ; c’est pour cette raison qu’elles sont les plus dangereuses quand elles gouvernent. Le leitmotiv de toute la droite, extrême droite comprise ainsi que le socialisme caviar et des caciques, est de casser la gauche, tout en sachant que cette gauche est diverse. On ne peut considérer aujourd’hui le PS comme y relevant ; il reste alors principalement LFI. Donc le véritable ennemi à abattre par les classes politiques françaises réunies, c’est la casse du LFI certes chacun avec son moyen, le plus gros étant celui des milliardaires en jonction et avec la macronie et avec toutes les formations de la droite, extrême et ultra droite dont le RN et une grande partie des caciques du PS. Le liant qui les unit tous dans cette mission purificatrice, ce sont avant tout les puissants lobbies sionistes tant français que d’ailleurs de par le fait de l’opposition claire et nette de LFI à la politique israélienne de colonisation et à son action génocidaire contre les palestiniens, et secundo pour les milliardaires et leurs obligés dans les rênes de l’Etat profond, de la haute administration publique et les politicards qui leur sont acquis, la peur de la détermination des insoumis, si jamais ils seraient aux commandes de l’Etat, de mettre en oeuvre concrètement les mesures de leur politique économique et sociale.de redistribution des revenus et des richesses en fonction de la capacité contributive de chacun

    Les droites et surtout les extrêmes droites, sous le couvert d’un côté de la défense des français dits de souche et de la culture à relents catholicistes de ligne sectaire, se juche un réflexe de suprémacisme dont les piliers sont : a) l’esprit tribal et son déploiement en meute et en horde contre tout ce qui est perçu comme différent de la tribu. b) le ressourcement sans interruption à la culture de l’animalité décrite par Thomas Hobbes dans son léviathan “l’homme est un loup pour l’homme” et toujours tronqué de sa suite par les tenant des extrêmes droites et des fascismes qui est “dans l’état de nature”. 

    Le colonialisme, le nazisme, le fascisme, le sionisme, les élitismes mondialistes du fric-dieu, etc. s’abreuvent fondamentalement, chacun à sa manière, de cet état d’esprit animalier.



  • ilias 10 juin 20:30

    “M. Macron méconnaît une réalité très simple : d’une part, un État en danger de mort permanent, soumis à des menaces indiscutables (RI d’Iran) et qui dispose du droit et de l’obligation légitime de se défendre – fut-ce avec un marteau-pilon pour écraser une mouche – dans la mesure où il a parfaitement compris que sa disparition serait accueillie par des youyous dans tout l’univers arabo-musulman, qui éprouve une haine viscérale de tout ce qui est judéité. Cette disparition et destruction ne feraient ni chaud ni froid au reste de la pseudo « communauté internationale », dont on nous rebat les oreilles et qui s’en moque. D’autre part, une reconnaissance inacceptable d’organisations criminelles, terroristes, seigneurs de guerre (Hamas, Hezbollah) qui tiennent leurs propres populations sous une poigne de fer, que ce soit à Gaza, en Cisjordanie ou au Liban.”

    Dixit Renaud Bouchard, samedi 8 juin 2024, dans Agoravox.fr : *Le Débarquement, le Président et les avions en Ukraine : escroquerie politique et insulte absolue à l’intelligence des Français*.

    “J’ai la volonté de rencontrer, réunir et fédérer les énergies pour un engagement et une renaissance politique nouvelles de la France et de l’Europe à l’occasion des prochaines échéances électorales.”

    Dixit R. Bouchard, présentation profil Agoravox.

    Vous fédérez quoi et qui avec de tels élans de haine gratuite, justifiés maladivement pour soi-même, pour amadouer un brin de conscience humaine inconsciente en votre tréfonds, qui n’a pu que rechigner passivement. Les morts d’autochtones civils, enfants et femmes surtout, maîtres historiques des lieux, ne sont pour vous que des mouches à gommer avec un marteau-pilon.

    Toute cette lugubre rhétorique joyeusement affichée par vous, ce sont des éléments de langage « AFNOR » de deux sortes d’ignobles gens : 1. Les sionistes ultra, juifs mais aussi en nombre plus important des non-juifs des droites extrémistes, évangéliques sionistes américains en premier, dont il ne faut pas oublier qu’ils étaient et restent jusqu’à aujourd’hui sous des masques divers, des judéophobes. La haine des Arabes et des musulmans d’un côté, et le business de l’autre, les ont rassemblés pour un bout de temps. 2. Tous les opportunistes d’une certaine carrière d’affaires ou professionnelle ou politique aspirant à sauter les étapes rapidement, annoncent à tout bout de champ leur adhésion à tout ce que dictent les puissants lobbies sionistes fédérés internationalement et mondialement : Ça ouvre bien des portes de l’enrichissement sans cause, sauf celle du mercenariat du chien de garde bien et intelligemment dressé.

    Si l’on devait classer les crimes d’État qui se déroulent actuellement sous nos yeux en fonction de leur degré de barbarie, d’ignominie, de lâcheté et de cruauté intolérable, personne au monde doté d’un minimum de conscience humaine ne pourrait contester que la palme de l’horreur, macabre trophée du sang versé d’innocents, devrait revenir non pas à la République théocratique des mollahs, mais bel et bien à la République théocratique déguisée des bourreaux d’enfants et de femmes palestiniennes innocentes, dont beaucoup sont les véritables descendants des Hébreux historiques de la région. Il s’agit bien sûr de l’entité sioniste terroriste improprement et honteusement appelée Israël.

    Tout en choisissant où vous vous placez dans la taxonomie définie, il faut reconnaître que seul un gars – je ne dirais pas homme parce qu’il ne se hisse pas au mérite de cette qualité – s’essaie hypocritement et lâchement de jouer à l’aveugle sur ce qui se passe tous les jours devant nos yeux : une armée d’un État terroriste colonial doté de tous les armements modernes, face non pas seulement à une milice de résistants contre l’occupation de sa terre, mais aussi liquidant, au vu et au su de tout le monde, des civils innocents sans armes dont la plupart sont des femmes et des enfants. Seul un dépravé ou un être à l’esprit de cannibale pourrait taire cette ignominie criminelle à grande échelle contre un peuple historique voulant vivre en paix et avec dignité dans son pays, la Palestine. Les femmes et les hommes libres et d’honneur reconnaissent qu’il est de leur devoir humaniste et de justice de dénoncer cet État terroriste qu’est Israël, commettant des crimes de guerre et contre l’humanité en cette décade du 21ème siècle.

    https://youtu.be/nPOf_sYC8TE?si=sLwnCzZjO4XvH24k



  • ilias 10 juin 13:57

    Macron est un politicard morveux à la fois plein d’arrivisme, de suffisance, d’arrogance et de prétention et une personne immature d’esprit tout comme son alter ego Attal, beaucoup plus Premier ministre incompétent qui s’accepte et s’assume ainsi que chef du gouvernement ; et un morveux ça ose lâchement beaucoup plus pour le pire et très peu pour le mieux.

