L’agitation frénétique de la petite horde de trolls habituels ne doit pas déranger nos discussions, leur présence est même plutôt un signe de qualité de l’article et de respectabilité de l’auteur.
Nous sommes habitués à ces sinistres guignols et nous connaissons par coeur leurs pauvres chansonnettes et leurs pirouettes ratées. Ils font partie de la maison à leur manière. C’est un peu comme lorsqu’on a quelques rats dans sa cave, ou quelques cloportes sous la grosse pierre sur laquelle on s’assied dans le jardin.