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Malthus

Malthus

La trentaine aussi fringante que révoltée. Un certain bagage intellectuel. Farouche opposant aux traités européens et à notre soumission à l'OTAN. Et en plus je suis un décroissant...

Tableau de bord

  • Premier article le 30/11/2012
  • Modérateur depuis le 06/04/2013
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Derniers commentaires



  • Malthus Malthus 24 mai 2013 01:58

    Je ne crois pas Citoyen, justement.

    J’ai lu plus haut que vous ne compreniez pas les luttes du F.N sur le lobbie sioniste intérieur à notre pays, et pas seulement en Israël. En vérité, ça n’est pas une lutte haineuse contre les Français de confession juive, c’est une lutte contre une corporation. Et elle existe réellement et se montre très active. Il suffit d’allumer son poste de télévision pour le constater.

    La différence entre les sympathisants du F.N qui osent mettre le nez dedans, et les sympathisants du Front de Gauche, c’est que les premiers n’ont plus à se soucier de leur propre image par rapport à ce combat, vu que d’entrée de jeu leur vote est diabolisé. Tandis que les sympathisants du Front de Gauche sont plus sensibles à leur posture humaniste à exposer, et savent que se risquer à dénoncer une entité Sioniste au sein même de nos institutions est un très gros risque. Car c’est la Synarchie globale qui fera son boulot de sape en comparant la lutte antisioniste intérieure avec l’antisémitisme.

    C’est l’analyse que je fais du sujet, car je me suis rendu compte que moi-même, plutôt bien renseigné sur ces questions du fait de ma curiosité, j’évite autant que possible ces débats car je crains toujours que l’on me colle sur le front une étiquette « antisémite » qui ruinerait un propos plus global sur mes vues politiques et sociales.

    Les sympathisants du F.N subissent toutes les attaques, tant de la Synarchie que du Front de Gauche, et même de l’UMP (faisant partie de la Synarchie de toute façon), et ils sont blindés. Mais je pense aussi que cela doit être parfois déprimant de dénoncer les questions de communautarisme, de lobbies sionistes, d’une certaine caste politique Franc Maçonne (la République des copains), et d’un grand nombre de sujets qui ne signifient en rien que vous pourriez haïr pour autant vos semblables, qu’ils soient juifs, arabes, blacks ou même franc maçon dans une petite ville de province.

    Mais la posture humaniste des uns, associée à la défense des intérêts corporatifs des autres, se transforme inévitablement en une sorte de pensée unique qui vise à faire du sympathisant F.N un peu curieux sur des sujets tabous, une espèce de demeuré raciste et haineux. Je pense que c’est réellement plus compliqué. Il y’a des racistes au F.N, sans aucun doute. Mais il y’a aussi beaucoup de gens qui aimeraient évoquer ces sujets si sensibles sans être accusé de toutes les haines du monde, mais au contraire susciter l’intérêt pour leur envie d’émanciper non seulement notre peuple, mais bien d’autres de toutes ces dérives corporatives dont on ne doit jamais parler.

    En cela, outre les questions plus géopolitiques et économiques, je pense que la plupart des militants du F.N sont aussi des gens engagés qui se font tabasser intellectuellement et moralement quand ils essayent d’ouvrir les yeux de la population sur différents problèmes qui se posent à elle.