    Le contexte politique : une légitimité contestée et de plus en plus érodée

    Emmanuel Macron a été élu deux fois par défaut : Une première fois, suite au lâchage pour poursuites judiciaires du candidat qui était le favori prépondérant du scrutin, F. Fillon en 2017, et une deuxième fois sur scenario voulu et concocté dès 2020 pour qu’il soit candidat face à l’extrême droite qu’il a lui-même promue pour barrer la route du 2ème tour à Mélenchon aux présidentielles de 2022. En 2017 alors qu’il a été élu sur la promesse de renouveler la politique française et de revitaliser l’Europe, il se trouve aujourd’hui confronté à une impasse politique. Méritant la qualification de « pseudo-chef de l’État belliciste », parce qu’il ignore les réalités des domaines qu’il tente de maîtriser, notamment les questions diplomatiques et militaires. On est à même de souligner l’incongruité entre ses ambitions initiales et les résultats concrets de ses politiques, tant en France qu’à l’international.

    I.] Premier mandat (2017-2022) : L’espoir du renouveau et les premières désillusions

    Lors de son élection en 2017, Macron était perçu comme un outsider capable de bousculer le système politique traditionnel français. Son mouvement, La République En Marche, promettait de transcender les divisions partisanes et d’apporter des réformes économiques et sociales majeures.

    1. Réformes économiques et sociales

    Macron a entrepris plusieurs réformes controversées, notamment celles du Code du travail et du système des retraites. Ces réformes resituées dans leur contexte éco-systémique et//ou holistique étaient injustes, et ont suscité de vives oppositions et manifestationsdiverses et nombreuses, comme celles du mouvement des Gilets Jaune ; lequel a révélé un profond malaise social et une colère envers les “fausses”élites ou les simulacres d’élites.

    2. Gestion de la crise des Gilets Jaunes

    Le mouvement des Gilets Jaunes, débuté en 2018, a marqué un tournant dans la présidence de Macron. La réponse brutale du gouvernement, perçue tout à la fois comme répressive et condescendante, a exacerbé les tensions. La crise a mis en lumière les inégalités sociales et les fractures territoriales, remettant en question l’image d’un président à l’écoute du peuple.

    3. Politique européenne

     Macron s’est positionné comme un fervent défenseur de l’intégration européenne. Ses discours en faveur d’une Europe plus intégrée et souveraine ont cependant souvent buté sur la réalité des divergences entre États membres et la montée des euro-scepticismes.

    II.] Deuxième mandat (2022-présent) : Les défis internationaux et l’impasse diplomatique

    Réélu en 2022, Macron a dû faire face à de nouveaux défis, amplifiés par les crises internationales en Ukraine et au proche-orient, les tensions croissantes avec la Russie et l’alignement aveugle de la france officielle sur les desiderata du puissant et maléfique lobby sioniste français soutenu par l’extrême droite arabophobe et islamophobe et de sa protégée l’entité sioniste terroriste génocidaire, dénommée Israel .

    1. La crise ukrainienne

    L’invasion de l’Ukraine par la Russie a placé Macron en première ligne des efforts diplomatiques européens. Ses tentatives de médiation et de soutien militaire à l’Ukraine ont été critiquées pour leur ambiguïté et leur inefficacité. Les accusations de bellicisme émanent de ses prises de position perçues comme provocatrices envers la Russie, et de sa volonté de soutenir Kiev par des moyens militaires, y compris des frappes possibles contre des cibles en Russie.

    2. Politique intérieure sous pression

    Sur le front intérieur, les défis économiques persistent. La gestion de la pandémie de COVID-19 et ses conséquences économiques ont exacerbé les inégalités. La dégradation de la notation financière de la France et la précarité croissante pèsent lourdement sur l’administration Macron, renforçant les critiques sur son incapacité à gérer les affaires économiques et sociales du pays.

    3. La guerre génocidaire d’Israël 

    Macron n’a cessé de soutenir “corps et âme”, et le plus souvent de manière irrationnelle et inhumaine par “instinct” d’esprit tribal, l’entité sioniste colonialiste génocidaire, qu’est l’Etat formellement et structurellement terroriste, appelée faussement et improprement Israël.

    4. Les élections européennes de 2024

    Les élections européennes s’annoncent comme un test crucial. Les sondages prévoient une défaite majeure pour le camp macroniste, reflétant une désillusion généralisée vis-à-vis de son leadership. La montée en puissance des partis nationalistes et populistes, y compris le Rassemblement National, témoigne de la défiance croissante envers les institutions et les politiques actuelles.

    5. L’isolement diplomatique et les tensions transatlantiques

    La politique étrangère de Macron s’est également heurtée à des frictions avec les alliés traditionnels de la France, notamment les États-Unis. La divergence sur les stratégies en Ukraine et la perception d’un manque de soutien de la part des Américains ont accentué l’isolement de Macron sur la scène internationale.

    Perspectives et scénarios futurs

    1. Vers un changement politique

    L’avenir politique de Macron semble incertain, avec des perspectives de changement drastique dans le paysage politique français. Les critiques sévères et la désaffection populaire laissent présager une recomposition politique, potentiellement marquée par la montée en puissance des partis d’opposition et une possible prise de pouvoir par des forces populistes plus proches des droites extrémistes.

    2. L’hypothèse d’une destitution

    Bien que spéculative, l’hypothèse d’une destitution de Macron sous une forme ou une autre très inattendue évoquée par certains analystes traduit le climat de tension extrême et de désillusion envers les institutions actuelles. Un tel scénario, bien que peu probable dans le contexte démocratique français, reflète les inquiétudes profondes quant à la stabilité politique et sociale du pays.

    3. Le tribunal de l’histoire

    Enfin, comme l’indique la métaphore du Tribunal de l’Histoire, les actions de Macron seront jugées sévèrement à moins que moyen terme dans l’immmédiat et fondamentalement à long terme. Les décisions prises aujourd’hui, qu’elles soient en matière de politique intérieure ou étrangère, auront des répercussions durables. 

    En somme, Les mandats présidentiels d’Emmanuel Macron, initialement porteurs d’espoir de renouveau, se trouvent aujourd’hui marqués par des critiques sévères et une profonde désillusion. Les accusations de bellicisme, les échecs perçus en matière de politique économique et sociale, et les tensions croissantes sur la scène internationale brossent le tableau d’une présidence en désarroi. L’avenir politique de la France semble incertain, marqué par des défis internes et externes de grande ampleur. La réponse à ces défis déterminera non seulement l’héritage de Macron, mais aussi la trajectoire future de la République française.



  • ilias 8 juin 12:39

    La même teneur ou presque que celle de votre beau texte, et dans une posture autre : celle de l’essai poétique d’apprenti.

    Le tremplin révélateur

    Mettre le pied à l’étrier, viser l’ascension, 

    Gravir les échelons, nourrir l’ambition, 

    Un coup de pouce donné, la lumière s’élève, 

    Sur la scène propulsée, l’âme enfin se relève.

    Assurer son élan, éviter la poussière, 

    Ne pas mordre la planche, éviter l’échec amer, 

    Pour le grand saut se tendre, affronter son destin, 

    Que l’ombre ne devienne un éternel matin.

    Le rideau se lève doucement, vedette en quête, 

    Préambule délicat, à l’aube d’une fête, 

    Première partie offerte, scène entrouverte, 

    Quel que soit le nom, l’élan mérite une porte ouverte.

