@Milla
Gouverné par les Israéliens, je le suis certes, malheureusement, comme tous les Français, sous ce gouvernement et ce système politique phagocytés par le sionisme.
Mais pointer les manipulations et la domination d’Israël ne doit pas empêcher pas de voir le danger musulman.
Que l’islamisme soit manipulé et mis en scène par le sionisme pour maintenir son pouvoir, c’est certainement vrai, car Israël a tout intérêt à voir un conflit mondial entre l’Islam et l’Occident. Ca n’enlève rien au fait que la propagation de l’islam est une gangrène bien réelle dans notre pays. A ma connaissance, les barbus de mon quartier qui promènent leurs femmes voilées au parc comme on promène son chien, ceux qui voilent leurs fillettes d’à peine dix ans, ceux qui exposent des pipes à chichas en forme de kalachnikov dans les vitrines, qui se baladent en costume folklorique d’un air conquérant, ne sont pas des agents du Mossad, mais bien les habitants d’une grande ville française, probablement citoyens français.
La France n’est ni juive, ni musulmane, et si elle veut rester elle-même, elle doit remettre à leur place ces deux visions du monde également dangereuses et également étrangères à notre culture (ce qui n’empêche pas, bien au contraire, de tendre la main vers les masses qui suivent ces religions par simple habitude).
Tant de mauvais arguments pour défendre une juste cause, c’est bien dommage.
Vous tournez autour du pot :
- Vous invoquez la liberté de la femme : mais sa liberté n’est-elle pas au contraire de s’habiller comme elle l’entend ?
- Vous invoquez la laïcité : mais celle-ci ne consiste-t-elle pas au contraire en la liberté de pratiquer sa religion ?
Et pourtant vous avez bien raison de réprouver ces accoutrements grotesques. Mais (comme tant d’autres à gauche) vous ne savez pas pourquoi, ou n’osez pas savoir pourquoi vous les réprouvez.
Pourquoi ne pas avouer simplement que, comme moi, vous ne voulez pas voir l’islam progresser encore un peu plus dans notre pays ? Pas « les religions », ni « les arabes », ni « les étrangers », ni autre manière de tourner autour du pot ou de noyer le poisson sous les accusations de racisme, mais bel et bien : l’islam, idéologie conquérante et dominatrice qui est l’ennemie de notre civilisation depuis sa naissance ?
@Roungalashinga : tout à fait. Il faut lire René Girard, de toute urgence. Pour ceux qui auraient quelque curiosité et qui prennent encore le temps d’ouvrir des livres, deux conseils :
- un petit bouquin facile à lire qui résume la pensée de l’auteur : Je vois Satan tomber comme l’éclair
- un ouvrage plus ardu mais plus complet : Des choses cachées depuis la fondation du monde.
Ou comment un universitaire a découvert (sans se réferer à aucune espèce de transcendance) que la Bible explique mieux le parcours de l’humanité que toutes les sciences sociales.
Petite précision, les quarante jours de Jésus au désert ne se sont pas déroulés avant sa crucifixion, mais après son baptême et avant le début de sa prédication (cf. Évangiles de Matthieu, Marc et Luc). C’est le calendrier liturgique qui fait que le Carême précède la Semaine sainte et Pâques, mais c’est un raccourci par rapport à la vie du Christ.
L’objet du jeûne est donc de se retirer loin du tumulte du monde pour mieux se tourner vers Dieu. Prendre du recul, comme on dit.
Se vider de tout ce dont on se gave d’habitude et qui nous encombre. Créer un vide dans notre âme en délaissant les nourritures terrestres pour mieux y laisser entrer les nourritures célestes.
Mais la nourriture ne doit pas s’entendre comme simplement ce qui se mange. Tout ce qui est compulsif et apporte des fausses gratifications devrait être écarté - y compris, par exemple, en ce qui me concerne, l’internet (sauf le dimanche bien sûr !).
