Les français apprennent, abasourdis, ce matin que le gouvernement français se serait engagé à payer les 6,3 millions d’euros représentant les condamnations prononcées par la justice tchadienne à la suite des agissements scandaleux des membres de l’Arche de Zoé.
Dans un pays « en faillite », les impôts durement payés par les contribuables vont donc servir à couvrir une escroquerie pseudo « humanitaire ».
La prime (particulièrement onéreuse !) à la délinquance doit cesser au moment où tous nos compatriotes se serrent la ceinture et où ils subissent six nouvelles taxes depuis l’élection de Nicolas Sarkozy.
Les français ne peuvent pas, ne doivent pas, accepter ce scandale et le gouvernement doit s’expliquer d’urgence sur ce « troc » indigne.
Témoignage d’un père
Il y a des parents qui ont l’apparence de la
normalité, cependant ils se cachent derrière une
fausse image et donnent un autre aspect de leur
vraie personnalité.
Le récit qui va suivre révèle la vraie teneur
et le comportement d’une mère, à l’égard de ses
responsabilités maternelles.
De notre union, un petit garçon a vu le jour
pour la première fois le 6 Février 1994.
Après ma séparation avec sa mère, j’ai
quitté la ville de Romans pour Chambéry,
cependant mon ex ne me facilitait pas le droit de
visite à l’égard de mon fils J...
Pendant plusieurs semaines, lors ce que je
me rendais au domicile de mon ex, je trouvais la
plupart du temps la porte fermée. Je restais ainsi
dans l’impossibilité de voir mon fils.
Trois ans plus tard, c’est le drame, lors ce
que je vais chercher mon enfant J... Je vis mon fils
faire une fellation au compagnon de mon ex.
J’étais là face à une scène immonde et
encore le mot est bien trop faible pour dire ce que
j’ai ressenti. Mon sang n’a fait qu’un tour, les yeux
aveuglés par la colère et remplis de haine, mon
poing arriva avec une force que je ne saurais
mesurer, il atterrit sur le visage de ce monstre qui
s’écroula immédiatement sur le sol, le visage en
sang. Avec une grande détermination, je pris
aussitôt mon fils J... et nous quittons cet endroit
lugubre.
Dans la voiture qui nous conduisait à mon
domicile le silence était de rigueur, les images
n’arrêtent pas de défiler dans ma tête, je revois la
scène en boucle.
Quant à J... Il va de même pour lui,
comment trouver les mots appropriés pour
apporter l’aide nécessaire à mon fils ?
Mon obsession est de faire justice, dés notre
arrivée à Chambéry, nous nous rendons au
commissariat de police pour porter plainte.
Comme une mauvaise surprise ne va jamais
seule, j’emmène J... en urgence chez le médecin,
il en résulte qu’il doit subir d’urgence une
intervention chirurgicale (Phimosis*). Sans plus
attendre, j’informe mon ex de l’état de santé de
notre fils et qu’il souhaiterait qu’elle vienne à son
chevet. Une fois de plus, je me trouve face à son
refus.
Pendant ce temps-là, je suis déterminé à
poursuivre mon combat face à la justice. Je pose
des affiches en dénonçant le viol de J...Quelques
jours plus tard, je passe une nuit de garde à vue,
suite à cela, j’ai été condamné par le tribunal
correctionnel à de la prison ferme.
*( est un rétrécissement de l’anneau préputial)
Je ne savais pas que l’on pouvait être
incarcéré pour avoir défendu l’honneur de son
enfant.
Voulant prouver mon innocence, je fais appel
au dit jugement, seulement le résultat n’est pas
brillant, la dénonciation calomnieuse n’a pas été
retenue (affiches) pourtant, ils m’ont condamné
pour non-représentation d’enfant.
En voulant faire valoir la loi, je me trouve
face à une spirale judiciaire, mon ex, tente de me
retirer le droit parental, je me constitue partie civil
à l’encontre de son compagnon.
