par fifilafiloche (IP:xxx.x6.34.128) le 27 août 2008 à 23H40
Encore une fois, je ne vois pas en quoi cet article vient contredire la réalité. L économie chilienne est un exemple pour le continent et montre la voie à ceux qui sont déterminés à guérir le continent de la plaie de la corruption et des crises à répétition qu elle provoque.
Pour qui ?
Malgré de bons indicateurs économiques et la baisse sensible de la pauvreté, passant de 38,6 % de la population en 1990 à 18,8 % en 2003[67], le pays possède un grave défaut : l’inégalité de répartition des richesses. Ceci a pour effet de créer une brèche sociale nette entre riches et pauvres.
Selon des informations sur le développement humain de l’ONU en 2005, le Chili possède un coefficient de Gini de 0,57, le situant à la 113e place sur 128 de la liste des pays par égalité de revenus. Cette inégalité est difficilement rattrapable. Ce problème est attribué à l’économie venant des diverses entreprises prônant le néolibéralisme (en opposition à l’économie à tendance socialiste développée entre les années 1950 et les 1970). De nos jours, les 20 % des plus riches du pays gagnent 14,3 fois ce que reçoivent les 20 % des plus pauvres.
Vous repasserez pour l’exemple.
Que le pouvoir judiciaire doive être indépendant du pouvoir politique, pour pouvoir mettre fin à la corruption, je suis entièrement d’accord ; c’est, d’ailleurs, ce que tente Chavez.
Pour le reste, et notamment le modèle économique, désolé, mais, là aussi, le néolibéralisme a fait preuve de son pouvoir de nuisance, et de son total échec.