@Garibaldi2
Le plus étonnant d’après des recherches actuelles est que ces personnes ne seraient pas mortes du virus de la grippe mais d’effets iatrogènes ...
Les grippés ne mourraient pas d’un virus dévastateur mais de pneumopathies bactériennes secondaires sévères, l’acide acétylsalicylique (aspirine) prescrit à très hautes doses aurait été in fine l’agent morbide !
Une explication médicalement cohérente qui mettrait fin à ce redoutable virus fantôme du passé.
Grippe espagnole
Un siècle après, on nous mène toujours en bateau !
Par Kim-Anh Lim
Trois
études publiées aux États-Unis – le pays, rappelons-le, où la « grippe
espagnole » a débuté en Occident – devraient définitivement mettre fin
au mythe d’un virus hyper-virulent venu de nulle part.
http://ddata.over-blog.com/xxxyyy/3/27/09/71/2012-2013/Juin-2013/Grippe_espagnole_Nexus89.pdf
Salicylates and Pandemic Influenza Mortality, 1918–1919 Pharmacology, Pathology, and Historic Evidence
Karen M. Starko
https://academic.oup.com/cid/article/49/9/1405/301441