Je suis très rapidement convoqué par un juge
d’instruction de Valence, il va mettre ma parole en
doute et il me condamne. Pendant ce temps-là, un
incendie d’origine criminelle est survenu dans une
usine, je ne sais pas comment cela est arrivé, mais
je me trouve impliqué injustement dans ce dit
incendie et je me retrouve pour la seconde fois en
prison.
Durant la même période, mon fils J... est
convoqué par le même juge afin de connaître la
vérité. Sans avoir eut au préalable une
confrontation, ni expertise, lors du jugement, il en
résulte un non-lieu et condamné au payement de la
somme de 500 € pour procédure abusive.
Au fil des jours et des semaines, le silence
s’installe entre moi et mon fils sans connaître la
raison. Deux ans plus tard, Noël 2002, j’accueil
mon fils et il me révèle qu’il me croyait mort !
Juillet 2003, période de vacances J... est de
nouveau avec moi, il est penché sur son cahier de
devoirs, subitement il se mit à pleurer !...
- Que t’arrive t’il mon fils ?
En sanglots, J... lui dis.
- Quand, je vais chez la nounou, il y a un
monsieur qui vient s’allonger sur le lit à mes côtés,
il me pose un bandeau sur les yeux, puis me fait
sucer des fruits différents, puis, il m’introduit son
s...
Ce n’est pas possible, j’en crois pas mes oreilles,
le cauchemar est sans fin, pour couronner le tout, je ne
suis plus tout prêt, pour des raisons professionnelles,
j’ai dû m’installer dans le Var, que puis-je faire
continuer à me batailler au quotidien pour faire éclater
la vérité au grand jour.
Je suis à bout de souffle, mes forces s’épuisent
au fil de ces années passées à me battre contre des
moulins à vent de ne pas être la victime mais le
coupable présumé.
Malgré cela, je continu à crier mon
désespoir, j’alerte le Ministre de la Justice ainsi
que le Ministre de la famille et de l’enfance, les
médias presse, etc... mes ultimes efforts sont vite
restés sans la moindre réponse.
10 Janvier 2006, le vice procureur de la
République de Valence m’écrit en me précisant
ceci : j’ai pris connaissance de votre plainte en
date du 24 Octobre 2005 et par la présente je vous
informe que les accusations portées par vous ne
sont pas fondées.
Fin Novembre 2006, je reçois un courrier de
Monsieur Sarkozy, dans lequel ; il comprend le
désarroi de ce père... il a transmis mon dossier au
garde des sceaux. Qui est à ce jour sans réponse !
Une lueur d’espoir arrive en ce 8 Janvier 2007, je
sors rempli de joie du cabinet du juge d’instruction de
Valence, J... est reconnu victime de viol, compte tenu
qu’au moment des faits il avait les yeux bandés, il est
dans l’incapacité de décrire son agresseur. Il va devoir
de nouveau prononcer un non-lieu.
J’essaye en vain de dire au juge que mon fils
avant d’avoir les yeux bandés, il a vu l’individu en
face de lui.
J... à aujourd’hui 13 ans, me concernant, je
me suis remarié et je suis père de 4 enfants, nous
sommes une famille, avec tout cela, face à cette
impuissance de montrer la vérité, dans un pays où
les droits de l’homme doivent avoir une vraie
valeur.
Que l’histoire de J...ainsi que mon combat
pour lui puisse servir d’exemple et que la
maltraitance et les abus sexuels envers les enfants
puissent être sévèrement punis.
Le monde va mal, la maltraitance progresse
de jour en jour, malgré la mobilisation des
structures et des institutions, cela va de nous tous
et de notre conscience, de réagir dans une lutte
commune et d’enrayer ce fléau.
Pour ma part mon combat continu...
Rota bruno
le 22/02/07
lettre recu ce jour :
le vice president charger de l’instruction a rendu ce jour ue ordonnace de non lieu
valence le 21/02/07
je fait appel de suite !...
