• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile

Les commentaires de Goldy



  • Goldy Goldy 3 juin 2009 16:27

    Non, je trouve qu’il fait preuve d’un très bon sens juridique et expose de façon très pertinente l’absurdité du combat que vous semblez mener.



  • Goldy Goldy 29 mai 2009 20:30

    @ Naja

    Merci d’avoir répondu de façon si pertinente à mon message.

    Ce que je souhaitais avant tout souligner, au delà même du risque de fausses accusations, est résumé dans la toute dernière phrase de mon intervention.

    je considère que la société est responsable en tout premier lieu des problèmes qui surviennent chez un individu qui aurait eu des contactes sexuels dans son enfance. Je parle en connaissance de cause sur ce sujet car je l’ai longuement étudié dans le cadre de mon propre vécu.

    Remarquez la sémantique utilisé pour qualifier tout ce qui a attrait à la sexualité dans cet article, aucun terme utilisé n’est neutre. Je ne dénonce pas l’auteur d’utiliser cette sémantique, cela met juste en évidence le fait que seul cette sémantique est toléré, voir même possible, pour parler de cette chose.

    Je me suis permis de me poser la question de l’origine du mal dans l’acte sexuel, quand ce dernier est bien entendu réalisé sans violence ni contrainte. Je n’ai pas trouvé de réponse à cette question qui soit intrinsèquement lié à un empirisme sociétal. J’aimerai que d’autres personnes ce pose cette question, et remarqueront peut-être, comme je l’ai remarqué, que la douleur n’était pas à accabler à l’auteur, mais bien à une société qui nous contraint à souffrir et qui ne nous offre que la haine comme échappatoire.

    Pour simplifier le raisonnement, est-il logique de souffrir d’un acte qui n’est pas été motivé par une volonté de nuire ? En ça je comprends tout à fait la souffrance que peut induire le viol et la maltraitance, je ne peux pas concevoir que la souffrance puisse être puisé dans un acte qui n’a généré chez nous aucune souffrance ni physique, ni morale.

    Ce qui c’est passé lors du procès d’Outreau (c’est à ça que je faisais référence), lorsque les enfants qui n’avaient pas été violé ni abusé par leurs parents ont constitué en eux le traumatisme similaire, est un bon très bon exemple qui peut permettre de penser que le contacte sexuel n’est pas la cause intrinsèque du mal-être, mais que cela viendra d’autre chose. Quelle est cette chose ? La réponse la plus évidente pour moi est la société qui ne peut considéré un contacte sexuel que comme un traumatisme, et ça revient à ce que j’ai dis plus haut. Le travail psychologique joue également un rôle important dans ce processus, car par pragmatisme thérapeuthique, tout mal-être ne pourra être associer qu’à ce vécu sans aucune autre explication possible.

    Voilà j’espère que mon point de vu sur la question parraitra clair aux yeux de tous, et que tout ceci n’ait pas motivé par une quelconque peur (j’imagine que vous deviez probablement penser certaines choses de moi, permetez moi de vous rassurer sur ce point).



  • Goldy Goldy 29 mai 2009 14:36

    Et voilà où on en arrive avec une politique judiciaire basé sur l’émotion et la victimisation, on en oublie le rôle et le sens même de la justice.

    Il serait peut-être temps de se rappeler que la justice n’est pas au service de la névrose de certain comme thérapie psychiatrique. Il serait également utile qu’un certain nombre de personne arrête de placer dans la sexualité cette vertus quasi mystique de destruction absolu de l’être. D’associer de manière systématique les termes « agressions », « abus », « atteintes » à sexuel. Que certain prennent conscience que face à ce délire psychiatrique on criminalise aujourd’hui des gens qui ne sont probablement pas parfaits, mais qui tout sauf des criminels.

    Aujourd’hui quand un jeune homme de 19 ans couche avec sa petite amie de 14 ans et 11 mois, on le juge dans une cours d’assise, on le condamne pour viol sur mineure, c’est un criminel que l’on envoie pour 4 ou 5 ans en prison dans le meilleur des cas.

    Aujourd’hui quand on est un ami de cette personne et qu’on est au courant de cette relation sans la dénoncer, au passe également en cours d’assise et on est aussi jugé pour complicité et non dénonciation de crime.

    Aujourd’hui, quand on est un parent accusé de viol sur son enfant alors que c’est faux, que l’ont reconnait votre innocence lors d’un procès, on ne pourra plus jamais voir ses enfants, car le traumatisme induit sur cet enfant fera qu’il est persuadé que son parent l’a violé.

