A Bruxelles et dans d’autres capitales européennes, la crainte de Poutine devient palpable.
En effet, l’’inquiétude est illustrée dans la ruée soudaine à Moscou de Angela Merkel et de François Hollande. L’offre de paix franco-allemande est un acte de désespoir, car les révolutionnaires du Dombass font reculer l’armée de Kiev.
Il n’y a rien de nouveau dans leur plan, juste une tentative pour arrêter un désastre de l’armée ukrainienne où les défections sont de plus en plus nombreuses. (on en est à la quatrième mobilisation générale de Kiev).
Notons que Carl Bildt, ancien ministre suédois des Affaires étrangères, a déclaré
une guerre entre la Russie et l’Ouest était maintenant tout à fait
concevable. Un haut diplomate à Bruxelles, faisant écho à ce point de vue a déclaré : « armer les Ukrainiens signifierait la guerre avec la Russie ».
En annonçant sa mission surprise à Kiev et à Moscou, Hollande semblait grave et solennel.
La crise en Ukraine, a t-il dit, a commencé avec des différences, qui
est devenu un conflit, qui est devenu une guerre, et qui maintenant
risquait de devenir « guerre totale ».
Les occidentaux sont sur la défensive. Le Dombass ne sera jamais sous la coupe des fachos de Kiev.
La meilleure chose qui puisse arriver est la victoire militaire des révolutionnaires du Dombass pour aboutir a une paix durable.