    Si le tremplin n’est qu’un bouche-trou malheureux, 

    Pour ceux qui arrivent tôt, tandis qu’ils sont peu nombreux, 

    La pénibilité s’installe quand la star, 

    A d’autres chats à fouetter, d’autres feux que ce phare.

    Le tremplin propulseur d’étoiles en devenir, 

    Cherche l’appui sur la corde pour enfin reluire, 

    Programmation mesurée pour éviter l’éclat, 

    D’une prestation qui pourrait éclipser l’idole là.

    Problèmes techniques, pannes, excuses inventées, 

    Mouvements des spectateurs, bruit faussement dicté, 

    L’heure précisée soudain, horaires déplacés, 

    Pour couper court à l’envol de celui à chasser.

    Couperet qui s’abat, saut dans le vide jeté, 

    Collaboration brisée, élan vite brisé, 

    Pliant bagage en pleurs, promettant à son cœur, 

    Que plus jamais tremplin ne sera son bonheur.

    Le tremplin ne doit pas nuire à la vedette en vue, 

    Le secret bien gardé de l’organisateur connu, 

    Si l’équilibre faiblit, l’intrus sera jeté, 

    Le cavalier déchu, le rêveur enchaîné.

    Celui dont le sifflet coupé par la censure, 

    Se retrouve la gorge nouée, étrange blessure, 

    Amer est son destin, cloué dans le silence, 

    Plus jamais il ne voudra de cette incohérence.

    Le maître de cérémonie peut tenter l’excuse, 

    Mais rien ne changera l’affront et la ruse, 

    Ce qui est fait demeure, inaltérable, figé, 

    Le tremplin prépare l’envol, non l’atterrissage forcé.

    Le vieux matou enfin, griffe et tire révérence, 

    Le saut périlleux fait, salue l’impertinence, 

    À pitoyable programmateur, la leçon donnée, 

    Fermez le ban, rideau baissé, fin du songe envolé.



  • ilias 7 juin 00:15

    L’évolution est souvent perçue à travers le prisme de la théorie darwinienne, où le hasard et la nécessité jouent des rôles cruciaux dans la diversification et l’adaptation des espèces. Toutefois, cette vision mécaniste et matérialiste de l’évolution est parfois jugée insuffisante pour expliquer l’ensemble de la complexité biologique et l’émergence de la conscience humaine. L’idée que le hasard opère principalement à des niveaux subatomiques, atomiques et moléculaires laisse une place pour une interprétation téléologique de l’univers, où des forces ou des finalités plus grandes peuvent coexister et donner un sens à l’évolution à un niveau macroscopique et spirituel.

    Hasard et Nécessité dans la Théorie de l’Évolution

    À la base de la théorie de l’évolution se trouve le concept que les mutations génétiques, des altérations dans la séquence d’ADN, surviennent de manière aléatoire. Ces mutations peuvent être causées par des erreurs de réplication de l’ADN, des radiations, des agents chimiques ou d’autres facteurs environnementaux. À ce niveau, le hasard règne en maître, déterminant quelles mutations se produisent et quels nouveaux traits pourront émerger.

    Ces mutations sont ensuite soumises à la sélection naturelle, un processus non dirigé où les individus mieux adaptés à leur environnement sont plus susceptibles de survivre et de se reproduire. Cela conduit à une diversification des espèces au fil du temps, chaque espèce évoluant pour mieux s’adapter à ses conditions de vie spécifiques.

    __ La Vision Téléologique de l’Évolution

    La perspective téléologique suggère que l’évolution, bien qu’apparemment aléatoire et non dirigée à des niveaux subatomiques à moléculaires, pourrait être orientée vers une finalité ou une destination à des niveaux plus élevés de complexité et de conscience. Cette vision ne contredit pas nécessairement les mécanismes de l’évolution darwinienne mais les complète en postulant qu’il existe une dimension supplémentaire au processus évolutif.

    __ L’Esprit et sa Destination

    L’idée téléologique repose sur la notion que l’univers et la vie ne sont pas simplement le résultat de processus aveugles, mais qu’ils peuvent suivre un plan ou une direction inhérente. Cette direction pourrait être vue comme une tendance à la complexification, à l’émergence de la conscience et à l’évolution spirituelle.

    Par exemple, l’émergence de la conscience humaine pourrait être perçue comme un phénomène qui transcende les simples mutations génétiques et les pressions de sélection. La capacité de réfléchir sur soi-même, de créer des cultures complexes et de poser des questions métaphysiques pourrait indiquer une dimension téléologique à l’évolution, où l’esprit humain est orienté vers une compréhension plus profonde de l’univers et de sa propre existence.

    Intégration des Perspectives Évolutionnaires et Téléologiques

    L’intégration des perspectives évolutionnaire et téléologique nécessite une reconnaissance que le hasard et la nécessité opèrent principalement à un niveau matériel et observable, tandis que la téléologie peut être envisagée à un niveau métaphysique et intentionnel. Cette dualité permet d’accepter les mécanismes scientifiques de l’évolution tout en considérant la possibilité d’une finalité ultime.

    __ Rôle de la Conscience

    La conscience humaine joue un rôle central dans cette intégration. En tant qu’êtres conscients, nous possédons la capacité de réfléchir sur notre propre évolution et sur l’univers. Cette capacité pourrait être vue comme une manifestation de la téléologie, où la conscience elle-même devient un moyen par lequel l’univers explore et réalise son propre potentiel.

     Implications pour l’Avenir de l’Évolution

    __ Technologie et Évolution Humaine

    Les avancées technologiques, telles que l’édition génétique et la reproduction assistée, posent des questions cruciales sur la direction future de l’évolution humaine. Si nous acceptons une dimension téléologique, ces technologies pourraient être vues non seulement comme des outils pour améliorer la qualité de vie, mais aussi comme des instruments pour réaliser un potentiel évolutif plus élevé.

    __ Éthique et Responsabilité

    La dimension téléologique ajoute une responsabilité éthique à notre interaction avec la nature et la technologie. Si l’évolution a une finalité, il devient crucial de respecter cette finalité en prenant des décisions qui favorisent le bien-être de toutes les formes de vie et la préservation de la biodiversité. Cela implique une gestion responsable des ressources naturelles, une réduction de l’impact environnemental et une réflexion éthique sur les technologies émergentes.

    En somme, le hasard et la nécessité, au cœur de la théorie de l’évolution, opèrent principalement à des niveaux subatomiques, atomiques et moléculaires, fournissant une base pour la diversité biologique et l’adaptation. Cependant, la vision téléologique propose une dimension supplémentaire, où l’évolution pourrait être orientée vers une finalité ou une destination à un niveau macroscopique et spirituel. Cette perspective duale permet de concilier les mécanismes scientifiques de l’évolution avec une quête de sens et de finalité, offrant une vision plus complète et riche de la vie et de l’univers. L’intégration de ces deux visions nous pousse à réfléchir de manière éthique et responsable à notre rôle dans l’évolution et à notre potentiel pour influencer positivement l’avenir de notre espèce et de notre planète.



  • ilias 6 juin 15:26

    A l’occasion, je reprends ici une synthèse d’une intervention que j’ai faite lors d’un séminaire Banque, finance non bancaire et les voies saines de développement, 

    Le système monétaire, financier et bancaire [SMFB] est l’épine dorsale de toute économie moderne. Cependant, le capitalisme dérégulé du 21ème siècle a introduit des dynamiques complexes qui ont des implications profondes pour la stabilité économique mondiale et dans chaque pays. Cette analyse se penche sur les caractéristiques, les avantages et les inconvénients de ce système, tout en examinant les critiques et les alternatives potentielles.

