Merci Cambronne. Je voulais faire allusion dans mon article au déclenchement du conflit algérien qui, loin d’être un soulèvement de la population, a été la mise en pratique d’acte de terrorisme ciblés destinés à effrayer la population indigène. J’ai évité d’aborder un tel sujet, de peur d’envenimer un débat déjà trop brûlant. Mais bien sûr, il faut avoir le courage de regarder la réalité en face.
Merci Kelsaltan. De telles phrases font chaud au cœur. Bon, la température ne s’y prête pas mais quand même. J’aime beaucoup votre compréhension et votre finesse.
Amine. Votre intervention est inepte. C’est à ce titre que je me permets de la souligner. Il faut avoir été lobotomisé pour pondre de telles âneries. Je n’engagerai pas un débat avec vous. Le puits dans lequel vous êtes tombé paraît sans fin et je n’ai aucune envie de revêtir un habit de scaphandrier.
Quant au spectre de Lalla Mennana qui revient d’un long séjour d’entre les morts et qui maintenant se cache derrière les atours d’Aïcha, j’espère que ce rituel de passage t’aura permis de méditer la formule égyptienne destinée aux défunts qui, après leur mort, désirent prendre l’aspect de la fleur de lotus (j’imagine que c’est pas mal aussi comme déguisement quand on est mort) : « Je suis le pur qui sort de la terre fertile. Je suis ce lotus pur, issu de l’étincellement et qui appartient à la narine de Ré. » Tu m’as avoué avoir succombé en mon absence sous le poids des sarcasmes. J’espère que tu n’as pas été trop surprise car tu devais t’y attendre. C’était quand même mal barré ton projet d’être le sémaphore de la mauvaise conscience dont se gavent les indigents. Bien sûr, j’aurais aimé être le Saint George qui a terrassé le dragon. Bon. Ce sera donc pour une autre fois. Reprends donc quelques plumes, cher phénix qui renaît de ses cendres idéologiques et qui doit ressembler à un bout d’os dépenaillé perdu dans la semoule dévastée d’un fond de couscous malmené par des mains trop avides. Bisous quand même. J’aime bien me battre avec toi.
Patrick Adam