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Les commentaires de Christian Delarue



  • Christian Delarue Christian Delarue 21 mai 2010 01:35

    L’amaigrissement ou la surcharge pondérale sont deux formes occidentales de cacher son corps. Il y a un aspect positif par rapport à la burqa : il s’agit d’un phénomène mixte, qui touche les femmes et les hommes. Si la pathologie est égalitaire alors les mentalités démocratiques vont édulcorer la maladie.



  • Christian Delarue Christian Delarue 21 mai 2010 01:31

    L’amaigrissement ou la surcharge pondérale sont deux formes occidentales de cacher son corps. Il y a un aspect positif par rapport à la burqa : il s’agit d’un phénomène mixte, qui touche les femmes et les hommes. Si la pathologie est égalitaire alors la tolérance démocratique amoindrira la maladie.



  • Christian Delarue Christian Delarue 21 mai 2010 01:27

    L’amaigrissement excessif et la surcharge pondérale sont deux formes occidentales de cacher son corps. Il y a un aspect positif par rapport à la burqa : il s’agit d’un phénomène mixte, qui touche les femmes et les hommes.



  • Christian Delarue Christian Delarue 21 mai 2010 01:24

    L’amaigrissement ou la surcharge pondérale sont deux formes occidentales de cacher son corps. Il y a un aspect positif par rapport à la burqa : il s’agit d’un phénomène mixte, qui touche les femmes et les hommes.



  • Christian Delarue Christian Delarue 20 mai 2010 23:00

    J’approuve la conclusion : mieux vaut l’impôt que l’emprunt. L’emprunt ne fait qu’enrichir les prêteurs, les créanciers. Le problème est le bon impôt : plus l’IR que la TVA mais le consentement à la TVA est si indolore...

    Un pôle public bancaire avec quelques banques nationalisées serait utile pour contrôler et diriger les flux d’investissement vers l’économie réelle, les services publics, les salaires, ... et non vers la finance.

    Le sociétalisme c’est un altercapitalisme...

    CD



  • Christian Delarue Christian Delarue 8 mars 2010 00:12

    Le culte du travail, le travaillisme... Toujours la même rengaine des exploiteurs !
    Il faut sans doute travailler. Mais pour travailler il faut une organisation et des machines. Sinon c’est l’esclavage dans les champs sous le soleil !

    L’Afrique subit l’impérialisme des grands Etats mais aussi la prédation de ses bourgeoisies compradores. Vive la solidarité entre les peuples-classe !



  • Christian Delarue Christian Delarue 5 mars 2010 01:14

    Oui il faut des syndicats, ce que les libéraux et les patrons refusent ou n’admettent que comme « syndicat jaune »
    Il faut aussi un cose du travail qui protège du pouvoir excessif du patron qui exige de travailler plus en payant moins.
    Le droit naturel a bon dos ! Droit du capital.



  • Christian Delarue Christian Delarue 3 mars 2010 22:34

    Si on supprime l’étatisme, alors il faut supprimer aussi le patronat et le capitalisme pour éviter la dictature dans l’entreprise. Mais les choses ne fonctionnent pas ainsi !



  • Christian Delarue Christian Delarue 3 mars 2010 22:28

    Quelle économie ?
    L’économie signifie peu de chose si on ne précise pas de quelle économie on parle : économie marchande productrice de valeur d’échange ou économie de valeur d’usage. A partir de cette distinction on peut « philosopher » . Une fonctionne au plus prés de besoins sociaux des population, l’autre acquebouté sur la solvabilité et le profit ne s’occupe que secondairement de son usage.

    L’argent
    devrait être un bien public. Il ne faut pas laisser aux banques privées le soin des questions de financement. L’argent, c’est aussi du lien social. Voir Jean-Marie Harribey.



  • Christian Delarue Christian Delarue 3 mars 2010 22:18

    Soulevons le voile pour définir l’argent entre diabolisation et spiritualisation.


    Pour réorienter autrement les flux monétaires, une réappropriation publique et sociale de la monnaie est nécessaire

    Pour certains, l’argent prends l’apparence du mal, du lucre, de la finance maudite, pour d’autre il est amour, énergie vitale. Il y a certes l’argent de la drogue (1), l’argent de l’économie souterraine , celle cachée dans les paradis fiscaux. Il y a aussi l’argent qui va aux soins de santé, pour la culture, pour l’éducation nationale, les services publics. Ainsi, pour Christian Cotten (2) l’argent n’est rien moins qu’une « métaphore de l’amour » ! Faut-il haïr l’argent ou faut-il l’aimer tel Picsou ? Ni l’un ni l’autre. N’en déplaise à cet ouvrage « spiritualiste » (1) soucieux de promouvoir une "économie de la compassion", une économie bancaire élargie, plus humaine et plus citoyenne (un peu).