Appel A CONFIRMER LE NON LIEU !
donc 3 pedophiles sont en liberte en france ....
pays des droits de l homme ?........
bruno rota
Témoignage d’un père
Il y a des parents qui ont l’apparence de la
normalité, cependant ils se cachent derrière une
fausse image et donnent un autre aspect de leur
vraie personnalité.
Le récit qui va suivre révèle la vraie teneur
et le comportement d’une mère, à l’égard de ses
responsabilités maternelles.
De notre union, un petit garçon a vu le jour
pour la première fois le 6 Février 1994.
Après ma séparation avec sa mère, j’ai
quitté la ville de Romans pour Chambéry,
cependant mon ex ne me facilitait pas le droit de
visite à l’égard de mon fils J...
Pendant plusieurs semaines, lors ce que je
me rendais au domicile de mon ex, je trouvais la
plupart du temps la porte fermée. Je restais ainsi
dans l’impossibilité de voir mon fils.
Trois ans plus tard, c’est le drame, lors ce
que je vais chercher mon enfant J... Je vis mon fils
faire une fellation au compagnon de mon ex.
J’étais là face à une scène immonde et
encore le mot est bien trop faible pour dire ce que
j’ai ressenti. Mon sang n’a fait qu’un tour, les yeux
aveuglés par la colère et remplis de haine, mon
poing arriva avec une force que je ne saurais
mesurer, il atterrit sur le visage de ce monstre qui
s’écroula immédiatement sur le sol, le visage en
sang. Avec une grande détermination, je pris
aussitôt mon fils J... et nous quittons cet endroit
lugubre.
Dans la voiture qui nous conduisait à mon
domicile le silence était de rigueur, les images
n’arrêtent pas de défiler dans ma tête, je revois la
scène en boucle.
Quant à J... Il va de même pour lui,
comment trouver les mots appropriés pour
apporter l’aide nécessaire à mon fils ?
Mon obsession est de faire justice, dés notre
arrivée à Chambéry, nous nous rendons au
commissariat de police pour porter plainte.
Comme une mauvaise surprise ne va jamais
seule, j’emmène J... en urgence chez le médecin,
il en résulte qu’il doit subir d’urgence une
intervention chirurgicale (Phimosis*). Sans plus
attendre, j’informe mon ex de l’état de santé de
notre fils et qu’il souhaiterait qu’elle vienne à son
chevet. Une fois de plus, je me trouve face à son
refus.
Pendant ce temps-là, je suis déterminé à
poursuivre mon combat face à la justice. Je pose
des affiches en dénonçant le viol de J...Quelques
jours plus tard, je passe une nuit de garde à vue,
suite à cela, j’ai été condamné par le tribunal
correctionnel à de la prison ferme.
*( est un rétrécissement de l’anneau préputial)
Je ne savais pas que l’on pouvait être
incarcéré pour avoir défendu l’honneur de son
enfant.
Voulant prouver mon innocence, je fais appel
au dit jugement, seulement le résultat n’est pas
brillant, la dénonciation calomnieuse n’a pas été
retenue (affiches) pourtant, ils m’ont condamné
pour non-représentation d’enfant.
En voulant faire valoir la loi, je me trouve
face à une spirale judiciaire, mon ex, tente de me
retirer le droit parental, je me constitue partie civil
à l’encontre de son compagnon.
Je suis très rapidement convoqué par un juge
d’instruction de Valence, il va mettre ma parole en
doute et il me condamne. Pendant ce temps-là, un
incendie d’origine criminelle est survenu dans une
usine, je ne sais pas comment cela est arrivé, mais
je me trouve impliqué injustement dans ce dit
incendie et je me retrouve pour la seconde fois en
prison.
Durant la même période, mon fils J... est
convoqué par le même juge afin de connaître la
vérité. Sans avoir eut au préalable une
confrontation, ni expertise, lors du jugement, il en
résulte un non-lieu et condamné au payement de la
somme de 500 € pour procédure abusive.