L’idée n’est ni de se faire du mal ni de faire un régime, mais de se libérer des servitudes mondaines pour y voir plus clair. Et effectivement, un jeûne sans prière et sans charité n’a aucun sens.
Enfin un commentaire sensé !
Civitas, ça représente rien du tout, on ne devrait même pas en parler (un peu comme les Femen, dans un autre style...). La question intéressante est plutôt : pourquoi donc les avis de ce groupuscule passionnent tant nos vaillants défenseurs de la liberté et du progrès ?
Réponse : technique de l’homme de paille, dont l’une des définitions est : "Présenter quelqu’un qui défend maladroitement une position, réfuter ses
arguments et prétendre que tous les arguments en faveur de cette
position sont réfutés" (Wikipedia).
En l’espèce, alors que l’idéologie du genre et les expérimentations hasardeuses sont de plus en plus contestées par des personnes très diverses, rien de plus confortable que de montrer du doigt un groupe de crétins qui veut interdire la diffusion d’un film, alors qu’au départ le problème provenait du fait que ce film était diffusé dans les écoles dans le cadre d’un programme de propagande.
Article simpliste qui ne fait qu’aligner des platitudes et ressasser les vieilles rengaines matérialistes du XVIIIe siècle.
Les croyants ne sont que des abrutis qui ne savent pas « évoluer » ? Vraiment ? Et vous, savez-vous évoluer, avez-vous envisagé ne serait-ce qu’une seule seconde qu’il pourrait y avoir des choses qui vous échappent dans ce que vous mettez dans le grand vilain sac des « religions » ?
Sachez que pour ma part, après avoir été athée pur et dur pendant 20 ans, j’ai « évolué » vers la foi chrétienne. Non pas parce que je suis soudainement devenu ignorant et illuminé, mais parce que j’ai su remettre en causes les fausses évidences, libérer mon esprit, observer et lire (Dostoïevski, Tolstoï, Simone Weil, René Girard...et les Evangiles).
Essayez au moins une chose qui ne devrait pas vous faire de mal : l’humilité. Ça vous évitera de sortir des perles comme celle-ci :
"La seule inquiétude que cela induise chez moi, c’est de constater que
les replis identitaires religieux ne peuvent qu’accroître l’intolérance
et le rejet de l’autre parce qu’il est « différent »"...
...après avoir craché à longueur d’article sur tous ceux qui ont le malheur de ne pas penser comme vous.
A propos de citations de Lénine, j’aime bien celle-ci aussi :
« Et toute notre tâche, la tâche du Parti communiste (bolchevique), interprète conscient des aspirations des exploités à leur libération, est de nous rendre compte de ce revirement, d’en comprendre la nécessité, de nous mettre à la tête de la masse exténuée et qui s’épuise en efforts pour trouver une issue, de l’orienter dans la bonne voie, la voie de la discipline du travail, la voie propre à concilier les tâches des meetings sur les conditions de travail avec celles de la soumission sans réserve à la volonté du dirigeant soviétique, du dictateur, pendant le travail » (http://www.marxists.org/francais/lenin/works/1920/04/d9c/vil19200400-05c9.htm)
Avec des révolutionnaires comme ça, y’a pas besoin d’exploiteurs...
Les responsables de l’Eglise devraient relire l’Ancien Testament : on y voit comment les Assyriens, lorsqu’ils voulaient empêcher les peuples de leur empire de se révolter, pratiquaient déjà les brassages de population :
"Le roi d’Assyrie fit venir des gens de Babylone, de Kouta, d’Avva, de Hamat, et de Séfarvayim ; il les installa dans les villes de Samarie à la place des Israélites. Ils prirent ainsi possession de la Samarie et s’établirent dans ses villes« . (2Rois17,24)
Ils pourraient aussi méditer sur l’Apocalypse de Jean et le jugement de Babylone la Grande, la mère des prostituées et des abominations de toute la terre, la ville marchande et cosmopolite : »C’est que tes marchands étaient les grands de ce monde et tu égarais tous les peuples avec tes drogues".
