Analyse impeccable et conclusion implacable. Ce n’est pas la première de Bonafi. On peut simplifier pour les profanes :
1. Tout cet argent ne vaut rien ; on en crée a volonté et on le distribue comme on veut.
2. Ça ne peut durer indéfiniment ; on travaille donc d’arrache-pied à mettre la structure industrielle a l’abri et à préparer un nouveau paradigme politique.
3. On aura sans doute une production plus efficace, un meilleur assistanat pendant la reconversion de la main d’oeuvre... et un régime plus autoritaire, où le pouvoir en place prendra ses distances du capital devenu pure convention pour s’en remettre davantage à la simple force. Un modèle proche de l’URSS des années 60, mais avec des médias bavards et contrôlés permettant une image de démocratie.
Ça durera un temps. Apres on verra...
Pierre JC Allard