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Les commentaires de Causette



  • Causette Causette 19 janvier 2011 19:31

    Cher Olivier,
    Je me suis sans doute emmêler les pinceaux, mais je voulais réagir à certains propos qui tendent à prendre le pourcentage collecte/frais comme preuve que certaines assoc étaient honnêtes et d’autre non. J’aurais dû travailler mon introduction.
    Voilà, c’est tout... Je tournerais sept fois ma souris sur mon clavier la prochaine fois en tout cas je serai navré que vous ayez mal perçu mon intervention qui ne se voulait que comptable.
    Cordialement



  • Causette Causette 19 janvier 2011 05:45

    Juger l’honnêteté d’une accoc en fonction des ses pourcentages recette/frais de fonctionnement... pourquoi pas mais...
    Je me pose une question aussi bête que mathématique (qui n’est pas ma force) :
    Je collecte 100€ j’ai 50€ de frais de fonctionnement, j’utilise 50% de ma collecte en frais de fonctionnement.
    L’année suivante je collecte 1000€ et j’ai toujours 50€ de frais de fonctionnement, j’utilise 5% de ma collecte en frais de fonctionnement.
    Miracle !
    Grâce à cette merveilleuse méthode que certains propose pour juger de l’honnêteté des assoc, je suis passé de voleur à merveilleux. Et si l’année suivante je reviens à 100€ de collecte je redeviens un lamentable pendard.
    Je ne suggère pas une méthode pour juger de l’honnêteté des assoc mais je vous propose d’abandonner celle là.
    Mais vous pouvez bien sûr faire comme vous voulez.
    Bien cordialement



  • Causette Causette 19 janvier 2011 04:30

    Voilà quelques années déjà l’idée avait germé et, à l’époque, le terme « assistance sexuelle » avait été choisi parce qu’il ne s’agissait pas de « commettre » (j’ai bien mis les guillemets) un acte sexuel mais simplement d’« appliquer » une masturbation à ceux qui ne pouvait le faire eux-mêmes faute de main(s) (je mets un singulier suivi d’un (s) pour les cas ou une seule main ne suffit pas - il faut tout prévoir afin de n’en léser aucun).
    Je me permets donc juste la question, êtes-vous bien sûr qu’il s’agirait alors de légiférer sur autre chose qu’une masturbation assistée ?
    C’est amusant car je me sens un peu ridicule en écrivant ça, dieu merci je n’ai pas a réfléchir sur la loi et encore moins à la voter.
    Cher auteur je vous félicite pour votre ton ambigüe le sujet n’est pas facile et vous nous prouvez que l’ironie reste une arme agréable. Mais suffit-elle à l’efficacité ? La chambre tranchera...



  • Causette Causette 27 mai 2010 12:47

    Un livre (roman) : Les langages de Pao de J. Vance (auteur américain). Un film aussi mais je ne suis pas sûr du titre « Quemada » ?? avec M. Brando.
    Les deux abordent le problème de la domination de culture par l’intégration de MOTS nouveaux.
    Vraiment intéressant de se heurter à ce problème.
    Après tout, qu’est-ce que c’est qu’un Fond de Pension ? En anglais ou en français, c’est nouveau et ça fout la merde !!
    Bien à vous et désolé pour ces vieux mots en quatre et cinq lettres !



  • Causette Causette 23 mai 2010 15:33

    @Jean
    Je m’habituerai à être précis, je vous le promets. J’entendais par « quiétude de l’enseignement » la quiétude nécessaire pas la quiétude réelle. Quand à mon expérience de l’enseignement en « milieu difficile » je suis à peu près certain que votre surprise serait réelle... Si nous avons l’occasion de nous rencontrer je vous préciserai mon CV et vous m’autoriserez peut-être à dire quelques sottises selon vos normes.
    Donc je parle haut et fort de la quiétude de l’enseignement qu’heureusement je n’ai pas conçue qu’en utopie.
    Quant à dire n’importe quoi, c’est mon privilège !
    Cordialement ! (c’est-à-dire qui vient du coeur (pas l’organe, le coeur idéal, celui des sentiments))