    C’est presque plus facile d’être sympathisant du Front de Gauche. Au moins, on ne récolte pas le doute et l’opprobre jetée sur ses convictions. Tout juste sommes nous taxé de « gauchiste totalement déconnectés des réalités ». Militer en communiquant sur des problèmes plus tabous que seul le F.N et plus encore E&R soulèvent, c’est autrement plus compliqué à gérer moralement et intellectuellement. Pourtant, ce ne sont pas (pour la plupart) des gens haineux qui sont à l’œuvre. Ce sont des simples citoyens qui n’ont rien à espérer pour eux même de leur propre combat. C’est donc bien une pensée altruiste qui les motive, mais ils n’obtiennent même pas un peu de respect et d’écoute sur ce qu’ils tentent d’expliquer. Et là dessus, les frontistes de gauche devraient justement mettre en adéquation leurs valeurs humanistes et démocrates avec leur façon de débattre. Car ils n’imaginent pas toute la souffrance qu’ils génèrent chaque fois qu’ils accusent un pauvre type qui espérait pouvoir évoquer par exemple l’influence du CRIF sur les décisions de nos dirigeants, d’affreux antisémite. Ça n’est pas vrai.

    Je n’évoque jamais ces sujets, car il faudrait pour que je puisse pour le faire ramener un copain juif antisioniste pour que celui-ci me dédouane d’un quelconque antisémitisme. Hors, si je devais justement faire appel à un pôte juif pour cela, ce serait pour moi un acte antisémite. Car je considérerais non plus mon pôte juif comme un être pensant et critique sur la condition humaine, au delà de ses propres origines culturelles ou ethniques. Et disposer du copain juif pour valider un discours, c’est le résumer à une caution morale du fait de sa confession, alors que mon copain juif est bien plus que ça à mes yeux. Il est d’abord un type dépourvu de religion quand je refais le monde avec lui sur des centaines d’autres sujets ou que nous blaguons sur les femmes.

    Et ça, je suis certain que beaucoup de gens ayant une sympathie pour le Front National comprendront ce que je veux dire, car ils sont las de devoir se justifier constamment ou au contraire se manger toutes les accusations du monde pour avoir oser évoquer un sujet dont il ne faut pas parler. C’est peut être cela qui crée du coup, autant de tensions dans des débats qui pourraient plus apaisés s’il n’y avait plus aucun tabou.



  • Malthus Malthus 24 mai 2013 01:11

    Entièrement d’accord avec toi à nouveau en vérité.

    Mais s’agissant du débat sur la fiscalité juste ou pas juste, je pense surtout que c’est avant tout un débat sur le cycle de la monnaie qui détermine ensuite une valeur sensitive à la fiscalité.

    Prenons l’exemple d’un régime communiste ultra puriste ou du nettoyeur de chiottes au Président de la République en passant par le patron de la puissante Régie de distribution d’électricité, tout le monde est à la même enseigne en terme de salaire.

    Dans ce cadre et en supposant qu’il n’existe aucun système de rente possible, il n’y a pas de taxes bonnes ou mauvaises, il n’y a qu’une fiscalité adaptée à ce système. Une partie de la monnaie revient dans les caisses de l’Etat pour être redistribuée dans les organismes régaliens, et une autre partie sert aux échanges.

    Evidemment, au jour d’aujourd’hui, prôner l’équité des salaires même au parti de gauche serait fantaisiste, et surtout, cela ruinerait le désir d’émancipation de ceux qui créent les entreprises. En outre, l’épargne et la rente qui l’accompagne ont un rôle à jouer sur le crédit. Donc le mécanisme fiscal ne peut être que plus complexe, même en imaginant une autarcie nationale (pas d’échange avec l’extérieur).

    Je soutiens donc les propositions du Front de Gauche qui me semblent correctes sur le fait de donner une limite aux salaires, et je ne me souviens plus si j’avais pu lire cela sur votre programme, mais il en faut une aussi à l’épargne avant que celle-ci ne subisse une taxation. Quand quelqu’un détient plusieurs millions d’euros sur ses comptes, il ne fait que séquestrer beaucoup trop de monnaie. Dans ce cadre, la TVA lui parait négligeable alors que le Smicard sait ce qu’elle lui coûte.

    Les différentes tranches d’impôts sur le revenu sont à ce titre l’une des réponses, sans aucun doute. Mais l’idée étant quand même de veiller à ce que le Smicard d’aujourd’hui dispose d’assez de monnaie pour régler factures, loyer, impôts, courses et disposer d’un capital en plus, lui permettant de jouir de la vie ou gérer le moindre pépin de voiture en panne ou autre.