    Évolution du système monétaire, bancaire et financier

    L’évolution du Système Monétaire Financier Bancaire (SMFB) comprend les étapes majeures suivantes : Le système de l’étalon-or, la création de la Réserve fédérale en 1913 aux États-Unis et son impact par la suite, la domination du système de Bretton Woods avec l’étalon-dollar américain après la Seconde Guerre mondiale, l’abandon de Bretton Woods en 1971 avec la fin de la convertibilité du dollar en or, et l’ère de la dérégulation financière à partir des années 1980. Cette dérégulation a permis l’essor de la finance moderne, marquée par l’innovation financière, la globalisation des marchés financiers, et la montée en puissance des banques d’investissement et des fonds spéculatifs.

    Caractéristiques du capitalisme dérégulé

    1. Innovation financière : La dérégulation a permis une prolifération de produits financiers complexes, tels que les dérivés, les produits structurés et les titrisations. Ces innovations ont augmenté la liquidité et diversifié les options d’investissement, mais elles ont aussi accru les risques systémiques.

    2. Globalisation des marchés : La finance est devenue véritablement mondiale, avec des capitaux circulant librement entre les frontières. Cela a facilité l’allocation efficace des ressources, mais a aussi rendu les économies nationales vulnérables aux chocs externes.

    3. Institutions financières géantes : La concentration des actifs dans les mains de quelques grandes institutions financières a créé des entités « too big to fail ». Ces institutions bénéficient implicitement de garanties de sauvetage gouvernemental, ce qui peut encourager des comportements à risque.

    4. Intermédiation financière : Le rôle traditionnel des banques comme intermédiaires entre les épargnants et les emprunteurs a été transformé par l’émergence des marchés financiers et des institutions non bancaires, telles que les fonds d’investissement et les sociétés de capital-risque.

    Avantages du système dérégulé

    1. Efficacité et innovation : La dérégulation a stimulé l’innovation financière, permettant des solutions plus efficaces pour le financement des entreprises et des projets. Elle a également facilité l’accès au crédit et diversifié les sources de financement.

    2. Croissance économique : En théorie ( et peut-être seulement en théorie), un système financier dérégulé peut conduire à une allocation plus efficace des ressources, stimulant la croissance économique et la création d’emplois.

    3. Flexibilité et adaptabilité : Les marchés financiers dérégulés sont souvent plus flexibles et réactifs aux besoins changeants de l’économie mondiale, permettant une meilleure gestion des risques et une allocation plus rapide des capitaux.

    Inconvénients et critiques

    1. Risque systémique : La complexité et l’interconnexion des marchés financiers ont augmenté le risque de crises systémiques. La crise financière de 2008 en est un exemple poignant, où la défaillance d’un segment du marché a entraîné une crise mondiale.

    2. Inégalités économiques : Le capitalisme dérégulé tend à favoriser les acteurs financiers et les investisseurs, creusant ainsi les inégalités économiques. Les bénéfices de la croissance ne sont pas équitablement répartis, et une grande partie de la population peut être exclue des avantages économiques.

    3. Manque de transparence : Les produits financiers complexes et l’opacité des marchés augmentent le risque d’abus et de fraudes. Les scandales financiers, tels entre beaucoup d’autres non médiatisés, d’ Enron et Bernie Madoff, illustrent les dangers d’une supervision inadéquate.

    4. Captation politique : Les grandes institutions financières ont souvent une influence disproportionnée sur les politiques publiques, conduisant à une régulation favorable aux intérêts privés au détriment de l’intérêt public.

    Critiques épistémologiques

    La critique épistémologique du système monétaire et bancaire dérégulé repose sur plusieurs axes :

    1. Rationalité limitée : Les hypothèses de rationalité parfaite et d’efficience des marchés sont souvent contredites par des comportements irrationnels et des asymétries d’information. Les bulles spéculatives et les paniques financières en sont des exemples.

    2. Modèles économiques inadéquats : De nombreux modèles économiques ne prennent pas en compte la complexité et la dynamique non linéaire des marchés financiers. Les crises financières révèlent les limites de ces modèles prédictifs.

    3. Éthique et moralité : La concentration excessive sur le profit et la croissance financière peut éroder les valeurs éthiques et morales de la société. La finance devrait être au service de l’économie réelle et du bien-être général, et non l’inverse.

    Alternatives et réformes possibles

    1. Régulation renforcée : Il est crucial de mettre en place une régulation plus stricte pour limiter les risques systémiques, améliorer la transparence et garantir une supervision efficace des institutions financières.

    2. Banques publiques et éthiques : Encourager le développement des banques publiques et des institutions financières éthiques qui mettent l’accent sur l’investissement socialement responsable et le développement durable. 

    Les banques centrales doivent assumer une responsabilité sociale plus large, en favorisant des politiques monétaires et fiscales qui réduisent les inégalités. La critique de la théorie du ruissellement et l’adoption de politiques de redistribution directes sont cruciales pour garantir une répartition plus équitable des richesses. 

    La gestion prudente de l’inflation et de la dette publique, combinée à des investissements publics stratégiques, peut assurer la stabilité économique et sociale à long terme. 

    3. Taxation conséquente des transactions financières : Une taxe consistante optimalement sur les transactions financières pourrait réduire la spéculation excessive et générer des revenus pour des investissements publics.

    4. Réforme du système bancaire : Séparer les activités bancaires commerciales et d’investissement pour réduire les conflits d’intérêt et le risque de contagion financière.

    5. Promouvoir concrètement la participation citoyenne dans les décisions majeures de politique publique monétaire, financière et bancaire, en encourageant l’éducation et la formation populaire en ces matières, et ainsi s’assurer d’une certaine transparence informative du public.

    Conclusion

    Le SMFB en phase du capitalisme dérégulé du 21ème siècle présente des avantages en termes d’innovation et d’efficacité sectorielles mais nullement dans une optique éco-systémique//holistique. Et revers de la médaille, il comporte aussi des risques et des inégalités importantes. Une critique épistémologique profonde et une réforme substantielle sont nécessaires pour aligner ce système sur les principes de justice économique et de stabilité financière. Le défi consiste à trouver un équilibre entre régulation efficace et innovation dynamique, tout en assurant que les bénéfices de la croissance économique soient partagés équitablement parmi toutes les strates de la société. Les leçons du passé et les critiques éclairées doivent confluer vers la voie de mise en œuvre urgente d’une économie plus équilibrée, inclusive et en capacité de bonne résilience pour les populations défavorisées.



  • ilias 4 juin 19:07

    Macron est un politicard morveux, plein d’arrivisme, d’arrogance et de prétention tout en étant immatured’esprit tout comme son alter ego Attal, beaucoup plus Premier ministre incompétent qui s’accepte et s’assume ainsi que chef du gouvernement ; et un morveux ça ose lâchement beaucoup plus pour le pire et beaucoup moins pour le mieux.