L’Église commet une erreur en confondant deux choses distinctes : d’une part le fait de bien accueillir l’étranger et de défendre la dignité de chaque Homme, d’autre part le fait de défendre le brassage systématique et forcé des populations. C’est pourtant le genre de subtilité qui peut distinguer le Christ de l’Antechrist - autrement dit, le Bien et la fausse bonne idée.
Bien sûr que le Progrès est une croyance ! Et une croyance particulièrement irrationnelle avec ça, mais qui, au prétexte qu’elle glorifie la science, se fait passer pour le triomphe de la raison.
Or il faut totalement distinguer la science (qui consiste à connaître les phénomènes de la nature à l’aide de la raison) et cette religion scientiste qui ne dit pas son nom. On peut chercher à connaître la structure des atomes sans vouloir utiliser l’énergie atomique ; on peut vouloir connaître les faits sociaux sans vouloir détruire la société, etc. Telle est la nette (et pourtant méconnue) séparation entre la science d’une part et la religion du Progrès d’autre part.
En revanche, le catholicisme, tellement décrié par nos « progressistes », n’a rien contre la science, tant qu’elle reste neutre. Et au contraire de la religion du Progrès, qui jette un voile irrationnel sur tout ce qui transcende l’Homme, le catholicisme utilise la raison pour connaître Dieu (par exemple, ici http://www.salve-regina.com/salve/Apolog%C3%A9tique).
Le même passage se trouve dans Matthieu, chapitre 15. Il ne s’agit pas d’une anecdote isolée, mais d’un enseignement fondamental, qu’on retrouve aussi dans le fameux « le sabbat est fait pour l’homme et non l’homme pour le sabbat » (pour autoriser ses disciples à cueillir des grains de blé le jour du repos). Il s’agit de passer d’une loi faite d’obligation et d’interdictions suivies à la lettre à une loi bien comprise dans son esprit. En somme, de permettre à l’humanité de passer de l’enfance à l’âge adulte.
C’est le sens profond du passage que vous évoquez (Matthieu 5) dans lequel Jésus indique qu’il n’est pas venu défaire la Loi, mais l’accomplir (ou l’amener à l’état parfait).
Je confirme : vous n’y comprenez rien. La substitution de la Foi à la Loi est un fondement du christianisme.
— “Écoutez et tâchez de comprendre. 15 Tout ce qui est extérieur à l’homme ne peut pas le rendre impur ; ce qui le rend impur, c’est ce qui est sorti de lui. 16 Que celui qui a des oreilles pour entendre, entende !”
17 Lorsque Jésus a quitté la foule et rentre à la maison, les disciples l’interrogent sur cette sentence. 18 Il leur dit :
— “Vous aussi, vous êtes bouchés à ce point ? Ne comprenez-vous pas que tout ce qui du dehors entre dans l’homme ne peut le rendre impur ? 19 Cela ne va pas au cœur, mais au ventre, et finit sur le fumier.”
Donc, pour Jésus, tous les aliments devenaient purs.
20 Et il continuait :
— “Ce qui sort de l’homme, c’est cela qui le rend impur. 21 Car du cœur sortent les réflexions malveillantes, 22 les prostitutions, les vols, les assassinats, les adultères, la soif d’argent, les méchancetés, les perfidies, la débauche, l’envie, les blasphèmes, l’orgueil et la démesure. 23 Toutes ces choses mauvaises viennent du dedans et rendent l’homme impur.«
Par ailleurs, toute l’épître de Paul aux Galates traite de la question de l’application de la Loi juive (circoncision, interdits alimentaires) aux chrétiens. Conclusion :
»23 Jusqu’à la venue de la foi, la Loi nous tenait sous clé, attendant le moment où la foi ferait son apparition. 24 La Loi nous conduisait à l’école, celle du Christ, pour que, par la foi, nous devenions droits au regard de Dieu. 25 Mais quand la foi est là, nous n’avons plus à suivre celle qui nous mène à l’école" (Galates 3,23-25).