    Et encore une fois, on en revient au cycle de la monnaie puisqu’il s’agit de distribuer celle-ci au mieux. Hors, chaque fois qu’on réfléchit au cycle de la monnaie, on réfléchit à quelque chose que l’on ne maîtrise pas du fait de cette posture stupide (désolé de le penser, mais je suis honnête), qui vise à laisser le contrôle de notre monnaie à des instances très éloignées des autorités Souveraines que sont les peuples. Si nous récupérons notre indépendance monétaire en quittant l’euro, le Front de Gauche dans ce cadre pourrait justement bénéficier d’un outil pour expérimenter un grand nombre de politiques sociales et redistributrices. Ce qui permettrait de démontrer par l’exemple à d’autres pays, ce que la France est capable de faire lorsqu’elle est Souveraine et qu’elle revient à ses fondamentaux d’une économie sociale.

    On dit souvent que les eurosceptiques sont des anti-européens, ce qui est totalement faux, puisqu’ils souhaitent que les peuples disposent de leur liberté à faire ce que bon leur semble dans leur pays. Mais au delà de ce vœu pieux, c’est aussi par ce que les eurosceptiques pensent pouvoir initier des exemples de réussite économique, sociale et environnementale en disposant de tous leurs outils. Et quand on montre l’exemple et que ça marche, d’autres peuples, notamment ceux du sud auront sans doute envie de faire comme nous. Mais de la même façon, nous pourrions nous même nous inspirer d’une politique monétaire et sociale d’un autre pays redevenu libre et souverain. Car cette pluralité d’expériences que n’aurait jamais dû cesser être l’Europe est mise à mal. Le Front de Gauche ne doit surtout pas imposer ses vues aux autres peuples. Sans quoi non seulement nous ne bénéficierons pas de leurs propres expériences, mais en outre, imposer ses vues sociales à des peuples qui auront leurs propres fondamentaux culturels et sociaux, c’est se couper d’eux et même s’en faire l’oppresseur.

    L’ennemi est le même pour tous, mais la façon d’y répondre diffère. Assurément, le Front de Gauche a de très bonnes idées pour la France. Mais paradoxalement, si l’on devait concéder au Front National qu’il représente par son poids électoral le point de vue des eurosceptiques, alors c’est que tout n’est pas si antagoniste.

    Plus bas, il y’a un débat sur l’immigration auquel je ne tiens pas à participer. Au moins des mecs du Front de Gauche et du Front National discutent du sujet et ça me touche, car ils peuvent confronter leurs points de vue, et peut être qu’ils arriveront à imaginer une synthèse commune. Les sympathisants du F.N pourront espérer que les loustics du Front de Gauche comprennent ce désir d’au moins reprendre le contrôle aux frontières et veiller à cesser l’appel d’air par différents mécanismes, tandis que les loustics du Front de Gauche pourront faire comprendre que s’il faut traiter l’immigration en aval, ça doit aussi passer par l’amont. Et s’il faut nécessairement raccompagner des gens dans leur pays, alors il y’a peut être une façon plus humaine qu’aujourd’hui de l’envisager.

    Bien sûr ça ne veut pas dire que dès demain, nous verrons Mélenchon et la mère Le Pen se rouler un patin et bosser sur un programme commun qui contenterait tout le monde. Mais si déjà on peut d’une part casser les barrières entre les « opposants » des deux fronts et je te l’avoue, faire changer l’opinion des sympathisants du FdG sur la question de l’U.E ou à minima de l’euro, ma foi, les idées feraient ensuite leur chemin dans chacune des boutiques.

