Bonjour Robert
Il y a du glissement sémantique dans tout ça.
Avant, on parlait de « capitalistes », puis on en est venu aux « créateurs de richesse », plus politiquement correct. Maintenant, on parle des « Pauvres riches », attaqués de toutes parts par les envieux ou les aigris (au choix) et on en arrive aux « exilés fiscaux ».
La boucle est bouclée, le résultat est le même selon les termes employés.
Question subsidiaire : à quand la fin du lèchage de botte de ces tristes individus par les pouvoirs publics ?