Au fil des jours et des semaines, le silence
s’installe entre moi et mon fils sans connaître la
raison. Deux ans plus tard, Noël 2002, j’accueil
mon fils et il me révèle qu’il me croyait mort !
Juillet 2003, période de vacances J... est de
nouveau avec moi, il est penché sur son cahier de
devoirs, subitement il se mit à pleurer !...
- Que t’arrive t’il mon fils ?
En sanglots, J... lui dis.
- Quand, je vais chez la nounou, il y a un
monsieur qui vient s’allonger sur le lit à mes côtés,
il me pose un bandeau sur les yeux, puis me fait
sucer des fruits différents, puis, il m’introduit son
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Ce n’est pas possible, j’en crois pas mes oreilles,
le cauchemar est sans fin, pour couronner le tout, je ne
suis plus tout prêt, pour des raisons professionnelles,
j’ai dû m’installer dans le Var, que puis-je faire
continuer à me batailler au quotidien pour faire éclater
la vérité au grand jour.
Je suis à bout de souffle, mes forces s’épuisent
au fil de ces années passées à me battre contre des
moulins à vent de ne pas être la victime mais le
coupable présumé.
Malgré cela, je continu à crier mon
désespoir, j’alerte le Ministre de la Justice ainsi
que le Ministre de la famille et de l’enfance, les
médias presse, etc... mes ultimes efforts sont vite
restés sans la moindre réponse.
10 Janvier 2006, le vice procureur de la
République de Valence m’écrit en me précisant
ceci : j’ai pris connaissance de votre plainte en
date du 24 Octobre 2005 et par la présente je vous
informe que les accusations portées par vous ne
sont pas fondées.
Fin Novembre 2006, je reçois un courrier de
Monsieur Sarkozy, dans lequel ; il comprend le
désarroi de ce père... il a transmis mon dossier au
garde des sceaux. Qui est à ce jour sans réponse !
Une lueur d’espoir arrive en ce 8 Janvier 2007, je
sors rempli de joie du cabinet du juge d’instruction de
Valence, J... est reconnu victime de viol, compte tenu
qu’au moment des faits il avait les yeux bandés, il est
dans l’incapacité de décrire son agresseur. Il va devoir
de nouveau prononcer un non-lieu.
J’essaye en vain de dire au juge que mon fils
avant d’avoir les yeux bandés, il a vu l’individu en
face de lui.
J... à aujourd’hui 13 ans, me concernant, je
me suis remarié et je suis père de 4 enfants, nous
sommes une famille, avec tout cela, face à cette
impuissance de montrer la vérité, dans un pays où
les droits de l’homme doivent avoir une vraie
valeur.
Que l’histoire de J...ainsi que mon combat
pour lui puisse servir d’exemple et que la
maltraitance et les abus sexuels envers les enfants
puissent être sévèrement punis.
Le monde va mal, la maltraitance progresse
de jour en jour, malgré la mobilisation des
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Rota bruno
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bruno rota
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je cherche toute sorte de soutien a tous genre !!!
lettre de soutien ou autre !!! (58 RUE TELON 83100 TOULON )
merci de prendre contacte pour me dire ce que vous pensez de cela ?
[email protected] (adresse msn aussi pour info )
Le mirobolant projet d’« Union méditerranéenne » de Nicolas Sarkozy vient d’être enterré à Bruxelles avec toutes les pompes européennes.
Il en est de ce projet comme de toutes les annonces tonitruantes du candidat Sarkozy : au final, il n’en reste que des mots, dépouillés de leur signification initiale.
L’« Union méditerranéenne », qui devait regrouper les pays riverains de la Méditerranée, est devenue une « Union pour la Méditerranée », qui n’est rien d’autre que le nouveau nom donné au « processus de Barcelone », cette structure de coopération de l’Union européenne avec les pays méditerranéens, sur des objectifs ciblés et limités.
