Nous avons tous 2 parents, 4 grands-parents, ..., environ 1 million (2 puissance 20) d’ascendants à la 20ème génération : nous sommes tous frères mais nous avons aussi, inévitablement, quelques criminels parmi nos ancêtres.
Rassurez-vous, tous les jeunes diplômés ne se font pas exploiter en étant obligés d’accepter des stages au lieu de n’avoir droit à... strictement rien s’il refuse ces stages (pas de RSA quand on n’a pas déjà travaillé au moins 2 ans, si on a moins de 25 ans).
Ce que je peux dire, quand même, plus vous galèrerez jeune à faire des stages, et plus votre futur métier aura des chances d’être inintéressant. Bref, quand on galère jeune, c’est que ses pistons personnels sont insuffisants (ou, chose rare, que l’on a l’honnêteté et la non-lacheté de ne pas s’en servir).
Quand j’étais dans mon école d’ingénieur, je n’avais pas réalisé à l’époque que certains éléments (et pas du tout les meilleurs) savaient déjà ce qu’ils allaient faire à la sortie de l’école (merci papa).
Pourquoi ce système si injuste peut-il continuer encore comme cela ? Parce qu’à chaque nouvelle génération, les jeunes arrivent toujours pleins d’espoir, souvent portés par leur propre famille, assez fière d’avoir un enfant qui a fait de bonnes études... Rien de plus facile que d’exploiter quelqu’un qui espère, les jeunes sont des proies très faciles.
Demain, seuls les gens beaux auront un travail. C’est cette société que nous choisissons silencieusement aujourd’hui. Quant à ceux qui se croient compétents et au-dessus de ça, ne me faites pas rire, les cimetières sont pleins de gens indispensables.
Oui, effectivement, pour être élu, il faut d’abord être connu. Mais il faut être connu pour avoir de grandes qualités. C’est avec des mises en scène comme la prise d’otage dans la maternelle de Neuilly que nos futurs élus se font connaître pour leur « bravitude ». Même l’article de Wikipédia note une polémique sur la mort d’Erick Scmitt. Notons quand même que les américains ont beaucoup plus d’audace et de moyens (11 septembre) dans leurs manipulations médiatiques.
Mais les médias occidentaux, contrairement aux médias de l’ex-URSS (comme la pravda), réussissent le tour de force de convaincre la majorité du peuple qu’il vit en démocratie. C’est finalement ça qui est le plus beau. Peut-être que les soviétiques étaient moins naïfs que nous, qui sait ?
Bien sûr ecophonie. Le nazillon, c’est bien toi. Tu considères qu’il y a des bons aryens, qui sont là pour s’éclater et quand ils abusent et dérapent, ceux qui appartiennent à une race inférieure doivent être en pleine possession de leurs moyens pour s’occuper d’eux. Je suis à gauche : je crois en l’égalité et pas aux castes, comme toi : car je suppose que tu n’aimerais pas être soigné par un chirurgien qui aurait trop bu ou se serait shooté avant de t’opérer. Profite de ce que tu crois être la vie, mais tes commentaires me font vraiment pitié...
Quand on voit la Belgique qui fonctionne plus de 200 jours sans gouvernement, quand on voit que des lois tricotées par certaines majorités sont détricotées par d’autres quelques années plus tard, je crois qu’on peut dire que tous ceux qui nous représentent ne servent absolument à rien.
Dans un système démocratique, plutôt que de perdre son temps à voter pour des hommes qui concentrent le pouvoir et qui, finalement, prennent des décisions contre l’intérêt du peuple, on pourrait voter directement pour les changements souhaités qui ne sont et ne devraient pas être si fréquents qu’on nous le fait croire.
Mais même si la démocratie voyait le jour sur Terre (ce n’est pas près d’arriver), je crois qu’elle est dépassée. Il y a trop de matériels, trop d’antagonismes entre les gens pour que la démocratie soit satisfaisante.
Par exemple, si le bruit des avions vous gênent et qu’en plus, vous ne le prenez jamais, vous devriez avoir le droit de ne pas en subir les nuisances. Cela s’appelle la liberté totale sans contrainte pour les autres. Ceux qui veulent prendre l’avion prennent l’avion, ceux qui n’en veulent pas n’en subissent pas les nuisances. Dans un système démocratique, on imposerait les choix de la majorité aux minoritaires et cela génère des mécontents. Plus le nombre de sujets grossit (et on peut dire qu’avec la complexification de la société, le nombre de sujets de désaccord est très important), plus vous générez de mécontents, même en démocratie. Vous finirez toujours par être mécontent sur un bon nombre de sujets, car vous ne serez pas de l’avis majoritaire sur ces sujets.
Donc le sytème idéal, c’est un système à mobilité volontaire et faciltée : les gens se répartissent selon leurs envies et ne subissent que les lois et les nuisances liées à leurs envies. Les avions ne survoleraient que les zones des personnes qui prennent l’avion (ou aiment leur bruit, si ça existe !).
La liberté fondamentale que pourrait procurer un tel système de mobilité serait de choisir exactement sa voie sur un bon nombre de sujets dont le plus fondamental est la répartition des richesses : aucune limite à l’inégalité (notre système) ou égalité parfaite (aucun chômage mais démotivant pour certains) ? Car il y a des pauvres qui espèrent être riches un jour, et d’autres qui ne recherchent pas l’argent ou qui ont compris que le système n’était pas fait pour eux.
Si on pouvait avoir le choix de son système, le monde serait vraiment parfait et le mot liberté aurait enfin un sens. De plus, les gens se regrouperaient par affinités. N’est-ce pas mieux que la démocratie avec une constitution et des lois uniques qui s’imposent à tous (où est la liberté) ?
En fait, il serait temps que l’on prenne conscience que les hommes ne sont pas identiques et qu’ils n’ont pas les mêmes envies.