    Ni monnaie de singe, ni monnaie de sage, l’argent prend l’apparence d’un intermédiaire, d’un moyen d’échange. Wikipédia (3) ajoute la fonction d’unité de compte pour la comptabilité et la fonction de réserve de valeur. C’est plus complet. Mais s’en tenir là c’est encore en rester à l’apparence « positiviste », au sens commun. La perspective scientifique-critique implique de soulever le voile de la monnaie circulant sur les marchés de consommation . Les rapports sociaux du capitalisme font que l’usage de l’argent est fort différent selon notre place dans ces rapports.

    La vérité de la monnaie à lire Jean-Marie Harribey est triple, elle un instrument d’accumulation privée, une construction sociale et un bien commun. Voilà qui nous éloigne des visions entre satanisation et culte fétichiste. Marx désignait sous le terme de fétichisme de l’argent sa capacité symbolique de cacher les rapports sociaux . De ce point de vue, l’argent est une institution sociale efficace. Bien que sans valeur intrinsèque, l’argent permet d’un côté l’exploitation d’une classe sociale par une autre mais de l’autre il sert de lien social aussi bien dans une économie marchande que non marchande. Les services publics offrent des prestations tarifées via la monnaie, sauf gratuité. Comme intermédiaire des échanges, l’usage de la monnaie permet aussi bien l’achat de produits matériels ou de services immatériels.

    Sauf généralisation du troc, il s’agit d’un bien public nécessaire. Il importe d’en contrôler sa création et son affectation afin d’éviter les détournement de flux vers la finance au détriment des investissements et d’un alterdéveloppement fondé sur la promotion de la valeur d’usage avec maintien circonscrit de la valeur d’échange. Ce qui implique un projet global à trois étages :

    1 ) La nécessité de nationaliser de nombreuses banques privées

    2) de créer un pôle public bancaire et financier (autour de la Caisse des Dépôts et Consignations).

    3) de réintroduire une planification démocratique.

    Pour la réussite de l’entreprise il importe qu’une transcroissance politique ait lieu au plan européen. Il en va de la sortie de crise et du succès de la perspective socialiste. L’horizon de notre temps ! Un monde plus humain, au service de l’humain ne saurait s’accommoder de la logique du profit, du concurrentialisme et de la propriété privée des moyens de production.

    Christian Delarue



  • Christian Delarue Christian Delarue 1er mars 2010 22:16

    Il y a des services publics à bas tarifs
    de plus il y a des salaires de base plus élevés qu’en france



  • Christian Delarue Christian Delarue 1er mars 2010 22:14

    République bananière : Les hauts fonctionnaires sortent du cadre statutaire pour se faire du fric !

    http://amitie-entre-les-peuples.org/spip.php?article1019



  • Christian Delarue Christian Delarue 1er mars 2010 22:09

    Ecarts de revenus maxi : 1 à 5, 1 à 10, 1 à 40.

    Trois grandes propositions d’écart de revenu sont repérables.

    Ici la base est le SMIC revendiqué à 1500 euros perçus (net) ce qui modifie les calculs.

    Si le SMIC revendiqué est de 1500 euros (1)

    * l’écart souhaitable des revenus allant de 1 à 5 passe sur cette base à 7500 euros . Cette somme constitue la base de départ des revenus des 21 catégories de dirigeants. L’écart de 1 à 5 est clairement anticapitaliste.

    * L’écart de 1 à 40 ( 60 000 euros par mois !!!) évoqué il y a peu par Marianne ne touche que l’hyperclasse mondialisée et protège la bourgeoisie nationale tant sa composante rentière que capitaliste. Cette formule légitime ce qu’elle veut combattre. Vouloir un monde commun ne saurait s’accomoder d’un tel écart.

    * Un écart de 1 à 10 (1500 à 15 000 euros par mois) parfois proposé frappe l’hyper-classe et une partie de la bourgeoisie mais protège les « grands élus », les professions libérales et les capitalistes entre 7500 et 15000 euros. Il s’agit là d’une formule intermédiaire de type social-démocrate fondée sur une alliance de classe entre le gros du salariat (moins de 3000 euros) et les cadres supérieurs et une fraction de la bourgeoisie nationale. Elle est jugée «  réalisable  » car susceptible d’être soutenue démocratiquement au plan national.


    Christian Delarue

    1) Des syndicats proposent 1600 revenus.

    Je plaide aussi pour un revenu minimal de mi-carrière entre 40 et 45 ans autour de 2000 euros perçu.



  • Christian Delarue Christian Delarue 1er mars 2010 22:05

    - Augmenter les revenus des moins de 3000 euros par mois
    - Baisser les très hauts revenus jusqu’à 10 fois le SMIC
    - Augmenter les service public à bas tarif



  • Christian Delarue Christian Delarue 27 février 2010 18:17

    Gauche ! Laquelle ? C’est même la première chose à préciser aujourd’hui pour être crédible mais aussi pas simple honnêteté intellectuelle. Il y a un monde entre le PS et le reste de la gauche. Il n’y a qu’un pas à franchir pour aller à droite pour certains socialistes.



  • Christian Delarue Christian Delarue 24 février 2010 19:38

    Romain, elle a bon dos la Rédemption !



  • Christian Delarue Christian Delarue 22 février 2010 09:10

    Pragma, votre propos fait dérivation. Il ne pose aucune analyse et aucune solution.



