C’est un peu caricatural de réduire la survie de l’espéce humaine à ces deux critères. Comme contre-exemple, on peut ajouter la capacité et la possibilité de subvenir à ses besoins comme la nourriture, même s’il survit à toutes les agressions possibles, s’il ne peut se sustenter faute de bouffe, on n’en parlera plus.
Quand à la supériorité de la reproduction asexuée sur la reproduction sexuée, comment expliquer que toutes les espèces les plus complexes aujourd’hui sont de reproduction sexuée et non asexuée ?
Une piste : une espèce qui se reproduirait de manière asexuée ne procèderait pas au mélange du matériel génétique entre indidus lors de la transmission aux générations suivantes. Alors qu’une reproduction sexuée le permet, ce qui permet l’apparition de caractères nouveaux, de nouvelles possibilité, des comportements, capacités différentes par rapport à l’environnement et autres individus (de même espèce ou d’espèce différente).
Il sudffirait donc d’une nouvelle condition environnementale qui ne convienne plus à l’espèce qui se reproduit de manière asexuée pour que _tous_ les individus de cette espèce soient en difficultés. Si ces difficultés sont léthales, tous les individus meurent et l’espèce disparait.
Alors que l’espèce aux individus de matériel génétique différent possède des individus différents, certains réagiront de meilleures manières que d’autres et sont susceptible de mieux survivre et permettre la survie de l’espèce.
Quand à la résistance supérieure de l’homme, je me demande bien d’où ça peut sortir...