    Le contexte politique : une légitimité contestée et de plus en plus érodée

    Emmanuel Macron a été élu deux fois par défaut : Une première fois, suite au lâchage pour affaires judiciaires du candidat qui était le favori prépondérant du scrutin, F. Fillon en 2017, et une deuxième fois sur scenario voulu et concocté dès 2020 pour qu’il soit candidat face à l’extrême droite qu’il a lui-même promue pour barrer la route à Mélenchon aux présidentielles de 2022. En 2017 alors qu’il a été élu sur la promesse de renouveler la politique française et de revitaliser l’Europe, il se trouve aujourd’hui confronté à une impasse politique. Méritant la qualification de « pseudo-chef de l’État belliciste », parce qu’il ignore les réalités des domaines qu’il tente de maîtriser, notamment les questions diplomatiques et militaires. On est à même de souligner l’incongruité entre ses ambitions initiales et les résultats concrets de ses politiques, tant en France qu’à l’international.

    I.] Premier mandat (2017-2022) : L’espoir du renouveau et les premières désillusions

    Lors de son élection en 2017, Macron était perçu comme un outsider capable de bousculer le système politique traditionnel français. Son mouvement, La République En Marche, promettait de transcender les divisions partisanes et d’apporter des réformes économiques et sociales majeures.

    1. Réformes économiques et sociales

    Macron a entrepris plusieurs réformes controversées, notamment celles du Code du travail et du système des retraites. Ces réformes resituées dans leur contexte éco-systémique et//ou holistique étaient injustes, et ont suscité de vives oppositions et manifestationsdiverses et nombreuses, comme celles du mouvement des Gilets Jaune ; lequel a révélé un profond malaise social et une colère envers les “fausses”élites ou les simulacres d’élites.

    2. Gestion de la crise des Gilets Jaunes

    Le mouvement des Gilets Jaunes, débuté en 2018, a marqué un tournant dans la présidence de Macron. La réponse brutale du gouvernement, perçue tout à la fois comme répressive et condescendante, a exacerbé les tensions. La crise a mis en lumière les inégalités sociales et les fractures territoriales, remettant en question l’image d’un président à l’écoute du peuple.

    3. Politique européenne

     Macron s’est positionné comme un fervent défenseur de l’intégration européenne. Ses discours en faveur d’une Europe plus intégrée et souveraine ont cependant souvent buté sur la réalité des divergences entre États membres et la montée des euro-scepticismes.

    II.] Deuxième mandat (2022-présent) : Les défis internationaux et l’impasse diplomatique

    Réélu en 2022, Macron a dû faire face à de nouveaux défis, amplifiés par les crises internationales en Ukraine et au proche-orient, les tensions croissantes avec la Russie et l’alignement aveugle de la france officielle sur les desiderata du puissant et maléfique lobby sioniste français soutenu par l’extrême droite arabophobe et islamophobe et de sa protégée l’entité sioniste terroriste génocidaire, dénommée Israel .

    1. La crise ukrainienne

    L’invasion de l’Ukraine par la Russie a placé Macron en première ligne des efforts diplomatiques européens. Ses tentatives de médiation et de soutien militaire à l’Ukraine ont été critiquées pour leur ambiguïté et leur inefficacité. Les accusations de bellicisme émanent de ses prises de position perçues comme provocatrices envers la Russie, et de sa volonté de soutenir Kiev par des moyens militaires, y compris des frappes possibles contre des cibles en Russie.

    2. Politique intérieure sous pression

    Sur le front intérieur, les défis économiques persistent. La gestion de la pandémie de COVID-19 et ses conséquences économiques ont exacerbé les inégalités. La dégradation de la notation financière de la France et la précarité croissante pèsent lourdement sur l’administration Macron, renforçant les critiques sur son incapacité à gérer les affaires économiques et sociales du pays.

    3. La guerre génocidaire d’Israël 

    Macron n’a cessé de soutenir “corps et âme”, et le plus souvent de manière irrationnelle et inhumaine par “instinct” d’esprit tribal, l’entité sioniste colonialiste génocidaire, qu’est l’Etat formellement et structurellement terroriste, appelée faussement et improprement Israël.

    4. Les élections européennes de 2024

    Les élections européennes s’annoncent comme un test crucial. Les sondages prévoient une défaite majeure pour le camp macroniste, reflétant une désillusion généralisée vis-à-vis de son leadership. La montée en puissance des partis nationalistes et populistes, y compris le Rassemblement National, témoigne de la défiance croissante envers les institutions et les politiques actuelles.

    5. L’isolement diplomatique et les tensions transatlantiques

    La politique étrangère de Macron s’est également heurtée à des frictions avec les alliés traditionnels de la France, notamment les États-Unis. La divergence sur les stratégies en Ukraine et la perception d’un manque de soutien de la part des Américains ont accentué l’isolement de Macron sur la scène internationale.

    Perspectives et scénarios futurs

    1. Vers un changement politique

    L’avenir politique de Macron semble incertain, avec des perspectives de changement drastique dans le paysage politique français. Les critiques sévères et la désaffection populaire laissent présager une recomposition politique, potentiellement marquée par la montée en puissance des partis d’opposition et une possible prise de pouvoir par des forces populistes plus proches des droites extrémistes.

    2. L’hypothèse d’une destitution

    Bien que spéculative, l’hypothèse d’une destitution de Macron sous une forme ou une autre très inattendue évoquée par certains analystes traduit le climat de tension extrême et de désillusion envers les institutions actuelles. Un tel scénario, bien que peu probable dans le contexte démocratique français, reflète les inquiétudes profondes quant à la stabilité politique et sociale du pays.

    3. Le tribunal de l’histoire

    Enfin, comme l’indique la métaphore du Tribunal de l’Histoire, les actions de Macron seront jugées à moyen et surtout à long terme. Les décisions prises aujourd’hui, qu’elles soient en matière de politique intérieure ou étrangère, auront des répercussions durables. 

    En somme, Les mandats présidentiels d’Emmanuel Macron, initialement porteurs d’espoir de renouveau, se trouvent aujourd’hui marqués par des critiques sévères et une profonde désillusion. Les accusations de bellicisme, les échecs perçus en matière de politique économique et sociale, et les tensions croissantes sur la scène internationale brossent le tableau d’une présidence en difficulté. L’avenir politique de la France semble incertain, marqué par des défis internes et externes de grande ampleur. La réponse à ces défis déterminera non seulement l’héritage de Macron, mais aussi la trajectoire future de la République française.



  • ilias 4 juin 14:08

    "Ce n’est pas le terrorisme qui est la cause d’un continent de plastique au milieu de l’océan, qui fait disparaitre des espèces animales et végétales, qui plonge des millions d’habitants dans la précarité la plus absolue, qui est responsable de la famine dans le monde. Non, nous connaissons les coupables, nous avons leurs noms et leurs adresses ! « dixit auteur. Et encore plus accablant : Ces Etats d’un occident en plein cycle de » dépravation" civilisationnelle et existentielle, sont eux-mêmes le terrorisme et les géniteurs du terrotisme, et ne peuvent que soutenir le plus abominable terrorisme struturel planifié et organisé de l’histoire humaine, qu’est l’entité sioniste terroriste à forme structurelle et formelle d’Etat sioniste soft théocratique et à attaches occidentalo-mondialistes, colonialiste génocidaire, appelée faussement et improprement Israel.