Selon le président de la République, c’est la troisième initiative française qui rencontre un « très large consensus ». C’est en réalité la troisième initiative du président Sarkozy qui est réduite à néant. Le soi-disant « traité simplifié » n’est qu’une rédaction plus compliquée de la Constitution européenne ; le « groupe des Sages » qui devait avoir pour principale mission de réfléchir aux frontières de l’Union européenne n’a pas ce sujet-là dans ses attributions.
Et pendant qu’on agite des mots, le rouleau-compresseur euromondialiste continue d’avancer inexorablement.
Une fois de plus, la montagne a accouché d’une souris : après la censure du Conseil constitutionnel, il ne reste quasiment rien du grand projet de Nicolas Sarkozy visant à mettre hors d’état de nuire les plus dangereux récidivistes.
La loi sur la rétention de sûreté devra attendre, pour être appliquée, que le premier criminel dangereux à être jugé à partir de maintenant ait fini de purger sa peine, dans 15 ans peut-être...
D’ici là, la législation aura eu le temps de changer plusieurs fois...
Pour opérer une vraie rupture et résoudre le problème de récidive que posent les plus dangereux criminels, il suffirait de rétablir une véritable échelle des peines, avec au sommet la peine capitale, suivie de la réclusion à perpétuité, qui soit réellement à perpétuité, et non de trente ans.
Tous les bricolages effectués à la lumière glauque du politiquement correct sont voués à l’échec. On vient d’en avoir une nouvelle preuve.
L’affaire des cuisiniers africains du restaurant parisien « La Grande Armée » illustre le fait que la loi sur la « maîtrise de l’immigration » du 20 novembre 2007 est en réalité un appel à l’immigration clandestine.
Les gauchistes de Droits Devant, Mgr Gaillot, et la CGT, se sont faits les zélés auxiliaires du gouvernement pour montrer concrètement que selon cette loi, précisée par une circulaire en janvier dernier, tous les clandestins pourvus d’un travail ou d’une promesse d’embauche peuvent être régularisés.
Ce sont des centaines de milliers de clandestins qui sont susceptibles d’obtenir ainsi un titre de séjour.
Au ministère de l’Immigration, on se dit incapable de dire combien de régularisations ont déjà été effectuées, parce qu’elles sont réalisées « au cas par cas » et ne sont pas comptabilisées par l’administration centrale.
Bien sûr, les Français ne doivent pas connaître l’ampleur du phénomène.
Mais dans les pays d’émigration, on sait très bien que si l’on vient en France on peut désormais obtenir des papiers de façon quasi automatique.
Telle est la politique de lutte contre l’immigration clandestine que promettait M. Sarkozy.
tient à exprimer sa stupéfaction face à l’aberrante initiative du président de la République de confier la mémoire d’un enfant victime de la Shoah à chaque élève de CM2.
Il est affreux sur le plan moral, et criminel sur le plan psychologique, d’obliger les petits enfants des écoles à se confronter ainsi, de façon personnelle, à des drames historiques, ce qui revient à leur faire endosser ces drames.
Il n’est pas besoin d’être psychologue ou pédopsychiatre pour savoir que nombre d’enfants se sentiront coupables et en seront brisés.
Il reste à espérer que les syndicats d’enseignants fassent revenir le président de la République sur une initiative qui offense à ce point le sens commun.
Le vendredi 18 janvier, débute dans les gares et les métros franciliens une sinistre campagne de promotion de l’avortement soutenue par le Conseil régional d’Ile-de-France.
Outre le fait que les espaces publicitaires sont payés avec l’argent du contribuable, les documents de propagande associant sexualité, contraception et avortement prouvent une fois de plus la volonté de troubler les esprits quant à la gravité de l’avortement.
La perversion des concepteurs de cette propagande de la « culture de mort » est allée jusqu’à exposer sur les affiches une femme enceinte !