    Il y’a deux ans alors que rentrais de plein fouet dans l’univers du militantisme politique de terrain, au bout de quelques jours, j’eu une véritable crise de larmes de voir autant de divisions quand il y’a tant d’urgences à résoudre. Ces divisions si bien entretenues par la Synarchie actuelle, et j’en reste convaincu, par les dirigeants des deux Fronts. Je comprends les différences de points de vue sur de nombreux sujets et limite, j’adore ça. C’est réellement jouissif de confronter ses idées avec quelqu’un d’autre, se nourrir de sa réflexion, affiner la sienne en conséquence, faire des recherches sur un argument qui nous a séché.

    Mais c’est terriblement frustrant pour ne pas dire fou, que de se fritter sur des sujets qui ne devraient plus faire débat quand on souhaite déconnecter nos idéologies propres et les retours sur expérience. L’U.E aurait pu être une belle aventure si les peuples l’avaient eux même imaginé et institué. Mais ceux qui sont derrière ne sont que des fripouilles, et réussir à virer de nos institutions Françaises une seule d’entre elles est déjà presque un fantasme. Alors si éjecter une oligarchie en France, signifie une confrontation avec 26 autres oligarchies pour ne rien faire, et ne même pas libérer les peuples, à quoi bon lutter ici ?

    C’est pour cela que mon fantasme ultime, et tout mon travail personnel à Bordeaux dans le cadre de la création d’un journal papier, ainsi qu’une révolte monétaire, vise à ce que les sympathisants du Front de Gauche et tous les eurosceptiques, F.N ou pas, apprennent à faire des choses ensemble sans renier leurs valeurs propres, mais dans le seul et unique but de libérer notre pays de la tutelle de l’U.E. Ensuite, rien ne me fera plus plaisir que de me fritter avec des mecs du F.N ou même du FdG sur des tas de sujets. Mais au moins le résultat de nos engueulades pourra se concrétiser par une loi en France, pays Souverain dont aucun Commissaire, parlementaire ou Président européen ne pourra nous aboyer qu’elle enfreint une directive Mélenchonesque ou Merkeliste. ;)

    On peut tout faire, à la condition de dépasser temporairement nos clivages respectifs et de quitter cette usine à gaz qui démolit nos sociétés européennes.



  • Malthus Malthus 23 mai 2013 22:04

    Bah en fait, je m’oppose pas à ce que tu dis. Bien au contraire, je l’appelle de mes voeux. Mais désolé, taxer fortement une tomate cultivée sous serre en hiver et détaxer une tomate bio de saison, ça joue sur les comportements.

    Taxer fortement une bouteille de jus d’orange en plastique, et réduire la TVA sur une bouteille de jus d’orange en verre, ça joue sur les comportements.

    Et je pourrais t’égrainer une liste longue comme la distance Terre-Lune.

    La TVA est un super outil pour influencer nos comportements. Ca ne vient pas en contradiction avec le fait d’amener les cotisations à 100 % du salaire pour créer le salaire de vie, et tout ce que tu as expliqué.

    L’impôt le plus injuste contrairement à la légende n’est pas la TVA, c’est l’Impot sur le Revenu. Car c’est une taxe sur la sueur (j’élude l’impot sur la rente). Pour moi, on peut maintenir l’impôt sur le revenu à partir d’un plancher et surtout d’un type de revenu, et jouer d’une taxe pétrole très puissante pour remplacer le peu que l’Etat engrange avec l’IR en vérité.

    En matière de fiscalité, y’a plein de choses à imaginer.
     :)



  • Malthus Malthus 23 mai 2013 20:55

    S’agissant du Sionisme, en vérité, il y’a aussi des voix qui s’élèvent au front de gauche sur la question. Les cadres du parti aimeraient les faire taire, mais il n’empêche que les sympathisants et nombre d’élus locaux ne lâchent rien à ce sujet. La difficulté psychologique cependant est de trouver une posture visant à s’auto-rassurer sur leur absence d’antisémitisme lorsqu’ils dénoncent le sionisme ce qui est parfaitement stupide.