  • Causette Causette 22 mai 2010 17:46

    j’avoue m’être mal exprimé en disant « l’élève » est le prétexte... J’aurais dû dire « les troubles fêtes », ceux qui perturbent la quiétude de l’enseignement. A mon avis, trop de discours les mettent en avant comme responsables d’une certaine forme d’échecs scolaires (prof, élève).
    « La responsabilité est un labyrinthe »... (je ne sais plus qui a sorti ça)
    Très cordialement



  • Causette Causette 22 mai 2010 16:40

    L’école est devenu inégalitaire parce qu’elle ne détermine la réussite scolaire comme n’étant que d’une seule forme et comme le seule moyen de « s’aventurer vers un avenir confortable ».
    Les prof, que j’estime au plus haut point, sont devenus pathétiques dans leur revendications et dans leur vision du monde trop narcissique. Risibles quelquefois.
    L’école donne l’impression de se contenter de former de futurs enseignants en oubliant le reste.
    L’école s’écoute et se regarde au lieu d’écouter et de regarder autour.
    L’élève est devenu le prétexte à une litanie de plaintes.
    Profs, mes chéris, si vous ne vous reprenez pas vous allez finir grotesques ! Et, du coup, moi avec. smiley



  • Causette Causette 21 mai 2010 16:16

    Nous étions trois ! Une belle jeune femme qui n’avait pas le sou et avait besoin de travaux aussi couteux qu’urgents dans son appartement, un homme fortuné d’accord pour payer les travaux et moi, d’accord pour les faire (avec mes jolies mains de pianiste, mais bon...). Les matériaux furent achetés (vraiment pour cher) et je fis les travaux (Un mois et demi à plein temps, non payé, évidemment sinon mon histoire n’aurait pas de sens).
    La maison était belle, la jolie propriétaire heureuse et une fête fut donnée à laquelle on admira les travaux où l’on félicita beaucoup celui qui les avait payé ! J’en suis parti assez tôt...



  • Causette Causette 20 mai 2010 17:01

    Tout de même ce Freud, il est fort !
    Même moi je commente, c’est dingue !
    Mais je commente pour ne rien dire, juste pour exister !
    Il faut que je consulte !



  • Causette Causette 14 mai 2010 19:35

    Merci pour le lien !
    « La note moyenne a été obtenue en réponse à la question suivante : »Quelle note de 1 à 20 donneriez-vous à chacun des animateurs et/ou des journalistes suivants, sachant que 1 signifie que vous souhaitez le voir et/ou l’entendre moins souvent ou plus du tout et 20 signifie que vous souhaitez le voir et/ou l’entendre davantage ? Les notes intermédiaires permettent de nuancer votre jugement"
    On peut dire en plus que le système de notation ne veut rien dire car ici un 10 signifie continuez comme ça.
    Bof !



  • Causette Causette 14 mai 2010 14:57

    Bonjour !

    Malgré toute l’estime que j’ai pour la profession de journaliste « à cause de ceux qui font le vrai boulot pour que d’autres brillent », je me demande si cette profession ne souffre pas du même mal dont souffre par exemple la police et l’armée : la consternante volonté de ne pas reconnaître la faute quand elle existe et qu’elle est évidente. L’affligeant « esprit de corps » qui ressemble à du protectionnisme. Comment perdre sa carte de presse ? Je suis curieux de le savoir. Je suis navré de soulever encore ce vieux lièvre, mais qu’encourt exactement une palanquée de journalistes qui, comme une tornade, laisse derrière elle un désert de vies brisées, après s’être trompé d’info ? Il ne lui reste sans doute que l’autocritique, je le souhaite, mais nous n’en sommes que rarement les témoins.

    Dans nos contrées démocratiques j’ai cette impression nauséeuse que plutôt qu’autre garant de mes libertés, le journalisme le plus répandu se pose en garant de mes conforts.

    Peut-être que les journaux papiers sont trop épais ? Les journaux télévisés trop longs ? Et du coup ce qui devrait meubler d’une ligne ou d’une seconde prend le pas sur l’essentiel ?



  • Causette Causette 11 mai 2010 17:02

    Je crois que l’on perd son « statut » d’artiste quand on se préoccupe plus de profit que d’art. Un artiste est censé « évolué » et son art avec lui, mais la plupart de ceux que l’on nous désigne comme artistes, particulièrement à la télévision, sont figés dans une image qui leur assure le profit et beaucoup moins l’évolution. A mes yeux Stéphane Guillon en est un exemple pour l’instant plus frappant que Michelle Laroque. Et je me demande si la grande « faute » aux yeux de Guillon, n’est pas seulement d’être mariée à un H.P. en vue ? Parce qu’un deux pièces cuisine à Las Vegas, est-ce une preuve de mauvais agissement fiscal ?
    Ceci dit je croyais que Baroin était marié à Marie Drucker, je ne serai pas venu pour rien.



