http://www.inexplique-endebat.com/2015/02/wall-street-et-l-ascension-de-hitler.html
"
Wall Street et l’ascension de
Hitler, est un documentaire interview (0h42) avec Antony C. Sutton, qui
révèle les mensonges, tromperies et duplicités de l’un des faits le plus
marquant jamais rapporté de la Seconde Guerre mondiale, celui des
banques de Wall Street et des grandes entreprises nord-américaines qui
ont soutenu l’ascension de Hitler vers le pouvoir en finançant
l’Allemagne nazie et en faisant des affaires avec elle. Vost.fr
Antony Cyril Sutton, né en 1925 et mort en 2002, était économiste,
historien et écrivain britannique. Sutton fut chercheur à Stanford au
sein de la fondation Hoover de 1968 à 1973. Il enseigna l’économie à
l’UCLA. Il étudia à Londres, Göttingen et UCLA, et fut titulaire d’un
doctorat en sciences de l’Université de Southampton, en Angleterre.
En 1972, au sein de la Hoover Institution à Stanford, il subit la
censure de son directeur de recherche qui tenta d’empêcher la
publication de National Suicide - Military Aid To The Soviet Union, dont
les faits décrits attaquaient le programme Nixon-Kissinger d’aide aux
soviétiques tandis que ceux-ci aidaient les nord-vietnamiens dans leur
effort de guerre. Le livre arrivait à la conclusion que les soldats
américains étaient en train d’être tués avec l’aide de leur propre
technologie.
Pierre de Villemarest, spécialiste des questions mondialistes, écrit
que Sutton fut le seul auteur qui ait jamais disséqué les contrats grâce
auxquels les totalitarismes nazis et soviétiques ont pu vivre et
survivre économiquement. Il est surtout connu pour son livre America’s
Secret Establishment An Introduction to the Order of Skull & Bones,
décrivant la société secrète d’étudiants de l’Université Yale, la Skull
and Bones. Il a aussi abordé le thème de la fusion froide.
Concernant la collaboration entre Wall Street et Hitler, Sutton signala
que la capacité de production des entreprises I.G Farben et Vereinigte
Stahlwerke, qui produisaient 95 % des explosifs d’Allemagne en 1937-38,
fut uniquement possible avec les crédits concédés par le Plan Dawes et
la technologie des États-Unis. Une coopération entre I.G. Farben et la
Standard Oil of New Jersey pour produire de l’essence synthétique à base
de charbon a donné à la I.G. Farben le monopole de cette production
durant la Seconde Guerre mondiale. La moitié de la production allemande
d’essence était entre ses mains et le reste à des compagnies affiliées.
Selon Sutton, sans le capital de Wall Street, il n’y aurait eu ni I.G
Farben, ni Adolf Hitler, ni Seconde Guerre mondiale...
En mettant au jour un cloaque de mensonges, de tromperies et de
duplicités, Antony Sutton révèle l’un des faits les plus marquants et
pourtant jamais rapporté de la Seconde Guerre mondiale, c’est-à-dire que
des banques de Wall Street et des grandes entreprises nord-américaines
ont soutenu l’ascension de Hitler vers le pouvoir en finançant
l’Allemagne nazie et en faisant des affaires avec elle.
Suivant minutieusement la piste de ce secret bien gardé, grâce à des
documents et des témoignages incontestables, Sutton parvient à la
conclusion que la catastrophe de 1939-45 bénéficia surtout à un groupe
privilégié d’initiés financiers américains. Il donne le compte-rendu
détaillé, preuves à l’appui, du rôle abjecte que jouèrent les Morgan,
aujourd’hui banque J.P Morgan, les Rockefeller, les frères Warburg ou
les Ford, directement ou à travers leurs entreprises, et tous ceux qui
financèrent les préparatifs de la guerre la plus sanglante et la plus
destructrice de l’Histoire.
Wall Street et l’ascension de Hitler est le troisième volume d’une
trilogie consacrée à l’implication directe des financiers new-yorkais
dans la révolution lénino-trotskiste en URSS, l’élection de Franklin D.
Roosevelt aux États-Unis et la montée du nazisme en Allemagne.
"La contribution du capitalisme nord-américain aux préparatifs de guerre
allemands a été phénoménale et, sans elle, l’Allemagne n’aurait jamais
eu la capacité militaire qui conduisit au massacre de millions de
personnes innocentes… Non seulement ces banquiers et hommes d’affaires
nord-américains avaient conscience de la nature du nazisme, mais il
assistèrent le nazisme à chaque fois qu’ils y avaient intérêt en sachant
parfaitement que la conséquence probable serait une guerre impliquant
l’Europe et les États-Unis", souligne Antony Cyril Sutton sur le
financement des nazis et des bolchéviques par Wall Street et les
entreprises américaines."
https://www.amazon.fr/Street-lascension-Hitler-Antony-Sutton/dp/2355120439