Une telle publicité se justifie, selon le planning familial, par le fait que « les lois sur la contraception et l’avortement (…) ne sont pas correctement appliquées ». C’est seulement vrai dans le sens où l’avortement, légalement prévu pour des cas extrêmes, est devenu un simple moyen de contraception aboutissant chaque année à l’élimination d’un enfant à naître sur quatre !
A l’heure où l’hémorragie démographique n’est masquée que par un recours massif à une immigration de peuplement de plus en plus incontrôlable, cette promotion n’est qu’une indécente incitation au suicide collectif.
Voici donc encore une nouveauté que l’on doit à Nicolas Sarkozy : une grève spécifique de l’audiovisuel public. Du jamais vu depuis la fin de l’ORTF en 1974.
Cette grève confirme que la décision du président de la République de supprimer la publicité sur les chaînes de France Télévision a été totalement improvisée.
Un mois plus tard, les services de l’Elysée sont toujours incapables de dire clairement aux syndicats comment le manque à gagner sera compensé, ou aux Français comment ils vont encore se faire plumer.
Dans ce domaine comme dans les autres, la baguette magique de Nicolas Sarkozy ne fonctionne plus, et les talents du prestidigitateur ne font plus illusion.
Le déficit commercial de la France a pulvérisé son record, passant de 28 à 39 milliards d’euros : le gouffre s’est creusé de 11 milliards d’euros en un an.
Là non plus, il n’y a pas eu de « rupture ». Les derniers mois de 2007 ont même été beaucoup plus mauvais que les premiers mois de l’année.
Il est devenu impossible de mettre en cause la force de l’euro et le renchérissement du pétrole : l’Allemagne connaît un excédent record, et la facture pétrolière est en baisse.
C’est donc la seule politique gouvernementale qui est responsable de cette catastrophe.
Saluant le “dynamisme confirmé du marché du travail”, Christine Lagarde, ministre de l’Emploi, se réjouit de la baisse du nombre de chômeurs inscrits dans le baromètre officiel de l’ANPE, qui serait passée en décembre 2007 sous la barre des 1,9 millions.
Une provocation de plus de Mme Lagarde, qui feint d’ignorer que les statistiques de l’ANPE ne recensent que les personnes cherchant un emploi à temps plein en CDI : elles excluent de fait les chômeurs en recherche d’un CDD ou d’un travail à temps partiel ainsi que les demandeurs d’emploi radiés des listes de l’ANPE pour diverses raisons.
Quant au "dynamisme confirmé du marché du travail”, on ne saurait que trop conseiller à Mme Lagarde d’en toucher deux mots aux milliers de salariés laissés sur le carreau de la mondialisation, tels ceux du groupe textile DMC, du fabricant de Ski Salomon, de l’avionneur Latécoère, du groupe Ontex ou du chimiste Arkema, dernières victimes en date des délocalisations et du chômage de masse.
Comme cela était prévisible, le tissu industriel de Midi-Pyrénées est en train de se déliter. En effet, après EADS et Dassault, c’est au tour de Latécoère, l’un des principaux sous-traitants d’Airbus et employeurs de la Région, de délocaliser sa production en Tunisie, pays qui bénéficie d’une main d’oeuvre bien meilleur marché que la nôtre, de charges patronales beaucoup moins élevées et qui n’est pas tributaire de l’euro fort.
Cette situation n’est qu’une conséquence de la politique suicidaire menée par les gouvernements de droite comme de gauche, cette dernière tentant par la voix du président de Région M. Malvy de rejeter la faute sur les épaules de la seule majorité gouvernementale. En réalité, elle est également responsable par la politique pro-européiste et pro-mondialiste qu’elle mène alternativement avec l’UMP.
une fois de plus cette politique ultralibérale qu’entérinent le traité de Lisbonne et le rapport Attali, et se positionne comme la seule force politique française de défense de notre économie et de nos emplois.