  • ilias 21 mai 23:40

    En lisant pour la première fois Alain Damasio, j’ai été immédiatement frappé par une réminiscence de De sang froid, le célèbre roman de Truman Capote.** Comme lui, Damasio utilise une forme d’ethnographie romancée pour explorer en profondeur son sujet.

    Comparaison avec Truman Capote

    Truman Capote et De sang-froid

    Truman Capote est reconnu pour son approche novatrice du journalisme littéraire, particulièrement illustrée dans son œuvre De sang-froid. Ce livre est souvent considéré comme un précurseur du roman non-fictionnel, genre qui mêle techniques de reportage journalistique et éléments romanesques. Capote a consacré plusieurs années à enquêter sur le meurtre de la famille Clutter dans le Kansas, s’immergeant dans la communauté locale et interviewant les protagonistes de l’affaire. Le résultat est une narration riche et détaillée qui donne vie aux événements réels avec une profondeur émotionnelle et psychologique.

    Alain Damasio et Vallée du Silicium

    De manière similaire, Alain Damasio adopte une approche immersive et narrative dans son ouvrage Vallée du Silicium. Bien que son œuvre ne soit pas centrée sur un fait divers particulier, elle partage l’intention d’explorer un phénomène complexe : en l’occurrence, la Silicon Valley et ses implications technologiques et sociales. Damasio combine des observations directes, des réflexions critiques et des éléments fictionnels pour créer une vision holistique et nuancée du monde technologique contemporain.

    Éléments d’ethnographie romancée chez Damasio

    • Immersion dans le sujet : Damasio arpente la Silicon Valley, s’imprégnant de ses réalités, des entreprises technologiques aux quartiers marqués par les problèmes sociaux. Comme Capote, il s’efforce de comprendre son sujet en profondeur, en tenant compte des différentes facettes et perspectives.

    • Narration détaillée et vivante : Ses récits sont riches en détails et descriptions vivantes, permettant au lecteur de ressentir l’atmosphère et les dynamiques de la Silicon Valley. Cette approche narrative confère une dimension romanesque à des analyses autrement techniques et abstraites.

    • Réflexion critique et humaniste : À l’instar de Capote qui n’hésite pas à insérer ses propres réflexions dans De sang-froid, Damasio propose une critique personnelle et philosophique des technologies modernes. Il questionne leur impact sur la société et sur l’individu, cherchant à dépasser une simple description pour offrir une vision critique et engagée.

    • Hybridité des genres : L’œuvre de Damasio, tout comme celle de Capote, brouille les frontières entre les genres. Vallée du Silicium n’est ni un essai académique strict ni une fiction pure, mais une hybridation qui permet d’explorer des questions complexes avec une grande liberté stylistique.

    Conclusion

    Alain Damasio, à travers Vallée du Silicium, s’inspire, à sa manière et en fonction des contextes, de la démarche d’immersion et de narration de Truman Capote, en utilisant une forme d’ethnographie romancée. Son style immersif et narratif, combiné à une réflexion critique et une richesse descriptive, lui permet d’aborder les enjeux technologiques contemporains avec une profondeur et une nuance rares. Cette approche rend son œuvre accessible et captivante, tout en fournissant une analyse pertinente et engagée des défis de notre époque.



  • ilias 21 mai 15:51

    « Il n’est nulle morale à tirer de cette histoire quelque peu tirée par la queue, d’autant que le pauvre animal se contenta désormais de ne manger que du fromage », dixit Nabum. C’est bien le contraire, et ce qui suit le montre.

    L’histoire de Goupil, le renard rusé mais malheureux, nous offre un terreau fertile pour une réflexion profonde sur la sagesse et la condition humaine. Les péripéties de ce renard, bien que teintées d’humour et d’ironie, résonnent comme une fable philosophique, révélant les subtilités de notre existence quotidienne, les malentendus de notre quête de solutions, et les limites de notre compréhension face aux épreuves de la vie.

    L’instinct de (sur)vie et la nature humaine

    Goupil, en se levant de bonne humeur pour partir en chasse, incarne l’instinct naturel que chaque être vivant porte en lui. La chasse, acte primitif, nous rappelle notre connexion archétypale intrinsèque à la nature, où la survie et les besoins primaires dirigent souvent nos actions. Cette pulsion primaire peut être vue comme une métaphore de nos propres désirs et besoins, qui nous poussent à agir parfois sans considération pour les conséquences.

    La ruse et la désillusion

    Le renard, symbole de ruse et d’agilité, se retrouve piégé par une simple pierre lancée par un campagnol désespéré. Cette scène nous enseigne que, malgré toute notre ingéniosité et notre savoir-faire, nous sommes susceptibles de rencontrer des obstacles imprévus qui peuvent déstabiliser nos plans les plus soigneusement élaborés. La fausse route de Goupil, où il se blesse avec la pierre, évoque les illusions et les désillusions que nous vivons lorsque nos stratégies échouent face à l’imprévu.

    La quête de secours et les malentendus

    La souffrance de Goupil le pousse à chercher de l’aide, mais son ignorance le conduit à faire des confusions. En confondant un pasteur avec un vétérinaire, Goupil met en lumière la difficulté que nous avons parfois à identifier la bonne source de secours dans nos moments de détresse. Le pasteur, représentant de la religiosité et de la morale sociale ambiante, offre un réconfort temporaire, mais ne peut résoudre le problème matériel de Goupil. Cela illustre le conflit entre nos besoins physiques et spirituels, et la difficulté de trouver des solutions complètes à nos souffrances.

    L’hospitalité et la morale sociale

    Le pasteur, malgré sa bonne volonté, est contraint par les attentes sociales et les préjugés de sa communauté. Cette rencontre souligne les limitations de l’altruisme dans un contexte où les normes sociales et les jugements externes influencent nos actions. Le refus du pasteur de soigner directement Goupil, de peur des répercussions sociales, est une critique subtile des barrières que la société impose à l’expression de notre humanité et de notre compassion.

    La résilience face à l’adversité

    Finalement, Goupil, confronté à un désert médical, se voit contraint de laisser le temps et la nature résoudre son problème. Sa dent se casse, mettant fin à sa douleur de manière brutale. Cela symbolise la résilience et la capacité d’adaptation face à des circonstances adverses. Parfois, les solutions les plus inattendues et les moins conventionnelles s’avèrent être les plus efficaces, même si elles impliquent une forme de perte ou de sacrifice.

    La simplicité et le contentement

    En se résignant à une diète de fromage, Goupil nous rappelle l’importance de la simplicité et de l’acceptation. Parfois, face à des défis insurmontables, nous trouvons le bonheur et la paix en ajustant nos attentes et en nous contentant de ce que la vie nous offre. Cette adaptation n’est pas un signe de faiblesse, mais une preuve de sagesse et de flexibilité, qualités essentielles pour naviguer dans les eaux troubles et les complexités de tout ordre de l’existence.

    L’histoire de Goupil, sous son apparence légère et humoristique, est une profonde allégorie de la condition humaine. Elle nous enseigne que la sagesse ne réside pas seulement dans la ruse, l’intelligence, l’ingéniosité et l’agilité tout autant physique que mentale, mais aussi dans la capacité à connaître et à accepter nos limites, à chercher de l’aide avec discernement et perspicacité, et à trouver la paix potentiellement et éventuellement dans des solutions adaptées et adoptées, les plus simples et les plus naturelles. En cela, Goupil, avec ses mésaventures, devient un miroir de notre propre quête de sens et de réconfort lorsque nous nous trouvons dans un monde souvent à contextes déroutants, imprévisibles, et parfois incertains et dangereux.