    Et demain, quand une personne de 40 ans, après une dépression, aura conclut avec l’aide probable de son psychologue que tout ses problèmes viennent du fait qu’il aurait été « agressé » sexuellement durant son enfance, sans en avoir la moindre preuve si ce n’est peut-être une sorte de vague souvenir induit par la réflexion, la justice fera quoi selon vous ? Elle devra condamner des gens sur déclaration ? Ou peut-être même condamner des gens à titre posthume ?

    Je pense qu’il est temps que la société se pose les bonnes questions et essaie peut-être de trouver l’origine même du mal qui la ronge. Et je pense de façon tout à fait sincère que le traumatisme lié à certaines formes de contactes sexuels, est induit par le fait que la société considère comme destructrice de manière systématique tout contact sexuel.



  • Goldy Goldy 25 février 2009 22:46

    C’est marrant, j’ai passé la soirée à me renseigner sur le status d’auto-entrepreneur, dois-je concidérer cette article comme un signe ? smiley



  • Goldy Goldy 10 février 2009 21:05

    Le signe le plus flagrant étant que la plupars des gens parlent du "discourt" de Sarko quand ils font allusion a cette interview.



  • Goldy Goldy 15 janvier 2009 18:59

    Analyse pertinente, et je vous suis dans votre raisonnement.

    Néanmoins, il y a une série de points avec lesquels je ne suis pas d’accord. Quand par exemple vous comparez la justice française avec la justice anglo-saxonne, je ne peux m’empêcher de penser aux dérives judiciaires américaines qui me semblent bien plus centrer la victime au sein même des procédures judiciaires. Il suffit pour cela de voir l’extravagence des peines encourues pour de simples délits, les executions auxquelles assistent les victimes le plus souvent.

    Un autre point avec lequel je ne suis pas d’accord est quand vous dites que les homosexuels se victimisent par rapport à leur propre condition pour réclamer le droit à avoir des enfants. Je pense vraiment que vous faites une erreur d’analyse et que le problème est bien plus complexe que ça.

    Il aurait été intéressant d’aborder également le fait que les victimes les plus souvent ne recherchent pas LE coupable mais UN coupable. J’ai souvent remarqué que quand la justice remet en cause une condamnation (souvent plusieurs années après) en se basant sur de nouveaux faits, les victimes s’y opposent assez systématiquement. Comme si leur vérité était bien suffisante face à la vérité.



  • Goldy Goldy 1er janvier 2009 22:47

    Je n’écoute pas europe 1 mais je vous accorde que la programmation doit être difficilement supportable sur cette fréquence (tout autant que ces programmes d’ailleurs).

    On supprime la pub sur les radios du service public ? Faudra penser alors à supprimer la musique aussi, dont la programmation ne peut être que soit le fruit que d’un copinage de producteurs et de programmateurs, soit un mauvais goût absolu pour la musique, encore plus difficile à supporter que la publicité, AMHA.



  • Goldy Goldy 1er janvier 2009 15:24

    Merci pour cet article. J’aime beaucoup Silje Nergaard pour posséder son album Nightwatch.

    Et Booz, ne soyez pas aigris comme ça je vous pris, les soupes asseptisées sont bien plus à trouver du coté de la scène française qui passe en boucle sur france inter que dans les artistes comme Silje Nergaard.



  • Goldy Goldy 22 décembre 2008 17:41

    J’ai expérimenté la chose avec un ami l’hiver dernier. Faut avoir le courage de supporter le regard des gens sur vous.



  • Goldy Goldy 17 décembre 2008 17:09

    Effectivement, sous semblez faire un amalgame entre le jugement et l’analyse psychiatrique. Aussi absurde que soit l’acte d’infanticide, l’explication d’un tel acte pourra alors paraitre absurde à son tour, surtout avec une méthodologie comme celle qui a été utilisé.

    Le danger, je pense, est de prendre un expert pour un juge, et je trouve que cet article peut entretenir cet amalgame.



  • Goldy Goldy 3 novembre 2008 18:47

    À propos de cette pub, il y a eu une rumeur qui disait que Phil Collins en personne incarnait le gorille dans la pub (ce qui a pas mal joué également dans le buzz qu’elle a sucitée).

    Je serais curieux de savoir d’ailleurs si cette rumeur a été démentie ou pas.



  • Goldy Goldy 3 novembre 2008 18:44

    Un point Godwin !



  • Goldy Goldy 14 octobre 2008 16:27

    Cet été, France Culture à diffusé pendant une semaine une série de reportage surOutreau.

