Je vous rejoint sur votre analyse.
Quoi ! Comment ! On n’ose pas être au garde vous sur la production française ! Un truc complètement vivant sous perfusion et qui fait hurler de temps à autre des voix, venant même parfois de l’intérieur, comme celle l’an passé sur le cachet des acteurs, les plus payés au monde, vivant grassement d’un statut d’intermittent, cachetant à des tarifs hors normes, pour des productions débilitantes issues de Marivaux, ou pire du théâtre de boulevard, avec sa trilogie sacrée : Femme, mari, amant, requinquée maintenant par les nouveaux mœurs.
Homos et lesbiennes, ne suffisent pas, en guise de modernisme, à assurer sur la nouveauté, le culot, l’ouverture au monde.
Aucun film, ou si peu, qui ne sortent des milieux bourgeois. Une grande fatigue vous prend en voyant tant de médiocrités, encensés par la critique aux ordres, copains, coquins, rapports incestueux. D’un festival de Cannes à l’autre, toujours la même soupe. Clavier, Deneuve, Depardieu, tant de gens qui m’accablent. Vous avez les noms en tête.
Le grand scandale, c’est à l’heure des 50 milliards d’économie, ce régime d’avance sur recette, qui permet à ces milliardaires se prenant pour des pygmalions inspirés par les dieux, et faisant des productions puant le pet refroidi, de ne pas avoir même à rembourser, si le film se plante, et ne couvre pas les cachets.
C’est du tartuffe, mais l’état n’est pas avare.
Ce film, oh mon dieu...J’ai fermé la télé quand j’ai vu un extrait.
Je ne laisse plus les commerciaux mettre un pied j’ai mois, ma boite à lettres est interdite de pub, mais la merde a mille ruses pour remonter des égouts