Effectivement Youplaboum,
La révolte ne commence pas lorsque l’on fait des crédits, mais lorsque l’on ne peut plus en faire. Ceci dit, il ne faut pas uniquement considérer le révolutionnaire comme un sans-le-sou, dévoré par une rage du système qui l’aura rejeté.
A l’auteur j’apprecie votre article mais … pas de prise
de position franche…
Cet article est une synthèse d’un débat. Il tente de retracer l’ensemble des propos émis. On peut écouter le débat en ligne à cette adresse : http://www.cafes-citoyens.fr/debats/534-y-a-t-il-un-risque-revolutionnaire-aujourd-hui
on s’informe ,on va dans des Cafes citoyens… en esperant
y trouver des penseurs… au cas ou…
Effectivement. D’ailleurs, ne faut-il pas des lieux publics de discussions pour espérer rencontrer des gens, échanger, et pourquoi pas évoluer ?
mais le titre de votre article n’est
pas : ‘’y’a-t-il une chance de revolution aujourd ‘hui .
Effectivement. En fait, la formulation de la question traitée lors de ce débat a été choisie lors d’un précédent Café Citoyen en fin de séance par l’assemblée.
Au cas ou… je fais partie de la classe moyenne et
que comme vous tous j’ai l’impression d’avoir des libertes, je sais que
ca craint niveau egalite… mais surtout que j’ai parfois du mal a me
souvenir du troisieme… meme si c’est surement le plus important.
Et oui, la fraternité disparue, plus rien de tient debout. Le triptyque républicain, imaginé par les révolutionnaires - il me semble que c’est l’imprimeur Momoro, du club des Cordeliers - n’a de sens qu’en réunissant liberté, égalité et fraternité. L’association fait naître de nouvelles propriétés comme on dit en systémique.