@Legestr glaz
Je ne connais rien au virus mais je lis ça :
La preuve de l’existence des virus repose sur plusieurs approches complémentaires :
1. **Observation directe** : Visualisation des particules virales par microscopie électronique, en identifiant leur taille et morphologie caractéristiques.
2. **Culture cellulaire** : Les virus sont cultivés dans des cellules hôtes, où leurs effets cytopathiques (dommages aux cellules) confirment leur activité infectieuse.
3. **Isolement et purification** : Les particules virales sont isolées et analysées pour vérifier la présence de leur génome (ADN ou ARN) et de protéines caractéristiques.
4. **Analyse génétique** : Séquençage et amplification (PCR) du matériel génétique viral pour confirmer son origine.
5. **Tests fonctionnels** : Démonstration de l’infectiosité du virus en prouvant qu’il peut infecter des cellules, se répliquer et produire de nouvelles particules.
6. **Preuves immunologiques** : Détection d’anticorps spécifiques ou d’antigènes viraux dans l’organisme infecté.
7. **Épidémiologie** : Études montrant une corrélation entre la présence du virus et l’apparition de maladies.
Ces méthodes convergent pour fournir une preuve solide de l’existence et de l’infectiosité des virus.
ou encore :
Il s’agit d’une preuve solide donc pas irréfutable, mais en science la notion de « preuve irréfutable » est rarement atteinte au sens absolu.
Les preuves scientifiques sont généralement basées sur des observations répétées, des expériences reproductibles et des théories cohérentes qui expliquent et prédisent des phénomènes.
C’est aussi le cas de la majorité des particules fondamentales et subatomiques en physique.
Pas d’observation directe donc pas de preuve irréfutable. On me dit que c’est aussi le cas du Code génétique avant sa découverte moléculaire, des neurotransmetteurs, des atomes avant la microscopie à effet tunnel, de l’inconscient Freudien, du temps, de l’amour...