Bonjour Armelle,
J’arrive un peu tard sur cet article.
Le bonheur est affaire très personnel et dépendant de sa personnalité, de son vécu et de son entourage.
L’optimisme ne suffit pas. Aimer ce qu’on fait , pour meubler son temps, c’est déjà une forme de bonheur. L’enfant, c’est plutôt une affaire féminine.
Etre Président de la République, oh, que non.
Ma définition du bonheur ?
Elle se rapproche de pouvoir faire ce qu’on veut, comme et quand on le veut.
Etre son propre chef sans aucune idole. Pouvoir assumer ses erreurs. Rire une fois par jour. Manager sa vie tout en restant responsable. L’argent ? C’est emmerdant quand il y en a trop.
Avoir des projets devant soi et de pouvoir les réaliser. Alors, le temps pour y arriver ne compte plus. Exister.
Le bonheur, c’est une courbe exponentielle qui peut tendre vers l’infini.
Rien avoir avec ceci, donc.
J’ai aussi essayer de mettre cela dans des articles. La philosophie, j’ai commencé à m’y intéresser très tard. Je crois que cela ne peut s’apprendre avant d’avoir une longue expérience de vie pour l’aimer.
Merci, de m’avoir fait réfléchir une nouvelle fois. Le bonheur, vous écrire ici, peut-être, sans ambages .
L’enfoiré, un pseudo, qu’on n’a jamais à la naissance mais qu’on acquiert bien plus tard.