Salutations Bouliq,
A l’instar de la première partie, je suis désolé de vous
dire que votre plume peine décidément à se départir de l’apologie de
l’hyper-roitelet Momo 6ème, comme d’autres avant vous faisaient il y
a encore peu le panégyrique d’un certain hyper-président.
Sacré commandeur des croyants -marocains-, aussi intouchable
qu’une vache hindoue ! Tour à tour démocrate éclairé, entrepreneur brillant, bâtisseur
lumineux, autocritique implacable… Cet infaillible leader serait-il donc un
cousin éloigné de Kim Jong-Un ?
Même vos critiques des turpitudes politico-administratives
(qualifiées complaisamment d’ « insuffisances », un peu léger
non ?) donnent matière à indirectement encenser le suzerain, qui par une étonnante
opération du saint esprit n’est jamais impliqué de quelque façon dans l’arbitraire
et autres avanies de la propriété foncière chérifienne – Oups, je voulais dire
le royaume marocain !
Pour autant, la réalité est beaucoup moins lénifiante que ne
la dépeint votre article.