    Il y a une chose à savoir qui n’a pas été relayé par les medias, c’est qu’une majorité des enfants qui ont été ammené à accuser leurs parents innocenté aujourd’hui continue de croire qu’ils ont été effectivement violé, et qu’une minorité seulement sont retourné vivre dans leur famille. Pour ma part, ça m’a particulièrement fait réfléchir.

    Deuxièmement, il faut savoir que cet état de fait n’est pas présent uniquement chez nous mais qu’il s’agit d’un phénomène qui touche énormément de pays de part le monde. Aux USA, on condamne des gens à des peines extrèmement lourdes uniquement sur d’éventuelle intentions qui pourrait leurs être prété, au Brésil il y a eu un cas de lynchage d’un homme après qu’une femme ait crié dans la rue que son conjoint avait abusé de sa fille. Il semblerait que ça touche surtout les pays à forte culture judéo-chrétienne, dans un pays comme le Japon on ne remarque pas cette culture de l’émotion, malgrès des affaires qui ont marquées l’opinion publique japonais (comme l’affaire Miyazaki, équivalante à Dutroux en europe), ça ne s’est pas traduit par des actions politiques.



  • Goldy Goldy 11 octobre 2008 10:45

    J’ai été étudiant en photographie, et si j’avais été à votre place, je serais allé directement au commissariat du 13ème arrondissement pour porter plainte pour entrave à la liberté de circulation.

    Y’a des choses avec lesquelle il faut pas déconner non plus.



  • Goldy Goldy 3 octobre 2008 18:10

    Dans le même esprit, j’ai tendance à détester la speudo neutralité déontologique des journalistes télévisé (et de radio également). J’aurais tendance à faire 100 fois plus confiance en un journaliste qui me dit pour qui il vote que celui qui me sert sa non-analyse factuelle en faisant croire que ses idées personnelles n’influenceront jamais sa façon de reporter l’information.



  • Goldy Goldy 17 septembre 2008 14:02

    "A t-on au moins pensé à établir une cellule d’aide psychologique pour la petite fille traumatisée par la vision de ce film pornographique ?"

    Je sais pas si je dois rire ou pleurer.... Je crois que je vais en rire finalement.



  • Goldy Goldy 11 juillet 2008 11:20

    Il existe un type d’accident assez régulié dans le rer qui ressemble à celui dont vous avez été témoin, et touche les cadres avec malette. Ils se placent au bord du quai et ramassent leur malette au moment où le train arrive et c’est là qu’ils se font toucher par le train.

    Utilisateurs de malette, soyez prudent.



  • Goldy Goldy 2 mai 2008 14:00

    Zut, j’ai voté non en croyant que l’article était celui d’une suckermom...



  • Goldy Goldy 14 avril 2008 18:24

    J’aimerais me permettre quelques remarques.

    Vous dites :

    "Pour qu’il y ait une « création de races humaines », il faudrait qu’il y ait un très long isolement (environ 2000 ans) d’une population d’individus : un « isolement sexuel »."

     

    Il est pourtant important de noter que la construction de nos civilisations a été faite sur ce shémas. Ça fait pas si longtemps que ça que les populations se meuvent librement à travers le monde. Et jusqu’au siècle dernier, les populations étaient isolées et ne se mélangeaient pas tant que ça, c’est bien d’ailleurs ce qui a permis de donner de si fortes disparités physiques et génétiques entre les civilisations.

    De même que deux animaux d’une même "race" n’ont pas un patrimoine génétique commun (leurs gènes sont différents bien qu’ayant une apparence physique similaire), je ne pense pas que l’argument de la tolérence ou non au lactose soit recevable (une mutation génétique ne remet pas en question un ensemble de critère morphologiques), je reste un peu convaincu que ces théories s’adaptent à l’idéologie égalitariste que vous semblez dénoncer.

    Pour ne pas passer pour un salaud de raciste, je tiens à préciser que le problème n’est pas tant de penser que telle ou telle personne appartiendrait à telle ou telle race, mais bien de penser que telle ou telle race serait suppérieur ou inférieur à une autre. Pour moi, c’est un peu comme si on supprimait la définition du genre féminin ou masculin sous prétexte que les hommes et les femmes sont égaux.

    Bref, je pense de toute façon que le mot "race" n’est pas le meilleurs terme applicable à l’humain, même si je pense qu’un concepte de race existe bel et bien chez nous comme chez n’importe qu’elle espèce animale. Ce n’est pas parce que la race a été un prétexte aux pires comportements de l’humanité qu’il faut nier son existance.

    J’espère avoir convenablement expliqué mon point de vue, et désolé pour les nombreuses fautes d’orthographes.



  • Goldy Goldy 18 février 2008 16:22

    C’est bien, cet article respecte les règles 1 et 2 d’internet.