Derrière l’humain, l’absurde.
Il faut aller chercher derrière l’être humain le ridicule et le dérisoire, pour donner du sens à l’absurde.
L’absurdité de la vie et de la condition humaine, l’absurdité de la guerre, des révolutions inutiles et des drames qui s’ensuivent et qu’on oublie si facilement, l’absurdité des conventions sociales, de l’obscurantisme de l’argent et de l’apparence futile, l’absurdité des préjugés de tous bords, des certitudes politiques absolues et de l’aveuglement fanatique, l’absurdité du gouffre d’incompréhension entre les êtres humains.
C’est l’histoire de deux invasions qui se sont produites sur la terre au 19ème siècle.
La première, celle de chenilles bleues qui fuyaient leur planète dévastée par la surconsommation, l’égoïsme, le chacun pour soi et la pollution : les extraterrestres bourgeois.
La deuxième, celle de fourmis rouges qui fuyaient leur planète dévastée par l’incurie, les gaspillages et la pénurie chronique : les extraterrestres communistes.
Pour le malheur des hommes, ils ont réussi à en parasiter certains et à leur inculquer leur comportement, leur modèle de société respectif et leur affrontement absurde et stérile.
Qui va gagner ?
C’est à découvrir dans “ un monde rouge ou bleu ” : contre le pouvoir de l’argent, contre le pouvoir de l’endoctrinement, pour sortir les Français de leur bocal.