  • Christian Delarue Christian Delarue 22 février 2010 09:05

    L’introduction du classisme dans la fonction publique.

    Rapport SILICANI de fev 2004 sur la remunération au mérite des HF (cité par l’auteur) opère une dérive privatiste vers les très hauts revenus qui est aussi grave que le pantoufflage. Le tout fonde la République bananière. (cf article sur internet à mon nom)

    Le classisme est à la fois la domination de classe et le mépris de classe. L’accroissement des inégalité sur les deux bouts de l’écart des revenus y participe pleinement. Cela est en route dans les administrations française en copie du privé qui lui voit des revenus injustifiables en haut se combiner avec la misère sociale en bas. Le système méritocratique républicain fondé sur le diplome national, la qualification, la transparence des affectations sur la hiérarchie de la division technique et sociale du travail est cassé. L’autorité du supérieur hiérarchique n’est plus légitime. L’opacité et l’arbitraire engendre un sytème illégitime de type maffieux au sommet de l’Etat. Cela se combine à la dérèglementation qui enlève toute légitimité au mérite et à la compétence. Ces deux mots sont devenus creux en l’espace de quelques années. Ils puent l’arbitraire car non calé sur une grille méritocratie républicaine fondée sur la qualification qui jusqu’à présent donnait légitimité et autorité à la hiérarchie des administrations.. Rappelons que le système méritocratique républicain attribuait plus des postes de travail que des revenus. Evidemment il y avait une grille de rémunération mais cette dernière était ressérée. Chacun montait d’un cran à chaque échelon. Le système de la carrière et de l’ancienneté assurait une cohérence et une légitimité à l’ensemble. Le système n’était pas parfait mais il avait cette qualité de structuré le social et d’assurer une légitimité de l’autorité. Il n’en va plus de même aujourd’hui.

    Le rapport SILICANI de 2004 nous apprend qu’un directeur d’administration centrale (il y en a 180) perçoit 115 000 euros brut annuels. Au lieu de comparer avec les revenus en-dessous pour montrer une grille de rémunération montante mais ressérée de type méritocratique républicaine l’auteur évoque les hauts dirigeants du privé et les hauts dirigeants britannique. Le ton du rapport est donné. Le rapport SILICANI fait éclaté la légitimité rationnelle-légale fondée sur un cadre de règles valable pour tous fondé sur la transparence, la qualification et la cohésion sociale pour une politique néolibérale de casse de

    Celui qui écrit affiche un traitement de 26 000 euros en 2009 mais sa paye mensuelle est de 2000 euros net. La paie des fonctionnaires du rang C, B, A de base va du SMIC à 2700 euros par mois. Ce sont tous des prolétaires dans la mesure ou ils épuisent tous leur revenu dans le mois. Certains peuvent mettre de l’argent en épargne populaire (Livret A) en fin de mois mais il reste des prolétaires. Un professeur agrégé de fin de carrière perçoit 3200 euros par mois. Avec ce montant-là ils ne deviennent pas riches mais aisés car dégagés de la contrainte de surveillance de la fin de mois. Certains sont prolétaires avec 3000 euros dans la mesure ou elles sont célibataires avec grands enfants sans pensions alimentaires. L’aisance financière réelle qui fait réellement sortir de la condition prolétarienne se situe vers 3500 à 4000 euros par mois. Ce qui signifie que tous ceux qui perçoivent plus que 4000 euros par mois n’ont pas à se plaindre et à revendiquer plus encore. La grille salariale peut continuer de grimper mais avec des étages raisonnable. Il en va du « vivre ensemble », du « faire société » et de la « cohésion sociale »

    Christian Delarue



  • Christian Delarue Christian Delarue 21 février 2010 00:55

    Appel à se dire bonjour entre ex-amants.

    http://www.blogg.org/blog-78689-billet-1023878.html


    A ces hommes et ses femmes qui déjà étaient insatisfaits de leur couple plusieurs années avant de rencontrer l’autre, l’amant(e) qui a satisfait leur désir et leur besoin, ce que ne faisait pas l’officiel.

    A ces même hommes et ses mêmes femmes qui ensuite restent de longues années avec l’autre, l’amant(e), mais sans divorcer du premier.

    A ces hommes et ses femmes qui enfin au bout de plusieurs années rejettent cet amant (et c’est leur droit) pour ne rester qu’avec le premier, l’officiel.

    A ceux-là, à celles-là je lance un appel pour qu’ils ou elles ne tournent pas le regard quand ils ou elles croisent l’ex-amant(e), pour qu’ils ou elles disent bonjour et même fassent l’effort de prendre quelques minutes pour dire quelques mots.

    Léo Jog



  • Christian Delarue Christian Delarue 21 février 2010 00:53

    Dans un monde qui met la barre haut et qui ne précise pas ce qui est attendu ou exigé ou peut passer sa vie à mériter le respect. Il faut donc en venir à distinguer le comportement de la personne, son attitude de sa dignité humaine fondamentale.