@ l’auteur : Votre article est a prendre avec des pincettes.
Vous présentez les « résistants » (terme symbolique) comme des quasi paranoïaques qui accusent des « méchants » d’être responsable des maux dont souffrent la société française : les américains pour Asselineau et comble du ridicule, la reine d’Angleterre pour Cheminade.
Avec vous comme ami, les « résistants », ils n’ont plus besoin
d’ennemis.
Sur Sarkozy, diriez vous : L’homme est un
narcissique pervers, j’m’en foutiste, attirer par la fausse gloire, l’argent et sectarisme, notamment par la
scientologie. Il fait porter la responsabilité de l’échec de sa politique confuse sur les spéculateurs américains.. etc ?
Vous n’oseriez pas l’image sacré de notre président, n’est ce pas ?
Si vos « résistants » n’ont pas plus d’audience, ce n’est pas qu’ils soient mauvais c’est que 90% des gens ne s’informent pas, ils regardent la télé, c’est tout. Et à la télé, ne passent que les ténors disposant de relais, de réseaux et surtout du pouvoir de nomination et de limogeage.
Et c’est la principale raison du manque d’audience de vos « résistants ». Vous avez certainement remarqué qu’au moins 60% des électeurs votent en proportion du temps de présence des candidats sur TF1 ou France 2. Un Mélanchon, par exemple, seul ténor d’une gauche crédible et apte à gouverner, récolte moins de 6% des voix dans une élection ouverte.
Est-il vraiment plus mauvais qu’un Bayrou versus 2007 à 15% ou qu’un Sarkozy à 36% ?