N’importe qui peut se prétendre écrivain de nos jours et se faire publier.
Rien de mieux comme sujet que le grand « déballage » de sa vie,et surtout les affaires de cul !
F.Miterrand n’échappe pas à cette mode ; et chacun de s’extasier sur sa liberté de parole, sa franchise, sa connaissance de l’humanité, sa tournure d’esprit, ect...
Qu’il soit homo, c’est son droit, mais pourquoi veut-il faire partager ses turpitudes ?
Sinon pour suivre une « mode » qui met à la une tous les pires instincts des hommes.
Je doute que le livre ait été un grand succès de librairie.
Il suffit de regarder la télé-poubelle et ce qu’on appelle la télé-réalité : on y fait l’apologie de
la mesquinerie, de la jalousie, de l’envie, de la délation, de la tromperie, du mensonge, de l’absence la plus totale de pudeur en ce qui concerne sa vie intime, sans compter les histoires de fesses les plus corsées possibles.
F.Miterrand ne peut s’en prendre qu’à lui-même après avoir si complaisamment étalé sa « mauvaise vie » au mépris des lois et du droit.
Il n’ a rien de puissamment littéraire à aller en Asie pour « acheter » la chair fraîche de jeunes qui sont dans la misère, de contribuer ainsi à leur esclavage, d’être lui-même un esclavagiste et de rappeler son bonheur à la vue de ce « commerce ». Et faire l’apologie de la soumission de leur être pour l’argent d’un « touriste » comme lui. C’est pervers.
Il ne devrait jouer ni les étonnés ni les innocents : il est sciemment allé dans ces pays pour échapper à la loi.
S’il ne recherchait pas des mineurs, comment se fait-il qu’il n’est pas trouvé de jeunes majeur en France bien disposés à son égard ? De plus il prétend que ces « éphèbes » thaïlandais avaient 40 ans ! Alors pourquoi aller si loin pour trouver des prostitués homos de cet âge, si ce n’est qu’il savait, quand il les a commis, que ses actes étaient condamnables ?
Il ne récolte que ce qu’il a lui-même semé et ne peut se plaindre du juste retour de bâton.
Personne n’a à fouiller ses poubelles, il les a mises personnellement en vitrine en publiant un livre .
A dégager, ce genre de type !