Face à la nouvelle crise financière, les autorités européennes semblent hésiter entre la politique de l’autruche et la méthode Coué.
A supposer que le choc boursier soit passager, il n’en demeure pas moins qu’il révèle et souligne la fragilité d’un système durablement ébranlé par la crise des « subprimes », à laquelle s’ajoute le problème des « rehausseurs de crédit », tandis que pèse la menace de récession américaine.
Il est extravagant de prétendre que l’Europe peut rester en dehors des turbulences, au motif hélas faux que « ses fondamentaux sont forts ».
Les Français risquent de comprendre à leurs dépens ce que signifie le fait de s’être livrés pieds et poings liés à des autorités supranationales.
a reflechir de tous ca ....
Menant campagne électorale en Avignon, Olivier Besancenot, porte-parole de la Ligue communiste révolutionnaire, vient d’appeler “la gauche à s’intéresser aux immigrés”, soutenant en particulier l’idée d’une "grande manifestation nationale" avec les "organisations antiracistes" "en faveur de l’immigration".
Le faux-nez de la lutte anti-capitaliste rejoint ainsi Jacques Attali, qui propose de son côté de favoriser l’immigration, "facteur de richesses", pour "relancer la croissance". Ces deux zélotes de la mondialisation se retrouvent ainsi sur la même ligne pour livrer les travailleurs français à la concurrence déloyale d’une main d’œuvre étrangère qui tire les salaires vers le bas.
En faisant croire aux Français, frappés quotidiennement par le chômage et les délocalisations, que l’immigration est une "chance pour la France", Olivier Besancenot et l’extrême gauche trahissent les travailleurs français, se faisant les meilleurs suppôts du capitalisme financier. La gauche socialiste et le Parti communiste ayant quant à eux commis la même trahison depuis de longues années déjà...
En remettant son rapport à Nicolas Sarkozy, Jacques Attali a ouvert son allocution par une longue citation d’une lettre de Turgot à Louis XVI. C’était « Votre majesté » par ci, « Votre majesté » par là.
Comme Turgot, en effet, Jacques Attali veut que toutes ses « décisions » soient mises en œuvre. Pour faire de la France une zone d’ultra-libéralisme soumise à tous les vents de la finance et de l’immigration planétaires.
Et « Sa majesté » opine, « adhère à l’essentiel », malgré deux petites réserves.
Jacques Attali voulait-il faire comprendre à Nicolas Sarkozy que s’il n’applique pas son plan de destruction sociale et nationale, il subira le même sort que Louis XVI ?
Quelle sinistre mascarade, dont le peuple français doit faire les frais. A moins qu’il se réveille aux prochaines élections pour obliger « Sa majesté » à renvoyer ses calamiteux courtisans.
En remettant son rapport à Nicolas Sarkozy, Jacques Attali a ouvert son allocution par une longue citation d’une lettre de Turgot à Louis XVI. C’était « Votre majesté » par ci, « Votre majesté » par là.
Comme Turgot, en effet, Jacques Attali veut que toutes ses « décisions » soient mises en œuvre. Pour faire de la France une zone d’ultra-libéralisme soumise à tous les vents de la finance et de l’immigration planétaires.
Et « Sa majesté » opine, « adhère à l’essentiel », malgré deux petites réserves.
Jacques Attali voulait-il faire comprendre à Nicolas Sarkozy que s’il n’applique pas son plan de destruction sociale et nationale, il subira le même sort que Louis XVI ?
Quelle sinistre mascarade, dont le peuple français doit faire les frais. A moins qu’il se réveille aux prochaines élections pour obliger « Sa majesté » à renvoyer ses calamiteux courtisans.
Contrairement à ce qu’a déclaré le chef de l’Etat, le Traité européen de Lisbonne n’est pas distinct de la Constitution rejetée en 2005 par les peuples français et néerlandais.