  • Causette Causette 10 mai 2010 15:41

    Pourquoi le célibat des prêtres ?

    Invention de génie pour répandre la « bonne parole » sans entrave. Eh oui !

    En faisant schisme, les calvinistes, les anglicans, etc… ont autorisé leurs pasteurs à se marier et ceux-ci ont eu beaucoup plus de mal pour s’enfoncer (avec femmes et enfants) dans les contrées inhospitalières pour évangéliser les « sauvages » qui couraient tout nu dans les jungles. La Nouvelle Zélande en est un bon exemple, le littoral est majoritairement anglican et l’intérieur des terres est catholique.

    Mais maintenant il existe internet et les prosélytes y vagabondent en même temps qu’ils peuvent consulter grosnéné.com.

    Et moi, qui suis un sauvage courant encore nu dans la jungle, je me dis zut ! Encore ici, encore une fois… mais comment y échapper ?

    Mais je ne peux me résoudre à vous éloigner comme ma barbarie l’aimerait, cher AVRAIDIRE dont le pseudo est révélateur en lui-même, car je suis attaché à ce que vous puissiez vous exprimer haut et fort ici et ailleurs. Mais je me désole que vous n’ayez d’autre sujet à transporter.

    Mais au moins dites moi si votre crédo s’accompagne d’un vœu de célibat ou si, de temps en temps vous allez vous aussi voir dans les zones rouges (double sens) ?

    Vous n’êtes ni nonce, ni internonce, ni prononce ? Puisque votre obédience va à la Pentecôte. Mais alors pourquoi ne pas rédiger votre prochain papier dans le « langage des anges », ça nous changerait un peu. Nous saurions ce que c’est que « glosser » ou « glossaulaler », je ne sais pas comment dire ?

    En tout cas n’hésitez pas à nous surprendre.

    Cordialement !



  • Causette Causette 10 mai 2010 13:09

    j’aurais dû me relire !!!



  • Causette Causette 10 mai 2010 13:07

    Eh bien ! Me voilà obligé de réfléchir ! Vous m’avez eu !
    Que vais-je devenir si je ne peux plus me contenter de commenter par « d’accord ! Pas d’accord » ?
    Cela était si simple, pour mon moralisme chéri !
    Remarquez, je ne vous en veux pas, et tenez, je vais même vous relire et pour les bonnes raisons, c’est-à-dire pour me faire plaisir, et -peut-être- puiser deux trois objets de réflexion... Pour l’instant j’en suis à Hermès que je croyais psychopompe et dont j’ignorais qu’il eut un « objet » avec Aphrodite, comme quoi ces articles à cancans sont bien utiles. Vous voyez, je m’essaie à l’ironie et ne réussis qu’un sous-humour. Bon ! En tout cas ravi de vous avoir rencontrer et de pouvoir suivre le « fil de votre site ».
    Cordialement !



  • Causette Causette 8 mai 2010 03:16

    Ô Docdory !
    Vous me ravites ! Et la sonorité de cette conjugaison n’est pas à la mesure du plaisir que vous me fites.
    Cordialement !



  • Causette Causette 7 mai 2010 17:00

    Mais il me vient une autre idée par le constat de l’auteur des chambres composées majoritairement d’hommes.
    Les chambres étant censées nous défendre peut-être qu’instinctivement, c’est-à-dire poussés par des pulsions inconscientes, les confions-nous plus volontiers à ceux qui représentent la « force » et, dans notre instinct, ce sont les hommes qui la détiennent ? Et les femmes en tant qu’électrices ont ces mêmes pulsions irréfléchies ?
    Peut-être que le vote, après tout, n’est encore que trop instinctif dans nos contrées démocratiques ? Que notre humeur gâche notre raison ?
    Toujours poussés par notre cerveau reptilien trouvons-nous raisonnable qu’en période de conflit les femmes restent à l’abri pendant que les « forces » s’affrontent et force est de constater que les femmes ont des places à responsabilités plus facilement dans des pays qui n’ont pas connus la guerre ou des conflits à haut degré de violence depuis un long moment.
    Je ne cherche en aucun cas à faire de la provocation, mais énonce un de mes soucis qui est de ne pas savoir exactement qui et quoi contrôlent vraiment des décisions qui me semblent réfléchies (je parle de mes inconsciences).
    Cordialement !



