Je crois bien que la dernière trouvaille du Giec - le réchauffement de l’air est allé s’enfouir sous les océans - restera pour nos enfants un cas d’école du mépris des politiques pour les sciences physiques.
J’ai été définitivement dégouté de cette officine de désinformation avec l’affaire Allègre (j’ai appris à cette occasion que le Giec n’est pas une institution scientifique chargée de l’étude du climat, mais seulement un officine destinés à « mieux comprendre les fondements scientifiques des risques liés au changement climatique d’origine humaine ». Elle ne reçoit ces crédits qu’à cette fin et ne peut ni ne doit dire autre chose). Dans cette affaire, les réchauffistes sont montés au créneau pour discréditer un géochimiste reconnu par ses pairs sous prétexte que la géologie n’avait rien à nous dire sur le climat (sic !) tout en sommant le bon peuple de se prosterner devant les saintes paroles d’un économiste des chemins de fer qui affirme puiser ses sources dans Wikipedia.
Mais où allons nous !
Al Gore s’est payé sur le dos des fans d’Hollywood une pub mondiale afin d’alimenter ses propres fonds de gestion des droits de CO² et il faudrait continuer à payer et à croire ses conneries ! Rien que d’écrire « droit d’émission du CO² » relève de cet abîme ubuesque dans lequel nous sommes astreints à engloutir notre intelligence.

Au fait d’abîme, il y a dans l’océan plein de volcan que l’on ne connait pas (en cherchant un Boeing on en a encore trouvé deux) dont l’activité reste totalement inconnue. Une expédition a relevé des preuves de l’activité de la faille qui traverse (et réchauffe) l’océan arctique. Les perturbations que cela provoque ne sont pas d’origine humaine, donc il faut le taire. Crédits coupés.

Les réchauffistes sont des mecs qui veulent faire croire que pour chauffer l’eau des nouilles, il faut un sèche cheveux et qui se foutent de la gueule de ceux qui allument le gaz sous la casserole.

Le problème est qu’il y a le feu ailleurs dans la cuisine, et que tout le monde s’en fou.