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Gnaffron

Humaniste radical

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Derniers commentaires



  • Gnaffron 29 août 2013 13:23

    Je ne parle pas de la nourriture scolaire parce que... ce n’est pas mon propos, peut-être ?

    Puisque vous voulez absolument mon avis sur la question (ce qui me flatte, mais si je pense que ce n’était pas le but recherché), le voilà. La nourriture scolaire est typiquement un thème où deux libertés s’opposent. La liberté de pratiquer son culte (avec les éventuelles contraintes attenantes) et la liberté du citoyen de ne pas payer pour « subventionner » des activités religieuses.

    Dans un cas comme ça, je propose une solution radicale, novatrice et révolutionnaire : faut en causer ! De façon apaisée, en listant les diverses solutions à disposition et en évaluant laquelle satisfait au mieux tous les aspects de la laïcité : La « neutralité » de l’État vis à vis des cultes et la liberté de croyances. Quitte à essayer diverses solutions pendant un temps histoire de voir lesquelles sont réalisables et ce qu’elles coutent.

    Ça signifie ne pas crier au loup si - scandale ! - des gamins bouffent halal à la cantoche. Cela ne me semble pas être le problème le plus critique du moment, même si la discussion reste ouverte sur le bien fondé de ce fait.



  • Gnaffron 29 août 2013 11:57

    ...et le rejete.

    ... dans vos phantasmes d’ostracisation obligatoire. la (triste) réalité est que vous voulez construire une société qui rejette l’islam, par principe.

    Je vois encore ma société comme un espace de liberté où celle-ci n’est limitée que par celle d’autrui. Une société où les règles de vie communes, matérialisées par les lois, sont dictées par des principes d’humanisme et de respect, mais non par le rejet haineux des autres.

    Une société qui se définit par une opposition à une culture est une société sans principe. Une société mourante... elle me dégoute par avance.



  • Gnaffron 29 août 2013 10:30

    @RBEYEUR

    J’ai beau vous avoir lu maintes fois, tâché au mieux de décortiquer vos phrases alambiquées, le moins que je puisse dire est que j’ai de la peine à vous comprendre. Je vais donc essayer de vous répondre comme je le peux.

    «  Et la victime ?

    Devrait-elle être comptable des atrocités subies en raison d’allégations d’irresponsabilité au bénéfice de son bourreau ?
     »

    Si je vous comprend bien (ce qui est loin d’être sur), la victime deviendrait coupable si l’agresseur était reconnu innocent. Au risque d’asséner une évidence, c’est carrément n’importe quoi. Le status de victime ne se mesure pas à l’aulne de la culpabilité de l’agresseur.

    « En quoi devrait-elle prendre en charge, ne serait-ce qu’en infime partie, l’acte subi ? »

    Que veut dire prendre en charge l’acte subi ? La victime a subi l’acte, point. Elle peut demander à être indemnisée à hauteur du préjudice subi (en théorie. Le montant réel des indemnisations est un sujet ou il y a beaucoup à dire). Cela ne réparera évidement pas le traumatisme subi. La condamnation de l’agresseur ne le réparera pas d’avantage.

    « Quel est la répartition des droits entre la victime et le criminel ? »

    Des droits à quoi ? De quoi parlez-vous ?

    « Si un droit à l’irresponsabilité peut être accordé à un criminel, en quoi ce droit à anéantir  devrait être converti en condamnation de la victime à l’anéantissement  ? »

    D’accord, on rentre en plein dans le n’importe quoi. Il n’y a pas de droit à l’irresponsabilité, c’est un non-sens. Il y a des personnes irresponsables, tellement gravement atteintes dans leur psychologie qu’elle n’ont pas conscience de leurs actes. Parfois elle n’en auront même aucun souvenir (cas de la bouffée délirante chez un schizophrène, par exemple). La justice décide à ce moment là que ça n’a aucun sens de punir la personne, qui ne comprendra pas la sanction. Ce n’est pas un droit, mais je crois que vous avez quelques difficultés avec cette notion.

    Et enfin, la déclaration d’irresponsabilité ne « condamne pas la victime à l’anéantissement ». C’est vraiment une phrase dramatique pour emporter un argument d’émotion, mais elle ne reflète aucune réalité.

    Précision importante, l’irresponsabilité pénale ne ferme pas la porte à d’éventuelles indemnisations civiles. Même si le prévenu est totalement insolvable (fréquent chez les personne irresponsables), la CIVI (Commission d’Indemnisation des Victimes d’Infractions) se substituera pour dédommager la victime.

    « Mais la victime ayant tous les droits, comment peut-on lui imputer, dans sa chair et dans son âme, une responsabilité de cet anéantissement ? »

    Et ça continue... la victime n’a pas tous les droits (encore heureux). Elle ne peut pas aller buter le prévenu dans le prétoire si elle estime qu’il le mérite, par exemple. Et pouvez-vous enfin nous dire où vous voyez qu’il est question d’imputer à la victime quoi que ce soit ?

    « Un acte criminel étant indivisible, si on est capable d’établir l’irresponsabilité d’un criminel, aussi minime soit-elle, comment aura-t-il pu  agir en toute liberté dans la réalisation de son acte ? »

    Pouvez-vous définir ce qu’est l’indivisibilité d’un crime ?

    J’aimerais bien savoir comment vous comptez prévenir tous les passages à l’acte de gens irresponsable, sachant que l’irresponsabilité n’est pas écrite sur le front des personnes. Doit-on enfermer tous les déments, même légers, par principe de précaution ? Priver de liberté préventivement des milliers de personnes pour des actes qu’il n’ont pas commis ? Sachant qu’un passage a l’acte peut se produire lors de la première bouffée délirante d’une personne qui n’a auparavant jamais présenté de symptômes ? Ou avez-vous une boule de cristal plus performante ?

    « Lorsqu’une irresponsabilité est accordée à un criminel après qu’il ait accompli son acte, la société, qui a reconnu cette irresponsabilité après coup,  ne doit-elle pas être subrogée de cette  responsabilité retirée au criminel ? »

    Cela reviendrait à rendre la société responsable de tous les accidents. Oui, le passage à l’acte d’une personne irresponsable est un accident. Une (ou des) victime et pas de coupable. Ce qui ne change pas le fait que la société va aider la victime du mieux de ses capacités.

    « Autrement dit, dans sa mission de protection des personnes, si la société est capable de déterminer l’irresponsabilité d’un criminel après son crime, pourquoi n’anticiperait-elle pas ce crime en détectant cette irresponsabilité avant l’accomplissement de l’acte ?  »

    Boule de cristal again...



  • Gnaffron 28 août 2013 12:02

    "Le mariage pour tous est bien un marqueur fort de l’obscurantisme des gauches aujourd’hui ( vouloir imposer leur croyances aux gens) , ce n’est pas uniquement un gadget de com. C’est le reflet de leur surmoi totalitaire."

    Hin hin... pouvez-vous me rappeler ce que cette loi vous impose, je vous prie ? Vous croyez-vous obligé désormais d’épouser un homme, peut-être ?

    Ah, la psychologie de comptoir d’Avox...



  • Gnaffron 28 août 2013 11:55

    Un argument factuel, de bon sens, vérifiable et proprement exposé sur Agoravox ? Ma parole mais vous êtes fou ! Où douc vous croyez-vous ?

    Plaisanterie à part, merci pour cette bubble d’air frais.

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