@Anne Caroline
Merci pour votre cet intéressant article.
Tout ça donne en effet à réfléchir, mais ceci étant dit il y a longtemps que « Big Brother is watching...nous »
Maintenant est-ce à dire que nous devrions acepter ce grignotage insidieux et constant de notre espace privé ? Non certes, mais comment faire ?
Pour ma part, je ne suis pas aussi « confiant » qu’Alberto.
Maintenant pour ce que vous envisagez comme potentiellement possible dans le futur, rien n’interdit de penser que c’est déja là.Non pas au niveau de la grande diffusion-pas encore-, mais entre des mains « autorisées ». Dès l’instant ou les impératifs d’organisation, imposées par la vie moderne en sociétés développées commandent les fichages divers que sont l’état civil, la sécurité sociale, plus rien dès lors n’est impossible.
Le croisement des fichiers autotise tout, ABSOLUMENT TOUT ! Du reste il suffit pour s’en convaincre de constater le nombre d’appels téléphoniques émanant de sociétés ou d’organismes dont nous n’avons jamais entendu parler mais qui cherchent a nous contacter pour des raisons diverses et variées, ainsi que le mailing qui innonde nos boites aux lettres, et nos mésageries virtuelles.
Le véritable pb.n’étant pas tant au niveau de la faisabilité tecchnologique, car ainsi que vous l’avez pointé dans viotre article, « on » sait faire, mais le véritable risque -danger !-, se situe à mon sens au niveau de l’accéssibilité à ces banques de données.
Empécher leur mise en place est de nos jours un leurre, mais rester vigilant contre les dérives inhérentes à leur exploitation, et dénoncer les éventuels abus ou risques d’abus, ou sensibiliser l’opinion comme vous le faites par votre article,ne peut qu’être bénéfique.
Merci.