Jeanne d’Arc n’était pas une femme (c’est impossible, sinon elle aurait combattu les seins nus comme les Femen).
Par ailleurs ce n’était pas une bergère, elle n’a pas vécu au XVe siècle et ne s’appelait pas Jeanne. En fait elle est toujours vivante et tient un bar à bières belges dans la banlieue de Toulouse (ai-je oublié de préciser qu’elle ne venait pas du tout de Lorraine).
« Ne doutons pas que la prochaine majorité balayera l’ineptie accordée »
Permettez-moi de douter, au contraire. Le PS avait hurlé contre la réforme des retraites de la droite, et elle n’a rien changé en revenant au pouvoir.
Il en sera de même pour la droite qui utilise la contestation contre le mariage gay pour essayer de se remettre en selle, mais qui en réalité n’en a rien à cirer.
Chacun est dans son rôle, libéraux culturels d’un côté, libéraux économiques de l’autre, qui font semblant de se chamailler pour le spectacle mais ne défont jamais ce que l’autre a fait.
Hu, hu, hu... Encore un qui a trop écouté les chroniques de jean-Pierre Gaillard quand il était petit. Outre le catéchisme du libéral ordinaire, vous tentez d’embrouiller le message avec quelques perfidies que je me permets de relever :
1/ Essayer de soulever les « minorités » (jeunes, femmes, vieux, pauvres...) contre les « hommes blancs de 30-45 ans » de la classe moyenne (vous auriez rajouté « hétérosexuels », j’aurais cru avoir encore affaire à un communiqué du lobby LGBT). Voilà qui vous donnerait des airs progressistes à peu de frais, si ce n’est que ça leur fera une belle jambe, à ceux qui sont exclus du système, de savoir qu’ils ne sont plus les seuls à être pétrin.
2/ Ajouter à ces minorités opprimées... celle des « riches » ! Très amusant, mais ça vous démasque complètement.
3/ La dénonciation de la complexité et de la longueur du code du travail : alors là, ce n’est pas moi qui vous donnerai tort. Moi aussi, je verrais bien un code du travail à 40 articles, sauf qu’ils ne seraient peut-être pas rédigés comme les vôtres. Reste à savoir pourquoi le droit du travail a subi cette inflation législative. Peut-être simplement parce qu’on dissimule depuis l’apparition du capitalisme un fait pourtant fondamental : la condition des travailleurs (salaire, durée du travail ou autre) est fonction du rapport de forces entre les classes sociales et non de la négociation entre deux individus.
La classe sociale des travailleurs étant historiquement en position d’infériorité, on a voulu, pour éviter une révolution, lui aménager ses conditions de travail par la loi. Loi que les capitalistes ne cessent de vouloir contourner, ce qui implique de nouvelles lois pour boucher les trous, et ainsi de suite, pour aboutir au code à 4 chiffres que nous connaissons.
Or il se trouve que sur ce point je
vous rejoins : vouloir protéger les salariés par le code du
travail dans un système où les rapports de force entre travail et
capital sont dissymétriques est illusoire sur le long terme. A terme, c’est le rapport entre les classes et la notion de propriété qu’il faudra réformer.
4/ La comparaison avec un autre pays, forcément au désavantage de la France, ce vieux pays forcément sclérosé. Or précisément en Suisse les rapports entre classes sociales ne sont pas les mêmes qu’en France, ce qui explique qu’on puisse avoir éventuellement de bonnes conditions de travail avec un droit plus souple (cela dit, votre histoire de code du travail de 40 pages est une invention).
Il existe une infinité de contre-exemples de pays qui cumulent absence de droit du travail, misère et oppression (c’est même plutôt la règle en ce bas monde).
Tout cela étant dit, je conçois sincèrement les difficultés éprouvées par les très petites entreprises pour faire face à des lois conçues pour le grand capital. Reste qu’au lieu de pester contre cette réglementation, les petits patrons (qui sont aussi des travailleurs) feraient mieux de se retourner contre le système qui rend ces lois nécessaires.