  • Causette Causette 7 mai 2010 16:11

    Bonjour à tous,

    Mon petit avis : le « combat commun » des femmes tend à laisser la place à un combat individuel, que je ne mets pas entre guillemets volontairement, ce qui pourrait sembler une preuve que les inégalités s’amenuisent. Donc, il me semble que le temps est venu de « combattre en commun » les inégalités asexuées, mais je dis un bêtise car je m’aperçois que ces combats ont toujours, ou le plus souvent, été menés en commun.
    Je suis un Fan de Sophie Germain qui s’est imposée en douceur et avec toute la subtilité que l’intelligence confère.
    Personnellement je ne suis pas assez « intelligent » seul et ce sont toujours des femmes qui m’ont appris à gérer mes conflits.
    Quand je suis dans ma famille parentale, ce sont les femmes de la famille qui servent, desservent, et j’aide un minimum.
    Quand je suis dans la mienne, je sers, dessers et je suis aidé autant qu’on peut.
    J’ai un peu évolué, je crois.
    Les femmes qui m’entourent me suggèrent plus souvent ma façon de m’habiller que je ne le fais pour elles, je n’ai pas beaucoup évolué, je crois.
    Je suis un peu perdu.
    Bien à vous.



  • Causette Causette 4 mai 2010 17:55

    Bonjour Philoxera,
    Bien que n’étant pas un ardent défenseur des méthodes de la Sacem je dois vous contredire, elle ne taxe pas sur l’investissement, tout de même, mais sur le chiffre des entrées, si vous avez une billetterie. Et le chiffre de 8,8 que vous évoquez est variable et peut monter jusqu’aux alentour de 15 si il s’agit des n premières représentations d’une création originale.
    Je suis navré de ne pouvoir préciser car ces chiffres sont loin dans ma mémoire et j’ai la flemme de rouvrir mes dossiers.
    Mais si toutefois je me trompais et qu’effectivement la méthode de calcul des droits inclus l’investissement pour la création ou l’exploitation des spectacles n’hésitez pas à me signaler ces nouveaux articles.
    Cordialement



  • Causette Causette 4 mai 2010 15:59

    Bonjour à tous,

     Vous avez compris que la Sacem et la Sacd ont oublié une chose essentielle : Elles sont supposée être au service des auteurs, compositeur, etc…

    Malheureusement elles sontaussi au services des « ayant droits », c’est-à-dire le plus souvent les héritiers des artistes, mais aussi leur traducteurs, les héritiers des traducteurs, et la liste est longue des gens qui touchent des royalties sans avoir jamais commis la moindre « œuvre ». Savez-vous que les droits d’auteurs sont redevables pendant soixante-dix ans après la mort de l’artiste (non compris les années de guerre ???).

    Comme les ayant droits sont probablement plus nombreux que les artistes, je pense que c’est vers eux que devrait se tourner un brin de nos étonnements sur la politique de la SACEM et de la SACD. Car les dommages collatéraux sont plus graves que d’avoir à payer des droits d’auteur ridiculement forfaitaires, ces politiques entraînent l’oublie de certaines œuvres pour des raisons diverses. On ne joue plus Luigi Pirandello en France car les droits sont hors de prix. Jean Anouilh a disparu des scènes parce que ses ex compagnes se sont « battues » pour savoir sous l’influence de laquelle il a écrit telle ou telle pièce et combien d’autres absurdités encore…

    Un auteur ne peut plus disposer de ses droits et, par exemple, les accorder à titre gratuit…

    Bref, inutile de préciser que ceux qui dirigent ces institutions gagnent mieux leur vie, et dans des proportions indécentes, que la majorité des auteurs qui les nourrissent.

    Il serait intéressant de savoir d’où viennent ses dirigeants, qui les ont formés ? Serait-ce les même que ceux qui forment nos nouveaux banquiers qui n’envisagent plus le profit pour accompagner l’ « évolution » humaine mais seulement le profit pour le profit ?

    Bien à vous !