"..../...Les charges patronales sont d’environ 46 % du salaire brut versé au salarié.
Les charges salariales sont d’environ 20% du salaire brut versé au salarié..../..."
Les dites « charges » salariales ne sont qu’un salaire différé et servent à l’assurance maladie, assurance chômage et la retraite pour l’essentiel.
Ce sont donc des éléments du salaire.
Le raisonnement de notre ami qui semble vouloir faire penser que cet argent disparait dans un trou noir étatique et qu’il ne retourne pas au salarié est donc mensonger.
Il faut donc se caler, au delà de ce discours de bistrot d’agence de com, sur les réalités et se demander si cet argent donné directement aux salariés pour les parts concernées aboutiraient ou non à plus d’éfficacité en matière d’assurance chômage, d’assurance maladie et de contisations de retraite.
Donc comparer avec des salariés qui devraient passer par des assurances privées et des fonds de pension, des assurances privées pour se garantir des aléas de la vie, pour obtenir les mêmes objectifs.
Le lieu commun qui consiste à baptiser « charges », des élements indirect d’un salaire, est navrant.
L’ensemble de l’article construit sur ce type d’insuffisances est dommageable car il faut comparer ce qui est comparable, il en ressort donc un vice majeur dans l’argumentation.