Tous les dirigeants européens le disent en effet, par franchise, ou par cynisme : de la chancelière allemande Angela Merkel (« Let us keep the substance, and change the wording ») à l’ancien Président du Conseil italien Giorgio d’Amato, du ministre des Affaires étrangères néerlandais Karel de Gucht au Premier Ministre luxembourgeois Junker, et même Valéry Giscard d’Estaing, le père de la Constitution européenne de 2005 rejetée par le peuple : le traité de Lisbonne n’est ni “mini”, ni “simplifié”. C’est la Constitution européenne bis !
Avec des institutions anti-démocratiques : un Président non élu qui n’aura de comptes à rendre à personne ; la Commission de Bruxelles, gouvernement eurocratique d’où même, fait inouï, la France pourrait être complètement absente ;
avec un Quasi-Ministre des Affaires Etrangères et de la défense, inféodé aux Etats-Unis et à l’OTAN, qui pourrait nous entraîner dans des guerres qui ne sont pas les nôtres ;
avec des décisions désormais supérieures à notre droit national et même à notre Constitution, prises à la majorité dans presque tous les domaines, sans plus aucune garantie pour nos intérêts vitaux ;
la France ne sera plus qu’une collectivité locale asservie, morcelée, écartelée en Euro-Régions ou en Euro-Länder, que préfigure déjà le découpage de son territoire aux dernières élections européennes de 2004.
Ce n’est pas le retour de la France en Europe ; c’est la fin (provisoire ?) de quinze siècles d’indépendance de la plus ancienne nation du monde après la Chine. C’est imposer sous une autre forme aux Français exactement le texte même qu’ils ont rejeté.
Une nouvelle fois, le château de Versailles, symbole de la souveraineté et de la grandeur de la France, est le théâtre d’une trahison de la nation.
En 2005, les députés et sénateurs avaient modifié la Constitution pour qu’elle puisse être compatible avec la Constitution européenne.
Or le peuple français avait ensuite rejeté ce texte.
Les députés et les sénateurs récidivent aujourd’hui, comme si les Français ne s’étaient pas exprimés.
Ce que le peuple a refusé en 2005, les représentants de peuple l’imposent en 2008
Un crachat sur la France
En osant adopter ce qui avait été rejeté par référendum, 336 députés et 265 sénateurs viennent de cracher sur la majorité des Français, qui avait dit non à la Constitution européenne, dont le traité de Lisbonne est la copie conforme.
Ils ont trahi leurs électeurs, ils ont trahi leur pays.
Ils abolissent leur propre souveraineté.
La représentation nationale, ce jour, est devenue illégitime, puisqu’elle ne représente plus la nation.
Baisse du chômage : une fois de plus, Mme Lagarde se moque des Français ...
Saluant le “dynamisme confirmé du marché du travail”, Christine Lagarde, ministre de l’Emploi, se réjouit de la baisse du nombre de chômeurs inscrits dans le baromètre officiel de l’ANPE, qui serait passée en décembre 2007 sous la barre des 1,9 millions.
Une provocation de plus de Mme Lagarde, qui feint d’ignorer que les statistiques de l’ANPE ne recensent que les personnes cherchant un emploi à temps plein en CDI : elles excluent de fait les chômeurs en recherche d’un CDD ou d’un travail à temps partiel ainsi que les demandeurs d’emploi radiés des listes de l’ANPE pour diverses raisons.
Quant au "dynamisme confirmé du marché du travail”, on ne saurait que trop conseiller à Mme Lagarde d’en toucher deux mots aux milliers de salariés laissés sur le carreau de la mondialisation, tels ceux du groupe textile DMC, du fabricant de Ski Salomon, de l’avionneur Latécoère, du groupe Ontex ou du chimiste Arkema, dernières victimes en date des délocalisations et du chômage de masse.
moi mon fils est IMC EST IL ATTEND ENCORE POUR ETRE A L ECOLE !!!!
ENCORE UN EFFET D ANNONCE SARKO !
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