  • ilias 17 mai 19:54

    Je vous lis avec une attention particulière mêlée de respect silencieux pour cet élan quotidien qui vous pousse à la création, malgré l’ombre imposante de l’intelligence artificielle. Votre texte, riche et fluide, nous entraîne dans les méandres de la réflexion humaine sur et autour de la vie quotidienne ; une errance contrôlée qui, sous des apparences de spontanéité, révèle une profonde réflexion sur la nature même de l’écriture et de l’acte créatif.

    La crainte que vous exprimez face à l’intelligence artificielle est compréhensible. Ces algorithmes puissants, capables de générer des textes d’une cohérence et d’une pertinence parfois surprenantes, semblent menacer le rôle des créateurs et des artistes, manieurs de mots et pilotes dans les sinueuses et inattendues bifurcations des langues. Pourtant, je vous invite à voir cette situation sous un autre angle. L’intelligence artificielle, dans sa capacité à produire, reste fondamentalement limitée par son absence d’expérience humaine, de cette sensibilité unique que vous, écrivains, poètes et penseurs, apportez à chaque mot, chaque phrase.

    Votre prose, marquée par une certaine mélancolie et un attachement profond à l’art de l’écriture, est l’expression d’une humanité que l’IA ne peut que simuler. Les algorithmes peuvent analyser des millions de textes, extraire des schémas, mais ils ne ressentent pas. Ils n’ont pas cette « assuétude » à la création quotidienne, cette lutte contre la page blanche, cette quête d’une forme d’existence par les mots.

    Le texte que vous écrivez, même s’il semble décousu par moments, est le reflet de votre propre cheminement intérieur, de vos propres associations d’idées, parfois erratiques, parfois lumineuses. La beauté de votre écriture réside justement dans cette imperfection, dans cette humanité qui transpire de chaque ligne. Vos coquilles, vos fautes, loin d’être des défauts, sont les marques de votre authenticité, de votre lutte contre une perfection froide et inhumaine.

    La technologie, en dépit de ses avancées, ne peut pas vous ôter cette singularité. Vos écrits ne sont pas vains. Ils sont le témoignage d’une époque, d’une sensibilité, d’une réflexion personnelle qui, même perdue dans l’immensité numérique, garde sa valeur. La page tournée ne signifie pas la fin, mais la continuité d’un dialogue, d’une introspection qui, comme vous le dites si bien, trouve son essence dans l’acte même de l’écriture, dans ce besoin irrépressible de s’exprimer.

    Vous évoquez André Breton et son écriture automatique, une référence à la libération de l’inconscient. Votre propre démarche, bien que consciente et structurée, semble s’inscrire dans cette tradition de l’exploration intérieure. Il y a quelque chose de profondément humain dans cette lutte quotidienne, dans ce refus de se laisser dicter par des normes, des attentes, des algorithmes.

    Continuez à écrire, à laisser vos doigts courir sur le clavier, à naviguer sans plan. Chaque mot, chaque phrase est une victoire contre l’oubli, une affirmation de votre existence. L’intelligence artificielle, malgré son pouvoir, ne pourra jamais remplacer cette expérience humaine unique, cette poésie de l’errance, cette beauté du hasard (paradoxalement) « maîtrisé ».



  • ilias 17 mai 02:04

    errata : Corriger « ... un tant soit peut, .. » par « .... un tant soit peu ... »



  • ilias 17 mai 01:59

    Le propos qui suit est de circonscrire un tant soit peut, les enjeux géostratégiques de la guerre entre la Russie et l’Ukraine et l’Implication des pays de l’OTAN et de l’OCDE.

    La guerre entre la Russie et l’Ukraine, commencée à vrai dire en 2014 avec l’annexion de la Crimée et intensifiée en février 2022 avec l’invasion russe à grande échelle de l’Ukraine, a bouleversé l’ordre géopolitique mondial. Cette confrontation, marquée par des enjeux territoriaux, économiques, politiques et militaires, implique non seulement les deux nations directement concernées, mais aussi un large éventail d’acteurs internationaux, notamment les pays membres de l’OTAN (Organisation du Traité de l’Atlantique Nord) et de l’OCDE (Organisation de Coopération et de Développement Économiques).


    Les Enjeux Géostratégiques

    __ L’Ukraine : Un Pivot Stratégique

    L’Ukraine occupe une position géographique stratégique en Europe de l’Est, entre la Russie et les membres de l’OTAN. Sa stabilité est cruciale pour la sécurité européenne. Pour la Russie, l’Ukraine représente une zone tampon essentielle contre l’expansion de l’OTAN vers l’Est, une ligne rouge que Moscou a souvent évoquée. En contrôlant l’Ukraine, la Russie peut affirmer son influence sur l’Europe de l’Est et protéger ses intérêts stratégiques.

    __ Ressources Naturelles et Énergie

    L’Ukraine est riche en ressources naturelles, notamment en charbon, en minerai de fer, et en terres arables. De plus, elle est un important couloir de transit pour le gaz naturel russe vers l’Europe. La maîtrise de ces ressources et de cette infrastructure est cruciale pour la Russie, qui utilise l’énergie comme levier géopolitique. Pour l’Europe, l’indépendance énergétique et la diversification des sources d’approvisionnement sont devenues des priorités stratégiques face à la menace de coupures d’approvisionnement.

    __ Souveraineté et Démocratie

    Le conflit en Ukraine est également une lutte pour la souveraineté nationale et l’autodétermination. L’Ukraine aspire à une intégration plus étroite avec l’Occident, tant sur le plan économique que politique, ce qui est perçu par la Russie comme une menace directe à son influence. Le soutien occidental à l’Ukraine est en grande partie formellement motivé par la défense des principes de souveraineté nationale et de démocratie face à une agression perçue comme impérialiste.

    Implication de l’OTAN et de l’OCDE

    __ Soutien Militaire et Logistique

    Les pays de l’OTAN ont apporté un soutien militaire substantiel à l’Ukraine. Cela inclut la fourniture d’armes, de munitions, et de systèmes de défense avancés. Des formations militaires ont été dispensées aux forces ukrainiennes pour renforcer leurs capacités défensives. Ce soutien logistique a considérablement aidé l’Ukraine à résister à l’avancée russe et à maintenir la pression sur les lignes de front.

    __ Sanctions Économiques

    Les pays de l’OCDE, en collaboration avec l’OTAN, ont imposé des sanctions économiques sévères à la Russie. Ces sanctions visent à affaiblir l’économie russe et à limiter sa capacité à financer la guerre. Elles incluent des restrictions sur les exportations de technologies critiques, des gels d’avoirs et des interdictions de transactions financières avec des entités russes clés. Les sanctions ont eu un impact mitigé, du moins dans le court terme, sur l’économie russe, bien que leur efficacité conséquente sur le terrain soit sujette à débat.