Alors peut-être les « gens » pourront « s’organiser librement » sans l’intervention de l’Etat.
C’est pas pour les défendre, mais l’honnêteté oblige à préciser que les deux députés FN ont voté contre l’ANI (contrairement à l’UMP qui s’est hypocritement abstenue).
Purée, 4 messages, 4 insultes ; ça rend pas très poli le libéralisme. Cela dit, ne vous inquiétez pas, je n’ai rien contre le VRAI libéralisme (qui existe dans vos livres), je m’attaque uniquement au FAUX (celui qui existe dans la vraie vie).
@niberta : En fait le préjugé selon lequel les homos seraient pétés de thunes semble, en l’espèce, plutôt propagé par les promoteurs du salon du mariage gay et par les journalistes des pages bizness du Figaro.
Gardez-vous de vos amis...
Certes, noble Athénien, mais vous conviendrez avec Lamartine que « Le pathétique seul est infaillible dans l’art ». Et vous m’expliquerez sans doute (après avoir retiré ces cailloux de votre bouche, svp, c’est un peu dégueu) comment il se fait que le même gouvernement qui vous a dépossédé de vos droits salariaux a dépouillé, au même moment, la famille traditionnelle de ses prérogatives. Hasard ? Ironie ? Force revendicative du mouvement « LGBTruc » supérieure à celle du mouvement syndical ?
Mais alors, pour encore citer mon philosophe préféré :
« Il faudrait alors admettre, en effet, que ce sont les mêmes élites dirigeantes - et dans le cadre du même rapport de force politique national et international - qui, depuis trente ans, s’avèrent toujours assez puissantes, d’un côté, pour briser la résistance des classes populaires et leur imposer, une à une, toutes les contraintes de l’économie de marché (...) et qui, de l’autre, ne le seraient cependant jamais assez pour pouvoir s’opposer efficacement à chaque nouvelle revendication »sociétale« portée par les libéraux culturels de gauche (revendications que ces derniers ne manquent pourtant jamais de présenter comme l’antithèse absolue de ce monde patriarcal, raciste, homophobe et structurellement tourné vers le passé qui est censé être celui de Steve Jobs, de Bill Gates ou du banquier Pigasse) » (Michéa, op. cit).
Merci pour cet excellent article.
Un tout petit peu d’observation et de bon sens suffit à démonter l’idéologie du genre. Ainsi lorsque Belkacem-truc se réjouit que dans la crèche modèle qu’elle visite « On peut, même quand on est un garçon, laver les bébés, leur mettre les couches, on peut, même quand on est une fille, jouer au soldat, à la guerre »...
Hu, hu, j’avais pas remarqué que dans les crèches ordinaires on interdisait aux garçons de jouer à la poupée. En fait, s’ils n’y jouent pas (ou peu), c’est peut-être juste que ça les intéresse pas (par contre y’a pas de casques à pointes, de fusils ou de chars d’assaut dans les crèches que je fréquente, alors je peux pas dire pour le coup des filles qui jouent au soldat). Et qu’on ne me parle pas de pression sociale, à 2 ans ça n’existe pas.
Pour ma part j’ai eu un garçon et une fille. Même éducation, même jouets. Le grand frère avait même de la dînette et une poupée. Maintenant il joue aux dinosaures, aux jeux de construction et dessine des machines de guerre. Il a laissé la poupée à la petite sœur qui s’en occupe très bien et ne veut entendre parler que de princesses. C’est caricatural au dernier degré, et nous n’y sommes pour rien.
Devrais-je les forcer à déconstruire leurs habitude ? Au nom de quoi exactement ?
Il n’y a rien de dangereux à prendre les sens interdits, contrairement à ce que le sens commun pourrait laisser penser (« sens interdit = pas bien »). Les automobilistes regardent généralement devant eux et voient donc très bien les cyclistes qui arrivent en face. Le vélo étant étroit, le croisement se fait facilement.
Aucun besoin de matérialiser une piste cyclable dans ce cas.
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