    A partir du moment où l’on est informé, on assume sa pensée sans tortiller du cul. Le Sionisme n’est pas Judaïsme et d’ailleurs, les plus fervents anti-sionistes que je connaisse sont de confession juive. Demande t’on à un opposant à l’islamisme s’il s’oppose aussi aux musulmans ou à l’islam ? Non, car le distingo est fait naturellement par un esprit réfléchi et entier. Quoi qu’il arrive, le F.N n’est pas seul sur le sujet, j’en suis témoin.

    S’agissant du capitalisme, ça n’est pas qu’une question de propriété. Mais si vous le souhaitez, entrons dans ce débat :

    Qu’est ce qui a vocation à être une propriété privée et qu’est ce qui doit au contraire à appartenir à tous ?

    Une maison et un jardin ont vocation à être un refuge privatif, sans nul doute. Un petit commerce, un atelier, un outil de travail d’un exploitant agricole ont vocation à être privé.

    Mais est ce que le foncier agricole doit nécessairement être privé ? N’est ce pas plus logique d’allouer des terres qui appartiennent autant à la nature qu’aux Français, gratuitement à des exploitants, et en fonction d’une politique agricole ?

    Est ce que TOTAL ou SANOFI qui sont deux industries hautement stratégiques pour la collectivité, ont vocation à appartenir à des actionnaires privés qui investissent le temps de quelques années ou quelques secondes ?

    Est ce qu’une grosse PME n’a pas vocation à rester privée et sous la gouvernance de son fondateur, tout en laissant un droit de regard et de partage des bénéfices à ses salariés ?

    Est ce que la monnaie doit être une marchandise permettant de générer de la rente pour des paresseux ou un outil collectif pour les échanges ?

    Le Front de Gauche ne remet pas en cause la propriété privée, il remet en cause la privatisation de nos vies, ce qui est une énorme nuance. Et aujourd’hui, je maintiens que l’essence du capitalisme, c’est d’abord et avant tout le fait que l’outil monétaire permet le régime de la cupidité. Nous n’avons jamais eu d’outils monétaires qui n’avaient aucune valeur marchande dans l’histoire. Les métaux précieux étaient une monnaie marchandise, les devises d’aujourd’hui sont aussi des marchandises.

    Réfléchissez, si on abolit le principe même de « la monnaie-marchandise », quel intérêt y’aura t’il de créer de la monnaie pour dégager une rente à partir de l’usure de celle-ci ?

    Si l’on impose des salaires maximum et une limite à l’épargne avant taxation, en plus d’interdire la spéculation et la création monétaire par les banques, ne croyez vous pas qu’à minima, cela influencera très sérieusement notre regard sur l’utilisation de la monnaie ?

    C’est de ce capitalisme là que je parle, bien évidemment.
     ;)



  • Malthus Malthus 23 mai 2013 20:18

    Tout ce que vous dites est parfaitement exact, mais vous éludez trois points de vue qui nuancent cette triste réalité :

    1) La France est une cocotte minute.
    2) Les petits délégués locaux de la CGT, FO et Sud sont pour la plupart des gens idéologisés et toujours prompts à ferrailler contre le gouvernement, contrairement à leurs dirigeants régionaux et nationaux.
    3) Ce ne sont pas les syndicats qui appelleront les salariés à la Grève si Mélenchon leur réclame cela, c’est bien la base (y compris dans le privé) qui sentant une occasion de légitimer un coup de force général contre un gouvernement illégitime, imposera à ses cadres de se remuer le cul pour organiser celle-ci.

    Sincèrement, j’ai peu de doute. Il faut un appel à la grève générale d’une notoriété de « gauche » pour que ça se bouge en France. D’autant que nombres d’ouvriers qui ne sont pas de « gauche » n’ont pas besoin de revendiquer leurs opinions politiques pour suivre un mouvement de grève.

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