    __ Soutien Humanitaire

    Le soutien occidental ne se limite pas à l’assistance militaire. Une aide humanitaire considérable a été apportée pour aider les millions de déplacés internes et les réfugiés ukrainiens. Des organisations internationales et des gouvernements ont fourni des abris, de la nourriture, des soins médicaux et d’autres formes d’assistance humanitaire essentielle.

    Conséquences et Perspectives

    __ Polarisation Géopolitique

    Le conflit en Ukraine a accentué la polarisation géopolitique entre l’Occident et la Russie. Cette polarisation a ravivé les tensions de la Guerre froide et a conduit à une réévaluation des politiques de défense et de sécurité dans de nombreux pays européens. La Finlande et la Suède, par exemple, ont abandonné leur neutralité historique et demandé à rejoindre l’OTAN.

    __ Impact Économique Global

    Les sanctions contre la Russie ont eu des répercussions mondiales, affectant les marchés de l’énergie, les chaînes d’approvisionnement et les économies de nombreux pays. La hausse des prix de l’énergie a exacerbé les tensions économiques en Europe et ailleurs, contribuant à l’inflation et aux crises du coût de la vie.

    __ Renforcement de l’OTAN

    La guerre en Ukraine a conduit à un renforcement de l’OTAN. L’alliance a réaffirmé son engagement en matière de défense collective, augmentant ses dépenses militaires et intensifiant ses exercices militaires dans les États membres de l’Est pour dissuader toute agression future. Le soutien à l’Ukraine a également montré la capacité de l’OTAN à agir de manière coordonnée et efficace en réponse à une crise majeure.

    La guerre entre la Russie et l’Ukraine est bien plus qu’un conflit régional ; elle est le théâtre d’enjeux géostratégiques majeurs qui reconfigurent l’ordre mondial. L’implication des pays de l’OTAN et de l’OCDE, par le biais de soutiens militaires, économiques et humanitaires, souligne l’importance de l’Ukraine tant pour la sécurité européenne et mondiale que pour le maintien ddu statut de puissance au moins aux échelles régionale et continetale de la Russie. Alors que le conflit se prolonge, les répercussions continueront de se faire sentir, influençant les politiques internationales, les alliances et les dynamiques économiques pour les années à venir. 



  • ilias 16 mai 21:19

    Que Nabum me pardonne si, à l’occasion, je m’égare dans des méandres de réflexion qui s’éloignent parfois du texte magnifique qu’il nous a offert pour notre rumination intellectuelle (au sens de Nietzsche).

    Enseignements moraux subtils que j’ai déchiffrés dans le conte de Nabum « Le pommier rancunier » :

    __ La rancune est une arme à double tranchant                             Le pommier, aveuglé par son ressentiment envers le propriétaire, élabore un plan complexe pour lui nuire. Il en tire une satisfaction momentanée, mais sa vengeance ultime aboutit à sa propre destruction. Cette fable nous rappelle que la rancune nous consume et nous conduit souvent vers des actes regrettables.

    __ La communication est essentielle                                       Le manque de communication entre le pommier et le propriétaire est à la source du conflit. Si le pommier avait exprimé son mécontentement de manière constructive, il aurait peut-être trouvé une solution pacifique. Cette histoire nous encourage à privilégier le dialogue et la compréhension mutuelle pour résoudre nos différends.

    __ Les apparences peuvent être trompeuses 

    Le propriétaire, perçu comme un homme désagréable et arrogant, se révèle être un père aimant pour ses enfants. Cette fable nous invite à dépasser les jugements hâtifs et à regarder au-delà des apparences pour découvrir la vérité.

    __ La coopération et l’entraide mènent au succès 

    Les enfants et les animaux s’unissent pour aider le pommier dans son projet, démontrant la puissance de la collaboration. Cette histoire souligne l’importance du travail d’équipe et de l’entraide pour atteindre des objectifs communs.

    __ Le pardon est libérateur 

    Le pommier, malgré sa fin tragique, trouve la paix en acceptant son destin et en se consacrant à son nouveau rôle de portique pour les enfants. Cette fable nous suggère que le pardon, même envers soi-même, peut nous libérer du poids de la colère et nous ouvrir à de nouvelles perspectives.

    __ La vengeance n’est jamais la solution 

    La fable nous met en garde contre les dangers de la vengeance, qui ne fait qu’engendrer plus de souffrance et de destruction. En revanche, elle nous encourage à adopter des solutions pacifiques et constructives pour résoudre nos conflits.

    __ L’importance de l’équilibre entre nature et homme 

    La destruction du pommier par le propriétaire symbolise le déséquilibre entre l’homme et la nature. Cette fable nous rappelle l’importance de respecter l’environnement et de vivre en harmonie avec la nature.

    __ La vie est pleine d’ironie 

    Le pommier, qui avait tant lutté contre le propriétaire, finit par se transformer en un portique pour ses enfants. Cette ironie du sort nous montre que la vie est parfois pleine d’imprévus et que le destin peut prendre des chemins inattendus.

    __ L’importance de la transmission des valeurs 

    L’auteur, en balançant entre la fable et le conte moral, nous transmet des leçons de vie importantes. Cette histoire nous rappelle le rôle crucial de la transmission des valeurs et de la morale aux générations futures.

    __ Le pouvoir de la littérature 

    La fable « Le pommier rancunier », avec sa métaphore riche et son message profond, nous montre le pouvoir de la littérature à nous divertir, nous instruire et nous faire réfléchir sur des sujets importants de la vie.

    En conclusion, cette fable riche en symboles et en leçons de vie nous invite à réfléchir sur les dangers de la rancune, l’importance de la communication et du pardon, et la nécessité de vivre en harmonie avec la nature. Elle nous rappelle également que la vie est pleine d’imprévus et que le destin peut parfois nous surprendre.



  • ilias 16 mai 12:58

    Postulat et plus encore point d’évidence entre humains :

    Une condamnation juste et équitable, un impératif universel

    Même face à des actes avérés de terrorisme ou de menace à la sécurité nationale, aucune personne ne doit subir une parodie de justice ou une procédure expéditive et biaisée. Il est du devoir moral de tout être humain doté de conscience de dénoncer vigoureusement de tels abus de pouvoir qui constituent des crimes d’État. Les responsables de ces actes doivent faire l’objet de poursuites judiciaires universelles et de sanctions pénales, assorties de réparations civiles pour les préjudices moraux et matériels causés.

    Cependant, la dénonciation de ces crimes d’abus de pouvoir ne doit pas être sélective ou motivée par des considérations « tribales » ethniques, faussement « ethno-religieuses » mais relevant plutôt du sectarisme, comme c’est le cas des interprétations exotériques du judaïsme, ou d’appartenances religieuses ou sectaires.

    Si l’on devait classer les crimes d’État qui se déroulent actuellement sous nos yeux en fonction de leur degré de barbarie, d’ignominie, de lâcheté et de cruauté intolérable, personne au monde doté d’un minimum de conscience humaine ne pourrait contester que la palme de l’horreur, macabre trophée du sang versé d’innocents, devrait revenir non pas à la République théocratique des mollahs, mais bel et bien à la République théocratique déguisée des bourreaux d’enfants et de femmes palestiniens innocents, dont beaucoup sont les véritables descendants des Hébreux historiques de la région. Il s’agit bien sûr de l’entité sioniste terroriste improprement et honteusement appelée Israël.